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dimanche 7 juin 2020

Réponse à Virginie Despentes. Floyd, USA, racisme et tout le tintouin (07 juin 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/UKiu0l5wosE
 

Bonjour,
J’ai rêvé que j’étais Virginie Despentes, celles, glissantes, de la drogue et de l’alcool, et qu’à 50 ans, je réalisais, avec effroi, entre deux bouffées de chaleur, que je n’avais jamais vu un ministre noir et encore moins Inuit et que les prisons étaient pleines de noirs et d’arabes innocents envoyés là par des juges dont les accointances avec l’extrême-droite ainsi que l’extrême sévérité n’étaient plus à démontrer. Pire, le problème de ma vie était ce luxe insolent, ce privilège, de pouvoir oublier que j’étais blanche. Ce n’était plus la ménopause, mais Alzheimer qui me guettait. Devais-je me tatouer la chose sur le front ? Devais-je quitter mon appartement cossu et déménager dans un quartier plus pittoresque avec un ascenseur artistiquement décoré qui sentirait bon l’urine fraîche et de gentils dealers que je ne connaitrais pas encore pour me tenir la porte quand je reviendrai du Franc-prix avec mes courses ? Dealers qui, fort aimablement, se chargeraient, au quotidien, de me rappeler mon immonde blanchitude et, tant qu’à y être, de me faire savoir à quel point ils appréciaient mon appartenance à la communauté de l’alphabet. Pour les remercier je pourrais même leur offrir un exemplaire dédicacé de mon bestseller « Baise-moi » histoire de voir ce qui se passerait. 
Peut-être, en hommage à Georges Floyd, devrais-je aussi faire un peu d’humour noir (mais sans sombrer dans l’appropriation culturelle) en pointant du doigt que, s’il avait eu le privilège d’être blanc, il aurait certainement viré au rouge, au violet puis au bleu, en passant brièvement par le rose (un Pink Floyd en quelque sorte) ce qui aurait peut-être incité le policier (lequel, parmi tous les noms de famille qu’il aurait pu avoir, s’était vu nommer « chauvin » par une destinée taquine) à mobiliser 2 de ses trois neurones pour lever, sinon le pied, au moins le genou. Cette palette colorée propre à la blanchitude aurait peut-être évité à celui dont la tête était maintenue contre l’asphalte, de crever avec, pour dernière image, une roue de voiture vivant chaque jour dans la hantise que ça lui arrive à elle aussi. 
Dire que l’homme, au départ, était juste parti acheter des cigarettes, preuve (avis à tous ceux qui bouchonnent pour aller au Pas de la Case) que le tabac tue. Je frémissais en me remémorant l’autopsie (que, même en rêve, je vous mets en lien dans son intégralité) révélant qu’outre un nombre impressionnant de cicatrices, une intoxication médicamenteuse, un sang et des urines plus proches d’un classement Seveso que de la certification eau de source naturelle, une artériosclérose sévère avec une des artères obstruée à plus de 90%, une forte hypertension et une tumeur pelvienne, Flyod était (et ce n’est pas une blague) positif au covid 19. Quand on a la poisse, on a la poisse. Pas sûr d’ailleurs que le Salomon local ne l’intègre pas dans les statistiques. 
Un covid certainement raciste puisque, comme je l’ai pointé dans ma lettre, le taux de mortalité en Seine Saint-Denis a été 60 fois supérieur à la moyenne nationale, tandis que nous, dans les beaux quartiers, on avait compris le truc et on faisait tranquillement notre footing en plein confinement pour essayer de courir plus vite que le virus et que, maline, le reste du temps je me baladais avec des noirs et des arabes gonflables pour me faire refouler d’un peu partout et garantir la distanciation sociale.
Pour revenir à Floyd, même si, en matière de connerie, je ne remettais pas en doute une seule seconde le potentiel castanérien de la maréchaussée locale, il n’en demeurait pas moins que si l’on excluait l’infâme rumeur complotiste d’une opération bidon montée de toutes pièces pour discréditer le Donald, la seule autre raison logique pour laquelle le policier avait pu rester tranquillement de longues minutes, en se sachant filmé, dans cette position (tant particulièrement dégradante pour la victime qu’hautement symbolique) à laquelle, hors contexte, on avait du mal à trouver une justification (l’homme ne montrant aucun signe de résistance physique) c’était le racisme rabique et aveugle. 
