J’ai toujours eu une forme d’aversion
pour le requin marteau (lequel, pour je ne sais quelle raison, m’évoque Marlène
Schiappa) et encore plus pour le poisson scie que j’associe à Benjamin Griveau,
alors, quand on me dit que le Omar Sy est le crustacé préféré des Français, je
tique (même si en pincer pour le Omar pourrait sembler logique). D’autant que,
probablement effrayé à la perspective de croiser un jour François de Rugy un
tube de mayonnaise à la main, on ne le trouve pas dans nos eaux à forte
population de prédateurs parasites nourris aux taxes diverses et (a)variées. Le
Omar Sy, comme les oies sauvages, émigre vers des cieux fiscalement plus
cléments d’où il donne des leçons à ces Français racistes qui lui ont permis de
devenir une star internationale.
Comme beaucoup de victimes du racisme
systémique, il démontre que lui ne l’est pas en épousant sa version d’Adriana
Karembeu, nous laissant avec, sur les bras, toutes ces Rokaya Diallo (mais allo
quoi, comme dirait Nabila) pourtant objectivement pas dégueulasses si elles
arrivaient à se taire 5 minutes. Cette absence d’attention de leurs frères de
couleur « riches » finit par les rendre agressives et ce serait bien
que quelque rappeur-charmant délaisse un peu les blondes pour emmener Assa
Traoré au Wakanda afin qu’on puisse terminer le conte de fée par : « ils se
marièrent, vécurent heureux et eurent un nombre modéré d’enfants (faut pas
pousser non plus) tout ça, loin, mais alors très loin, d’ici ».
Bon, c’est
vrai que la vie d’Omar Sy n’a pas toujours été facile et que son film « Knock» (qui est-là ?) a fait un bide, compromettant (même s’il ne faut jamais
désespérer) l’espoir d’interpréter un jour Vercingétorix ou, pourquoi pas, en
ces temps bénis où se brise enfin le carcan imposé par des siècles de
patriarcat, de racisme, de sexisme et de lois de la nature, ce qui aurait pu être
le rôle de sa vie : Blanche de Castille.
On doit lui reconnaître qu’il ne tombe pas dans la facilité comme doubler Castan…, pardon, Rantanplan dans le dessin animé Lucky-Luke, même s’il est bien connu chez les bûcherons que les Sy aboient. Pour couronner le tout, voilà qu’après avoir banni des ondes « autant en emporte le vent » (un vent visiblement nauséabond imputable à une surconsommation de haricots au lard) et déboulonné des statues de Christophe Colomb, les fêlés du casque US touchent à son film pourtant « intouchable » lui aussi taxé de raciste par des gens qui eux ne peuvent pas l’être car ils sont noirs (ou les défendent histoire de se sentir supérieurs à eux) comme si la catégorie « noir » représentait quelque chose de pertinent (hors chocolaterie) et qu’il y avait un rapport quelconque entre Omar Sy et l’éboueur noir (qui par chez moi, privilège idoine oblige, est blanc) grâce auquel on n’a pas fini ce confinement imbécile sous les immondices, même si on est toujours sous Macron ce qui revient un peu au même. Une bonne bouteille mettrait tout le monde d’accord les blancs se mettant complètement noirs et Omar « Sy, rose » (s’il abuse).
Ça fait au moins 10 fois qu’on m’explique ce concept du racisme antiblanc qui n’existe pas, mais je dois être particulièrement con car quand je vois, comme récemment, aux États-Unis, de braves émeutiers noirs agresser à 10 un enfoiré de blanc en fauteuil roulant (forcément nazi et cannibale), je n’arrive pas à me défaire d’un tout petit doute. Quand je vois les magasins pillés, je me demande s’il faut croire sur parole ceux qui se disent noirs de colère (affirmation visuellement difficile à vérifier) et si ce n’est pas un simple prétexte. De même que, quand je vois tous ces ectoplasmes (tellement culpabilisés d’être blancs qu’ils en deviennent translucides) se mettre à genoux, je ne peux m’empêcher de me demander ce qui se passerait si le gars en face ouvrait sa braguette. En toute logique, c’est l’étape suivante, d’autant que certains en sont déjà au stade où ils font la queue pour embrasser les chaussures pleines de covid des noirs dans la rue et se faire insulter. Rendus-là, c’est du darwinisme élémentaire, de la sélection naturelle et, blancs ou pas, peu me chaut que ces gens crèvent la gueule ouverte (du moment qu’ils portent sagement leur masque), d’autant que, si je peux comprendre ceux qui entrent chez nous parce qu’ils ont vu de la lumière, je n’ai aucune considération pour ceux qui leur ouvrent la porte et encore moins pour ceux qui les encouragent à nous cracher dessus en s’agenouillant comme si, par je ne sais quelle tribalisation shoahtique de notre société, on était devenus responsables des actes commis par d’autres, avant notre naissance, un peu comme nos enfants (quelle que soit leur couleur de peau) qui vont devoir payer une dette abyssale qu’ils n’ont pas contractée.
