Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/EUQ7LEyauRs
Bonjour !
« La première usine qu'il faut faire en France, c'est une usine à couilles ! », dixit celui qu’on n’appelait peut-être pas le « menhir » pour rien. Pour autant, selon Candace Owens, il n’y aurait pas de risque de pénurie à l’Élysée, Macron pouvant même, en théorie, « ça va, ça vient », être intermittemment excédentaire. Toujours est-il que la petite phrase de Jean-Marie Le Pen, qu’il aurait été bien avisé de se remémorer quand il a transmis les clés de sa boutique sans tenir compte des réalités morphologiques, retrouve, par comparaison, toute son acuité, lorsque se met « en branle » le testiculator d’outre-Atlantique, et ce, dès le premier jour de sa prise de fonction.
« La première usine qu'il faut faire en France, c'est une usine à couilles ! », dixit celui qu’on n’appelait peut-être pas le « menhir » pour rien. Pour autant, selon Candace Owens, il n’y aurait pas de risque de pénurie à l’Élysée, Macron pouvant même, en théorie, « ça va, ça vient », être intermittemment excédentaire. Toujours est-il que la petite phrase de Jean-Marie Le Pen, qu’il aurait été bien avisé de se remémorer quand il a transmis les clés de sa boutique sans tenir compte des réalités morphologiques, retrouve, par comparaison, toute son acuité, lorsque se met « en branle » le testiculator d’outre-Atlantique, et ce, dès le premier jour de sa prise de fonction.
Je ne suis pas sûr, pour autant, une fois gratouillés quelques morpions jusque-là tenaces, que sa main remonte pour toucher au cœur du problème, les milliardaires dits « américains » (sur le papier en tout cas) semblant bien partis pour devenir encore plus riches, tandis que le citoyen ordinaire devra se contenter de la liberté de twitter et de la reconnaissance, ô combien révolutionnaire, du fait qu’une société fonctionnelle ne peut s’articuler qu’autour de la complémentarité homme-femme. Au stade où l’on en est, c’est toujours bon à prendre, mais, comme pourrait en témoigner notre Première dame, elle aussi fort « couillue » (au point que Paris Match nous la dépeint en « guerrière »), même brutal, un ravalement de façade n’est qu’un ravalement de façade.
Je ne pense pas que, sur le reste, l’ère Trump, par nature éphémère si on ramène l’âge du capitaine à l’indice de sa masse corporelle, sera forcément une bonne chose pour les « vassaux sans gain » pompés par un cœur états-unien qui s’emballe, ni, d’un point de vue purement américain, que le lancement d’une cryptomonnaie à son effigie et d’une autre à celle de son épouse soit un gage transcendant d’abnégation. Pas plus, d’ailleurs, que le projet « Stargate », sans autre rapport avec la célèbre série qu’un orifice circulaire à la Bruno Le Maire, suffisamment dilaté pour pouvoir engloutir à perte les 500 milliards nécessaires à renflouer Open AI et consorts lesquels, pour avoir trahi leur promesse et essayé de privatiser l’intelligence artificielle afin de se remplir les poches à outrance sur de la spéculation boursière, voient leur modèle économique totalement annihilé, du jour au lendemain, par les Chinois qui fournissent gratuitement, en open source qui plus est, un modèle plus performant pour un centième du prix de fonctionnement et qui n’a eu besoin que de 5 petits milliards pour être développé.
Cela dit, à défaut d’avoir arrêté la guerre en Ukraine en 24h comme annoncé, Trump qui vient de livrer des bombes à Israël et veut « nettoyer » la bande de Gaza en déportant sa population dans des pays limitrophes (on suppose, le temps de réquisitionner le Groenland) a au moins délivré l’essentiel en graciant, dès le premier jour, les manifestants du Capitole, ce qui n’est rien moins qu’une reconnaissance du droit absolu (et même du devoir) du peuple à se révolter lorsque les circonstances l’exigent.
La déclassification des dossiers JFK, Martin Luther King et autres va certainement occuper les foules avec, cependant, des répercutions pas forcément prévisibles, car une fois le mensonge d’état devenu une constante clairement établie, voire un présupposé élémentaire, excepté pour les zones d’ombres entourant le COVID qui pourraient attendre longtemps de voir la lumière au vu du récent entretien de Trump avec Bill Gates consécutivement auquel une partie de l’entourage de Kennedy Jr. a été mise sur la touche pour être trop « antivax », on pourrait se demander pourquoi on n’arrive toujours pas, avec des supercalculateurs, à envoyer des gens sur la Lune comme à l’époque où il fallait quasiment un pâté, par définition non halal, de maisons pour héberger la puissance de calcul d’une Casio collège.
