Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/eLli2K9gLIw
Bonjour !
Contrairement aux intestins du Pape (pas Ndiaye, l’autre) qu’il a fallu opérer récemment, les voies du Seigneur et de la nature sont impénétrables. Je pensais par exemple que les grandes surfaces poussaient comme des champignons, mais il a dernièrement été porté à mon attention que le cycle de vie des « Monsieur Bricolage », par exemple, est beaucoup plus complexe et fascinant. Il faut d’abord planter les graines, lesquelles ressemblent un peu à des menhirs, attendre patiemment 7000 ans puis arroser généreusement avec beaucoup de liquide. En tous les cas, je vous déconseille d’écouter les informations avant de vous jeter dans les bras de Morphée, sinon on peut faire des rêves bizarres.
Dans le mien, je courrais tranquillement dans un parc entre menhirs pas encore éclos et magasins Monsieur Bricolage et, au fur et à mesure que je progressais, j’y croisais, intéressante symétrie des cultures, des femmes occidentales sortant du métro en longues chemises blanches pour camoufler leurs mini-jupes, leurs bras dénudés et leurs décolletés plongeants, lesquelles côtoyaient des orientales, elles en string sous un tchador noir. Seule dépareillait Marlène Schiappa complètement à poil face à ses mensonges sur le fond Marianne. Certaines poussaient devant elles des landaus blindés équipés de lance-roquettes, indifférentes aux Suédois à keffieh et autres supporters anglais qui leur tournaient parfois autour en brandissant des couteaux tout en hurlant « Jésus-Akbar ! ». De temps à autre, ils faisaient une pause toilette en quelque endroit discret avant de se torcher énergiquement avec les OQTF triple épaisseur que leur délivraient à flux continu des préfets à langue râpeuse sur laquelle subsistaient quelques résidus d’hémorroïdes macroniennes.
Quand la pression était trop forte, lesdites femmes slalomaient nonchalamment entre écoles pleines d’hommes en jupe où les enfants se faisaient harceler jusqu’au suicide par des groupes de futurs skinheads aux yeux bleus, trottoirs visiblement trop étroits où des femmes de tous âges et même des chèvres et des poneys se faisaient culturellement enrichir et artisanalement déconstiper, cadavres épars de chauffeurs de bus, d’enfants dans des malles et de victimes de règlement de comptes à la kalachnikov et autres attaques aux mortiers de commissariats, têtes de profs en autonomie, féminicides et charcutages divers pour, finalement, aller chercher un peu de quiétude sur la ligne de front en Ukraine où les troupes de Zelensky menaient une offensive victorieuse en marche arrière.
Des hommes politiques creusaient fébrilement la terre à la recherche de superlatifs pour dénoncer la situation, pénurie qu’ils imputaient fort logiquement à Vladimir Poutine, tandis qu’Horreur Bergé profitait des trous pour enterrer la contestation sur la réforme des retraites. McKinsey et chatGPT se disputaient la paternité du tweet plein de solennité d’Emmanuel Macron sur le drame d’Annecy et, arguant que malgré « l’effroi » il a fait « chaud » ce jour-là, ce qui a pu provoquer des bouffées de chaleur chez un individu dont il serait irrespectueux d’écarter l’hypothèse qu’il s’identifie à une femme ménopausée, les mêmes proposaient d’imputer la chose au réchauffement climatique, ce qui permettrait de justifier, de surcroît, l’interdiction des chaudières à gaz dès 2026.
À la décharge des politiques, il est difficile, au cas particulier, de discerner quelque point commun que ce soit entre un chrétien issu d’une autre culture, d’un autre continent et d’une autre ethnie qui n’a légalement rien à foutre en France et, par exemple, un musulman issu d’une autre culture, d’un autre continent et d’une autre ethnie qui n’a légalement rien à foutre en France. Dès lors, à part condamner, je vois mal ce qu’ils pourraient faire d’autre face à ce phénomène sans cause, de nature quasi météorologique et sur l’explosion duquel dans ce paradis multiculturel inclusif hélicoïdal centripète qu’ils nous fabriquent, ils ne portent absolument aucune responsabilité… hormis, à la marge, l’accord européen, signé des deux mains et du pied gauche par notre ministre des affaires étrangères et qui nous impose désormais des quotas obligatoires avec, à la clef, une amende de 20 000€ par migrant refusé.