Certainement pas que ledit policier pouvait penser, de bonne foi, être en contrôle de la pression exercée et croire le risque limité en regard du gabarit imposant de l’individu dont les pathologies n’étaient pas inscrites sur le front, ni qu’en 18 ans de service il était peut-être déjà intervenu sur un équivalent local de Laetitia Avia, auquel cas, même avec les deux genoux, au moindre relâchement, il y avait probablement laissé un testicule. 
Certes, les deux hommes se connaissaient pour avoir fait du gardiennage pour le même commerce et une animosité avait pu se développer pour diverses raisons, la femme du policier, rien moins qu’une Miss Minnesota (réalisant d’un coup la toxicité du patriarcat) l’ayant quitté dès le lendemain, mariée visiblement pour le meilleur, mais pas pour le pire. Mais pourquoi la réalité devrait-elle être plus complexe que les apparences accablantes ? Le gars qui venait probablement d’acheter une perceuse en promotion s’est dit : « tiens, voilà un black, je vais le mettre d’équerre. ». Point. Nous les antiracistes on pense en noir et blanc, c’est simple et ça repose.
C’est là que je me suis réveillé en sueur me disant que le racisme, dans tout ça, n’était qu’un biais hypocrite si l’on considère que le scénario inverse d’un noir tuant un policier blanc a eu lieu quasiment le même jour sans que ça n’émeuve personne. De plus, toutes les statistiques ethniques, librement accessible sur le site du FBI, notamment concernant les morts causées par la police (elle-même composée de diverses ethnicités) montrent qu’elle tue de tout, avec une grande ouverture d’esprit, et majoritairement des blancs. 
Certes les afro-américains sont beaucoup moins nombreux que les affreux-américains ce qui, ramené au pourcentage dans la population, en fait, statistiquement (et non en valeur absolue), les premières victimes, mais outre le fait, encore une fois, que de nombreux policiers ne sont pas blancs, en conclure, à la vitesse d’un Bourdin sur autoroute, qu’on est face à un racisme systémique est particulièrement malhonnête si l’on considère que les noirs, bien que peu nombreux, sont ceux qui commettent le plus de crimes, que (si l’on veut rester dans la même logique de statistiques) le ratio de noirs qui tuent des blancs est presque 10 fois plus élevé en nombre (et 100 fois en pourcentage) que celui des blancs qui tuent des noirs et, surtout, que l’écrasante majorité des noirs assassinés (en fait, la quasi-totalité) l’est par d’autres noirs. « Black kills Black » aurait pu chanter Johnny. Une statistique que personne ne donne et qui permettrait d’y voir plus clair serait le nombre de personnes, déjà sans armes, mais surtout, innocentes (ce qui est différent), abattues par la police, sachant que, dans un pays où tout le monde est potentiellement armé, cette dernière a, logiquement, tendance, au moindre doute, à tirer d’abord et à questionner après. 
Dans tous les cas, pour une fois, je vais être d’accord avec Sybeth (qui bien que ministre noire, n’est qu’une femme et donc ne suffit pas au bonheur de virginie Despentes) : il est absurde de transposer chez nous toutes les inepties américaines. D’autant que chez eux, dans leur immense majorité, les noirs ne sont pas des migrants et sont historiquement aussi américains que tous les autres membres de cette maison de doux timbrés à ciel ouvert qu’on appelle les États-Unis, de laquelle rien de sain ne peut venir jamais.
Il faut bien comprendre qu’au départ, les gens étaient aussi excités par l’idée d’émigrer vers le nouveau Monde que par l’équivalent, pour l’époque, d’un strip-tease de Laeticia Avia (oui, je sais, j’ai une dent contre elle) même avec les jambes correctement brumisées et une muselière ornementale. A l’instar de certains pays qui se débarrassent chez nous d’un rebut de population incapable de fonctionner dans sa propre société, nos pays ont donc eu tendance à vider les prisons, les bordels et les asiles d'aliénés pour remplir les bateaux en direction de ce qui n’était pas encore les USA ce qui explique, en partie, pourquoi ce pays compte à peu-près autant de psychanalystes que d'habitants. 
