Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/DWiJq6K6wWw
Bonjour !
Conséquence de trop de migrants « in » nous avons eu, nous aussi un black « out », un Malien victime d’une coupure définitive de coran dans une mosquée du fait d’un gitan bosnien à carte plastifiée tricolore magique, « sous tension », mais visiblement « à la masse » avec les câbles qui se touchent, ce qui a suffi pour que certains en « phase » avec les larmes de « pinces crocodile » versées par Mélenchon entre 2 séances de rigolade avec ses potes, dépassent les « bornes » et manifestent contre l’islamophobie, sans un minimum de laquelle, pourtant, Charles Martel aurait joué à la PlayStation et de Gaulle serait inhumé à Colombey Les Deux Mosquées. De la même façon, un chouïa de tigre-à-dents-de-sabrophobie peut expliquer la survie de notre espèce en dépit de quelques ossements mâchouillés de LFI néanderthaliens découverts lors de fouilles archéologiques.
Conséquence de trop de migrants « in » nous avons eu, nous aussi un black « out », un Malien victime d’une coupure définitive de coran dans une mosquée du fait d’un gitan bosnien à carte plastifiée tricolore magique, « sous tension », mais visiblement « à la masse » avec les câbles qui se touchent, ce qui a suffi pour que certains en « phase » avec les larmes de « pinces crocodile » versées par Mélenchon entre 2 séances de rigolade avec ses potes, dépassent les « bornes » et manifestent contre l’islamophobie, sans un minimum de laquelle, pourtant, Charles Martel aurait joué à la PlayStation et de Gaulle serait inhumé à Colombey Les Deux Mosquées. De la même façon, un chouïa de tigre-à-dents-de-sabrophobie peut expliquer la survie de notre espèce en dépit de quelques ossements mâchouillés de LFI néanderthaliens découverts lors de fouilles archéologiques.
Pour ce qui est de l’Espagne qui a mis 700 ans à se libérer des Mauresques et autres sémites adjacents, depuis qu’on m’a mis « au courant » qu’elle n’en avait plus (… de courant, le black-out géant concluant une série de catastrophes de dimensions bibliques), j’appréhende qu’une nuée de sauterelles (ou pire, le retour conjoint de Manuel Valls et d’Anne hidalgo) ne vienne confirmer la réalisation de quelque prophétie eschatologique.
Pour comprendre ce qui s’est passé, imaginons que notre Première dame soit prise d’une envie pressante. Son flux urinaire dépendra alors du remplissage de sa vessie avec du champagne grand cru payé par nous et de la taille de sa prostate, un peu comme la pression d’un robinet. La tension électrique est, en quelque sorte, l’équivalent de cette pression et elle doit rester très proche des 50Hz pour ne pas abîmer les appareils connectés, surtout s’ils sont insérés en des endroits sensibles. Si on produit plus que ce qui est consommé, la « pression » augmente, si on produit moins, la pression chute. Dans les deux cas, on tente de réguler en éteignant des centrales ou en allumant des unités capables d’être chaudes rapidement (gaz, charbon, Rachida Dati) et, en cas d’échec, des sécurités s’enclenchent.
Grâce à la sagacité de l’Union européenne qui a instauré cette mesure pour les inciter à réguler, en cas de surproduction, les fermes solaires voient le prix de vente hors contrats de leur électricité passer en négatif sur le marché d’échange, c’est-à-dire qu’elles payent au lieu d’engranger des revenus. Le souci est que, toujours grâce à la sagacité de ladite Union, lesdites fermes continuent à être payées, même à l’arrêt, et perçoivent les montants prévus par contrat pour compenser les fluctuations d’un soleil d’extrême droite potentiellement antisémite (la preuve, Israël est en train de cramer) et qui refuse obstinément de se plier aux injonctions de Bruxelles. Dès lors, plutôt que d’investir dans des systèmes coûteux de régulation, il est plus simple pour elles de carrément fermer le robinet dès qu’elles courent le moindre risque de perdre un peu d’argent, passant brusquement d’une surproduction à une production nulle avec, au cas particulier, un manque soudain de 15 000 mégawatts qui a fait planter tout le système. Même la mise « en branle » en catastrophe de la ministre susnommée sous aphrodisiaque bancaire ou diamanté, couplée à une turbine rectale quantique n’aurait rien pu y faire. Bien sûr les médias mainstream vous diront que tout cela c’est « défèque news » autrement dit de la merde.