Loin de moi l’idée de jeter l’opprobre sur lesdits migrants, mais je pense que, prudence oblige, je vais installer une alarme. J’ai été convaincu par une publicité particulièrement réaliste mettant en scène une équipe polyethnique qui en installe une chez une famille française typique constituée d’une version en plus athlétique de Pap Ndiaye, d’une mère rouquine et de deux enfants parfaits pour être castés dans la suite de la petite sirène de Disney, et ce, afin qu’ils puissent chasser un méchant cambrioleur du troisième âge de type caucasien aux yeux bleus, le tout sur un air antifasciste italien (je vous mets le lien). Allez savoir pourquoi, les commentaires ont été désactivés.
Pour en revenir au drame, d’infâmes complotistes diront qu’il tombe à pic pour sortir Macron de l’impasse de la réforme des retraites. En lieu et place des débordements violents auxquels on aurait pu s’attendre après le viol éhonté de la constitution par Yaël Braun Poivrot, laquelle entre boire et bien se conduire ne sait pas choisir, on assiste, à la place, au retour des petits nounours, des bougies artisanales et des marches blanches non-suprémacistes. Pour autant, ce n’est pas parce qu’un gouvernement a été capable d’euthanasier des vieux au Rivotril et d’injecter à des millions de personnes un produit expérimental qui n’est strictement pour rien dans l’augmentation massive, en 2022, de la mortalité, notamment chez les jeunes, que l’INSEE dans son dernier rapport ne parvient pas à expliquer et qu’il est composé d’arrivistes prêts à tout et d’un nombre conséquent de menteurs, violeurs, détourneurs de fonds et mis en examen, qu’on doit forcément en déduire qu’il serait capable d’une telle ignominie. C’est plutôt un coup publicitaire de Pampers cherchant à démontrer que si les bébés n’ont pas bougé c’est parce que leurs couches étaient vraiment « antifuites ».
En tous les cas, comme en France on n’a pas le droit de porter d’armes, laissant à la police le privilège de pouvoir tirer par erreur sur quelqu’un d’autre que le criminel, on ne peut que saluer la bravoure de celui qui, pendant que les autres filmaient courageusement a tenté, au péril de sa vie, de limiter la casse avec un simple sac à dos. Une reconnaissance tempérée, chez certains, par le fait que le héros ne soit pas un transsexuel de couleur enceint, en surpoids et à cheveux roses qui s’identifie à une libellule, mais simplement un individu à la carnation pâlichonne, rétrogradement catholique et arborant sur son t-shirt un drapeau tricolore dont la présence, à juste titre, modère l’enthousiasme du journal « libération » et l’interpelle quant à sa signification profonde et malodorante. Qu’il se rassure, le type a été reçu par Macron sans lui cracher dessus et lui a servi la soupe : la république a encore de beaux jours devant elle.
Mais je comprends parfaitement le point de vue d’une certaine gauche. Après tout qu’est-ce que l’assassinat de bébé, sinon une extension, peut-être un peu trop progressiste et enthousiaste, du droit à l’avortement ? Qui nous dit, par ailleurs, pour peu qu’il fût un peu pâle, qu’un des enfants concernés, outre le fait d’être une bombe écologique en puissance susceptible de rouler un jour au diesel, n’était pas un futur Hitler ? Il faut donc se garder d’être trop sévère envers un individu qui a peut-être sauvé l’humanité. En conséquence, il est urgent de tirer les enseignements de ce drame et de voter une énième loi pour lutter contre l’extrême droite et l’antisémitisme. C’est d’une logique implacable. Vous comprenez désormais ce qui se passe dans la tête d’un Mélenchon ou d’une Sandrine Rousseau. Ne me remerciez pas, c’est cadeau.
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