Pire encore : vous ajoutez un fond de fanatisme religieux allant du protestant puritain au presbytérien qui a horreur qu’on lui dise que le myope est tout, vous versez une cuiller à soupe de cette absence totale de scrupules héritée de la perfide Albion, vous saupoudrez avec la plus grosse diaspora juive du monde chez laquelle, comme tout traumatisme, celui de la Shoa a laissé des séquelles et qui, comme chez nous est, si je peux me permettre respectueusement, d’un point de vue purement statistique (qu’Elisabeth Levy me pardonne) un chouia, mais à peine et c’est certainement mérité, surreprésentée dans les médias, la politique et la finance ; aussitôt sorti du fo… de l’appareil à faire des gâteaux, vous nappez d’une minorité noire, traumatisée elle aussi, mais par un esclavage que ses membres actuels n’ont pas non plus vécu ; esclavage largement répandu chez tous les peuples du Monde depuis l’antiquité (y compris en Afrique, encore aujourd’hui) mais qui, pour je ne sais quelle raison, est devenu, dans l’imaginaire collectif, l’apanage des premiers à y avoir mis fin, à savoir les blancs, parvenus avant tous les autres à la conclusion qu’il était plus rentable d’exploiter des esclaves salariés; vous séparez les blancs des jaunes lesquels (avec les Indiens... des Indes et quelques Ashkénazes) phagocytent les places dans les meilleures universités; vous réservez, par soucis de simplification, le tsunami hispanique dont la convivialité des cartels n’est plus à démontrer, ainsi que l’accroissement récent des nouveaux venus issus de pays islamiques connus pour leur pacifisme et leur rationalité, vous aromatisez le tout au cannabis thérapeutique et aux opioïdes sous prescription et vous avez « l’American pie ». 
Ce pays, au demeurant construit sur un génocide qu’aucun des habitants actuels n’a perpétré mais qui leur est constamment reproché (s’ils sont blancs) selon une logique tribale éprouvée et rentable, n’a été sauvé (au prix d’une hécatombe permanente) de la folie totale que par ses deux premiers amendements (preuve que des individus sains étaient passés au travers des mailles) et, quand il n’y a plus eu d’Ouest à conquérir, il s’est empressé de saccager, sans la moindre vergogne, ses incroyables richesses naturelles pour, incapable de changer de logique, alimenter ce complexe militaro-industriel au coût exorbitant nécessaire à piller et faire chanter le reste du Monde (devenu le nouvel Ouest) au bénéfice d’une élite ; les gueux se voyant, eux, refourguer le fameux « rêve américain » qui est l’équivalent économique du Loto, à la différence près qu’en plus il faut travailler dur sans couverture sociale pour avoir une petite chance de participer. 
Si vous obligez, qui plus est dans un pays où le Saint-Esprit est plus en vogue que la réciproque, des gens, qui n’en ont pas forcément envie, à vivre ensemble, dans un contexte économique exécrable où ils sont en concurrence les uns avec les autres, vous aurez des manifestations violentes que s’empresseront, par ailleurs, de montrer du doigt et du smartphone ceux qui, eux, vivent bien, exploitent la main d’œuvre bon marché sans distinction de race pour livrer leurs pizzas et faire leur ménage, vilipendant les méchant « racistes » et ne voyant pas où est le problème. Ces violences avant tout sociales et liées à la ghettoïsation entretenue par les démocrates américains (dont on sait maintenant qu’ils ont fondé le Ku-Klux "la praline" klan) pour conserver un électorat captif, peuvent certes être abusivement qualifiées de racisme et certainement que, dans certains cas, ça peut en être, mais dans les sociétés modernes, ses ressorts sont avant tout économiques et ça ne va pas s’arranger avec la dégradation qui ne fait que commencer.
