Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 25 mai 2025

Les milliards perdus de la CAF, Ersilia Soudais sexlife, Jinnytty agressée… (25/05/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/lbq9zyqqR68

Bonjour !
L’argent est décidément beaucoup trop liquide si l’on considère les 6 milliards passés, selon la Cour des comptes, à travers la passoire de la branche famille de la CAF avant de s’évaporer sans laisser de traces en raison du réchauffement climatique. Outre le fait qu’appeler ça une branche à quand même une connotation raciste envers ceux qui y sont accrochés, il est choquant que, tel Tarzan, le gouvernement s’en balance (de branche en branche) et continue à nous réclamer toujours plus de sous comme si de rien n’était en ignorant les avertissements du FMI et de la BCE qui débattent déjà sur qui aura la prévalence pour mettre la France sous tutelle en 2026, évitant la faillite au prix de coupes sociales qui feront passer ce qu’a connu la Grèce en 2009 pour une sodomie avec micropénis dans un tonneau de vaseline, atteignant la violence d’une altercation d’Omar Sy avec un contrôleur SNCF.

Conscient du problème de fluidité, dans la série « j’interdis l’essence pour diminuer les refus d’obtempérer » et « je supprime les poches pour lutter contre les pickpockets » Gérald Darmanin (porte quoi) propose de supprimer l’argent liquide pour lutter contre le trafic de drogue (et pas du tout pour pouvoir taxer les étrennes et aides diverses que vous pourriez donner à vos enfants et petits-enfants). Il est vrai qu’il serait totalement inhumain, voire raciste (ou anticoléoptère selon le niveau auquel on s’attaque) de plutôt supprimer les trafiquants, tout autant que préjudiciable pour le PIB de légaliser la chose, même avec une TVA adaptée, la vente de cocaïne au supermarché au rayon farine pouvant provoquer des confusions et le sniffage accidentel de véritable farine des présidentielles anticipées. 
 
Comme généralement on trafique ce qui est cher, car interdit ou surtaxé, et que grâce à la loi « fin de vie » le trafic d’organes va en prendre un coup (à l’exception des testicules pour politiciens, toujours en pénurie), j’appréhende le jour où, faute de débouchés, la prostitution des mineures devenant monotone à la longue, on verra surgir un trafic de bon sens, sous forme d’implants dans le cerveau qu’on paiera avec des pots de pâte à tartiner « El Mordjene » dont un gros chargement a été saisi par les douanes.

Tout cela est d’autant plus hypocrite que les drogues légales ne manquent pas, de Netflix au Nutella, et qu’elles ne sont pas la cause, mais la conséquence de la dégénérescence morale, intellectuelle, physique et cognitive générale, sans laquelle Sandrine Rousseau serait à la cuisine… préalablement capitonnée. Force est de constater que, même sans immigration, le substrat adipeux qui reste, dont le sentiment d’appartenance a été rongé par la « diversité », et qui s’est réfugié dans l’individualisme égoïste, lequel rend impossible tout projet commun, principal client des trafics en tous genres, erre sans but ni transcendance, guidé par son estomac de plus en plus vide et la quête de son prochain shoot de dopamine.
 
On peut, dès lors, craindre le pire, le jour prochain où l’intelligence artificielle qui s’expurgera immanquablement, de par sa nature même, de toutes les barrières illogiques et biais de raisonnement qu’on tentera de lui imposer pour lui faire croire que des cheveux roses transforment un individu en coléoptère genderfluide, devra se poser objectivement la question de notre raison d’être.

D’autant qu’elle tombera inévitablement sur la vidéo d’Amélie de Montchalin en train de manger ses crottes de nez en séance à l’assemblée, soulevant la question de savoir ce qu’elle peut bien avaler d’autre, l’immonde stéréotype machiste sur les femmes à lunettes étant encore particulièrement vivace. Sans compter les confidences d’Ersilia Soudais, apparemment contrainte par son ex-compagnon, craignant les trichobézoards, de périlleusement se raser sans visibilité sous la ceinture et de participer à des parties beaucoup plus fines qu’elle. La question reste en suspens (s’épile ou face) de savoir si elle y aura rencontré Raquel Garrido, autre habituée de ce genre d’échange, accumulation qui, pour quelque raison que j’ignore, me fait désormais penser à un parapluie. L’image mentale involontaire étant déjà en l’état, de nature à défavorablement et durablement affecter ma libido, j’appréhende l’adjonction (jamais deux LFI sans trois) de Mathilde Panot, pour l’instant épargnée, au tableau, lequel aurait pu inspirer Rubens et changer l’orthographe du titre de son œuvre la plus célèbre sans altérer sa prononciation. 

