Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/jeD1UutKqiM
Bonjour !L’expertise des lesbiennes en matière de « pompiers » étant (théoriquement tout du moins) à des années-lumière de celle d’une Marlène Schiappa ou d’une Rachida Dati, était-il vraiment judicieux, quand bien même leur gabarit s’approcherait de celui d’un camion éponyme, d’en nommer non pas une, ni deux, mais trois, es qualité qui plus est, à la tête du service hautement inclusif de lutte contre les incendies de Los Angeles ? Certes, contrairement aux camions, tout n’est pas « si terne » puisque le pire a été évité, Maurice Benguigui, alias Patrick Bruel, par un tweet que tout le monde attendait avec angoisse, nous ayant informés qu’il était sauf, mais la ville, toujours en flammes, a quand même pratiquement été rayée de la carte.
À leur décharge (sans mauvais jeu de mots), certaines mauvaises langues (toujours aucun rapport), pointent du doigt (là non plus rien à voir) la Maire de la ville, complètement cramée, non par l’incendie (même si, à l’œil nu, on ne saurait être affirmatif), mais politiquement, du fait que, pendant que les flammes transformaient la ville en bande de Gaza honoraire, elle renouait avec ses racines africaines aux frais de la collectivité, dilapidant les économies substantielles réalisées en coupant drastiquement dans le budget des soldats du feu, tout en ayant favorisé le recrutement de pompiers multicolores pas forcément ascendant « verseau » et bien que, pour certains, suffisamment « gender », visiblement pas encore assez « fluides » pour atteindre une efficacité optimale en cas de pénurie d’eau, ce qui, au bord de la mer, relève de l’exploit.
Une pénurie imputable, en partie, au gouverneur démocrate de l’état qui, probablement déconstruit par une Sandrine Rousseau du « cru » (et, à présent, probablement « cuite »), a refusé, juste avant le désastre, le délestage depuis l’état voisin, de millions de m3 au prétexte de protéger l’habitat d’un petit poisson local, chacun pouvant apprécier à sa juste valeur le bilan carbone de l’opération, et ce, pas de chance, juste au moment où l’interdiction faite aux gueux de circuler aux abords des agglomérations françaises était sur le point de sauver la planète.
Le fond du problème reste que les États-Unis, à l’image de leurs bâtiments constitués (derrière une couche de stuc tape-à-l’œil) de bois creux isolé au polystyrène (ce qui peut expliquer en partie le désastre), à l’instar de l’intestin grêle de Gérard Larcher (lequel vient de se commander, à nos frais, un fauteuil à plus de 40 000 € pour en supporter le poids) ne sont rien d’autre qu’une gigantesque baudruche. Derrière le paravent de quelques bulles technologiques reposant sur une valorisation boursière à la Ponzi, faisant que Musk (qui vend principalement de l’illusion) pourrait se retrouver du jour au lendemain à la soupe populaire, d’une armée technologiquement distancée constituée d’obèses et d’hommes en jupe surnommés les « brigittes » par des médisants, et de montagnes de fausse monnaie que de moins en moins de monde accepte, ils sont structurellement un pays du tiers-monde, déjà irrémédiablement « grand-remplacé », qui tient avec du sparadrap (made in China qui plus est) tout, des ponts au réseau électrique, en passant par le système de santé et l’éducation, étant au bord de l’effondrement. Toute ressemblance sur ces points avec une France existant ou ayant existé étant, bien entendu, purement fortuite.
Depuis l’émergence et la montée en puissance militaire et économique des BRICS, les USA ne sont plus en mesure de maintenir leur modèle économique de pillage systémique dans une sphère d’influence qui se rétrécit comme des organes de Première dame dans de l’eau froide. Un pillage qui ne profite, par ailleurs, jamais au citoyen lambda qui n’a toujours pas compris, alors que c’est écrit dessus, que le rêve américain est… un rêve. À l’instar de tous les empires en phase terminale qui les ont précédés, ils en sont donc réduits à allègrement phagocyter leurs propres vassaux, d’où les délires trumpiens visant à s’approprier le Groenland, le canal de Panama, à renommer le golfe du Mexique et à annexer le Canada.
Il faut situer dans la même veine les attaques tous azimuts de Musk contre les dirigeants de la mafia européiste et son soutien aux mouvements « antisystème ». Un soutien toutefois conditionné, comme cela est clairement apparu lors de l’interview accordée sur X au clone de Lucie Castets, présentement à la tête de l’AfD (et pas davantage qualifiée, contrairement à certains cadres masculins du RN, pour diriger un service d’incendie selon les critères précédemment évoqués) de laquelle il a exigé en direct : « la reconnaissance inéquivoque du droit inaliénable d’Israël à exister ». Autant dire qu’il faudra attendre encore un peu avant que la sainte croisade désintéressée de Musk en faveur d’une « absolue et totale liberté d’expression », à défaut de délivrer la Terre sainte, retrouve le bouton permettant de réactiver le compte X de « Democratie Participative ».
Tout cela a donc, certes, pour but d’envoyer l’U.E. dans les « choux » (de « Bruxelles » pour le coup) et de la faire imploser, ce qui est, au premier abord, une bonne chose, mais pour mieux la dépecer ensuite, ce qui, en revanche, est un chouia moins réjouissant. L’écroulement du feu de paille woke qui permet de donner l’illusion d’un changement sans remettre en cause les mécanismes de prédation internationaux, pour aussi jouissif qu’ait pu être, cette semaine, le spectacle d’un Mark Zuckerberg annonçant, avec un air grave de circonstance, le bannissement des distributeurs de tampons hygiéniques des toilettes pour hommes au sein de ses entreprises, ne doit pas nous faire oublier les fondamentaux.
Macron est, bien entendu, dans la ligne… de mire (plus difficile à sniffer), Candace Owens ayant rendu publique, ce samedi, une lettre d’intimidation de l’Élysée, motivée selon elle (tout comme, selon moi, les récentes gardes à vue massives de brigittologues dans l’hexagone) par les nouvelles révélations explosives qu’elle s’apprête à rendre publiques dans moins de deux semaines sur Jean-Michel Trogneux. Qui sait si Donald Trump, qu’elle connaît bien, n’aurait pas incidemment, en prime, laissé fuiter quelques pages du fameux dossier qu’il détient sur notre mal-aimé président, dont après Trudeau, on peut donc s’attendre, façon dominos, à la démission prochaine, voire à la décapitation s’il lambine trop.
L’offensive médiatique pitoyable sur TF1, puis sur RTL, les 8 et 10 janvier, de notre Première dame (ou, qui sait, ne soyons pas transphobes, notre Premier monsieur) pour le défendre, en nous expliquant à quel point le pauvre était meurtri et gardait courageusement cela pour lui, atteste de la volatilité de la situation face à un record historique d’insatisfaits depuis que les sondages existent, sachant toutefois que, la popularité de Marc Dutroux n’ayant jamais été évaluée, il reste peut-être un peu de marge.
Pendant ce temps, les morts se multiplient aux urgences avec, encore cette semaine, après de longues heures d’attente imputables, selon certains, à une carence en mélanine et un manque d’agressivité invisibilisants, le décès de 2 malheureuses jeunes femmes de respectivement 20 et 26 ans, nouvelle preuve que la France se tiers-mondise à la vitesse d’un retournement de veste de Laurent Wauquiez.
Il faut dire que Retailleau est trop occupé à envoyer des blindés contre les paysans pour empêcher le reste du pays, en proie aux règlements de comptes entre dealers parfois prépubères, de se muer en Far West voire en « Far Sud », les perpétrateurs, sous réserve d’analyses génétiques complémentaires, ne se réclamant pas particulièrement de Vercingétorix. En dépit des coups de menton de notre brillant ministre, les coups de tampons, pas vraiment « hygiéniques » (pour le pays), continuent à pleuvoir avec bienveillance sur les titres de séjour de l’immigration légale et il n’a visiblement aucune prise sur l’illégale, au point de ne même pas être foutu de parvenir à extrader un vlogueur prêchant le jihad, l’Algérie, laquelle a visiblement sous le coude quelque dossier compromettant lui permettant de traiter impunément Macron comme une carpette, refusant de le reprendre.
Sur le pont supérieur du Titanic, les rares bobos encore épargnés par l’eau, laquelle monte déjà jusqu’à un niveau rimant avec « grenouilles » pour les autres, ont fêté la mort de Jean-Marie Le Pen à propos de laquelle je vous mets, en description, le lien de mon analyse à chaud. Je n’ai, pour ma part, jamais compris ni la propension à sanctifier quelqu’un au prétexte que son cœur a arrêté de battre, ni l’inverse consistant à le salir par de nouvelles allégations lorsqu’il ne peut plus se défendre comme pour l’abbé Pierre, et je garde, moi aussi, au frais, quelques bouteilles de mousseux (inflation oblige) que je dégusterai dans l’intimité dans certaines éventualités, ce n’est pas donc cela qui me choque.
En revanche, sachant qu’on fête généralement les victoires, au moins idéologiques, il est absolument pathétique de considérer que c’en est une d’avoir simplement survécu à un vieillard de 96 ans, mort tranquillement dans son lit en leur faisant un doigt d’honneur alors même que, nonobstant ses défauts, sa clairvoyance apparaît désormais à de plus en plus de monde et que la seule chose qui aurait pu les rendre encore plus ridicules aurait été qu’un type, profitant du rassemblement, leur rentre dedans à 100 km à l’heure, avec un camion poubelle inclusif, en hurlant « Allah Akbar ! ». Un manque heureux de clairvoyance tactique, caractéristique de l’islamisme à 70 de QI, qui m’a fait économiser une bouteille de mousseux… pour noyer mon chagrin, cela va sans dire.
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Recherche subtile des mots et des circonstances. Un régal à écouter et puis, à lire... Merci.
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