Quand on voit le monde en noir et blanc
on ne le voit plus sous le prisme « profiteurs-exploités » à ne surtout
pas confondre avec « riches-pauvres » car même s’il y a peu d’exploités
vraiment riches, il y a, en revanche, pléthore de profiteurs pauvres qu’on achète
avec des miettes (d’où l’intérêt du système de nous appauvrir) et si, sortant du
silence, Omar « Sy lance » des diatribes, outre le fait que, contrairement
à l’alternative consistant à filer tout ou partie de son pognon à l’Afrique, c’est
gratuit, c’est, comme tous les artistes dans son cas, pour faire oublier qu’il
est du mauvais côté de la barrière.
Mais, même si l’on n’est pas dupe de la
manipulation et si l’on a compris que le pouvoir et ses médias cherchent à
occuper l’espace médiatique jusqu’au vacances avec un faux combat (qui n’est
pas dangereux pour ledit système) afin d’éviter la reprise d’un vrai mouvement
social qui irait plus loin que les gilets jaunes; même si l’on a compris
que l’immigration de masse n’a pour but que de casser la cohérence de notre
population afin d’éviter qu’elle ne fasse corps contre ceux qui travaillent
contre l’intérêt collectif du peuple de France et qu’avec son « camp des
saints » feu Jean Raspail ne parlait pas d’un camping naturiste; même
si l’on a compris que la république, qui se décline sans souci en « Populaire
de Chine » ou « Démocratique de Corée du Nord », est une entité
parasitaire qui suce la France jusqu’à la moelle (se faisant abusivement passer
pour elle) et qui joue sur les divisions, quitte à en importer, il n’en demeure
pas moins qu’on est dans une course contre la montre et que, si on laisse l’initiative
à l’état profond, il viendra un moment où l’on n’aura pas d’autre choix que d’affronter
les adversaires qu’il nous aura choisis, ne serait-ce que pour survivre.
La plus grosse des manipulations est de regarder à travers le prisme d’une morale, tout sauf universelle, un racisme qui n’est qu’un mécanisme naturel de défense, au même titre que la défiance envers ce qui est différent, sans laquelle notre espèce, à force de vouloir faire des câlins aux tigres à dents de sabre, aurait totalement disparu. Un mécanisme dont la méconnaissance aboutit à cette seconde escroquerie de l’explication du Monde par la seule lutte des classes, d’où l’antiracisme forcené des gens d’extrême gauche qui en arrivent même à oublier la lutte des classes en question. Certes on peut considérer que ledit racisme est une réponse simple voire simpliste à un problème compliqué, mais, au moins, c’est une réponse et elle ne pourra être invalidée qu’en en apportant une meilleure, or, pour l’instant, on interdit et diabolise la réponse naturelle sans apporter de solution qui marche à un problème qui s’amplifie en dépit des milliards qu’on jette dessus, un peu comme si on s’attaquait aux globules blancs (encore un terme raciste) à cause de la fièvre qu’ils provoquent en combattant les virus.
Cette attitude nous laisse aussi désemparés que Sibeth Ndiaye devant un masque, face à un chantage à la culpabilisation qu’on ne trouve que dans les pays riches (parce qu’il y a du pognon à gratter) et qui, les autres n’ayant strictement rien à foutre des valeurs morales, ne fonctionne que dans les pays de culture chrétienne sur socle de philosophie antique, laquelle a développé des concepts compréhensibles, par définition, des seuls philosophes (ainsi qu’à l’époque, d’une véritable élite) mais qui, avec l’avènement de nos fausses démocraties servent à conditionner des populations qui ont trempé dedans mais n’ont pas (ou plus) le niveau collectif pour les nuancer ni les informations honnêtes pour le faire. Quand le bien et le mal, le beau et le laid ont été dévoyés, la seule chose qui nous reste c’est le rare, plus conforme à la logique marchande, laquelle détruit à tour de bras pour en créer de plus en plus et finira par nous faire payer l’air qu’on respire si elle ne réalise pas avant que, pouvant générer de l’argent à partir de rien, elle n’a plus besoin de nous. À part, peut-être, un neurone dans le cerveau de Castaner, quoi de plus rare qu’un pays avec plus de mille ans d’histoire, dans cette continuité de population et de culture qui fait de lui autre chose qu’un simple bout de terre avec des gens dessus ? Et si je dois choisir entre défendre cette rareté irremplaçable et accueillir le surplus de populations de pays en surnatalité endémique...
