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samedi 27 juin 2020

Humour: République et raie privée. (27 juin 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/OSDWu-e-C2s

Bonjour !
Ce pays a autant de chances d’échapper au suicide collectif que Macron d’être circoncis par la foudre dans un camp naturiste à l’instant précis où, à quelques mètres de lui, un éphèbe noir, la peau luisante sous la chaleur torride, se penche pour ramasser un coquillage. Les attaques au couteau, comme celles ayant eu lieu en plusieurs endroits de Toulouse récemment, ne dépassent même plus le stade de la presse régionale, reléguées au second plan par les tirs à l’arme de guerre un peu partout en France même si, sauf pour Dijon, les médias « mous, tardent » à en parler, préférant mettre en avant les manifestations des Black Lives Matter et d’Assa Traoré surnommée « mieux fait de se taire ».
Ce qui me désespère ce n’est pas les quelques matraquages estivaux d’infirmières lesquelles, en toute logique, après avoir été qualifiées d’héroïnes ne pouvaient que subir un traitement « stupéfiant » et se faire « fumer » par les CRS dès qu’elles allaient réclamer du pognon. Ce n’est pas non plus les émeutes dont on ne sait plus si elles sont contre le racisme ou pour pouvoir (à défaut de Nutella) acheter des PlayStation chez Lidl, alors même qu’il suffit de sortir dans la rue pour jouer gratuitement à Call of Duty version 3D dolby-surround sur fond de conflit Maghrebo-Tchétchène.
Je ne suis pas perturbé davantage par l’élévation stratosphérique de la courbe du chômage même sans François Hollande pour l’inverser, tandis que les faillites s’enchaînent et que nos élites (qui, contrairement à Georges Floyd, ne manquent pas d’air) nous expliquent que si les entreprises qu’on a soi-disant sauvées à coup de milliards ferment des sites et licencient à tour de bras en France tout en laissant leur production à l’étranger, ce n’est pas de l’argent gaspillé car, sans ça (et il faut le croire parce qu’ils le disent) ça aurait été bien pire ; tout cela alors que l’OCDE annonce que nous allons être le pays le plus touché au Monde par la récession et que, pour couronner le tout, les 150 bobos de la convention citoyenne créée en réponse au mouvement des gilets jaunes (dont un des facteurs déclencheurs avait été le passage à 80 à l’heure sur les routes départementales) proposent, avec une sagacité qui les honore, de limiter à 110 la vitesse sur autoroutes, au milieu, cela va sans dire, d’une foultitude de nouveaux règlements, taxes et contraintes diverses dont notre pays, qui en manque cruellement, a indubitablement besoin pour surmonter la crise, oubliant, en outre, que l’État, qui a bradé lesdites autoroutes, ne faisant jamais les conneries à moitié, a signé une clause l’obligeant à compenser, avec nos sous, auprès des sociétés qui les exploitent, toute baisse de revenus occasionnée par un changement de réglementation. Comme dirait quelqu’un, « ça va coûter un pognon de dingue ».
Une convention citoyenne tirée au sort de façon tellement aléatoire que, pour l’anecdote, Cohn-Bendit, lequel fréquente visiblement la même plage naturiste que Macron en matière de probabilités, plage idéalement peuplée, pour lui, de petites filles de 5 ans plutôt que d’éphèbes noirs (quoi que), était du nombre et que, probablement parce qu’il est déjà circoncis ou que le foutage de gueule se voyait trop, il a préféré se désister.
Non, ce qui me désespère, c’est qu’en dépit de tout cela, on a toujours ces mêmes canards (pour ne pas employer un mot qui rime) dont la priorité absolue est de détruire les couronnes de fleurs déposées par la danseuse postélectorale Marine Le Pen laquelle, en dépit de sa nullité crasse, n’a pas encore eu l’opportunité de nuire et n’est objectivement pour rien dans tout ça. Aucun doute que ces submersibles 3-1, en d’autre termes « sous mer 2 » lesquels (l’excuse de la naïveté et d’un QI de crevette ayant ses limites) comptent parmi les principaux responsables de la situation, vont s’empresser de revoter Macron dès qu’on leur agitera le spectre de l’extrême droite pour, ensuite, repasser 5 ans en mode vapeur, à manifester derrière des petites pancartes syndicales parce qu’ils auront mal aux hémorroïdes à force de se faire traiter comme Uncle Ben’s lequel pourrait bien devenir une tante blanche sur les nouveaux packagings. D’où ma désespérance. D’autant que la relève de la connerie est assurée quand on voit des Lycéens qui demandent et, le plus triste, obtiennent, que leur Lycée Colbert soit renommé en Rosa Parks.
La seule bonne nouvelle vient de la censure, par le Conseil Constitutionnel, de la loi Avia, non tant (au vu les membres qui y siègent) parce qu’elle menace la liberté d’expression, que parce qu’une fois la haine juridiquement définie, ladite loi aurait pu se retourner contre les communautés-mêmes qui la poussent, ce que n’avait pas perçu la taxiphage qui l’a pondue laquelle, en dépit de son sourire incandescent, n’est pas une lumière faute d’être allogène (car née en France) même si certains la trouvent très LED.