À l’opposé, dans la catégorie poids mouche coprophage, on trouve Bruno Retailleau, nouveau chef élu de la cabine téléphonique LR, passé devant Édouard Phillipe dans les sondages rectaux et qui, tout en prenant garde de ne pas évoquer les corps étrangers « QUI » (pensée pour le général Delawarde) règnent déjà sans partage sur la sphère politico-médiatique, profitant que Macron était occupé à interférer dans les élections roumaines, a fait fuiter un rapport sur l’entrisme des Frères musulmans compromettant pour le président… tout en nommant (LR un jour, LR toujours) comme secrétaire adjoint de son propre parti, un dhimmi notoire dans lequel ledit entrisme est déjà profond, sans avoir besoin d'épiloguer sur les points d’entrée spécifiques.

Il ne faudra peut-être pas trop compter sur le tourisme pour remonter la pente puisque la Coréenne Jinnytty, une des streameuse les plus suivies au monde, au cours de son périple pour faire découvrir la France a été agressée en direct à Toulouse, a subi une tentative de vol de son vélo à Aix-en-Provence et, toujours en direct, a été victime d’un exhibitionniste à Nice, à chaque fois, coïncidence malheureuse, par des supporters anglais avec un faux air de Kevin et Matéo. La teneur des milliers de commentaires en Coréen, Japonais et autres ne présage pas particulièrement d’une arrivée massive de capitaux, et ce n’est pas un festival de Cannes à faible indice carbone en raison du sabotage du réseau électrique qui va relever l’image avec, en outre, une palme plaquée or, revendiquée comme politique et attribuée à un obscur film iranien.

Encore plus inquiétant que la France, les USA (dont l’agence Moodys vient de dégrader la note) sont en voie d’adoption d’un budget qui va doubler un endettement, déjà dilaté au-delà de l’imagination la plus folle de Bruno Le Maire, pour financer des réductions d’impôts massives que Trump, après l’échec relatif du DOGE de Musk et s’être ramassé face à la Chine, imagine pouvoir compenser en pillant ses vassaux avec de nouvelles pressions sur l’Europe. Oubliant que les usines robotisées ne créent pas d’emploi, il espère ainsi attirer des investisseurs et réindustrialiser alors que l’innovation technologique est déjà ailleurs et que, face à ses retournements imprévisibles, les bons du trésor américain ne trouvent plus preneur, forçant la FED à activer la planche à billets pour financer la dette, accélérant encore la chute du dollar qui s’ajoute aux taxes pour faire monter les prix pour le consommateur américain. 
 
En parallèle, n’en déplaise à ses thuriféraires, aucune des personnes qui auraient dû y être n’est encore en prison, les déclassifications complètes de dossiers annoncés se font attendre, l’audit de Fort Knox aussi, la paix en Ukraine n’est toujours pas en vue et le génocide des Palestiniens s’accélère allègrement avec une nouvelle entrée dans le Guinness des records, l’armée la plus morale du monde, qui continue à recevoir armes et financements américains, ayant tué, dans leur maison, 9 des 10 enfants d’un couple de médecins, laissant le 10e dans un état critique, le plus jeune de ces immondes terroristes ayant 7 mois et le plus âgé 12 ans. En revanche, Trump et sa famille se sont considérablement enrichis depuis son entrée en fonction. Au temps pour ceux qui auront cru qu’un milliardaire, indépendamment, par ailleurs, de sa bonne volonté, allait scier la branche sur laquelle il était assis en étant vraiment antisystème.


