Bonjour !
On le savait déjà, la seule façon pour
les membres du gouvernement d’être compétents, c’est de bouffer des fayots et
je ne parle pas de journalistes, ce serait du cannibalisme. Je ne vais pas
revenir sur toutes ses incohérences et autres virages à 180 degrés ou sur le
ridicule épisode des municipales qui permettra à certains d’écrire sur leur
pierre tombale « j’ai risqué ma vie et je suis mort parce que je voulais
absolument que Darmanin soit élu au premier tour, ou que Philippe arrive en
tête au Havre ». A ce stade ça s’appelle « la sélection naturelle ».
Continuer après ça à prétendre que toute vie mérite d’être sauvée relève alors
davantage du serment d’hypocrite que de celui d’Hippocrate.
Pourtant, tandis
que Marlène Schiappa, dans une de ses improbables envolées cognitives transcendantales,
s’inquiète de la potentielle recrudescence des violences conjugales à l’occasion
du confinement, délicat mélange de "balance ton porc" et du souci de sauver la
vie des truies, d’autres tombent dans une obsession collective hystérique, orchestrée
pour les persuader qu’ils vont sauver, eux aussi, un nombre indéterminé de vies... à
coup de gel hydroalcoolique. Puis, une fois le fait accepté, peu importe que ça
soit statistiquement insignifiant, on augmente la dose en demandant toujours davantage,
sciant à chaque fois encore un peu plus la branche sur laquelle nous sommes tous
assis, par cette même méthode qui nous a conduits à accepter docilement l’invasion
migratoire (pour sauver des vies), les radars (pour sauver des vies), l’état d’urgence
permanent (toujours pour sauver des vies) et, montant encore d’un cran (encore
pour sauver des vies), d’être « confinés » par des « cons finis »,
lesquels en profitent pour gratter un petit billet au passage en nous
rackettant de 135 € (majorable à 375) si on promène son chien sans s’être donné
soi-même l’autorisation par écrit; et déjà se profile la prochaine étape avec
les pleins pouvoirs au président. Aucune raison de s’inquiéter.
Tant qu’à vouloir
à tout prix sauver des vies on aurait pu se pencher, entre beaucoup d’autres
choses qu’on pourrait améliorer sans restreindre nos libertés, sur les 200 000
avortements par an, les 120 attaques au couteau quotidiennes ou le fait qu’un
agriculteur se suicide tous les deux jours, mais je ne vais pas chipoter, d’autant
que la France est en guerre. Macron l’a dit 5 fois, donc c’est certainement plus
vrai que s’il ne l’avait dit qu’une. Je n’ai pas eu le mémo, mais j’espère qu’entre
temps on a gagné la guerre contre le terrorisme car sinon, commencer une autre
guerre, ce n’est vraiment pas raisonnable. Bon, vous me direz qu’il y a du
progrès puisqu’on est passés de la guerre contre un concept à la guerre contre
un virus, ce qui est déjà plus tangible. Tous nos militaires seront dotés d’un microscope
en remplacement des lunettes de fusil avec instruction de viser entre les deux
yeux.
Le point commun derrière cette martialité verbale étant le caractère
météorologique de ces calamités qui arrivent, comme la pluie, sans raison. Pour
le terrorisme islamiste, aucun rapport avec le fait qu’on ait des millions de
musulmans en France. Ce n’est pas la faute de ceux qui les ont fait entrer, ni
de ceux qui les ont excités pendant des décennies; bref une guerre ou l’on se
fait tuer mais où l’on ne tue personne, à part quelques décérébrés, éliminés au
drone dans un lointain désert pendant qu’ils font la sieste entre deux
enculages de chèvres. Pour le coronavirus c’est pareil, il est venu à pied.