En tous les cas, une fois que la guerre
de tous contre tous pendant que les élites regardent sera lancée, on sera tous
perdants, y compris ceux qui croient tirer les ficelles car mettre le feu et le
maîtriser sont deux choses différentes et pas sûr que les uns et les autres
auront le temps de se carapater en dehors du Titanic. Une fois les gens
vraiment en colère, compter sur la protection d’un vernis de civilisation qui
se craquelle à la vitesse de la peau des fesses de Brigitte Macron sans application
de lotion hydratante toutes les deux heures, car elle n’a pas, elle, la police
aux fesses, me semble un pari pour le moins risqué.
La seule façon d’éviter le piège et la guerre civile c’est, comme je l’explique dans mes vidéos précédentes, de désigner par un symbole qui dépasse toutes les chapelles politiques et idéologiques le véritable coupable, incarné par le pantin Macron. Je propose le pangolin,
symbole du foutage de gueule sans précédent que nous subissons et que vous pourrez télécharger dans la description. En tapissant la France physique et virtuelle de pangolins on pourra faire monter la pression dans la cocotte-minute afin que, rapidement, un déferlement, en une seule fois, de millions de personnes, d’accord sur le minimum syndical de la nécessité de virer Macron AVANT la fin de son mandat, balaye la fange qui nous gouverne et, a minima, crée un précédent qui fera réfléchir les autres. Toute autre tactique ne peut qu’échouer et se heurter aux « forces de l’ordre » qui, comme leur nom l’indique, ne sont pas là pour protéger la population.Peut-être qu’on
parviendra à éviter l’hystérie d’outre-Atlantique où ils en sont (ce n’est pas
une blague) à déprogrammer et annuler toutes les séries policières, dont « Cops »
qui en était à sa 32eme saison. Toutefois, il serait plus aisé de soutenir nos
éborgneurs en uniforme s’ils ne s’étaient pas comportés comme des chiens obéissants
pendant les gilets jaunes, ce qui fait qu’il est logique que leur ministre de
tutelle, qui n’a pas inventé cette poudre que d’autres sniffent, les traite
comme tels. À cette occasion, ils ont fait la preuve de leur capacité à taper sur
tout ce qui leur tombe sous la matraque et les taxer de racisme est, pour le
moins, réducteur et une insulte à leur enthousiasme, d’autant que, quand d’aventure
ils ont tabassé, au milieu du lot, quelque noir qui avait eu la mauvaise idée d’enfiler
un gilet jaune, la mouvance antiraciste a pudiquement regardé ailleurs et ne l’ouvre
que quand sont concernés des délinquants multirécidivistes.
J’accorde donc à
Omar Sy, même si je réfute qu’elles soient particulièrement racistes, que les
violences policières existent (sachant que la violence est, elle aussi,
naturelle et, pas plus que le racisme, bonne ou mauvaise, mais justifiée ou non)
et que, tant que lesdits policiers ne seront pas filmés et enregistrés en
permanence (y compris et surtout pendant qu’ils reçoivent leurs ordres) et que
les plaintes ne donneront pas lieu à des enquêtes par un organisme indépendant,
nos forces de l’ordre qui ont perdu le soutien de la population qui ne les voit
plus que pour prendre des coups ou se faire racketter d’une façon ou d’une
autre et qui sont tombés dans le ridicule absolu en fondant sur des mamies
isolées avec des hélicoptères pendant le confinement, sauf basculement dans une
dictature dure, ne retrouveront jamais la légitimité nécessaire à empêcher que
ce pays ne sombre dans le chaos souhaité par nos élites.
Il n’en reste pas moins que beaucoup de « victimaires » sont les idiots utiles idéaux d’autant que, comme tous les timbrés, ils n’ont pas de limites, ne s’arrêteront jamais et ne seront jamais satisfaits car ils justifient leurs échecs par l’existence même de ce qu’ils haïssent et dont ils visent la destruction totale : l’homme pour certaines féministes, le blanc pour certains racisés, la femme pour certains membres de la communauté de l’alphabet et la France pour tous. Toutes ces revendications sont, par ailleurs, des revendications de pays riches et, au fur et à mesure que le nôtre qui, selon les prévisions de l’OCDE, va être (cocorico, merci Macron) le pays le plus touché au Monde par la récession, va s’enfoncer dans les abysses, c’est un luxe qu’on ne pourra plus se permettre car, quand on n’a plus à bouffer, les chiottes unisexes et le racisme systémique matérialisé par la couleur des pansements ça a tendance, allez savoir pourquoi, à ne plus être prioritaire et, une fois que lesdits victimaires auront joué leur rôle, ce même système qui les a promus les regardera se faire bouffer tout crus sans lever le petit doigt.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, une bonne quinzaine à ce jour, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires également en description. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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