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vendredi 6 mai 2022

VALLS de retour, petites culottes, législatives et autres billevesées… (6 mai 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/3j2KLLdHm7M

Bonjour ! 

Macron la Baffe semble décidé à monter, entre autres, avec Manuels Valls, une amicale des victimes d’un jeu de paume particulier, plus éloigné du fameux serment du jeu de paume que du fumeux jeu de serrement de paumes : le jeu de la paume sincèrement dans la gueule. Autant d’occasions manquées, aurait dit Ravaillac conscient que chez cet illuminé, rien pourtant, contrairement à Henri IV, ne relie « l’ampoule au plot ». Un Henri IV grand amateur et pratiquant assidu, pour l’anecdote, du fameux jeu de paume, le vrai. 

Quelle meilleure façon de montrer son mépris du peuple qu’en investissant, pour les législatives, la seule personne qui suscite autant, sinon plus, d’aversion que lui, de surcroît dans la circonscription imaginaire des Français de l’étranger, laquelle échappe totalement au contrôle populaire. Même les Catalans, pour le coup, rapides, n’en ont pas voulu. C’est là que l’on voit que nous sommes vraiment cuits, même si les mots crus me manquent pour qualifier cette immonde engeance sous le ministère duquel, pendant qu’il consacrait son énergie à lutter contre Dieudonné, nous avons eu Charlie Hebdo, le Bataclan et la Promenade des Anglais où les tampons n’ont pas été hygiéniques. 

Le Lucky Luke des girouettes, qui tourne plus vite que le vent, et qui après avoir planté des arbres pour la Palestine, voyant que ce n’était pas porteur, a mis tellement d’enthousiasme dans l’autre sens que seule sa rigidité naturelle l’a empêché de se circoncire avec les dents. Certes, si on lui en donne l’opportunité, l’éternel lié à ce que l’on sait, seul politicien dont on peut dire « il fait du travail, Manuel » à condition de ne pas omettre la virgule, fera du zèle à pied, à cheval et en voiture et même du zèle en skis pour l’Ukraine. Si on le lui demande, il confinera, piquousera et censurera à tout va de sa main tremblante que lui envie benjamin Griveaux, mais il semble évident que ce n’est pas la seule raison du retour en grâce du pestiféré de la politique et il est plus que probable que Macron ait besoin de chiens à lancer, non seulement contre les futurs gilets jaunes, mais aussi contre un nouvel adversaire qui se lève là où on ne l’attendait pas. 

Je ne dis pas que Mélenchon va réussir son pari qui reste, selon-moi, une grosse escroquerie, en revanche, par son renoncement à la continuité d’une France millénaire (pour ne pas dire sa détestation) son positionnement pour la rupture islamique de cette continuité et en faveur de l’immigration extraeuropéenne, parachevé par l’investiture d’un Taha Bouhafs dont les « tahabous » en matière de laïcité sont du même niveau que les « tahabous » af...ghans en matière de tests aérodynamiques des homosexuels en mode planeur, il a fait prendre conscience à des populations peu impliquées politiquement jusque-là (dans l’attente que se présente la possibilité d’un vote communautaire), qu’elles n’ont plus besoin d’attendre, car elles ont déjà leur champion soumis, chose qui fait pousser des « CRIFs » d’effroi dans le camp opposé. 

À force de s’être épandus sur Twitter et ailleurs, hélas avec succès auprès des moutons naïfs, sur les dangers, pour tout ce qui porte une kippa, d'une « extrême droite » dont une partie ne sait pourtant plus quoi faire et qui purger pour démontrer sa judéophilie et dont l’autre est présidée carrément par un Juif revendiqué, les fanatiques de la chasse à l’antisémitisme au microscope moléculaire ont, non seulement éloigné du pouvoir les seules forces qui auraient pu freiner le torrent migratoire, et qui partent divisés pour les législatives, mais aussi favorisé un courant sur lequel ce type de chantage n’a absolument aucune prise. Certes, à leur décharge, avec les dernières déclarations de Sergueï Lavrov le ministre des affaires étrangères russes (qu’on sent bien chaud pour ouvrir les archives classifiées sur la Seconde Guerre mondiale) et ses affirmations selon lesquelles Hitler aurait été un peu juif sur les bords, on ne sait plus à qui se fier, d’autant que si, du coup, être anti-Hitler, c’est aussi être antisémite, circoncise ou non, le serpent risque fort de se mordre la queue. 

