Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/LhmdWI5cYpw
Bonjour!
J’ai enfin compris pourquoi dans « The Walking Dead » tous ces morts sont en marche, sans but, tels des députés LREM : ils cherchent un bureau de vote. À ce jour le doyen de ces centaines de milliers de « morts votants » incapables de résister au charisme d’un Joe Biden est né le 14 août 1850. J’ai bon espoir que si l’on creuse assez dans les listes électorales de Pennsylvanie ou du Massachussetts on trouve enfin, juste derrière Pocahontas, ce fameux chaînon manquant qui prouverait une fois pour toutes à ceux qui n’ont jamais vu Christophe Castaner, que nous descendons du singe lequel, comme le savent tous les nostalgiques des histoires de toto, descend de l’arbre. En attendant, comme, visiblement, les morts humains ne suffisaient pas, un chat décédé depuis 10 ans (vision d’ordinaire réservée au bidet de Roselyne Bachelot - lequel en est à sa troisième tentative de suicide) s’est vu, lui aussi, envoyer un bulletin de vote par correspondance.
Je vous mets en lien la liste, longue comme l’aspirateur à farine Macronnien après une allocution sur le coronavirus, d’une partie seulement de l’iceberg (que les puristes prononcent izeberg) des fraudes recensées à ce jour et dont les remugles remontent à la surface de façon exponentielle, évoquant le contenu d’une canalisation de toilettes de salle des fêtes, bouchée après une soirée cassoulet, et dans laquelle il ne ferait pas bon se retrouver enfermé pendant un tremblement de terre. Les avocats de Trump disposent de centaines de pages de déclarations sous-serment (c’est-à-dire émanant de personnes qui s’exposent à 15 ans de prison si elles mentent) témoignant de bulletins de votes livrés, en douce, la nuit, par des camions de ravitaillement, de bulletins remplis sur place par ceux supposés les compter et autres joyeusetés diverses et « avariées ». Je ne parle même pas des déclarations de particuliers qui remontent par millions en passant par les numéros verts dédiés. En niant la fraude les médias nous refont le coup de ce journaliste de MSNBC qui décrit le saccage de Minneapolis par Black Lives Matters comme une manifestation pacifique alors même que, derrière-lui, on dirait Rome après que Néron ait reçu un lance flammes pour son anniversaire.
Pour bien comprendre ce qui s’est passé, il faut remonter un peu en arrière dans nos mémoires de poissons rouges. Déjà en 2016 la fraude avait été massive et je vous mets en lien l’analyse que j’avais faite à l’époque des élections américaines. L’état profond (au sens rectal du terme) a compris que Trump qui, depuis le début, avait tous les médias contre lui, avait gagné grâce à Internet et aux réseaux sociaux et, non content d’avoir tenté de le paralyser depuis avant même son investiture avec de fausses affirmations de collusions et autres impeachments, ledit état profond a, avec la discrétion d’un pétomane dans une cathédrale gothique, purgé peu à peu de YouTube, Twitter et autres Facebook tous les acteurs qui avaient participé à la victoire de l’homme aux cheveux orange.
L’algorithme Google, déjà « biaisé » la dernière fois façon Gang Bang dans une cave de cité, a désormais perdu toute trace de l’innocence logarithmique de sa jeunesse, au point qu’il est quasiment impossible de trouver des informations sur les scandales des, non pas 1 mais 2, ordinateurs du fils de Joe Biden, scandales qui, s’ils avaient concerné Trump auraient été déversés non-stop pendant des semaines dans la machine médiatique comme autant de seaux de merde. Outre d’innombrables photos et vidéos où le dénommé Hunter, sous l’emprise de drogues diverses, entre deux masturbation pédestres, s’adonne au naturisme d’intérieur palpatoire avec, entre autres, la fille mineure de son frère décédé (dont il a, par ailleurs, consolé l’épouse avec beaucoup de compassion) on trouve dans ces ordinateurs des mails (qui ont pu être retrouvés par le FBI chez les destinataires - preuve de leur authenticité) dans lesquels on apprend que Biden prenait des commissions généreuses sur les milliards de dollars reversés à son fils (viré de l’armée pour usage de stupéfiants et qui n’a aucune compétence en quoi que ce soit justifiant qu’on lui octroie de telles sommes) par des oligarques Russes et Chinois (entre autres).