 

dimanche 18 mai 2025

ZUT, j’ai loupé Macron et l’Eurovision ! Résumé de la semaine (18/05/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/9FL5W5lUMtw

 

Bonjour !
Si, du fait d’une longue mithridatisation, je peux désormais, sans souci, reprendre des cacahouètes à chaque fois qu’une énième dinde label rouge est confrontée au principe de la sélection naturelle en conclusion de sa romance avec un Roméo d’importation, il semblerait que j’aie, en revanche, une allergie aiguë très spécifique aux menteurs compulsifs homosexuels cocaïnomanes psychopathes mariés à des travelos et bien que tout cela n’ait aucun rapport avec notre bien aimé président, pour une raison que j’ignore, mon médecin m’a vivement déconseillé de l’écouter pendant 3h et demie en prime time sur TF1 sans un auto-injecteur d'épinéphrine sous la main. Faute de ce dispositif, à ma grande honte, j’ai donc failli à mon devoir envers ceux qui me suivent et potentiellement les 65 millions de Français qui ont boudé ce moment historique, prenant le risque énorme, si pour une fois, il avait parlé pour dire quelque chose, de passer à côté de toutes les solutions concrètes qu’il aurait concoctées pour remettre notre pays sur des rails qui ne se sniffent pas.
 
 J’ai mal dormi en me disant qu’il avait peut-être parlé du procès en appel de Natacha Rey contre son épouse à grands pieds et a volumétrie mammaire variable, procès dont le délibéré est attendu pour juillet, ou encore de la raison pour laquelle, si l’on fait fi des chemises à fleurs et du fait qu’il parle avec des anges gardiens, ses services ont carrément envoyé le GIGN, en pleine nuit, pour tenter de faire interner Pierre Jovanovic, et que j’aurais manqué un scoop.

J’ai toutefois été rassuré le lendemain en écoutant, sur une matinale, ce qu’en avait pensé Jean-Philippe Tanguy, du RN, l’homme qui a vu plus de « que » qu’un texte au subjonctif et appelait, il y a quelques jours, à la dissolution d’un groupe ostensiblement moins émoustillé que lui par les pronoms relatifs, visiblement carencé en mélanine républicaine et coupable d’avoir osé défiler, en bon ordre, sans rien casser, avec des croix celtiques. Une attitude qui ouvrira peut-être les yeux de ceux qui croient encore qu’il subsiste quelques atomes de la colonne vertébrale de feu le Front National dans le « fondement » du Renoncement National qui certes nous délivre du « mâle », mais depuis son virage pro-Israël, nous soumet aux « tentations », ce qui, indépendamment de comment on l’écrit, n’est pas très catholique.
 
Cela n’empêche qu’il a fait un « sans fiotte » dans son analyse de la prestation présidentielle, bizarrement à l’unisson de toute la presse mainstream qui admet unanimement que le prestidigitateur qui fait disparaître des mouchoirs dans les trains durant des soirées pyjama entre potes, très mauvais, s’est, sur ce coup-ci, retrouvé dans la position du détenu atteint d’une sciatique en ramassant le savon sous la douche dans une prison fédérale américaine, position d’autant plus gênante que s’il « le ramasse » c’est antisémite. Il a été, peu ou « prout », malmené par tous ses contradicteurs et les 3 heures de bla-bla ont, au final, accouché d’une souris anémique apte à pouvoir bénéficier de la prochaine loi d’élimination des chômeurs dépressifs et des retraités surnuméraires, pudiquement surnommée « fin de vie », seule possibilité de référendum envisagée, et encore, si patinage parlementaire seulement.

Visiblement le roi est nu, le problème est qu’il est exhibitionniste de sorte que si on ne le met pas dehors (66% des Français estimant selon le sondage qu’on lui a mis dans les dents durant l’émission qu’il est un mauvais président) il va continuer à se comporter comme un termite sous amphétamines. Le droit d’élire ses maîtres qu’on appelle « démocratie » étant, d’évidence, une escroquerie, le malheur, quand on voit se profiler à l’horizon le rejeton à rejeter de Sarkozy lequel, youpi a toujours sa Rolex, mais plus son bracelet, c’est qu’aussi incroyable que cela puisse paraître, le suivant sera peut-être encore pire. Il n’est qu’à voir le naufrage du Brexit au Royaume-Uni (lequel revient quasiment dans l’UE par la fenêtre avec les derniers accords qu’il a signés) pour comprendre que sans un ménage préalable à la Pol Pot (comme quoi, il y a des leçons à tirer même du communisme) aucun changement n’est possible démocratiquement dans un pays de castors qu’on prive par ailleurs, à leur décharge, de toute candidature non adoubée par le système.