Pour comprendre la cause de l’entropie que nous connaissons, il faut prendre conscience du fait que la France charnelle et millénaire, laquelle n’a jamais été parfaite (même s’il y était plus facile de donner un sens à sa vie et si elle assurait, bon han, mal han, la préservation de l’ensemble) et qui n’a dès-lors des airs de Paradis perdu que par comparaison avec l’entité suicidaire qui lui a succédé, cette France a chopé un parasite, un peu comme si Marlène Schiappa attrapait un ver solitaire (ce qui expliquerait son nom) ou que, plus problématique encore, un ver solitaire attrapait Marlène Schiappa. Toujours est-il que le parasite qu’a attrapé notre pays l’a, certes, homogénéisée en l’obligeant à parler une même langue et en détruisant les cultures régionales, mais il n’est pas la France pour autant, même s’il se fait passer pour elle. Ce parasite, c’est la république, à ne pas confondre avec notre raie privée qui est son point de mire de prédilection.

La république est avant tout une idéologie, celle du progrès. C’est-à-dire que, comme l’avenir est forcément meilleur, le passé est forcément mauvais, d’où les déboulonnages de statues et les autodafés dont les flammes pourlèchent indifféremment « Autant en emporte le vent », les schtroumpfs, « Tintin au Congo » et Harry-Potter, personne n’ayant encore songé à y jeter les pages provocativement blanches de l’annuaire. Cela implique aussi que tout peut (et donc DOIT) être amélioré, y compris ce qui marche. Si je prends 2 prises électriques 

et même si j’ai l’impression que ça fonctionne très bien comme ça, pour être dans l’idéologie du progrès et ne pas tomber dans la prisophobie je dois dire que ça 
c’est OK et ça aussi,
et bien sûr, cette variante.
Pour aller plus loin dans le progrès, je peux enlever cette partie
et dire que ça c’est pareil que ça,
voire avec un peu de scotch faire un petit montage et dire que ça c’est pareil que ça,
car vous l’aurez compris, le progrès passe par l’égalité. D’ailleurs pourquoi se limiter à deux quand on peut multiplier les combinaisons ?
Et si vraiment je m’obstine à vouloir utiliser les prises à l’ancienne, le minimum syndical c’est de remplacer ça,
par ça.
Bref l’idéologie du progrès c’est (pour les occidentaux contaminés) de louer les feuilles qui s’élèvent vers le ciel tout en sciant le tronc au prétexte que les racines sont dans la boue et se nourrissent partiellement d’animaux en décomposition, ce qui est dégueulasse et pas végan.

Pour ceux qui douteraient que la république n’est pas la France, notre Pangolin en chef ne manque jamais de nous le rappeler à la fin de ses discours aussi longs que la version non abrégée de LGBTQ+ que, sauf à avoir une très bonne vue, il faudrait être sacrément prétentieux pour tatouer sur un endroit érectile : « Vive la république et vive la Finance, pardon, la France », le tout dans cet ordre qui, ne vous y trompez pas, est un ordre d’importance. Notre drapeau est celui de la république, notre hymne est celui de la république, notre système électoral sur mesure exclut tout ce qui n’est pas républicain, notre éducation vise à faire de nous de bons citoyens imprégnés de l’idéologie du progrès et, pour les réfractaires, il y a l’ordre républicain lequel, comme son nom l’indique, sert à protéger la république, ce qui explique pourquoi, quand elle est menacée par ceux qui s’insurgent contre son parasitage, elle frappe, alors que, quand on se contente de menacer la cohésion de la nation, on laisse filer car, au pire, une république islamique c’est toujours une république. Telle le furet, elle est passée par ici, elle repassera par Allah.

Le chaos de basse intensité ainsi produit engendre un désir de maintien de l’ordre dans la population à laquelle on a fait croire que la chose reposait sur la police, vendue comme indispensable, et dont on accepte alors, avec résignation, le racket et la coercition qu’elle impose aux citoyens ordinaires, tout en étant d’une efficacité dépendant davantage du niveau de soumission desdits citoyens et du contexte socio-économique que de l’institution elle-même. Certains m’objecteront que le maillage renforcé de la gendarmerie sur le territoire, notamment sous Napoléon, coïncide avec une baisse significative du taux de criminalité dans les campagnes, mais la chose coïncide également avec le dépeuplement des dites campagnes par la conscription de millions de personnes dont plus d’un million a péri (5 selon Chateaubriand). Ce n’est donc pas probant. Imaginez l’hécatombe si la seule chose qui nous empêchait de nous entretuer était, non pas un niveau élevé de civilisation, mais la crainte de la police laquelle arrive, par ailleurs, généralement après la bataille pour, en plus, rajouter une couche de paperasserie et des attentes interminables au traumatisme.