Ledit Biden, lequel a, par ailleurs, conditionné une aide américaine à l’Ukraine de 1 milliard de dollars au limogeage du procureur qui y enquêtait sur son fils est donc, lui, coupable de toutes les choses indûment reprochées à Trump par les démocrates. C’est ce que l’on appelle « l’inversion accusatoire » concept développé par Hervé Ryssen lequel croupit actuellement dans les geôles françaises pour délit d’opinion et blasphème pour avoir méconnu le caractère sacré d’une certaine frange de la population dans la religion républicaine. Omerta complète, donc, sur le scandale Biden, doublée d’une censure totale des réseaux sociaux et de Google qui ont été jusqu’à bloquer et faire disparaître les articles, sur cette affaire, du Washington post, seul grand quotidien ayant tenté de sauver l’honneur de la profession devant l’énormité rocco-sifrédienne de la chose. Pas de trace non plus des actes de haute trahison et collusions impliquant Clinton et Obama.
Il faut bien comprendre que Trump (qui ne s’est pas contenté de twitter pendant 4 ans) a fait pas mal de ménage, que la justice a suivi son cours lentement mais sûrement et que, si l’état profond a réussi à freiner les choses jusqu’aux élections en tirant ses dernières cartouches, si Trump est réélu, ledit Etat-profond ne pourra pas empêcher pendant 4 ans supplémentaires le barrage judiciaire, tendu façon sumotori qui aurait confondu des Smarties et des dragées Fuca, de céder. Tous ces gens risquent littéralement leur peau, d’où la panique, l’énervement et les erreurs, car, aux USA, la peine de mort n’a pas été abolie et on ne plaisante pas avec la haute trahison, crime que, pour mémoire, Nicolas Sarkozy (dont les talonnettes à ressort ont écrasé le peuple libyen ouvrant ainsi la porte à l’immigration massive que nous connaissons) a supprimé de notre constitution. Allez savoir pourquoi !
Pendant des mois, de faux sondages (expression devenue un pléonasme) encore plus faux qu’en 2016 (et sans plus avoir, cette fois, l’excuse de la surprise) ont tenté d’influencer les électeurs et, sous prétexte d’une pandémie tombée à pic pour éclipser le bilan économique, à mon sens éphémère et illusoire, mais néanmoins inégalé du président, on a mis en place un vote massif par correspondance, envoyant des bulletins aux gens sans qu’ils en fassent la demande. Tout cela, hasard du calendrier et simple coïncidence, en plein milieu d’un Trump Bashing (orchestré et complètement injustifié) sur la gestion du corona, court-circuitant ainsi la campagne électorale qui venait juste de commencer et qui s’est déroulée alors que des dizaines de millions d’américains avaient déjà voté par correspondance sous le coup de l’émotion. Apparemment les carottes étaient cuites d’autant que Biden battait des records en termes de donations, recevant des milliards des gafas (que Trump a promis de casser en cas de victoire) et de l’ennemi sans visage de François Hollande : le monde de la finance.
Ses propres tweets étant censurés, toutes ses voix sur les réseaux sociaux étant bâillonnées et Fox news la seule chaîne TV qui ne lui était pas ouvertement hostile commençant déjà à affuter les couteaux qu’elle allait lui planter dans le dos, la seule chose que pouvait faire Trump c’était de s’adresser directement au gens. À ces gilets-jaunes à l’envers qui sont le cœur de l’Amérique profonde. Pourquoi est-ce que je parle de gilets jaunes à l’envers ? Les gilets jaunes français originaux voulaient simplement qu’on baisse le prix du carburant, pouvoir vivre de leur travail et qu’on leur rende des comptes sur le fait qu’ils bossent pour l’état du premier janvier jusqu’à la fin août sans que cela ne freine, pour autant, la détérioration endémique des routes, des ponts et autres hôpitaux. Trump a exaucé ces souhaits : il a baissé le prix de l’essence, créé des emplois, allégé les règlementations et les impôts donc, contrairement aux Français qui se sont battus en vain pour obtenir le droit de vivre, les américains se battent pour le garder ; la situation est donc inversée, mais ce sont les mêmes catégories sociales (la mouvance gauchiste en moins, Dieu et le patriotisme en plus) faisant qu’ils ne sont pas récupérables et seront fidèles jusqu’au bout car ils ont compris les enjeux de la bataille.
La seule chose que Trump pouvait encore faire c’était donc de s’adresser directement au peuple. Et, alors que le nombre d’individus sur la planète capables de relever un tel défi, face à autant d’adversité et de faire montre d’autant d’opiniâtreté doit se compter sur les doigts d’une main, il l’a fait. Des mois d’une campagne herculéenne contre vents et marées avec jusqu’à 6 meetings par jours dans les endroits les plus improbables, d’un simple champ à des tarmacs d’aéroports. Des meetings souvent annoncés au dernier moment pour éviter les obstructions des autorités démocrates locales. Et chose que n’avait pas prévue le pouvoir profond, les gens sont venus, par dizaines de milliers à chaque fois, bravant les intempéries et la pandémie en criant « We love Trump ». Pendant ce temps Biden restait planqué dans sa cave et sortait une fois tous les quatre jeudis pour parler à quelques dizaines de gens assis dans des cercles racistement blancs.