Toujours est-il que Mélenchon, qui est en train de fédérer tout ce qui reste de la gauche, laquelle a bien compris où se situaient les réservoirs de voix, s’est transformé en porte d’entrée, soudainement grande ouverte dans la sphère politique des intérêts communautaires qui pourront se manifester franco de port (avec un T) et d’emballage. Il est à parier que bientôt certains mots comme « sionisme » et « Mossad » soigneusement évités, jusque-là, dans un hémicycle pas assez représentatif, vont fuser comme des pétards le 14 juillet portés par l’accroissement prévisible de la diversité parlementaire. 

Paradoxalement, cette alliance de la carpe genderfluide et du lapin hallal va aboutir, à terme, à l’éradication de la partie woke du binôme et c’est la gauche qui, sociétalement, portera alors des valeurs plus traditionnelles auxquelles la droite française, Marine Le Pen en tête, à totalement renoncé, telle la remise en cause de l’avortement comme un droit, ainsi que, selon des fuites, la Cour suprême américaine se propose de le ratifier, laissant à chaque état le droit de légiférer. La pénétration étant rarement un acte accidentel (sauf à nager à reculons dans la mer en bord de plage naturiste) et les moyens de contraception étant ce qu’ils sont, rien ne justifie que, depuis la loi de la si morne Veil, une fois déduits les viols et autres malformations congénitales, nous ayons perdu chaque année 200.000 Français grâce auxquels l’immigration aurait pu être superfétatoire. 

Comme je le répète souvent, l’état est une entité par définition inhumaine dont le rôle et la justification sont justement de prendre des décisions inhumaines privilégiant l’intérêt général sur l’intérêt particulier, et ce pour décharger les citoyens d’avoir à accomplir cette tâche à leur niveau, afin qu’eux puissent conserver leur humanité. Il ne sait pas être humain, il n’est pas fait pour ça et lorsqu’il s’y essaie, sacrifiant à la moraline et l’émotion, non seulement il fait le contraire de ce pourquoi il existe en faisant passer l’intérêt individuel avant l’intérêt général, mais le résultat, d’un point de vue humain justement, est toujours une catastrophe. Que ce soit quand la photo d’un gamin sur une plage déclenche une déferlante migratoire délétère; quand pour protéger, essentiellement, des personnes en fin de vie avec des comorbidités, on impose à toute la population (y compris les enfants), un produit expérimental sans recul sur les effets secondaires; que ce soit quand, en réaction à quelques cas dramatiques, de personnes désespérées victimes d’avortement avec des aiguilles à tricoter, on en arrive à une boucherie; d’autant que la pression sociale en raison de la « honte » qui retombait sur la famille en cas de grossesse hors mariage et qui restait le principal moteur de ces actes désespérés n’était plus d’actualité chez nous (avant d’être réintroduite par certaines cultures allogènes.) 

Avec la prolongation du délai à 14 semaines sous un Macron lequel, probablement pris de remords, renomme son parti « Renaissance », on est fondés à se demander où cela va s’arrêter et si arriver à dire « maman » restera à jamais une limite suffisante et indépassable. Mais, même sans entrer dans le débat moral, sachant qu’en dehors de considérations purement religieuses, il est évident qu’il existe des cas dans lesquels la chose est justifiée, force est de constater que la transformation d’une lourde responsabilité (comme diraient Schiappa et Spiderman) en droit, voire en commodité, a eu pour conséquence qu’un nombre croissant de femmes repousse à après la conception la réflexion angoissée quant à savoir si leur partenaire est le bon et si elles ne peuvent pas trouver mieux. 

