Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/UxCqhw7S53E
Il fut un temps où certains individus rétrogrades niaient le concept de « Celte noir » subissant, à juste titre, les foudres de la justice, la Bretagne étant connue depuis l’antiquité sous le nom de « Wakanda des Gaulles ». De la même façon, il y a toujours eu, depuis le Pléistocène supérieur, des lords anglais invisibles la nuit, sauf par les caméras de surveillance idoines comme celle qui a filmé l’un d’entre eux en train de se faire caresser les amygdales de l’intérieur par la langue râpeuse de Keir Starmer lui-même, Premier ministre britannique, dont il est l’ami et le principal donateur. Une vidéo que les débunkeurs officiels imputent à une IA malfaisante, explication en passe de devenir le Saint-Graal pour tout politicien filmé dans une situation compromettante. Si vous tombez sur une vidéo de Brigitte en érection pendant qu’elle danse à Mayotte, dévoilant un décolleté virtuel, soyez donc prévenus, c’est probablement l’IA.
Ce qui manquait cruellement, en revanche, c’était un pape composé à 80% d’eau et 20% de mélanine, en parfait contraste esthétique avec la fumée blanche. Pas moins de 3 candidats pourraient permettre ce saut qualitatif pour l’humanité, et la perspective de la nomination du cardinal Sarah, en théorie peu probable (même si le lieu est « propice » - prostates fatiguées obligent - aux miracles) chatouille, comme il se doit, de façon quasi érotique la psyché de la droite française catholique cathodique, certes timidement nauséabondement opposée au grand-remplacement, mais qui se rachète en ayant pour principale préoccupation de prouver à la gauche qu’elle n’est pas raciste ou xénophobe, parce que c’est bien connu, il n’y a aucun lien entre les étrangers et l’immigration. S’il était élu (et on lui passera le fait d’avoir des positions plus conservatrices que Manon Aubry et donc de nature à évoquer des heures, elles aussi, très sombres) j’appréhende juste que se réalise un de mes plus vieux fantasmes : un remake en direct, par Charlotte d’Ornellas, de la célèbre scène de Meg Ryan dans « Harry rencontre Sally », pour ceux qui ont la référence (sinon, j’encourage les autres à interroger Google, vous me remercierez plus tard).
En comparaison, les papes à indice colorimétrique honteusement faible ne seront plus guère que des sous-papes et pour ce qui est de la mort de François, « sous-Pape d’admission » des migrants et du wokisme, qui cochait toutes les bonnes cases, sauf, donc, celle de l’oncle Tom, je vous renvoie à la vidéo hors-série que j’ai publiée à cette occasion, si, pour quelque obscure raison, vous n’avez pas eu la notification. Cependant, nul n’est parfait et les puristes pourront lui reprocher de ne pas avoir apprécié à sa juste valeur un président que le monde entier nous envie, lequel, pas rancunier, s’est empressé d’aller contenir des larmes de crocodile allergique aux graminées devant sa dépouille, avant de chercher à s’imposer, sans succès, durant l’entretien en aparté entre Trump et Zelensky.
Plus sérieusement, dans cette France qui a perdu sa cohérence ethnique (ta mère) et donc sa cohérence tout court, un dénommé Justin, prénom qui a provoqué un mini orgasme en mode éjaculation précoce chez certains LFIstes et assimilés, espérant enfin un répit face à la dissonance cognitive due au choc entre l’explosion de la violence et le mythe vibrant du bon sauvage de Rousseau en silicone hypoallergénique qu’ils ont entre les fesses, a pénétré de la même façon, mais lui, dans son établissement d’enseignement privé dénommé : « Notre Dame de toutes aides, en RTT les jours d’attentats » (ou un truc du genre), a tué de 57 coups de couteau une jeune fille sans aucune caractéristique méritant, apparemment, d’être mentionnée, et a blessé (dont certains grièvement) 3 autres lycéens tout aussi descriptivement évanescents, avant d’être maîtrisé par Bruno Retailleau et Elisabeth Borne… à moins qu’ils ne soient arrivés après la bataille pour expliquer que c’était inadmissible, c’est encore un peu confus. En tout cas, vivement qu’ils soient au pouvoir afin d’être en mesure d’améliorer les choses.
N’en déplaise aux fervents adorateurs de la république universelle convaincus des pouvoirs magiques à la Pokémon d’une carte plastifiée supposée transformer n’importe qui et sa descendance en Français Pikachu sous label bio écoresponsable, j’ai vu la photo dudit Justin, et on va être honnêtes, ce n’est pas Justin Bridou, ce que confirment son autre prénom et son patronyme. Il semblerait, même si je peux me tromper compte-tenu (et c’est inadmissible) du peu d’éléments journalistiques dont on dispose sur les points essentiels de nature à appréhender les causes profondes du drame, que l’on soit dans le schéma classique d’un père exotique qui, comme un certain nombre de pères exotiques, disparaît avec l’arrivée des responsabilités, laissant la communauté subventionner ensuite, à coup d’aides, elles aussi diverses, le manque de jugement des mères, avec, pour résultat, des mouflets, ethniquement le cul entre deux chaises, qui se cherchent, surtout si dotés d’une paire, sans père et sans repère ; le manque de référent masculin, qu’il soit absent ou simplement déconstruit par Sandrine Rousseau, complétant alors la formule éprouvée de la nitroglycérine psychologique.