Trump a réalisé l’impossible faisant que la vague bleue façon canard WC annoncée par les sondeurs s’est transformée en vague rouge façon Destop et, quand le président en exercice a remporté la Floride, dans laquelle Biden était donné gagnant avec 4 points et où c’est Trump qui a terminé avec 4 points d’avance (soit un différentiel largement au-delà de la marge d’erreur) ça a été la sidération, puis la panique. D’autant que Trump, le soi-disant raciste misogyne, a fait un tabac chez toutes les minorités et les femmes et que la Floride, habituée, elle, aux votes par correspondance, ayant dépouillé ces derniers en premier, avait été en mesure de donner rapidement les résultats définitifs. Trump était en avance partout, il avait augmenté sa majorité au parlement et commençait à grignoter des sièges pour le sénat, en remportant même dans les fiefs démocrates. Et là, d’un coup de baguette magique, fait inédit, au même moment (comme sous l’effet d’une vision fugace de quintuplés hurlant « papa ! » pendant un coït ordinaire) tous les comptages se sont arrêtés pile et ce, sous des prétextes improbables allant d’une rupture de canalisation d’eau à « il est tard on continuera demain ». Ils n’ont pas osé le « j’ai piscine ! » mais on n’en est pas loin.
Sitôt les scrutateurs républicains poussés par la porte avant, les démocrates, par définition pas homophobes, sont rentrés par la porte arrière et, sachant désormais combien de votes ils avaient à rattraper, ont passé la nuit à valider des bulletins aux fins de combler un retard tellement au-delà de leurs prévisions qu’il n’était même plus possible de sauver les apparences et que les votes par correspondance, au lieu de favoriser Biden à 60 contre 40 (comme en Floride) lui donnaient des scores de dictateur Africain chatouillant les 100%, que, par endroit, le taux de participation, morts compris, dépassait les 120% et que, faute de temps, des centaines de milliers de bulletins (lesquels servent aussi à élire, entre autres, les sénateurs et députés) s’étaient limités au choix du Président. Du coup, les américains, qui s’étaient couchés avec Trump largement en tête, se sont réveillés face à un miracle à côté duquel la résurrection de Jésus c’est du pipi de chat blennorragique, les médias les priant de croire qu’un vieillard sénile, féru de propos grivois à l’oreille des petites filles, du fond de sa cave, aurait fait plus de voix qu’Obama quand les gens croyaient encore en lui.
Entre-temps, les scrutateurs, comprenant ce qui se passait, ont voulu revenir et on leur a refusé l’accès aux salles. Même après que des juges (car il a fallu aller jusque-là) aient intimé aux gens en charge des bureaux de les laisser entrer, ils ont été confinés à plusieurs mètres des tables les plus proches tandis que les scrutateurs démocrates, au lieu de scruter quoi que ce soit, s’employaient à les distraire et à leur bloquer la vue. Du grand guignol.
Pour autant, le fait que ces élections soient un défi à la logique et au bon sens ne suffira pas forcément à convaincre des juges souvent partisans. D’autant que les recomptages accordés aux avocats de Trump ne se passent pas dans de meilleures conditions que le comptage original et que, étant donné qu’une fois le bulletin de vote sorti de son enveloppe on ne peut plus relier les deux, faute d’un audit qui prendrait des mois, simplement recompter des bulletins frauduleux ne rime pas à grand-chose, même si la panique a été telle et les bévues tellement grosses que, dans certains états, ce simple recomptage pourrait suffire à faire basculer les résultats.
J’écoutais récemment Alexis Cossette que j’aime bien, mais que je prends avec des pincettes, étant donné que, comme Sœur Anne, je n’ai rien vu venir concernant le black-out d’Internet, les arrestations massives de pédophiles ou la surprise d’octobre, avec Biden se désistant pour Michelle Obama. Un Alexis Cossette qui évoque un cryptage secret permettant de détecter tous les bulletins frauduleux, ce qui, effectivement, reviendrait à faire échec et mat, belotte et dix de der. J’aimerais vraiment qu’il ait raison et je me suis gardé un paquet de cacahouètes, au cas où, histoire de profiter du spectacle depuis mon canapé, mais j’ai étudié le document (que je vous mets en lien) édité par la CISA (chargée de la cybersécurité et de l’infrastructure) concernant ces élections et vous pourrez constater, à l’avant-dernière page, que si la possibilité d’un tel cryptage est bien évoquée elle dépend non de l’état fédéral mais des états eux-mêmes dont une partie est aux mains des démocrates lesquels ne pouvaient donc pas ne pas être au courant.