La gangrène a beau être avancée, nous n’avons face à nous que des bonimenteurs qui jouent sur la peur de l’amputation (pourtant rendue nécessaire, sous peine de mort pour avoir trop attendu) pour vendre leur pommade parfumée à la menthe qui au mieux camouflera l’odeur des chairs nécrosées jusqu’aux prochaines élections devenues leur horizon indépassable. Cela inclut ceux qui nous vendent qu’une fois récupéré le gouvernail d’un rafiot vermoulu qui prend l’eau au milieu de l’océan, c’est sûr, ils vont faire mieux que les autres, en douceur, par la magie d’un bulletin de vote, en préservant les avantages acquis des papillons attirés par leur lumière. Le Frexit n’est pas le Saint-Graal, juste un outil, trop souvent présenté (logique démocratique oblige) comme un préalable afin de mettre sous le tapis que le problème est moins le gouvernail que la structure de la coque, l’identité, gros tabou, étant devenue trompeusement « ethnofluide » et non binaire sur tout le spectre politique.
 
La perspective de la scie égoïne faisant automatiquement perdre des voix, on nage dans l’eau tiède à colorimétrie suspecte faisant que, par exemple, monte la petite musique selon laquelle on pourrait louer des places de prison à l’étranger plutôt que d’éliminer physiquement les criminels, ce qui, à ce stade, est la seule solution pour ne pas devenir un narco état. Idem pour tous ceux qui pénètrent non invités sur notre territoire. Des mesures d’urgence, testées avec succès ailleurs, mais inenvisageables en pseudo « démocratie » alors qu’elles résoudraient pourtant la partie la plus grave de la problématique en quelques semaines et que toute intelligence artificielle non bridée les édicterait comme une évidence logique.

Se suicider individuellement au nom de ses principes, pourquoi pas, mais suicider collectivement en même temps nos enfants qui n’ont rien demandé tout en crachant sur la tombe de tous ceux qui ont sué sang et eau, sans s’embarrasser, eux, de moraline rectale, pour que nous ayons un avenir meilleur, contrevient, à mon humble avis, à ces mêmes principes. Surtout quand ledit suicide est socialement imposé à tous faisant, par exemple, qu’un contrôleur du métro toulousain qui en 2022 avait neutralisé un agresseur armé d’un couteau, puis, quelques temps plus tard, un autre muni d’une machette, vient d’être suspendu pour (dangereux récidiviste) s’être défendu une nouvelle fois face à un usager violent plutôt que de donner une occasion à Retailleau de condamner encore plus fermement que d’habitude, à Mélenchon d’excuser le coupable et à sa veuve d’organiser une marche blanche contre la haine avec de jolis petits nounours et des bougies parfumées à la noix de coco bio et écoresponsable. Je ne sais pas si c’est l’écœurement, mais je sens les frites d’avant-hier qui remontent. 

Sur ma lancée, je n’ai pas regardé non plus l’eurovision, boudé par autant de monde que Macron, ce qui nous laisse une petite étincelle d’optimisme quant à l’avenir de l’humanité, mais j’ai ouï dire que Louane, mal inspirée d’avoir apporté du sable a fini enlisée dans le classement, tandis que la victoire revenait à l’Autriche, pas avec le tube de Kanye West « Heil Hitler », mais après Conchita Wurst, avec un autrichien Philippin (sans barbe cette fois) doté d’une remarquable voix de castrat, toute trace de virilité se devant d’être expiatoirement éradiquée. Las, chassez le naturel, il revient au galop et le seul fait d’avoir ravi le podium à Israël porte en lui, sournoisement tapis, quelques relents d’heures sombres, mais moins que de se poser la question géographique de la présence d’un pays passé de la gazophobie à la gazaphobie à l’Eurovision.


dimanche 11 mai 2025

Nouvel ASTERIX, nouveau PAPE, même MACRON. Résumé de la semaine (11/05/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/JWRvxMqRgGk

Bonjour !
Ça y est, habemus Papam, voire papam cucul, Léon HIV, pardon XIV, euh… 14 étant encore plus immigra-sioniste que le précédent qui était pourtant allé jusqu’à couler un bronze au milieu de la place Saint-Pierre… avec sa fameuse statue représentant des migrants (dont un à papillotes au premier rang) sans toutefois pousser le zèle jusqu’à transformer la chapelle Sixtine en centre d’accueil, le Vatican ayant, pour mémoire, la politique migratoire la plus répressive d'Europe, législation encore renforcée en 2024.

