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dimanche 2 octobre 2022

VIOLS DE RUE – OÙ EST SANDRINE ROUSSEAU ? (2 oct. 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube https://youtu.be/w_CCTqzHtVg

Bonjour ! 

Récemment, à Nantes, à même un trottoir visiblement trop élargi par les féministes, une jeune femme a eu le pipeline explosé, à l’américaine, par non pas « Afrique-du-Nord-stream » 1 et 2, mais par 3 ressortissants soudanais dont je doute que l’intention ait été de détruire l’économie allemande (et, avec elle, celle de l’Europe, condamnée ainsi à être l’éternelle vassale des USA) coupant court à toute tentation de renégociation avec les Russes, en cas d’émeutes ; la paix étant peu profitable au complexe militaro-industriel. 

Certes, l’enrichissement culturel dont je parle n’a duré qu’une petite heure de rien du tout laquelle, théoriquement, ne permet guère plus de 10800 va-et-vient enthousiastes. C’est peut-être comme cela, d’ailleurs, que nos ancêtres ont découvert le feu. À peine de quoi donc, générer un léger sentiment d’insécurité ; d’autant que la victime laquelle, manque de chance, est tombée sur trois brebis galeuses non représentatives des migrants (en lieu et place des meutes d’Aryens à croix gammées qui, généralement, commettent ce genre de forfait) a insisté pour qu’on ne fasse pas d’amalgame. Une heure donc, le temps que la police dont, selon le maire de Nantes, « ce n’est pas le travail d’empêcher les viols », arrive avec, je suppose, un ou deux seaux d’eau froide. Une police qui, par la bouche d’un de ses représentants, s’est épanchée sur les ondes et le sort de ces malheureux, désemparés (façon Marlène Schiappa devant un pèse-personne) en raison du choc culturel à la vue d’effrontées qui les narguent en se déplaçant seules. 

Probablement que les coups subis (sans amalgame) par la lady de Nantes (dans l’esprit Henri IV) visaient en fait à écraser un culicidé qui menaçait sa joue délicate, qu’ils l’ont délestée (toujours sans amalgame) de son téléphone pour la protéger des ondes et que le but de l’opération de ramonage était simplement de la réchauffer à pas cher (avec juste ce qu’il faut d’amalgame) en réponse patriotique au col roulé de Bruno Lemaire qu’on n’ose imaginer dans la Doudoune entrouverte d’Élisabeth Borne, les deux nous prenant, visiblement, pour des élèves de grande section de maternelle. Face à tant de civisme, il est, apparemment, des Légions d’honneur qui se perdent. 

La seule fois où j’ai assisté à une scène similaire sur un trottoir, il s’agissait d’une meute de chiens, agglutinés autour de la bergère allemande du voisin qui s’était échappée en quête d’amalgame. Devant sa taille, les plus petits, dont le mien (auquel je n’ai plus jamais reparlé depuis), en étaient réduits à s’approprier une patte chacun contre laquelle ils se frottaient hystériquement, avec un air très con, comme si, même eux, quelque part, se rendaient compte du côté pathétique de l’acte. Même Darmanin, dans un sursaut de dignité humaine, a, j’espère, la décence élémentaire de fermer la porte de son bureau quand il promet de rendre un service. Idem, je suppose, pour tous les faux-culs donneurs de leçons de la France Insoumise et des écologistes qui, ces derniers temps (mais gardons-nous des amalgames) semblent victimes, eux aussi, d’une vague de darmanite aiguë. « Les cons ça viole en escadrille », aurait dit feu Chirac. 

Mais dans le cas qui nous occupe, visiblement, misère sexuelle (conséquence du fait d’être en bas de la chaîne alimentaire) aidant, un nouveau pas, petit pour le condom et grand pour l’humanité, a été franchi en direction du progrès. On ne s’en rend pas forcément compte, car la chose ressemble furieusement aux pratiques de l’homo erectus, mais lui n’avait pas les trottoirs. Les droits-de-l’homme (escroquerie justifiant l’immigration « de charité » -contre bonne conscience - défendue par les féministes aux frais du contribuable) finissent donc, au bout du compte, comme c’était prévisible, par détruire les droits… de la femme. Droits fragiles qui se fissurent avec le vernis d’une civilisation qui prétend faire d’elle un homme comme les autres dans un total mépris de sa nature et de ses aspirations profondes d’où, peut-être, le nombre non négligeable d’amatrices de padamalgam qui semble, inconsciemment, pressé qu’on les lui retire. 

Dans tous les cas, même si tout le monde n’est, bien sûr, pas à amalgamer dans le même panier, dans un pays où (selon une note de l’INSEE du mois de juillet) 40% des naissances sont d’ores et déjà issues de l’immigration, il faut être inconscient pour continuer à importer massivement des populations issues de cultures différentes auxquelles on n’a aucun travail à donner, dont 80%, selon une étude suédoise, retourne en vacances dans son pays d’origine et dont un pourcentage restant à déterminer (surtout pas d’amalgame) est apparemment totalement incapable de réfréner les pulsions de son cerveau reptilien. Des individus qu’on espère peu représentatifs et qui, faute de la capacité d’appréhender les conséquences de leurs actes, n’ont peur de rien, de sorte que même Léa Salamé, remake des dents de la mer à elle toute seule, n’est plus forcément à l’abri de se voir, un jour, imposer une fellation sur bitume. Autant dire qu’à ce niveau de prise de risque, tout espoir est perdu pour l’humanité. 