D’une manière générale, les énergies intermittentes, sujettes à des fluctuations parfois violentes ne permettent pas, par nature, une régulation suffisamment réactive faisant que plus on augmente leur pourcentage dans le mix énergétique, plus la probabilité d’une coupure géante de courant se rapproche de celle d’une gastro-entérite chez Gérad Larcher. Permettre plus de 70% au moment de l’incident, d’autant que des rapports d’experts alertent depuis des années les gouvernements sur ce danger, était totalement irresponsable. Le gouvernement espagnol a d’abord tenté d’invoquer une cyberattaque parce qu’en cas de problème on tente toujours 500mg de « Céléruss » en suppositoire, on ne sait jamais, puis voyant que cela n’a pas fonctionné, bien que connaissant parfaitement les causes, a lancé solennellement une enquête en espérant des résultats entre la Saint-Glin-Glin et le 30 février, le temps que le cerveau de poisson rouge du citoyen-consommateur moderne soit passé à autre chose.
Ce n’est pas pour autant que la leçon a été apprise et que les adeptes de la secte escrologique qui, malheureusement, nous gouvernent en France aussi, vont renoncer à leur eschatologie à eux : la fin du monde par pets de vaches selon l’évangile de Greta Thunberg. Une catastrophe qu’ils nous vendent comme évitable à la condition expresse que ceux qui produisent moins de 1% de la pollution mondiale se suicident à la fois physiquement, en arrêtant de faire des enfants blancs contre intuitivement plus carbonés que les migrants couleur charbon, mais écologiques, appelés à les remplacer, et économiquement en s’équipant en matériel non recyclable, fabriqué avec des matières toxiques et rares, qui imposent un recours massif à des centrales thermiques polluantes, tout en décuplant les coûts pour les particuliers et les entreprises, tandis qu’en Indonésie, par exemple, les gens utilisent les déchets plastique comme combustible, brûlés directement sans filtres, sur des kilomètres carrés, pour fabriquer du tofu aromatisé à la dioxine. Prions donc pour que tous les Français comprennent à quel point pisser sous la douche et bouffer du quinoa aux insectes marinés fera une grosse différence et qu’il est vital de continuer à jouer les castors, à l’image des Canadiens, pressés visiblement de devenir une annexe du sous-continent indien et qui ont voté en masse pour le parti de Trudeau qu’ils conspuaient il y a encore 3 mois.
Moins que le solaire en lui-même, c’est sa mutualisation qui est une hérésie économique. Si l’on fait fi des problèmes de recyclage non résolus, la seule option rationnelle serait l’autoconsommation stricte, sans réinjection dans le réseau, ce qui suppose des batteries, un circuit dédié et surtout que des normes d’installation ubuesques et des taxes en contradiction avec la volonté écologique affichée ne deviennent pas le principal frein au développement du solaire individuel. Pour un peu, on croirait presque (pensée nauséabondement complotiste) que l’état ne veut pas que les gens soient indépendants… ou alors qu’il n’a pas encore réalisé qu’il pourrait en profiter pour mettre en place une taxe forfaitaire proportionnelle au niveau d’ensoleillement annuel.
Quant aux éoliennes « ornithophobes » graissées au pétrole, montées sur des tonnes de béton et qui finissent empilées dans des terrains vagues une fois hors d’usage, c’est une catastrophe écologique et économique, les prestataires parasites étant compensés, eux aussi, quand ils ne produisent pas à un prix déjà exorbitant, ce qui en fait une rente de situation coûteuse aux frais de la collectivité, rente dont une petite partie est redistribuée sous forme de pots-de-vin bio dans les diverses strates décisionnaires de sorte à en implanter toujours davantage.
Le pire est que ce sont nos centrales nucléaires vieillissantes qui, à l’opposé de leur rôle initial, deviennent la variable d’ajustement des énergies intermittentes alors qu’elles n’ont pas été conçues pour être éteintes ou rallumées sans arrêt, chose qui augmente mathématiquement les risques d’une catastrophe majeure.
Pendant que les milliards s’échangent allègrement au-dessus de nos têtes faisant de l’électricité un produit de luxe, selon un dernier rapport de l’INSEE, 14% des Français sont déjà contraints de se rationner sur la nourriture ou les produits d’hygiène et 22% ont du mal à boucler leurs fins de mois, une fois payé l’incompressible.
Qu’on se rassure, Macron prendra le problème à petits bras le corps, quand il aura fini d’organiser une urgentissime convention citoyenne sur les rythmes scolaires et qu’il aura choisi le prochain pape en se ridiculisant encore une fois (et hélas nous avec) par ses manœuvres grossières. Pour ma part le conclave m’a toujours semblé une hérésie, le pape devant plutôt être choisi par Dieu, par exemple en plaçant les candidats dans une piscine avec des crocodiles (ou J.D. Vance), sachant que, si survivant il y a, non seulement on sera sûrs qu’il aura la foi, mais qu’une volonté divine serait au moins de l’ordre du vraisemblable. Pas besoin d’une grosse piscine parce que je subodore que les prétendants se bousculeraient moins, autre avantage de la méthode qu’on pourrait d’ailleurs tester aux prochaines présidentielles.
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