Certes,
dans un fugitif éclair de lucidité (comme quand il avait trouvé bizarre que sa
prof de français insiste pour lui donner des cours particuliers), Emmanuel, du
bout de ses lèvres à la peau suspicieusement fine, a annoncé la fermeture des
frontières… européennes, il ne faut pas pousser non plus. L’espace d’un instant
j’ai eu peur, imaginant qu’on allait subitement aider les Grecs à contenir les
migrants lesquels semblent avoir une appétence soudaine pour le coronavirus,
sans hésiter, après les sommations d’usage, à tirer dans le tas, mais pas d’inquiétude
puisque « en même temps » si les préfectures sont fermées pour les
Français, assignés à résidence, une permanence est assurée pour… les demandeurs
d’asile. C’est donc une guerre, mais gentille. Les coups de matraques on les
garde pour les réfractaires.
J’ai le malheur d’avoir un esprit logique
aggravé par des années d’analyse informatique et avec les éléments dont je
dispose, sans même parler de ce noyage de poisson dans une mer de conneries qu’est
la communication politique, absolument rien ne fait sens dans cette histoire de
coronavirus. On nous refait le coup du sida ou de l’antisémitisme en
agglomérant les résultats depuis le début de l’épidémie pour grossir les
chiffres. Le nombre de nouveaux cas, qu’on nous sert quotidiennement comme des
suppositoires de padamalgam en période d’attentats, n’a aucune valeur statistique
puisque toute augmentation est davantage corrélée à la capacité limitée (par
choix politique) de tests, réservés à des gens présentant des symptômes, qu’à l’évolution
de la maladie. Pareil pour le nombre de morts dont le ratio est d’autant plus
élevé qu’il est calculé par rapport aux nombres de ces personnes testées. C’est
comme si on utilisait l’assemblée nationale pour mesurer le taux de connerie
des Français. La seule chose qui ne fait pas débat mais qu’on occulte depuis la
volte-face du gouvernement (et que les soirées théâtre présidentielles ne sont
plus de mise) même si, comme diraient certains LGBT, on le mal occulte, c’est que
l’immense majorité des gens n’est pas affectée ou s’en sort avec 3 dolipranes.
Si
l’on se fie au Diamond Princess, au Japon, véritable scénario catastrophe dans
lequel une population essentiellement du 3ème âge a été confinée dans un
environnement contaminé (un peu comme devant la télé), on constate que l’immense
majorité n’a pas contracté le virus et que, parmi ceux qui l’ont contracté, le
taux de mortalité a été infime. Pour le reste, bien qu’on devrait avoir à
présent un recul suffisant pour, théoriquement, connaître les fondamentaux
relatifs à la bestiole, impossible pourtant d’avoir des réponses claires (à se
demander si on ne fait pas tout pour faire paniquer les gens) quant à l’incubation,
la réponse immunitaire, les recontaminations ou le taux de survie, en conditions
optimales, de ceux nécessitant vraiment une hospitalisation. En l’absence de ces
éléments clairement énoncés, les décisions politiques semblent plus relever de
la danse de la pluie que font certains manifestant écolos en s’imaginant sauver
un climat qui ne leur a rien demandé, que du simple bon sens.
Il faut bien comprendre que la paralysie
d’un pays tout entier ne peut pas s’éterniser sur une longue période sous peine
de tuer le patient plus rapidement que l’épidémie, sachant que, au cas
particulier, si un remède n’est pas trouvé dans l’intervalle, à la seconde où l’on
ouvrira la fenêtre, ladite épidémie va reprendre, aussi virulente que jamais. La
seule justification du confinement, gros mot qui n’a pas été prononcé par notre
général en chef (et pratique visiblement dérogatoire dans certains quartiers
sans que ça n’émeuve personne) c’est donc de retarder l’inévitable en attendant
le miracle et, si c’est fait suffisamment en amont, de lisser la courbe pour limiter
le véritable danger : la saturation du système de santé. Un système de
santé mis à mal par l’incurie de nos politiques, le pillage organisé de nos
ressources par le haut et l’illusion, poussée par une fausse générosité avec le
portefeuille des autres, d’avoir le devoir et la capacité de soigner toute la
misère du Monde. L’implacable réalité, sur ce dernier point, c’est que, mathématiquement,
une fois le système saturé, pour chaque migrant ou bénéficiaire de l’AME pris
en charge, un Français va mourir. Et ça, même les bobos qui, peu enthousiastes
à l’idée de se retrouver a portée de dents de Laeticia Avia en cas de pénurie alimentaire,
se sont dépêchés de quitter en masse Paris (et autres grandes villes) pour aller
disséminer dans des campagnes gilets jaunes, plus épargnées, les germes glanés
dans les bars, la veille, en dépit des recommandations, finiront par le
comprendre quand ils y seront directement confrontés.