On pourrait certes augmenter son efficacité en lui permettant de neutraliser les racailles et autres antifas que ses services de renseignement connaissent parfaitement, mais la façon la plus efficace d’augmenter la sécurité générale serait plutôt d’élever le niveau de la société (on fait le contraire) notamment par une véritable instruction publique plutôt qu’une éducation nationale et non pas en interdisant la violence (qui fait partie de notre nature) et encore moins en en laissant le monopole à l’état, mais en réduisant ses causes. D’abord en ouvrant les soupapes de la liberté d’expression puis, en l’absence de compas religieux, en se donnant un but collectif pour éviter pertes de repères et désespoir, ensuite, en permettant aux individus sans casier judiciaire d’être armés afin d’assurer collectivement l’élimination des nuisances tels les cambrioleurs, les pickpockets, les amateurs de coutellerie artisanale et les politiciens corrompus et, enfin, sans quoi tout cela ne servirait à rien, en limitant strictement l’accès à cette société aux seuls individus ayant un code de conduite, sinon similaire, tout au moins compatible.

A moment donné on a bien essayé de remplacer la république par l’État Français. Sur le papier c’était très bien : « travail, famille, patrie ». Que des choses qui, bien comprises, favorisaient la majorité. D’ailleurs, il y a eu un boom de natalité. À contrario, les minorités, elles, ont pris cher (pour ne pas dire casher) avec des stages de vélo gratuits. Comme on est humanistes et que, du coup, la préoccupation dans un pays de souris doit être, non le sort des souris, mais celui des cochons d’Inde, on est donc revenus fissa à la république, grâce à un homme dont les statues sont aujourd’hui artistiquement redécorées par les lointaines conséquences du système qu’il a rétabli,

remplaçant « travail, famille, patrie » par « chômage de masse, LGBT, Migrants » choses qui, certes, ne favorisaient pas spécialement la majorité mais, au moins, n’étaient pas antisémites. De là à faire un lien entre la république et une certaine communauté il n’y a qu’un pas que certains ont allègrement franchi, mais apparemment ça fait tomber les cheveux
et, tenant à ceux qui me restent, je vais donc lâchement abandonner le champ de mines.

On nous dit que l’Union Européenne est la cause de tous nos maux. Ce n’est pas faux. Mais là encore, qui en est l’un des principaux instigateurs, sinon la république dite « française » qui a ainsi contaminé tout un continent ? L’UE n’étant rien d’autre que ladite république avec les mêmes valeurs, le vernis de démocratie en moins. La France y a beaucoup perdu, mais la république y a gagné, comme une grosse tique sur un chien famélique, ce qui me laisse dubitatif quant aux capacités à nous sauver, de tout parti républicain, c’est-à-dire tous, ce qui inclut l’Union Populaire « Républicaine » qui ne voit pas qu’elle fait partie du problème (même si le challenger déclaré d’Asselineau semble, au moins, avoir pris la mesure d’une partie des erreurs tactiques et de positionnement que, comme d’autres, j’ai relevé depuis des années). Mais, physiquement, c’est le même avec des lunettes et, sachant qu’un politicien est avant tout un baril de lessive dont l’emballage compte plus que le contenu (s’il veut les votes d’une majorité qui ne lit rien et n’écoute rien) et que, même Hollande, avait dû perdre 20 kilos et se teindre les cheveux, il faudra quand même qu’on m’explique la libido d’une partie de l’UPR qui (variante de la sapiophilie revendiquée un temps par Marlène Schiappa et même si c’est mieux que le fétichisme des pieds, sauf pour les poètes) ne semble s’activer qu’à la vision d’un chauve bedonnant qui cite des articles.

Tels les derniers combattants d’Alamo, pour l’honneur, je vous invite à télécharger, dans la description, le pangolin qui vous correspond le mieux ou à l’adapter en conséquence ; Pangolin symbole du foutage de gueule que nous subissons et d’une volonté (au-delà des clivages politiques et idéologiques) de se débarrasser de Macron AVANT la fin de son mandat. Je ne vois que cette solution (tapisser la France réelle et virtuelle de pangolins) pour faire monter suffisamment la pression dans la cocotte-minute (non pas horizontalement, mais verticalement) afin d’éviter 1) la guerre civile et 2) d’atteindre un point de non-retour (à mon sens avant 2022 si ce n’est pas déjà trop tard) au-delà duquel, ce bout de terre avec des gens dessus, qui n’est déjà presque plus un pays, ne se relèvera plus.

Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, une bonne quinzaine à ce jour, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires également en description. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

 

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