Car non, il ne s’agit malheureusement pas d’un cas isolé, ni même d’un cas rare, comme vous en convaincra un petit tour sur FdeSouche qui, certes, moins pointilleux que moi sur le pas d’amalgame, a tendance à être orienté dans ses sélections de faits divers, mais qui ne les invente pas pour autant. En attendant que les prochaines victimes expérimentent l’amour de l’autre, la tête dans une bouse de vache (toujours sans faire d’amalgame) et ce, grâce à Macron, lequel ne se pose jamais la question de savoir si cette immigration est nécessaire et qui, plutôt que d’y mettre fin, veut la répandre dans les campagnes, force est de constater que les individus pétris de romantisme adeptes de cette nouvelle pratique citadine (et bientôt contadine), individus que, pour le cas qui nous intéresse, j’appellerai Marcel, Maurice et Pierre-André afin de ne pas faire le jeu de l’extrême droite, sont tous issus d’un continent que je ne citerai pas pour la même raison. No pasaran ! 

Peut-être que si je fais un peu de mansplaining on entendra enfin Sandrine Rousseau ou Rokhaya Diallo dont l’indignation sélective semble assujettie à des équilibres délicats me conduisant à me demander ce qui se passerait dans leur tête si une femme transgenre au teint pâle devenue homme circoncis à kippa violait une femme fortement mélaninée militante du Rassemblement National une année bissextile un jour de ramadan. De même qu’il a été démontré que si on traumatise un rat (en l’électrocutant tout en émettant une odeur particulière), ses descendants sursauteront (comme Brigitte quand on l’appelle Jean-Michel) dès qu’on leur fera sentir la même odeur (phénomène à cheval entre l’atavisme et l’épigénétisme), il est plus que probable que nos gènes transmettent beaucoup plus que de simples caractéristiques physiques et qu’on n’efface pas des siècles, voire des millénaires, d’une culture et d’un comportement donnés avec un stage citoyen sur l’inclusivité et trois drapeaux arc-en-ciel. D’ailleurs, chez les humains, certains se crispent toujours, à la moindre odeur de gaz, 80 ans après la mort de leur arrière-grand-père et d’autres, présent sur le territoire depuis 5 générations, ne se considèrent toujours pas comme Français, d’où l’intérêt d’une immigration le plus cohérente possible. 

Il est donc urgent d’apprendre de nos erreurs et de refermer la porte qui a été ouverte dès 1791 par l’acceptation, à côté de la communauté nationale, non d’individus, ce qui ne posait et ne pose toujours pas de problème, mais bien (du fait d’avoir toléré le consistoire et plus tard le CRIF) d’une autre communauté (que je ne nommerai pas). Une brèche par laquelle se sont, ensuite, engouffrées toutes les autres. La communauté nationale ne saurait, par définition, en tolérer d’autres, peu importe comment elles se comportent. Résultat, nous vivons dans un pays où ça ne choque personne que tuer quelqu’un parce qu’il est prépuçophobe, racisé ou partisan de « l’anus » dei constitue une circonstance aggravante et donc s’avère plus grave que de tuer un Français lambda ce qui, en regard du principe d’égalité, pose un sérieux problème, la vie des uns n’étant pas supposée valoir plus que celle des autres. La discrimination, seule arme permettant de lutter contre le communautarisme est interdite, dans le seul sens qui serait-utile, envers les gens qui ne sont pas français ou uniquement français, rendant le concept même de pays sans objet. 

Chacun pourtant, peut admettre facilement qu’il serait judicieux de discriminer, par exemple, les psychopathes lesquels (je ne vise personne) ne devraient pas avoir le droit d’être présidents. Dans la même veine, lorsqu’un classement nous place désormais entre la Malaisie et le Brésil et juste avant l’Afrique du Sud en matière d’insécurité dans les grandes métropoles, une forme de discrimination devrait s’imposer, devant la montée de ladite insécurité « sentimentale », ne serait-ce qu’au nom de ce principe de précaution quasi religieux qui a justifié des vaccinations de masse forcées avec un produit expérimental, y compris sur des gamins, des confinements discutables et la mise à sac d’une partie de l’économie. Un principe de précaution qui, soudainement, s’évapore comme notre balance commerciale, devant les notions foireuses et élastiques (propres au seul occident) de racisme et d’antisémitisme qui sont (en dépit d’une distinction arbitraire soigneusement entretenue) les côtés pile et face d’une même pièce. 

Il en découle que les figures juives médiatiques anti-immigration véhémentes d’un côté et les immigrationnistes « antisionistes » des mêmes médias de l’autre, à l’instar de tous ceux qui, d’une façon ou d’une autre, nous font croire qu’on peut éliminer un des deux côtés sans éliminer la pièce sont, de ce point de vue, des escrocs ou des idiots. Personne dans la sphère politico-médiatique n’ayant les cojones d’aborder la problématique dans sa globalité et sa complexité par crainte d’excommunication, en attendant que, dans pas trop longtemps, le niqab devienne obligatoire, la vie va devenir compliquée pour les femmes fortes et indépendantes qui ont eu la naïveté de remplacer la protection d’un homme qu’elles ont contribué à castrer par celle de l’état dont, actuellement, pour celles qui n’auraient pas compris l’escroquerie, le bras séculier est quand même Gérald Darmanin. Mais, encore une fois, pas d’amalgame. 

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1 commentaire:

  1. Pas d’amalgame, dixit la victime, syndrome de Stockholm sans doute :-))

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