Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 13 avril 2025

Wauquiez le Magnifique, Trump s’est trumpé… Récap caustique des infos de la semaine (13/04/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/Yv5nIvgTkqM

Bonjour !
Quand je vois Laurent Wauquiez je me dis plutôt : « Laurent vaut quoi ? » ses promesses de LR en campagne m’inspirant au mieux la confiance d’un placement miracle dans le vibranium au Wakanda proposé par Gérôme Cahuzac, mais, dans la sphère politique, il reste probablement le seul avec Brigitte (dont, coïncidence, le cousin vient d’être arrêté dans une grosse affaire de réseau pédophile) et les rampes d’escalier de l’Élysée, à sembler doté de boules en bas d’une protubérance oblongue. Assez en tout cas pour oser faire remarquer que la France possède une multitude de territoires non seulement à peu près aussi hospitaliers qu’Élisabeth Borne avec un casque à pointe, mais surtout hors espace Schengen et ses règles à la noix, et qui, en toute légalité et sans avoir à demander la permission à quiconque, feraient des centres de rétention aussi parfaits que dissuasifs pour personnes sous OQTF récalcitrantes. 
 
Nuisances qui, si l’on ne fait rien, à force d’enrichir culturellement tout ce qui ne court pas le cent mètres en moins de 9 secondes et de ringardiser quotidiennement le journal de Tintin avec son modeste « de 7 à 77 ans », finiront, « couteau » ou tard, par rendre notre société, déjà moribonde de par l’immigration non européenne de masse incontrôlée, aussi attrayante qu’une coloscopie de Gérard Larcher. Ce n’est pas un hasard si nous venons de doubler le Salvador dans la liste des pays dangereux publiée par le Département d’État américain. 

La définition officielle du « déchet » étant, selon Google : « tout ce qui n’est plus utile et que nous décidons de jeter », c’est exactement ce que font certains pays avec leur fond de cuve de ressortissants ingérables toxiques, à QI souvent tellement bas qu’on est fondés à se demander si le I est vraiment indispensable. Des ressortissants qu’une fois jetés dans notre décharge hexagonale, ils refusent ensuite, logiquement, de reprendre. Il est donc tout aussi logique de les traiter selon cette même définition. Pour des raisons mystérieuses qui m’échappent (peut être liées au réchauffement climatique) l’incinération n’étant pas une option, la solution Wauquiez est la seule qui reste envisageable et qui résoudrait définitivement le problème. 
 
Son dévolu s’est jeté sur Saint-Pierre-et-Miquelon ce qui reste discutable. Pour ma part, il y a déjà longtemps, j’avais suggéré la Guyane, mais loin des habitants qui, bien évidemment, ne méritent pas ça. Il suffirait de dégager un petit espace au milieu de la forêt amazonienne, sans besoin de grosses infrastructures hormis un barbelé électrifié, non pour empêcher les détenus de s’évaporer dans la nature, pour le coup littéralement, mais pour dissuader d’y pénétrer certaines bestioles qui seraient tentées par un menu halal, le tout ravitaillé 2 fois par semaine par un hélicoptère avec largage de rations. 
 
Mais peu importe l’endroit et les conditions de détention, une fois l’idée émise, il est impossible de remettre la vaseline dans le tube et, hors évocation de principes moraux bidons qu’on ne met jamais en avant quand il s’agit de dispatcher le tiers-monde dans les campagnes françaises, je souhaite bien du plaisir aux traîtres qui nous gouvernent pour arrêter l’incendie qui vient d’être allumé par le sieur Wauquiez, à commencer par le parti des « tentations » (selon comme on l’écrit depuis son allégeance à Israël), j’ai nommé le RN, vent debout contre, alors même qu’il aurait dû être à l’origine de l’idée s’il lui restait un semblant de colonne vertébrale et que son programme, au fil des renoncements, n’était pas passé de l’opéra Wagnérien au concerto pour triangle et tambourin.

À propos de Bourrin, Trump, entre deux décrets pour augmenter la pression des douches parce qu’il n’arrive pas, dixit : « à rincer ses beaux cheveux », va peut-être enfoncer les derniers clous du cercueil de l’hégémon américain en provoquant un séisme qui n’a pas eu d’équivalent depuis la réincarnation, par quelque voie impénétrable, du Général de Gaulle dans Pierre-Yves Rougeyron. Soit, après l’apéritif du memecoin à son effigie qui a déjà fait perdre 2 milliards à ses aficionados (tandis que son épouse essaie de liquider en douce le sien) il s’est personnellement goinfré à coup de conflits d’intérêts dans le yoyo boursier qu’il a déclenché, auquel cas on peut comprendre la logique, soit il est complètement crétin de n’avoir pas anticipé que les Chinois, outre la réciprocité des taxes pour la partie visible, allaient vendre massivement en sous-main une infime partie de leurs énormes avoirs en dollars, faisant volontairement chuter, fait rarissime, le marché des obligations en même temps que celui des actions, l’obligeant à revenir précipitamment en arrière sur ses droits de douane tous azimuts sous peine de ne plus pouvoir refinancer la dette colossale US (qui était nulle avant la création, en 1913, de la « banque fédérale » qui n’est ni fédérale, ni une banque, mais un consortium d’intérêts privés (dont Rothschild), qui encaisse, entre autres, 2% d’intérêt sur chaque dollar qu’elle imprime et qui devrait être sa cible principale), le faisant passer, du coup, pour un amateur qui, à défaut de ses cheveux, aura rincé son économie.
 