Mis à part, peut-être, une conférence de Marlène Schiappa sur le mansplaining, il n’y a rien de pire que la science mal comprise. Quand la science nous dit que la matière est essentiellement constituée de vide ça ne signifie pas que prendre une enclume sur la tête cessera de faire mal et quand la même science nous dit que sa taxinomie des races ne recoupe pas les perceptions arbitraires du commun des mortels ça ne signifie pas, comme on le dit à tort, que les races n’existent pas (c’est même exactement le contraire). Cela n’invalide pas non plus la perception empirique que même un enfant de 10 mois en a instinctivement, laquelle, même scientifiquement fausse, reste visuellement vraie. Peu importe que la science nous explique les infra-rouges et les ultra-violets, la sanité mentale passe par vivre avec le spectre lumineux et la distorsion de la réalité que nos yeux perçoivent. 
Par ailleurs, au-delà du simple constat de ces distinctions forcément arbitraires qu’on appelle le racialisme, il faut garder à l’esprit que le racisme s’inscrit dans un processus plus vaste de défiance vis-à-vis de ce qui est différent ; mécanisme de défense naturel sans lequel nous aurions disparus en tant qu’espèce. C’est un peu comme mordre (et ce n’est pas Laeticia Avia qui me contredira) acte qui, dans certaines circonstances, peut, encore aujourd’hui, vous sauver la vie. Dire que mordre est mal, par essence, est donc complètement con. Tout dépend de la part de réflexion supposée tempérer ledit mécanisme, ce qui, dans une société civilisée, devrait permettre d’éviter de mordre des chauffeurs de taxi. 
Pour le racisme, c’est pareil et je ne sais pas quel est l’abruti qui a un jour décrété que c’était « mal » et qu’il fallait regarder la chose à travers le prisme de valeurs morales auto-proclamées qui sont tout sauf universelles. Tant qu’il est, comme la morsure, tempéré par la réflexion (ce qui n’est possible que quand la parole est libre) il n’est qu’un réflexe de défense parmi d’autres d’une cohérence de population sans laquelle on ne peut faire corps pour lutter contre les véritables ennemis qui instrumentalisent nos divisions. Y voir de la haine, laquelle ne s’arrête (et encore) qu’avec la destruction de la chose haïe, consisterait non seulement à renvoyer une partie de ceux avec lesquels on nous force à cohabiter sans jamais nous avoir demandé notre avis vers des cieux où ils pourront vivre selon leur culture sans polluer la nôtre, mais à continuer à chercher à leur nuire alors qu’ils sont rentrés chez eux et ne constituent plus une menace pour la cohésion nationale. Pas sûr que ça concerne grand monde. 
Remplacer une défiance viscérale purement animale par un conditionnement idéologique antiraciste qui ne fait pas davantage appel à la réflexion n’a donc strictement aucun sens et fonctionnera d’autant moins, hors période d’abondance et de fumette joyeuse, que la chose conduit immanquablement au suicide collectif tandis que le racisme a, au moins, le mérite de viser l’auto préservation et que je reste persuadé que, si la situation se détériore au-delà d’un certain point, lesdits anti-racistes des beaux quartiers, virginie Despentes en tête, seront les premiers à retourner leur veste et à bouter le migrant hors de France, leur solidarité verbale, prolixe avec l’argent des autres et de la collectivité, s’arrêtant à leur portefeuille, l’indignation antiraciste ayant l’avantage d’être gratuite.
La chose est en tout cas hypocritement exploitée par tous les médias du monde, heureux de distraire les peuples avec leurs inepties habituelles histoire d’éviter qu’ils ne se révoltent contre ceux, lesdits médias compris, qui ont amplifié, par leur incompétence ou (et) leur corruption, la crise du Covid et foutu en l’air l’économie pour rien. Le pire étant que si Georges Floyd (qui semblait avoir au moins tenté de tourner le dos à son passé criminel et de travailler honnêtement) s’est retrouvé sans emploi et dans son état d’intoxication, en train d’acheter des cigarettes avec un faux billet, c’est probablement en raison du confinement dont ceux qui crient au racisme sont largement responsables et qui est aussi coupable que le policier. 