Une deuxième théorie, à mon sens plus crédible (et c’est l’informaticien qui parle) tourne autour des manipulations du logiciel des machines de votes, fraude dont j’avais expliqué le mécanisme dans ma vidéo de 2016, et qui, à mon avis, seraient les plus faciles à prouver d’autant que des millions de téléspectateurs ont pu voir en direct Trump perdre des dizaines de milliers de voix en l’espace d’une seconde et que démontrer, ne serait-ce que le système n’est pas fiable, est en soi déjà suffisant pour casser les élections. Certains prétendent même que Trump aurait tendu un piège aux fraudeurs et que des opérations militaires sont en cours à l’étranger pour mettre la main sur les serveurs. C’est possible car ce genre d’opération demande beaucoup moins de personnes dans la confidence que l’autre hypothèse, mais il faut être extrêmement rapide, la difficulté consistant à mettre la main sur lesdits serveurs, souvent virtuels et dans le cloud, lesquels peuvent être effacés irrémédiablement en quelques secondes et ce d’autant plus quand, comme c’est la cas ici, ils sont hébergés à l’étranger, une partie des machines de votes étant administrée par une société espagnole en faillite qui ne risque donc pas grand-chose si elle dit « oups, j’ai effacé le serveur ! ».
Mais bon, Trump peut très facilement gagner sans opération rocambolesque à la James Bond, James bond devenu au passage une femme noire et lesbienne laquelle aurait peut-être trouvé son public dans le cadre d’un Spin-off baptisé, par exemple, agent 069 (ce ne sont pas les numéros qui manquent) mais certainement pas en saccageant une franchise existante.
Dans un premier temps, la première carte de Trump est de retourner autant d’états que possible avec le recomptage. Si ça ne suffit pas, d’essayer de faire annuler tous les votes qui n’ont pas pu être vérifiés par des scrutateurs républicains quitte, en cas de jugement défavorable dans les états, à remonter jusqu’à la cour suprême qui est favorable, sinon à Trump, au respect de la constitution.
Tactiquement, Trump a d’ores et déjà obtenu l’essentiel, à savoir que, en dépit de l’omerta médiatique, le doute est tel que ce n’est plus à lui de démontrer la Fraude, mais à ses adversaires de démontrer (et non plus seulement d’affirmer par la presse) que le scrutin a été honnête, chose carrément impossible compte-tenu des circonstances et faisant que, non seulement, face à un doute raisonnable, il n’est pas obligé de reconnaître sa défaite, mais que, si la situation n’est pas réglée avant l’échéance en décembre, selon la constitution, c’est le parlement, avec une limitation à un seul vote par état (et non plus les grands électeurs) qui élira le président, ce qui l’assure de la victoire.
Même si, par je ne sais quel miracle, tous les scrutins étaient validés et que l’élection se faisait classiquement par lesdits grands électeurs, tant que Trump tient bon et n’écoute pas son gendre qui, selon les rumeurs, le pousserait à jeter l’éponge, il reste en position de force. En effet, face à une telle débâcle du système électoral et devant le risque majeur de guerre civile avec ces 73 millions de supporters du palmipède, armés et prêts à en découdre (comme l’a démontré la marche de centaines de milliers d’entre eux à Washington au slogan de « don’t steal the vote ») si Trump ne reconnait pas sa défaite, le seul choix qui restera à la cour suprême sera d’annuler les élections. Là encore, dans l’intervalle, c’est Trump qui reste en place, sachant qu’en outre, lui seul peut garantir la paix civile ayant le soutien de l’armée et de la police, soutien qui rend peu probable l’hypothèse qu’il puisse être démis par la force, en dépit des déclaration ridicules d’un Justin Trudeau, prêt à envoyer la police montée canadienne à l’assaut de la maison Blanche.
Donc, même si les rumeurs de piège et d’échec et mat avec arrestations massives à la clé et dynamitage instantané de l’état profond s’avéraient infondées, ça n’empêchera pas Trump de gagner. En fait, c’est le moment de vérité. Si Trump est une baudruche et un mirage, possibilité à mon avis plus que réduite mais que, n’étant pas spécialement un thuriféraire du personnage en particulier et des USA en général on ne peut jamais totalement exclure, il va se dégonfler, dans le cas contraire, sortez les cacahuètes car le résultat de ces élections va changer le cours de l’histoire et beaucoup de gens, y compris chez nous, vont commencer à avoir très chaud aux fesses.
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