D’un autre côté, il est indéniable qu’il est déjà arrivé que des technologies se perdent, comme pour les pyramides électriques du Wakanda ou les polaroïds de Brigitte Macron enceinte. Contrairement au « bon chasseur » Boualem Sansal, emprisonné en Algérie au grand dam de la quasi-totalité de notre classe politique laquelle brandit avec emphase l’étendard de la liberté d’expression en soulignant que tout ce qu’il a fait est d’avoir publié des livres et commis des vidéos, le « mauvais chasseur » Vincent Reynouard qui lui va être une nouvelle fois emprisonné (en France qui plus est) et au grand satisfecit des mêmes pour avoir fait… la même chose, semble contester, honte à lui, la possibilité même d’une telle amnésie scientifique collective.
Si j’ai bien compris, il nie sans la moindre vergogne le fait que nous avons pu bénéficier, un temps, d’une technologie identique à la cabine téléphonique du docteur « WHO », nom que le Général Delawarde traduirait par « QUI », plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur, permettant de tasser potentiellement des millions de personnes derrière une porte en bois avec vitrage certes simple, mais ultrarésistant, dont Saint-Gobain serait bien avisé de chercher à percer le mystère par rétro-ingénierie, et qu’il était même possible de les incinérer à l’aide de super cheminées à turbo compression quantique, malheureusement disparues des décombres et de la reconstruction approximative qui en a été faite par la suite par des gens de bonne volonté. Rira bien qui rira le dernier et ce n’est qu’une question de temps avant que la science ne ridiculise ses thèses d’autant plus que, comme avec Musk pour la Nasa, Israël travaille avec acharnement (et avec, pour l’instant, quelques avancées encourageantes à Gaza) à retrouver cette technologie perdue afin que l’humanité tout entière puisse en bénéficier.
Il est clair que tout le monde n’a pas l’ouverture d’esprit, voire plus si affinité, nécessaire pour apprécier une telle démonstration d’altruisme démocratique et que l’opération a pu provoquer une résurgence, non de l’antisémitisme (terme qui ne veut strictement rien dire si l’on considère qu’une majorité des Sémites de la planète n’est pas juive et qu’une bonne partie des Juifs n’est pas sémite – au point de se demander pourquoi on a délibérément choisi un terme aussi peu approprié), mais bien un rejet d’un particularisme qui rend les personnes visées imperméables à toute forme d’assimilation (sauf quand il s’agit d’assimiler la gestuelle d’un tiers aux heures les moins claires, que ce soit, jadis, le salut inversé hélicoïdal de Dieudonné ou la soudaine crampe d’Elon Musk cette semaine).
Cela n’aura échappé à personne que les Gaulois n’existent plus en tant que tels, car ils se sont assimilés, idem pour les Gallo-romains et hormis quelque reliquat de saligoths, même chose pour les Wisigoths et autres Ostrogoths ; pareil pour les Francs et, d’une manière générale, toutes les peuplades européennes qui se sont succédé sur notre territoire. Pourtant ceux qui revendiquent plus de 2000 ans de présence dans l’hexagone en sont réduits à nous vendre l’oxymore de la civilisation « judéo-chrétienne » pour tenter de masquer le fait que, contrairement à tous les autres, ils constituent toujours une entité distincte comme au premier jour.
S’il ne fait aucun doute que leur intégration ne pose pas de problème particulier, il semblerait donc, en revanche, qu’ils soient, effectivement, factuellement inassimilables. Cela pourrait donc expliquer qu’à chaque fois qu’un nationalisme quelconque se pose la question fondamentale de l’identité, cette particularité qui en fait, au demeurant, des boucs émissaires pratiques, leur donne la visibilité d’un petit bouton sur le nez (ou sur les fesses pour onlyfans) avant une séance de photo avec, pour conséquence, les gens pouvant être mesquins, qu’ils ont fini par être chassés, à un moment ou un autre, d’à peu près partout sur la planète. Dans un véritable cercle vicieux, la chose a encore renforcé leur sentiment identitaire et favorisé une répulsion pour toute forme de nationalisme (hors Israël, s’entend). Il en résulte, dans les cas extrêmes, une élite fortunée, souvent dans des délires messianiques amplifiés par la consommation de poudres racistement monochromes et prétendant parler au nom d’une communauté qui ne lui a rien demandé.