 Une humiliation qu’il essaie de camoufler, orange ô désespoir, en en remettant encore une couche sur la seule Chine dans l’espoir de la mettre à genoux (Bruno Le Maire, sors de ce corps !), avant, là encore, de rétropédaler en exemptant en catastrophe les téléphones et autres ordinateurs portables. OUPS ! Mais le mal est fait et si son plan était de réindustrialiser l’Amérique dans une perspective d’autarcie relative allant au-delà du combo « coca, hamburger, frites », alors qu’il aurait eu besoin, dans cette hypothèse, d’attirer massivement sur son sol des entreprises étrangères avec leur savoir-faire et leur technologie, durant les au moins 10 ans nécessaires pour recréer un tissu industriel américain capable de prendre le relais en douceur, devant l’incertitude qu’il a créée, hormis quelques entreprises pour lesquelles le marché américain est vital et qui n’auront pas le choix ou Rachida Dati qui chercherait à y trouver refuge avec ses bijoux non déclarés, plus personne ne voudra prendre ce risque. 

Une autre hypothèse, en dehors d’une constipation passagère due à un hamburger pas frais, étant que tout cela n’était qu’une manœuvre pour découpler les USA de la Chine au service d’intérêts financiers supérieurs, peu importe le coût pour ses électeurs et ce, sans même la garantie d’un plan à long terme puisque le système « démocratique » américain avec ses changements fréquents ne permet pas la continuité d’une politique sur des décennies, comme pour la Chine ou la Russie, si ce n’est celle de l’état profond, et qu’une hausse des prix, encore aggravée par le cumul d’un dollar faible avec l’explosion du coût des importations, pourrait déjà suffire à lui faire perdre au moins une des 2 chambres dans moins d’un an et demi. 

Quant à ceux qui veulent voir en lui un visionnaire, ils sont libres de penser qu’à sa décharge, rien n’ayant été réglé depuis la crise de 2008, d’une manière ou d’une autre, le système allait droit dans le mur et le dollar avec, et qu’il a donc peut-être délibérément déclenché la chose en avance en espérant limiter la casse et créer un point de non-retour en tuant définitivement l’idée de mondialisation, afin de tenter d’obliger, justement, ses successeurs à aller, faute d’autre choix, dans une direction déterminée. 

En tous les cas, même s’il était honnête dans ce qu’il prétend vouloir faire et qu’il pensait vraiment que ce ne sont pas les États-Unis qui, depuis des décennies, pillent le reste du monde en échangeant des marchandises contre de la fausse monnaie imposée sous menace militaire, il est à minima évident que Trump ne comprend rien aux mentalités asiatiques. Il peut donc s’attendre à ce que l’empire du Milieu la lui mette exactement là, en procédant à une destruction systématique et méthodique de pans entiers de son économie, à commencer par son agriculture, notamment ses importations de soja, et la tech, beaucoup plus dépendante à la Chine que ce qu’il semble imaginer. Sauf s’il fait profil bas, les représailles seront d’autant plus importantes que ladite Chine qui ment, entre autres, sur sa population laquelle ne peut pas, mathématiquement, être de 1,4 milliard, ni même de 1 milliard et se situe probablement autour des 800 millions, a, elle aussi, accusé le coup. 
 
Non seulement elle a, du fait de sa démographie déclinante, des soucis de marché intérieur, mais comme, là non plus, on n’a rien appris du covid, les compagnies de fret sont toujours à flux tendu sur les containers et les tankers, de sorte que tous ceux, pleins de marchandises en attente, initialement prévus pour les USA, qui congestionnent désormais les ports chinois, ne peuvent donc pas être utilisés pour les importations vers d’autres pays, mettant de nombreuses entreprises dans une situation précaire. Parfaite illustration du perdant-perdant (sauf pour ceux qui se sont goinfrés durant l’opération).

Une Chine qui peut compter sur une Europe en perdition, lâchée par son maître, laquelle se garde bien de tirer parti de la situation préférant en profiter pour se tirer une rafale de mitraillette dans le pied (ou ailleurs si affinités), puisqu’après la France qui vend à ladite Chine Vencorex, une entreprise chimique vitale pour la dissuasion nucléaire (tandis que Macron fait son intéressant pour détourner l’attention en parlant de reconnaître la Palestine), Von Der Leyen, après avoir ruiné l’industrie automobile européenne, et face à la logique incapacité de l’Union à produire à bas coût des véhicules électriques avec des matières premières qu’elle n’a pas, plutôt que de renoncer à son utopie décarbonée et à son plug anal à piles, négocie carrément pour supprimer les taxes sur les autos chinoises.

Pendant ce temps, dans l’hexagone qui ne tient que parce que l’Agence Fitch, ne voulant pas prendre la responsabilité de la chute des dominos, a décidé, exceptionnellement, de ne pas se prononcer sur la note de la France, tel l’orchestre du Titanic, le parlement continue à pondre à la chaîne loi débile après loi débile, comme si de rien n’était. La dernière en date oblige à une parité que personne n’a demandée sur les listes électorales des petites communes sans qu’on puisse citer un seul exemple d’amélioration de la gestion locale depuis son obligation dans les grosses. Mesure indispensable donc qui va transformer les prochaines élections municipales en véritable casse-tête d’autant que le panachage est supprimé et que le cas des genderfluides et autres primates à pouces opposables qui peuvent changer de sexe plusieurs fois par jour selon la météo n’a même pas été pris en compte, ce qui frise l’homophobie parlementaire.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire