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jeudi 30 juillet 2020

INSÉCURITÉ : Réponse à TATIANA VENTÔSE (qui ne m'a rien demandé, mais ça fait rien!) (30 juil. 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/1tP3JzvnrYM


 
Communiqué :
Je suis un peu embêté car au moment où j’allais poster cette vidéo qui traite du thème de l’insécurité en France, j’apprends que le gouvernement a pris la mesure du problème et l’a réglé définitivement… en arrêtant Alain Soral, pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », même si le communiqué ne précise pas de laquelle. Donc, maintenant que le pays est sauvé, cette vidéo n’a plus vraiment de raison d’être, mais comme elle était prête, je la poste quand-même. Bon visionnage.

Bonjour,
Quelqu’un m’ayant signalé dans les commentaires que Tatiana Ventôse avait enfin vu la lumière, j’ai craint un instant que ce ne fût au bout d’un long tunnel suite aux affres de la peste médiatico-bubonique qui ravage nos contrées, mais, fort heureusement, il parlait de sa vidéo intitulée : « le Pays part en vrille ». La curiosité piquée par autant d’enthousiasme, j’ai sélectionné vitesse X 2 dans les paramètres et j’ai visionné la chose avec le même intérêt que Macron quand il fait des commentaires gourmands sur la pointure d’un de ses gardes du corps.

Je ne sais pas si ledit Macron a été déçu au déballage, mais la Tatiana 2.0, ce n’est pas pour tout de suite. En gros, elle nous explique qu’on a une recrudescence de meurtriers sans caractéristiques précises qui tuent des gens, là aussi, sans caractéristiques particulières, parce que la justice est laxiste et que, franchement, ça commence à bien faire. Point. le tout en 17 minutes chrono. 
Un laxisme qui, par ailleurs, tombe du ciel et n’a rien à voir avec certaines forces qui visent toutes à la destruction de l’état nation et qu’on retrouve également derrière l’immigration de masse : l’idéologie gauchiste qui pervertit les juges, la maçonnerie qui leur assure la protection nécessaire pour ne pas être emmerdés, un certain lobby qui, par les lois mémorielles qu’il a imposées, a accru le pouvoir desdits juges dont l’appréciation prévaut désormais sur l’objectivité des faits, ou encore, liste non-exhaustive, l’union européenne et les instances supranationales qui ont ôté toute possibilité à l’état d’y remédier, à supposer qu’il en ait la velléité et ne soit pas qu’une simple association de malfaiteurs manipulée par les casseroles indicibles que ses membres ont au cul, ce qui expliquerait, entre autres, pourquoi le volet Français de l’affaire Epstein est au point mort et qu’on ait accepté d’en arriver là, par trahisons successives, sans consulter les Français. Mais bon, je dis-ça, je dis rien.
Quant à oser dire en 2020, avec un aplomb sibethniayesque que : « racaille n’est pas un terme ethnique, fin de la conversation » même si c’est lexicalement juste, c’est sociologiquement aussi faux que de prétendre que la finale du 4 fois cent mètres est une convention du Ku Klux Klan ou que « l’association des éboueurs juifs de France » refuse du monde. Et ça ne date pas de 2020 car si Sarkozy avait fait sa déclaration sur le Karcher dans le 16eme, tout le monde aurait pensé qu’il voulait ravaler les façades. 
Le fait que l’immense majorité des coupables de ce que notre gérontophile à voile et à hydrogène (plus écologique que la vapeur) appelle pudiquement des « incivilités » ne s’appelle pas Pierre-Henri, ne veut pas dire que tout ce qui nous vient du continent Africain (directement ou par ascendance) est à classer dans la catégorie « délinquant », loin s’en faut, et je le maintiendrai tant qu’on ne retrouvera pas un demi-chauffeur de taxi rôti dans le congélateur de Laeticia Avia. Mais on se doit d’appliquer ce même principe de précaution dont on nous rebat les oreilles quand ça arrange le gouvernement et qui, en raison du décès de 0,04% de la population (dont la majorité serait quand même morte d’autre chose dans les mois suivants) vaut à toutes les personnes non malades de devoir respirer leurs miasmes toute la journée derrière un nid à microbes et à bactéries qui, paradoxalement, affaiblit leur système immunitaire à une période où, au contraire, tout le monde devrait s’oxygéner au maximum pour le renforcer.
Un principe de précaution qui voudrait que, tant qu’on n’a pas résolu ce petit problème de meurtres et d’agressions (et je crains fort que cette fois-ci, élargir les trottoirs s’avère insuffisant) étant donné que la seule façon de savoir à qui on a affaire quand on croise certains individus patibulaires, mais presque, c’est d’attendre de voir s’ils nous sortent un couteau ou non (sachant que, dans certains endroits, les probabilités statistiques de survie d’un individu lambda la nuit, en cas de défaillance de réverbère, équivalent à celles d’un spermatozoïde dans une relation homosexuelle) on n’a, objectivement, guère d’autre choix que de retrouver cette méfiance salutaire envers ce qui nous est étranger, laquelle a évité à nos ancêtres la tentation d’aller faire des bisous aux tigres à dents de sabre.
Méfiance forcée que nos politiques, qui rivalisent de néologismes outrés pour éviter les mots qui fâchent d’un côté, tout en laissant grand ouvert le robinet de l’immigration de l’autre (sachant que j’ai même vu passer la vidéo d’un migrant en train de faire tranquillement rôtir un chat en pleine rue) requalifient de « racisme » et utilisent comme prétexte pour dédaigner, d’un air vaguement dégouté, toutes revendications que l’on serait amenés à formuler. 
Et ce ne sont pas les Black Lives Matter et autres mouvement indigénistes qui nous balancent au visage le privilège blanc de se faire trucider dans des autobus pour un boulot payé au SMIC (au lieu de réclamer un passage de Karcher qui est la seule solution pour créer les conditions d’une qualité de vie meilleure pour l’ensemble de la société, minorités comprises) qui vont arranger les choses. 
Une autre solution étant, à l’instar de la caste médiatico-politique, d’habiter dans des quartiers à l’immobilier hors de prix qui éloigne le lumpenprolétariat tout en donnant des leçons de morale à ceux qui sont obligés de vivre avec… mais tout le monde n’en a pas les moyens. 
Et tout ça, mademoiselle Ventôse, ne serait-ce que pour s’être faite agresser dans le métro en 2018 (si j’en crois la vidéo qui y fait référence) par des personnes qui, coïncidence, ne s’appelaient pas Pierre-Henri, le sait très bien, ce qui rend encore plus hypocrite le numéro qui suit (et que je suis désolé de devoir vous infliger) dans lequel elle joue les fausses sceptiques, terme qui montre la supériorité de l’écrit sur l’oral pour éviter les confusions, même si dans les deux cas, ça pue un peu :
[transcription de l'extrait vidéo :
" - SeMetàGauche, pour quoi il pleure SeMetàGauche? Il s'est fait agresser par des chances de la diversité, SeMetàGauche?
- Non, non, ce sont des méchants hommes blancs qui ont agressé ce pauvre SeMetàGauche
- C'est faux, je te l'avais bien dit. Nous devrions rétablir les statistiques ethniques. Elles prouveraient que NOUS avons raison. Goebbels!
- Oui les statistiques ethniques prouveraient que c'est SeMetàGauche qui a raison. Ce sont les méchants policiers blancs qui votent Marine Le Pen. On montre, on montre, on montre les statistiques ethniques"] 
Bon après, à sa décharge, parfois, il y a la pression de devoir sortir une vidéo et, dans la précipitation, on essaie des trucs qui, sur le moment, nous semblent une bonne idée, mais qui nous hanteront pour la postérité :


L’air de rien, tout en comptant sur le fait que l’intelligence d’une partie de son auditoire la fera pencher du bon côté, elle préserve (quand on écoute vite) l’autre partie et éloigne l’épée de Damoclès algorithmique YouTubesque en vendant l’idée fausse qu’il y a deux camps extrêmes, avec des positions caricaturales et que la solution se trouve entre les deux. Pardonnez-moi le langage, mais entre se faire enc*** et ne pas se faire enc***, sauf à m’expliquer en quoi la solution médiane ce n’est pas se faire « un peu » enc***, ce qui revient à se faire enc***, je suis désolé, mais il y a des cas (comme constater que l’eau mouille) où il n’y a qu’une vérité et où il faut choisir son camp. 
D’autant que l’heure est grave. Rien que cette semaine, à Bordeaux, sans réaction de la municipalité vert pastèque, coups de feu et bagarres à la machette à côté de la gare, attaques au couteau et aux tessons de bouteille à Rennes, 5 personnes dont 3 légionnaires blessés à l’arme blanche à Montpellier et si vous tapez « agression couteau » sur Google et que vous sélectionnez « moins d’une semaine » vous allez prendre peur.
Le pire étant qu’après avoir admis que des gens se font tuer pour rien, notre passionaria flamboyante, met ça sur le compte d’un sentiment d’impunité lié à un laxisme de la justice. Là encore, même si ledit laxisme est indubitable, notre système judiciaire est calibré pour des gens (peu importe leur couleur de peau) auxquels il ne viendrait pas à l’esprit d’en tuer d’autres sans la moindre raison valable et, effectivement, sur ces gens-là, c’est-à-dire vous et moi, la peur du gendarme fonctionne.
Mais là, on est face à des individus qui, faute des capacités intellectuelles suffisantes pour leur permettre de se projeter dans l’avenir et de mesurer les conséquences de leurs actes, vivent dans le présent, se contentant de réagir, tels des fauves, et sont, de ce fait, totalement incapables d’être effrayés par la perspective d’une peine de prison, ni même d’en tirer un enseignement quand ils la purgent puisque, encore une fois, pour eux, demain n’existe pas. Et non, je ne vise personne au gouvernement. 
Si la mesure du QI peut-être critiquée, elle reste (en attendant de trouver mieux) la meilleure mesure objective concernant l’aptitude à réussir dans NOS sociétés, même si, dans le contexte actuel, je suis obligé de répéter, pour lever toute ambiguïté, que ce n’est pas parce qu’un pays peut avoir un QI moyen inférieur à un autre qu’il n’y a pas des gens très intelligents (et d’autres très cons) dans les deux et que, si, toujours dans le cadre de la survie élémentaire, on est contraints, par le laxisme du gouvernement et son absence de sélection aux frontières, à avoir des apriori en fonction de certains critères physiques et comportementaux, chose qu’ensuite on va nous reprocher (ce qui montre à quel point le système est pervers) il serait malhonnête de ne pas réviser cette opinion, au cas par cas, et de nier les compétences d’une personne, quand elle en a, sur des bases purement arbitraires. A l’inverse, on n’est pas obligés, non plus, de tomber dans l’angélisme au point de laisser, par exemple, les clés d’une cathédrale à un Rwandais en situation irrégulière. 
À ceux dont le cerveau a suffisamment été lavé pour trouver ce raisonnement intolérable, je me permets de tendre un petit miroir en leur précisant que, mon épouse étant Japonaise, au début de l’épidémie, quand on parlait du virus « Chinois », l’accès aux caisses du supermarché local s’ouvrait devant nous comme la Mer Rouge devant Moïse et que les porteurs de pancartes « Migrants Welcome! » (que dans les petites localités on a l’avantage de connaître) n’étaient pas les derniers à se mettre à distance respectueuse. C’est au pied de l’arbre qu’on voit le bûcheron et c’est quand ça arrive dans SON jardin qu’on voit l’antiraciste (fin de la parenthèse). 
Pour un gouvernement qui se doit, lui, de raisonner, de façon plus globale, en termes de flux et non d’individus, il est criminel d’autoriser l’arrivée en masse de personnes au QI moyen (je dis bien moyen) inférieur (d’autant que lesdits pays ne nous envoient généralement pas leurs ingénieurs nucléaires), faisant ainsi baisser, mécaniquement, le QI du pays d’accueil à une époque où la seule chose qui conserve une valeur marchande c’est, justement, l’intelligence et l’innovation. 
Sans compter que cela prive la sapiosexuelle Marlène Schiappa (excitée, selon ses dires, par les gens intelligents) de beaucoup d’occasions de pratiquer le QI Lingus. 
En récupérant, non pas des échantillons représentatifs, mais carrément le rebut, de ces sociétés (ce qui n’a pas toujours été le cas, mais l’est devenu depuis la crise migratoire qui a fait suite à la destruction de la digue que constituait la Libye), rebut qui cumule parfois des traumatismes lourds qui le rendent inapte à une vie normale, on en arrive, chez nous, à des concentrations de prédateurs opportunistes dépourvus de toute empathie, supérieures aux pays d’origine. 
C’est d’autant plus grave que ce manque d’empathie et cette incapacité de projection (que ne connait pas un certain Griveaux qui vient de faire son retour en douce) se répandent dans l’ensemble de notre société comme un cancer ; notamment dans une jeunesse pour laquelle, compte tenu de l’état du monde qu’on lui a légué, outre que l’éducation (dite nationale, mais en fait républicaine) ne lui fournit plus les outils conceptuels pour le faire, se projeter dans l’avenir ôterait le peu de joie de vivre qui lui reste dans une perspective éternelle de sexe sous latex et de masque sur la bouche, combinée à un chômage de masse et à l’idée, à court terme (quand ce n’est pas déjà le cas dans leur salle de classe) d’être minoritaires dans leur propre pays. D’où un escapisme croissant dans les jeux vidéo, les réseaux sociaux et autres réalités virtuelles que la distanciation sociale ne va pas arranger et qui ne les prépare pas à un futur (qui n’est plus dystopique) dans lequel, si on ne fait rien, lesdits prédateurs, lâchés dans un monde de moutons, seront les rois, pendant que les sangsues du haut continueront à se remplir les poches.
Donc, contrairement à ce que dit la douce Tatiana, on n’en est plus au stade où les choses peuvent se régler selon les principes foireux d’un soi-disant « état de droit » quand, dans les faits, le deux-poids deux-mesures est la règle partout et qu’un type qui a une plainte pour viol aux fesses peut être ministre de l’intérieur alors que de braves gens perdent leur boulot tous les jours pour un tweet jugé offensant par un pisse-vinaigre quelconque. Un état de droit qui accorde religieusement (là où, en revanche, il faudrait faire des distinctions) les mêmes droits à des gens qui vivent dans des univers parallèles et qui n’ont en commun que d’avoir deux bras, deux jambes et un sphincter. 
On en est déjà au stade où l’on se prend presque à regretter les « Allah Akbar » qui, au moins, avaient un fondement politique qu’à défaut d’admettre, on pouvait comprendre. Désormais, on tue pour tuer.
Je ne suis pas pour la peine de mort ; non en raison du mot « mort » qui ne me gêne pas, mais du fait qu’on se sente obligés d’y accoler le mot « peine » qui n’a, dans ce cas, aucun sens. Quand je vois des blattes, je ne punis pas, je traite. 
Certes, pour conserver un semblant de moraline hypocrite, on peut trouver plus humain de renvoyer vers d’autres cieux ceux qui peuvent l’être et, pour les autres, de construire de grandes prisons, de les mettre dedans et de jeter la clef, mais, dans tous les cas, ces individus n’ont pas leur place dans notre société, pas plus que les pickpockets, multirécidivistes et autres cambrioleurs qui ne devraient pas être jugés, comme des citoyens ordinaires, en fonction de la gravité de leurs méfaits, mais en fonction de leur degré de nuisance pour la société (à ne pas confondre avec la république, ce qui tournerait vite en 1984) en tout cas, si on veut que ladite société ait une chance de survivre. 
Si on ne cible pas vite certaines personnes, en intégrant, sans tabou, leurs spécificités ethniques et culturelles à la problématique (ce qui oblige à avoir une discussion franche, avec référendum à la clé, sur l’immigration et la remigration, chose qui, en outre, remettrait en cause le principe de libre circulation sans lequel il n’y a plus d’Union Européenne), en fonction du pourcentage de moutons prêts à se laisser égorger sans rien faire et du nombre de frigos vides, tout ça pourrait également, c’est l’autre option, finir en guerre (qui serait civile si on parlait d’un même peuple) durant laquelle personne ne prendra plus la peine de séparer le bon grain de l’ivraie. 
Je ne fais pas partie de ceux que cette perspective excite, mais pas non plus de ceux qui feront le dos rond s’il faut en passer par là, d’autant qu’après, même si ce n’est pas dans cet ordre que la chose serait le plus efficace (mais ce n’est pas moi qui choisis), on s’occupera des tireurs de ficelles qui auraient tort de se croire à l’abri. 
Si vous me trouvez un politique qui a les cojones de dire ça, au lieu de tomber dans le piège du « regardez à quel point je ne suis pas raciste » dès qu’un journaliste l’interroge, il a mon vote.
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2 commentaires:

  1. Ce que nous apprennent les données de mortalité https://youtu.be/jkLtPq5-e_k

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  2. "principe de précaution dont on nous rebat les oreilles quand ça arrange le gouvernement et qui, en raison du décès de 0,04%"

    Confusion entre mortalité et létalité, un classique.
    J'arrête donc là le visionnage.

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