Comme d’habitude on attise l’incendie, des manifestants sont payés pour hurler des slogans et des antifas bien blancs viennent foutre le feu dans les quartiers noirs, ruinant les entrepreneurs et les commerces tenus par des noirs, tout ça pour essayer d’influencer la campagne électorale américaine. Le plus déprimant c’est que chez nous les premières manifestations déconfinées ne sont pas la marée humaine pour virer macron qui seule pourrait témoigner d’une prise de conscience collective positive, mais, coup sur coup, une marée noire (qui n’a rien à voir avec le pétrole) pour réclamer des papiers (qui n’ont rien à voir avec une pénurie de PQ) puis, toute l’anti-France parasitaire, artistes compris, qui, encore une fois et comme si rien ne s’était passé, tente de canaliser la colère populaire dans l’impasse et l’ineptie d’un soi-disant racisme systémique et d’un privilège blanc que les agriculteurs qui se pendent apprécieront.
Notre incapacité à tirer la moindre leçon de nos échecs me rend très pessimiste pour l’avenir au point que, fatigué de pisser dans un violon et craignant les problèmes de prostate, je m’interroge sérieusement sur l’intérêt d’investir une partie de l’énergie qui, à mon âge m’est comptée, dans la poursuite de ces vidéos. 
Nous avons eu un immense espoir avec les Gilets jaunes. La majeure partie d’entre-nous y a cru car ce n’était pas un mouvement idéologique, juste des gens qui, constatant qu’ils donnaient toujours plus pour avoir toujours moins (en matière d’infrastructure, de qualité des services publics et de soins) et qu’ils n’arrivaient plus en s’en sortir en travaillant, voulaient savoir où passait le pognon. Malheureusement, ils ont été infiltrés, récupérés et bien vite ramenés dans un schéma classique simpliste et dépassé de gauche contre droite, de riches contre pauvres, d’humanistes contre nationalistes et désormais, de blancs contre racisés voire de "trouillards porteurs de masques" contre "réfractaires inconscients". Les médias n’ont, bien sûr, pas relayé ceux qui étaient toujours dans l’esprit du début et ont focalisé sur les poubelles brûlées faisant que leur image s’est détériorée en même temps que leur nombre faiblissait, même si beaucoup moins vite que ce que la presse annonçait. Les manifestations rendues violentes arrangeaient le gouvernement qui pouvait dénigrer le mouvement et mettre fin à la seule chose qui le dérangeait vraiment : l’occupation des ronds-points dont la visibilité mettait en contradiction dangereuse la fausse réalité vendue par les médias et permettait de vraies discussions, entre vrais gens, passant sous les radars des moyens électroniques de surveillance et de contrôles habituels. Raison pour laquelle les bistrots sont les derniers commerces autorisés à rouvrir post confinement.
Entre-temps la situation s’est empirée dans des proportions dont beaucoup ne mesurent pas encore totalement l’étendue et la machine à détruire LREM tourne à plein régime, confinement ou pas. A ce rythme, dans deux ans il ne restera plus rien qui mérite d’être sauvé. La seule solution est de virer macron, pour l’exemple, avant la fin de son mandat ce qui, comme je l’explique dans ma précédente vidéo que je vous invite à visionner, ne pourra se faire qu’en faisant monter la pression dans la cocotte-minute par un affichage massif d’un symbole commun, personnalisable selon les goûts et les idées de chacun, et ne valant accord que sur ce seul et unique point : Macron doit partir. 
J’ai proposé ce pangolin (symbole du foutage de gueule généralisé que nous subissons) que vous pourrez télécharger dans la description. Certains qui se reconnaîtront s’y sont déjà mis et m’ont envoyé gentiment des photos. 
Si la pression monte suffisamment (c’est de la physique élémentaire) et qu’on la dirige vers ce seul objectif, si Macron, sentant le vent venir, n’a pas dégagé avant, c’est une marée humaine de millions de personne qui se dirigera vers l’Élysée emportant tout sur son passage. Toute manifestation limitée visant un objectif secondaire est une manipulation qui ne sert à rien.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

1 commentaire:

  1. Ah, brillant. On perd la saveur de la diction mitesque mais l'on gagne à méditer le contenu à son rythme.

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