L’ex-compagne d’Olivier Véran, pas vraiment sans-culotte, a eu au moins la sagesse de réfléchir avant et de trouver quelqu’un d’autre pour la féconder, d’où l’utilité des 3000 € par mois en petites culottes aux frais d’un contribuable qu’elle n’a même pas gratifié d’un selfie de remerciement. Somme pleinement justifiée si la chose a pu permettre d’éviter la prolifération de petits Vérans dans notre pool génétique commun. Il n’en demeure pas moins que, lorsque l’état se défausse, cette forme d’hypergamie, amplifiée par les perturbations hormonales et émotionnelles que le fait d’être enceinte impose à la gent féminine, crée un état d’esprit peu propice à des décisions sereines qu’il s’agisse d’avorter ou de garder l’enfant avec l’explosion, à l’inverse, du phénomène des mères célibataires, parfois multirécidivistes, elles-aussi, avec plusieurs enfants de pères différents. 

En additionnant les deux, on peut évaluer à un pourcentage à deux chiffres les femmes en âge de procréer qui prennent la chose à la légère jusqu’à ce que la nature vienne leur rappeler pourquoi, aussi injuste que la chose puisse paraître, elles ne peuvent pas se comporter comme des hommes en la matière. La finalité sous-jacente et le prétexte, derrière ces décisions, souvent arbitraires, reste la recherche du bonheur, culte par lequel la société nous manipule et au nom duquel, au final, beaucoup de femmes, une fois sevrées de leur fièvre consommatrice de produits inutiles supposés combler le vide, se retrouvent plus malheureuses que les générations qui les ont précédées et ne finissaient pas, elles, après un court passage sur Instagram, en réceptacle scatologique pour émir dépravé à Dubaï, harmonisant ce qui rentre dans leur bouche avec ce qui, généralement, en sort dans les stories qu’elles postent.

Leurs grand-mères et arrière-grand-mères avaient elles, intuitivement compris que le bonheur, contrairement à l’euphorie passagère avec laquelle on le confond (et qui, elle, est synthétisable en laboratoire) ne gravite pas autour du nombril et de l’excitation, mais se manifeste, au contraire, par une sensation continue de basse intensité (sinon elle serait soporifique) que, sauf à être particulièrement à l’écoute, on ne remarque que quand elle disparaît. Cette sensation naît d’une sorte d’insouciance qui peut être soit le produit d’une inconscience (voire d’une bêtise) crasse, soit, au contraire, la résultante d’un mode de vie, d’action et de pensée, indissociable d’un environnement propice et sécurisé âprement gagné et permettant la réalisation d’aspirations profondes telles que l’accomplissement personnel dans la transmission et le partage. Tout ce que Macron s’emploie à détruire. 

Le seul choix que nous laisse le système, c’est le bonheur par la bêtise et l’abandon (pour ceux qui le peuvent encore) jusqu’à ce que la réalité nous rattrape. 4 milliards de doses de bonheur ont ainsi été commandées par l’Union européenne qui n’attendent que la fin des législatives pour nous immuniser définitivement contre l’esprit critique. 

Dans un autre genre, j’ai posté une nouvelle vidéo avec quelques conseils pour se préparer à ce qui nous pend au nez, sur ma seconde chaîne « la caverne de la mite » où j’aborde des sujets, plus éclectiques, plus conventionnels et moins susceptibles de censure. Si vous voulez m’encourager, n’hésitez pas à y faire un tour et, pourquoi pas, à vous y abonner. Je vous mets le lien dans la description. 

Si vous avez apprécié le contenu, n’oubliez pas de cliquer sur tous les trucs en bas et, si vous n’avez pas apprécié, c'est sympa d'être resté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien et vos commentaires et à bientôt… j’espère.

1 commentaire:

  1. L’alliance de la carpe onusienne et du lapin halal va certainement profiter à l’alliance des biens pensants de gauche à savoir : insoumis, verts et l’ex gauche à la ramasse, rameutée par les anciennes gloires de ce parti….on espère sans doute un petit strapontin dans l’équipe Macron, l’espoir fait vivre …..cependant, ils sont apparemment en pôle position ! Que faire ?




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