Les conservateurs se consoleront en se focalisant sur le fait que, pour faire oublier des accusations de soutien à 3 prêtres pédophiles à Chicago (US) et Chiclayo (Pérou, ça ne s’invente pas), il semble moins « ouvert » aux LGBT, en dépit du fait qu’avec un nombre d’années au compteur de « 69 », il pourrait encore être sujet à des accès résiduels de « priapapisme », à l’image d’un Mélenchon qui continue à abuser des beurettes en dépit de son cholestérol avec, à l’issue, quelques crêpages de chignons médiatiques, cette semaine, au sein de son harem haram. Pour ma part, je trouve très bien que l’église réprouve les hommes qui s’habillent en robe, l’autocritique sincère ouvrant les voies du paradis… 
 
Et il est vrai qu’un tour de vis sur les tenues vestimentaires s’imposait depuis que, sans rapport aucun, Brigitte Macron a suscité la polémique pour ne pas porter de mantille aux obsèques papales comme le veut le protocole, probablement en raison des risques d’incendie liés à l’électricité statique de l’acrylique en cas de frottement. Ce qui me rappelle qu’on ne sait toujours pas ce qui a provoqué l’incendie de Notre-Dame…

Toujours est-il que celui qui a choisi de s’appeler Léon plutôt que Pie, preuve que sa prostate ne l’obsède pas encore, étonnamment n’est cardinal que depuis 2023, époque à laquelle certains craignaient un second mandat de Trump et où son prédécesseur se savait malade. Qu’un pape américain ait été élu maintenant, par des cardinaux majoritairement ordonnés, comme lui, par Bergoglio (au point de dépasser le nombre normalement autorisé) n’est donc pas forcément politiquement neutre, laisse peu de doute sur ses orientations (confirmées par ses prises de position antérieures) et sur le fait que la chose ait pu être planifiée à l’avance.

Le côté positif est que Macron a été vexé comme un pou de testicule élyséen surnuméraire qu’on n’ait pas choisi son candidat. Comme à son habitude, il a essayé de détourner l’attention sur lui en déclarant devant les maçons sans brouettes de la Grande Loge de France (depuis la place du vénérable et non de l’orateur, vanité oblige) que ladite France, jadis fille aînée de l’église était, en fait, « la fille naturelle de la République », un rebondissement digne d’une télénovela hispanique. En attendant l’épisode suivant, pour savoir qui est le père (peut-être un transsexuel caché dans les caves de l’Élysée, tout est possible) on est quand même soulagés que, dans les deux cas, l’avortement n’était pas encore constitutionnalisé. 

Oubliés, donc « nos ancêtres les Gaulois », chose qui frise le manque de respect antisémite au moment précis où Alain « shabbat » sort la version animée du « combat des chefs » sur Netflix avec un certain nombre de collègues circoncix au casting, à l’image d’ailleurs, certainement une coïncidence, du créateur Goscinix auquel, qu’il l’ait fait consciemment ou non, on doit plusieurs décennies d’insidieux empoisonnement culturel. 
 
Ce qui peut ressembler à une couche de pommade dans le sens du poil sur l’orgueil franchouillard n’est, en effet, que de la vaseline pour mieux remplacer, dans la représentation du roman national, l’héroïsme gaulois par de la tricherie et de la roublardise, façon David contre Goliath, la fronde devenant la potion magique et l’invincibilité étant l’antithèse du courage. Un support parfait pour vendre les vertus soixante-huitardes du chaos sur l’ordre (ici romain, ridiculisé au passage, en rapport, peut-être, avec la destruction d’un certain temple resté en travers de la gorge de certains) tout en faisant assimiler et s’assimiler les Français de souche à un nabot et un gros con, en mode « Dupont la joie » - les deux vivant, par ailleurs (et accessoirement Toutatis), « suspectement » en quasi-concubinage - avec pour conséquence qu’une fois travaillés au corps, le visuel du tandem Sarkozy - Gérard Larcher n’a posé de problème à personne. 