Une élite qui investit fiévreusement, façon SOROS, dans tout ce qui pousse à favoriser l’immigration de masse, afin justement de s’assurer que le nationalisme (qui n’a de sens qu’avec l’identité) soit tué à la racine par le remplacement des peuples. La conséquence est que, lorsque, inévitablement, les peuples de remplacement s’avèrent les aimer encore moins que le peuple d’origine et atteignent le seuil critique qui les met en danger, dans un virage à 180° il faut alors raviver en catastrophe un peu de la flamme nationale, mais en circonscrivant la problématique à de l’anti-islam pour éviter tout risque d’une prise de conscience ethnique. Un véritable grand écart sur un fil de funambule par grand vent un jour de pluie acide qui n’est possible qu’en faisant en sorte que les têtes des mouvements « nationalistes » appartiennent à la petite frange de la communauté qui adhère au concept ou, à défaut, lui soient totalement inféodés.
C’est là qu’intervient Sarah « point trop » Knafo dont, bien qu’elle ne représente électoralement pas grand-chose, on mange matin, midi et soir les analyses sur tout sujet dès qu’on allume la télé, poussant la plaisanterie hanounesque jusqu’à nous faire croire récemment, à grands coups de selfies, qu’elle était VIP au sacre de Donald Trump. À son actif, force est de reconnaître qu’elle est intelligente, a un bon sens de la répartie et que ses raisonnements sont incontestablement le fruit d’une réflexion de longue date qui me pousse à croire qu’elle est sincère concernant l’essentiel de son discours lequel me semble plus authentique que son 95, bonnet F.
Sauf à considérer qu’il faudrait être une baleine pour militer à S.O.S baleine (et elle a encore un peu de marge si elle se surveille), il serait contre-productif d’exiger de quiconque de descendre en droite ligne de Vercingétorix pour prétendre aimer et défendre la France et les Français. Ce qui m’interpelle n’est donc pas du tout qu’elle soit juive, mais que, chutzpah incluse, elle se comporte comme l’image que d’aucuns s’en font, jusqu’à la caricature avec, entre autres, liste non exhaustive : soutien inconditionnel à Israël dont les intérêts géopolitiques sont pourtant de plus en plus éloignés des nôtres, assimilation systématique des Palestiniens à la racaille déculturée française, soutien de l’abattage rituel et absence totale de critique de sa communauté, chose dont Zemmour, il faut le lui reconnaître, avait eu l’honnêteté d’amorcer un début de commencement de velléité de tentative avant de perdre tout crédit (post ce fameux 7 octobre qui a obligé chacun à choisir son camp) en allant pleurnicher devant la façade de cette ancienne caserne romaine que les Israéliens prennent pour le mur des Lamentations, et ce, alors même qu’il existe en Israël des gens qui ont un positionnement beaucoup plus nuancé voire radicalement opposé.
Il est clair que Marion Maréchal qui n’appartient qu’à moitié (et pas la bonne qui plus est) à la même communauté, ne pouvait espérer faire sa place à Reconquête qu’elle a donc quitté pour faire… encore pire en prétendant même, cette semaine, faire alliance avec Édouard Phillipe dont, il est vrai, signe divin, les cheveux ont miraculeusement repoussé. Quant à Marine Le Pen, qui n’a même pas l’excuse de l’appartenance communautaire, à ce stade, si on lui proposait de remplacer provisoirement le paillasson du mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, le temps du nettoyage, je ne suis pas certain qu’elle refuserait. CQFD.
La justification même de l’État d’Israël, à moins que j’aie loupé un épisode, est de fournir un point de chute pour tous ses ressortissants putatifs qui sont donc désormais cultuellement de sa responsabilité dès lors qu’ils ne seraient pas satisfaits de leur situation dans d’autres pays, dont la France. Une France dont le rôle, depuis la disparition de fait du « Juif errant », se limite désormais à les protéger en tant que Français au même titre que tout citoyen, ni moins, ni plus, et donc, aucunement à assurer leur confort cultuel dans la sphère publique qui ne nous concerne pas plus que celui des musulmans, en payant, par exemple, au frais de la collectivité, la surveillance armée des synagogues, dont à minima, la facture devrait être envoyée à Netanyahu, et ce d’autant plus que nos églises, livrées à elles-mêmes au nom de la laïcité, sont pillées et brûlées sans vergogne et que des hommes y pénètrent désormais en brandissant des couteaux pendant les offices, le dernier en date ayant dû être abattu par la police.
Tant que, dans le pays des lumières, mais visiblement pas à tous les étages, cette position de bon sens, valable également pour toutes les autres communautés, mais médiatiquement taboue et électoralement peu payante compte tenu de décennies de conditionnement, ne sera pas clairement affirmée, il sera impossible de lutter efficacement contre l’immigration et tout mouvement, qu’il se revendique nationaliste, souverainiste ou patriote, tombera dans le deux poids, deux mesures, la perte de crédibilité et l’impuissance politique avec, à l’issue, faute d’avoir traité l’abcès à temps, une résolution par la violence que, pour ma part, je préférerais éviter.
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