Enfin, pour un
gouvernement, copier les autres, juste pour rassurer sa population est
relativement ridicule lorsque la chose est faite imparfaitement. Un peu comme
un masque qui ne couvrirait que la moitié du visage ou comme lorsque le
spermatozoïde du papa de Castaner a trébuché avant de rencontrer l’ovule de sa
maman, perdant un peu de son matériel génétique au passage. Le confinement
tardif et indifférencié, en France, n’a rien de comparable avec celui, précoce et
basé sur des tests, en Corée ou au Japon dont les populations sont disciplinées,
portent toutes un masque et respectent strictement les distances de sécurité
tout en n’ayant aucune habitude culturelle de toucher les autres, un peu comme Griveaux
qui préfère se toucher lui-même. En outre, un confinement de 14 jours pour une
maladie dont la période d’incubation peut être de 30 et dont la durée pendant
laquelle on est contagieux est supérieure à 20, relève du foutage de gueule.
La solution inverse, celle du laisser-faire,
à l’anglaise, qui a au moins l’avantage de ne pas bloquer le pays, table sur le
fait que non seulement on va développer une immunité au virus, mais que cette
immunité est suffisamment longue pour éviter une recontamination. Il se trouve
que de nombreux cas de rechute après des tests pourtant négatifs censés
confirmer la guérison rendent ce pari très risqué. En outre, certains cas
inexpliqués laissent penser que le virus pourrait se comporter un peu comme l’herpès
et rester dormant dans l’organisme pour réapparaître à une date ultérieure. Donc,
quelle que soit la solution adoptée, il s’agit d’une roulette russe avec
plusieurs balles dans le barillet sauf si, encore une fois, nos dirigeants
disposent de données qui nous sont inconnues.
La seule solution serait de tester tout
le monde et de traiter les malades comme le crie dans le désert depuis déjà des
semaines le professeur Raoult, un des meilleurs experts mondiaux en virologie, que
les Chinois, eux, ont écouté et qui, tests à l’appui, a utilisé avec succès un médicament,
peu cher, dont les effets sont parfaitement connus et maîtrisés et donc
utilisable immédiatement, mais qui ne rapporterait strictement rien à big
Pharma. Ce médicament, l’hydroxychloroquine, jusque-là en vente libre, a par
ailleurs été placé en catégorie 2 par le gouvernement juste avant le début de l’épidémie.
Il y a parfois des coïncidences qui rendraient complotiste …. Gouvernement qui
face au buzz sur les réseaux sociaux a quand-même, comme confirmé par sa
sympathique porte-mensonge, fini par demander des études complémentaires, ce
qui aurait pu éviter toute la crise si ça avait été fait plus tôt et surtout, va
prendre encore beaucoup de temps, peut-être dans l’idée d’enterrer une solution
encombrante à bien des égards. Bref, on est soi-disant en guerre, on a des blessés
en train d’agoniser, mais on va prendre toutes les précautions afin d’être sûrs
d’administrer un traitement parfaitement sûr aux cadavres, logique.
Sauf données occultées ou activation d’une
propriété pathogène bonus dans ce qui ressemble quand même pas mal à une arme
bactériologique (ou au résultat d’une partouze alcoolisée dans une éprouvette
pas propre), cette frénésie mondiale face à une pandémie qui, même si le
tournage de "plus belle la vie" a dû être interrompu, n’est de nature à mettre en
danger ni la civilisation, ni l’humanité, reste éminemment suspecte. D’autant que
les données consolidées de la mortalité dans le monde (je vous mets le lien)
sont plutôt à la baisse, notamment pour la France.