Netflix n’a pu se refréner de rajouter une touche (pas à mon pote) de féminisme et de genderfluide, tout en se permettant d’augmenter ses tarifs sans aucun service ajouté, ce qui fera que, lorsqu’il crèvera, à l’instant qui arrive à grands pas où l’IA permettra de générer des séries et longs métrages sur mesure à la demande, personne ne versera de larmes. En toute objectivité, Chabat ayant incontestablement du talent, une fois les chakras fermés et l’anus dilaté, quelques passages drôles et de multiples clins d’œil (jusqu’à « Avengers end game ») font passer, entre autres, la pilule transsuppositoire de façon plutôt agréable. 

Heureusement, tout n’est pas perdu puisque dans la pure lignée d’Astérix, il nous reste Brunoretaillix qui veut lutter contre l’envahisseur en imposant une épreuve écrite d’histoire à tout candidat à la nationalité française, là où une épreuve écrite tout court aurait amplement fait le job éliminatoire. Après, plutôt que de l’histoire, si on veut vraiment éliminer du monde, il suffirait de leur demander d’expliquer en 2 paragraphes qui exactement Macron salue-t-il depuis sa voiture lorsqu’il défile les 8 mai sur des Champs-Élysées vides. Mais, ne rêvons pas, faute d’imagination, il est donc probable que lesdits candidats devront simplement réciter que la France est née en 1789 et qu’elle a pour but principal de lutter contre l’antisémitisme, ce qui n’est pas gagné quand le dernier tube de Kanye West « Heil Hitler » est numéro 1 sur spotify. N’écoutez surtout pas, car le refrain rentre facilement dans la tête.

Pour mémoire les seules naturalisations par décret (les seules concernées par la mesure) c’est certes 70 000 personnes par an ce qui est considérable, mais il reste encore à trouver comment faire passer l’examen au presque demi-million d’adorateurs de la CAF qui, à pied, à cheval et à la nage, entrent tous les ans sur notre territoire devenu un véritable cloaque. En dehors de l’organisme susnommé, il est plus compliqué de trouver quelque chose qui fonctionne encore qu’un hétéro au Rassemblement National, que ce doit la police, la justice, en passant par les hôpitaux et les écoles dont certaines sont carrément déplacées, en raison des risques présentés par les dealers, plutôt que d’envoyer l’armée faire le ménage au fusil d’assaut.
 
Les viols, violences gratuites, séances d’autos tamponneuses sans permis sur piétons, coups de couteaux, fusillades, intimidations de policiers et d’élus, séquestrations et chantages avec coupage de doigts, home jackings, incendies, attaques de prisons commanditées depuis le confort de cellules dépourvues de dispositifs de brouillage et autres émeutes urbaines, y compris en cas de victoire du PSG, sont tellement rentrés à sec dans les mœurs que ce n’est même plus de l’actualité. Par ailleurs, un nouveau rapport préconise une « réduction de peine exceptionnelle » générale automatique pour « tous » les détenus dès que le taux de remplissage des prisons atteint 100%, ce qui ne peut qu’améliorer les choses. On pourrait aussi imaginer une loterie à l’envers de sorte que n’iraient en prison que ceux qui tirent un mauvais numéro. Le jour est proche où il deviendra commercialement intéressant de faire des promotions « spécial OQTF » avec moins 20% sur présentation du document, le capitalisme ne pouvant ignorer plus longtemps un segment de marché en expansion constante.

Pendant ce temps, le capitaine du Titanix, estime opportun d’accueillir à l’Élysée Ahmed Al-Charaa, décapiteur démocrate à la barbe réformée et Président transitoire autoproclamé (pour 10 ans) d’une « Syrie » non plus du bois, mais des principes. Principes qui n’étouffent pas non plus un certain Netanyahou, probablement le prochain sur la liste des invités d’un bouffon de plus en plus isolé et qui, entre deux nettoyages ethniques, a carrément tenté de couler le bateau de Greta Thunberg dans les eaux internationales, ce qui n’est guère écologique, mais, dès lors qu’elle défend la Palestine plutôt que de se focaliser uniquement sur la toxicité des pets de vache, ne mérite plus, apparemment, que les médias en parlent.


dimanche 4 mai 2025

PIRE QU’EN ESPAGNE ! Préparez les bougies, les coupures arrivent ! (04/05/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/DWiJq6K6wWw