J’ai aussi lu le manifeste de 13 pages qu’il a envoyé avant de passer à l’acte et qui dit, en substance, que « les écologistes radicaux sont des anticorps envoyés par Gaïa en réponse à la marchandisation généralisée de la nature, à l’aliénation et à la perte de sens des humains, victimes d’une violence systémique inhérente au progrès, doublée d’une infernale machine de propagande ». En gros une resucée de Marx sauce écolo (d’où d’ailleurs le terme « manifeste ») présentée comme un simple extrait d’un ouvrage plus élaboré à venir, idée promotionnelle certes originale, mais un peu sanglante à mon goût. Le tout dans un style, un français sans fautes et (en dépit d’un point de vue biaisé) avec une profondeur de pensée concernant certains constats indiscutables qui ne correspondent pas à ce à quoi on pourrait s’attendre venant d’un adolescent de 15 ans, qui plus est, issu du système éducatif actuel et surtout, sauf à ce que la malheureuse jeune fille assassinée ait jeté un paquet de chips à côté de la poubelle, le tout sans aucun rapport logique avec son passage à l’acte. Rien à voir donc, comme l’a laissé entendre une partie des médias, aussi objective que Netanyahou sur l’antisémitisme des bébés palestiniens, avec l’extrême droite.
En tous les cas, Mélenchon a préféré s’émouvoir sur le fait qu’un Bosnien (peut être bosniaque) muni de la carte plastifiée magique, a assassiné un Malien qui priait dans une mosquée française, en pointant du doigt, avec raison, que « l’islamophobie tue ! »… des musulmans ce qui, à ma grande honte, ne m’empêche pas de reprendre des frites, mais seulement parce que j’aime vraiment les frites.
Pendant que la France continue sa diversification à marche forcée et est totalement incapable de renvoyer une seule personne sous OQTF sans son consentement, par une mystérieuse incantation de magie noire qui sonne comme « koudepiehokuh », l’Inde, au bord de la guerre nucléaire avec le Pakistan (suite à un attentat dans le Cachemire) parvient, elle, en quelques jours, à expulser tout ce qui ressemble à un Pakistanais de son territoire ; Pakistan qui, lui-même, en un temps record, avec la même incantation, avait mis dehors 500 000 Afghans, jugés indésirables. Plus timide, l’Autriche envisage de supprimer définitivement le regroupement familial, tandis que dans notre beau pays, sans la moindre réaction de nos politiques, même réputés « anti-immigration » les années bissextiles, comme le RN, on laisse, sans mot dire, Israël mettre en place, en loucedé, un pont aérien et tout un système d’aide et d’accompagnement pour vider vers la France la Bande de Gaza de ses Palestiniens dont la qualité qui les rendait, jusqu’ici, le plus sympathiques, était justement leur volonté farouche de rester chez eux, volonté qu’on aurait aimée plus répandue sur le continent africain.
Trump, lui, semble au moins tenir bon sur l’aspect immigration, mais, pour avoir poussé trop loin son bluff économique, se voit contraint, comme je l’avais anticipé, de baisser son pantalon devant la Chine et la FED, tandis que Musk, saboté de l’intérieur par l’aile « pro tariffs » plutôt que « réduction des déficits » (ainsi que par des résistances administratives) va devoir quitter son poste provisoire (dont le mandat arrive à terme) sur un sentiment d’inachevé (contrairement à Tesla qui semble l’être complètement). Reste Kennedy junior qui poursuit encore sur sa lancée en matière de Santé publique en s’attaquant aux colorants alimentaires ce qui ne mange pas de pain, seulement des « froot loops ». Pour le reste, on attend toujours les dossiers complets dans l’affaire Epstein dont la principale accusatrice a été retrouvée suicidée cette semaine, probablement par noyade dans un verre d’eau, les mains attachées dans le dos avec deux balles dans la tête.
Dans ce maelström de clous qui chassent l‘autre, on en oublierait presque que, de source bien informée, Macron, acculé par une demande officielle adressée aux deux assemblées par des milliers de militaires demandant des comptes sur les irrégularités de ses décisions concernant l’Ukraine et la présence officieuse, sur son sol, de soldats français sans avoir consulté personne, réfléchit à encore grappiller quelques mois en dissolvant l’assemblée, façon Gérard Larcher un ragoût de canard aux truffes, espérant, grâce à cette manœuvre, durer jusqu’au moment crucial où attendre simplement la fin de son mandat sera plus rationnel que de le destituer, lui permettant ainsi de nuire au pays jusqu’à la dernière seconde avant de jouir, à nos frais, d’une retraite bien méritée, mais c’est pour un prochain épisode.