Outre le fait que cette bouse
odorante attire les mouches médiatiques, calme fort à propos des mouvements
sociaux devenus ingérables un peu partout sur la planète et que la peur a
toujours été un des moyens les plus efficaces pour contrôler les peuples, des
vidéos pullulent qui montrent des gens, issus de cette diversité enrichissante
et pittoresque qui pimente notre morne blanchitude, se taper dessus pour entrer
dans des magasins, comme ils le feront dans les hôpitaux (exigeant de passer en
priorité sous peine de tout casser) quand la situation deviendra aussi tendue
que Polanski devant un sphincter juvénile. On n’aura donc plus trop le temps de
penser à mettre des têtes sur des piques.
Cerise sur le gâteau, l’implosion inévitable
de la bulle provoquée par les milliards de milliards de liquidités, distribués tels
de la semence DSKienne dans un Sofitel, par les banques centrales au casino
géant qu’est devenue la bourse, pourra être portée au crédit du méchant coronavirus
et pas des pourris qui nous dirigent, lesquels se frottent les mains et pas
avec du gel hydroalcoolique.
Ces milliers de milliards ne sont pas de l’argent,
mais de la dette qui avait vocation à disparaitre une fois remboursée. Un des
effets pervers étant que certaines entreprises trouvaient plus rentable de se
recapitaliser et de jouer sur leur valeur boursière en licenciant que d’investir
dans le dur et que beaucoup de start-ups à bobos, qui vont disparaître comme
elles sont venues, n’étaient que des alibis à spéculation. Pour l’instant, le
problème étant d’arriver à vendre des valeurs qui s’effondrent pour honorer ses
échéances, l’atmosphère n’est plus à la spéculation et tout le monde vend ses
actifs tant qu’ils valent encore quelque chose, y compris l’or qui lui finira
par remonter ce qui n’est pas forcément garanti pour le bitcoin et assimilés qui,
si la réalité fait enfin son grand retour dans le monde déconnecté de la
finance, ne seront plus considérés que comme une bulle dans la bulle. Tous ces
milliards de fausse monnaie vont donc vraisemblablement s’évaporer, les fonds
de pension avec et les entreprises faire faillite comme autant de dominos, les
banques, en plus de leurs dettes propres mais sales, se retrouvant avec des milliers
de milliards de créances impayées. Créances qui pourraient être en parties effacées
d’un coup de baguette magique par les banques centrales en échange d’un Glass-Steagall-Act généralisé séparant une fois pour toutes les banques de dépôt et les
banques d’investissement lesquelles, au-delà d’un certain montant, devraient
déposer leur bilan, mais au lieu de ça, il est à craindre qu’on tonde encore un
peu plus les moutons et qu’on nettoie les comptes bancaires des particuliers
pendant qu’ils regardent le coronavirus, ce qui explique peut-être pourquoi
aller retirer des sous au distributeur ne fait pas partie des raisons valides pour sortir de chez soi.
Même si certains naïfs espèrent, comme
ils l’espéraient après Tchernobyl et Fukushima, que des leçons vont être tirées
et que d’un grand malheur naitra, au bout du compte, quelque chose de positif,
tant qu’on n’aura pas coupé des têtes et vidé l’abcès, je reste sceptique; en
revanche je crains fort que le tsunami économique qui s’annonce fasse plus de
victimes indirectes que le coronavirus, en dépit du mage Macron qui sort subitement
de son chapeau, c’est-à-dire de notre poche, des centaines de milliards alors
que, pour une infime partie de cette somme, il s’était cru obligé de recourir
au 49-3 pour la réforme des retraites. Nous aurait-on pris pour des cons ?
Comme d’habitude, je n’ai pas la
prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter
la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure.
Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas
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