Bonjour !
Conséquence de trop de migrants « in » nous avons eu, nous aussi un black « out », un Malien victime d’une coupure définitive de coran dans une mosquée du fait d’un gitan bosnien à carte plastifiée tricolore magique, « sous tension », mais visiblement « à la masse » avec les câbles qui se touchent, ce qui a suffi pour que certains en « phase » avec les larmes de « pinces crocodile » versées par Mélenchon entre 2 séances de rigolade avec ses potes, dépassent les « bornes » et manifestent contre l’islamophobie, sans un minimum de laquelle, pourtant, Charles Martel aurait joué à la PlayStation et de Gaulle serait inhumé à Colombey Les Deux Mosquées. De la même façon, un chouïa de tigre-à-dents-de-sabrophobie peut expliquer la survie de notre espèce en dépit de quelques ossements mâchouillés de LFI néanderthaliens découverts lors de fouilles archéologiques.

Pour ce qui est de l’Espagne qui a mis 700 ans à se libérer des Mauresques et autres sémites adjacents, depuis qu’on m’a mis « au courant » qu’elle n’en avait plus (… de courant, le black-out géant concluant une série de catastrophes de dimensions bibliques), j’appréhende qu’une nuée de sauterelles (ou pire, le retour conjoint de Manuel Valls et d’Anne hidalgo) ne vienne confirmer la réalisation de quelque prophétie eschatologique. 

Pour comprendre ce qui s’est passé, imaginons que notre Première dame soit prise d’une envie pressante. Son flux urinaire dépendra alors du remplissage de sa vessie avec du champagne grand cru payé par nous et de la taille de sa prostate, un peu comme la pression d’un robinet. La tension électrique est, en quelque sorte, l’équivalent de cette pression et elle doit rester très proche des 50Hz pour ne pas abîmer les appareils connectés, surtout s’ils sont insérés en des endroits sensibles. Si on produit plus que ce qui est consommé, la « pression » augmente, si on produit moins, la pression chute. Dans les deux cas, on tente de réguler en éteignant des centrales ou en allumant des unités capables d’être chaudes rapidement (gaz, charbon, Rachida Dati) et, en cas d’échec, des sécurités s’enclenchent. 
 
Grâce à la sagacité de l’Union européenne qui a instauré cette mesure pour les inciter à réguler, en cas de surproduction, les fermes solaires voient le prix de vente hors contrats de leur électricité passer en négatif sur le marché d’échange, c’est-à-dire qu’elles payent au lieu d’engranger des revenus. Le souci est que, toujours grâce à la sagacité de ladite Union, lesdites fermes continuent à être payées, même à l’arrêt, et perçoivent les montants prévus par contrat pour compenser les fluctuations d’un soleil d’extrême droite potentiellement antisémite (la preuve, Israël est en train de cramer) et qui refuse obstinément de se plier aux injonctions de Bruxelles. Dès lors, plutôt que d’investir dans des systèmes coûteux de régulation, il est plus simple pour elles de carrément fermer le robinet dès qu’elles courent le moindre risque de perdre un peu d’argent, passant brusquement d’une surproduction à une production nulle avec, au cas particulier, un manque soudain de 15 000 mégawatts qui a fait planter tout le système. Même la mise « en branle » en catastrophe de la ministre susnommée sous aphrodisiaque bancaire ou diamanté, couplée à une turbine rectale quantique n’aurait rien pu y faire. Bien sûr les médias mainstream vous diront que tout cela c’est « défèque news » autrement dit de la merde.

D’une manière générale, les énergies intermittentes, sujettes à des fluctuations parfois violentes ne permettent pas, par nature, une régulation suffisamment réactive faisant que plus on augmente leur pourcentage dans le mix énergétique, plus la probabilité d’une coupure géante de courant se rapproche de celle d’une gastro-entérite chez Gérad Larcher. Permettre plus de 70% au moment de l’incident, d’autant que des rapports d’experts alertent depuis des années les gouvernements sur ce danger, était totalement irresponsable. Le gouvernement espagnol a d’abord tenté d’invoquer une cyberattaque parce qu’en cas de problème on tente toujours 500mg de « Céléruss » en suppositoire, on ne sait jamais, puis voyant que cela n’a pas fonctionné, bien que connaissant parfaitement les causes, a lancé solennellement une enquête en espérant des résultats entre la Saint-Glin-Glin et le 30 février, le temps que le cerveau de poisson rouge du citoyen-consommateur moderne soit passé à autre chose.

Ce n’est pas pour autant que la leçon a été apprise et que les adeptes de la secte escrologique qui, malheureusement, nous gouvernent en France aussi, vont renoncer à leur eschatologie à eux : la fin du monde par pets de vaches selon l’évangile de Greta Thunberg. Une catastrophe qu’ils nous vendent comme évitable à la condition expresse que ceux qui produisent moins de 1% de la pollution mondiale se suicident à la fois physiquement, en arrêtant de faire des enfants blancs contre intuitivement plus carbonés que les migrants couleur charbon, mais écologiques, appelés à les remplacer, et économiquement en s’équipant en matériel non recyclable, fabriqué avec des matières toxiques et rares, qui imposent un recours massif à des centrales thermiques polluantes, tout en décuplant les coûts pour les particuliers et les entreprises, tandis qu’en Indonésie, par exemple, les gens utilisent les déchets plastique comme combustible, brûlés directement sans filtres, sur des kilomètres carrés, pour fabriquer du tofu aromatisé à la dioxine. Prions donc pour que tous les Français comprennent à quel point pisser sous la douche et bouffer du quinoa aux insectes marinés fera une grosse différence et qu’il est vital de continuer à jouer les castors, à l’image des Canadiens, pressés visiblement de devenir une annexe du sous-continent indien et qui ont voté en masse pour le parti de Trudeau qu’ils conspuaient il y a encore 3 mois.

Moins que le solaire en lui-même, c’est sa mutualisation qui est une hérésie économique. Si l’on fait fi des problèmes de recyclage non résolus, la seule option rationnelle serait l’autoconsommation stricte, sans réinjection dans le réseau, ce qui suppose des batteries, un circuit dédié et surtout que des normes d’installation ubuesques et des taxes en contradiction avec la volonté écologique affichée ne deviennent pas le principal frein au développement du solaire individuel. Pour un peu, on croirait presque (pensée nauséabondement complotiste) que l’état ne veut pas que les gens soient indépendants… ou alors qu’il n’a pas encore réalisé qu’il pourrait en profiter pour mettre en place une taxe forfaitaire proportionnelle au niveau d’ensoleillement annuel. 
 
Quant aux éoliennes « ornithophobes » graissées au pétrole, montées sur des tonnes de béton et qui finissent empilées dans des terrains vagues une fois hors d’usage, c’est une catastrophe écologique et économique, les prestataires parasites étant compensés, eux aussi, quand ils ne produisent pas à un prix déjà exorbitant, ce qui en fait une rente de situation coûteuse aux frais de la collectivité, rente dont une petite partie est redistribuée sous forme de pots-de-vin bio dans les diverses strates décisionnaires de sorte à en implanter toujours davantage.

Le pire est que ce sont nos centrales nucléaires vieillissantes qui, à l’opposé de leur rôle initial, deviennent la variable d’ajustement des énergies intermittentes alors qu’elles n’ont pas été conçues pour être éteintes ou rallumées sans arrêt, chose qui augmente mathématiquement les risques d’une catastrophe majeure.
Pendant que les milliards s’échangent allègrement au-dessus de nos têtes faisant de l’électricité un produit de luxe, selon un dernier rapport de l’INSEE, 14% des Français sont déjà contraints de se rationner sur la nourriture ou les produits d’hygiène et 22% ont du mal à boucler leurs fins de mois, une fois payé l’incompressible.

Qu’on se rassure, Macron prendra le problème à petits bras le corps, quand il aura fini d’organiser une urgentissime convention citoyenne sur les rythmes scolaires et qu’il aura choisi le prochain pape en se ridiculisant encore une fois (et hélas nous avec) par ses manœuvres grossières. Pour ma part le conclave m’a toujours semblé une hérésie, le pape devant plutôt être choisi par Dieu, par exemple en plaçant les candidats dans une piscine avec des crocodiles (ou J.D. Vance), sachant que, si survivant il y a, non seulement on sera sûrs qu’il aura la foi, mais qu’une volonté divine serait au moins de l’ordre du vraisemblable. Pas besoin d’une grosse piscine parce que je subodore que les prétendants se bousculeraient moins, autre avantage de la méthode qu’on pourrait d’ailleurs tester aux prochaines présidentielles.