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vendredi 1 octobre 2021

DÉGOÛTS & DES COULEURS (1 oct. 2021)

Ma chaîne YouTube étant toujours censurée la vidéo sur odysee :https://odysee.com/@LaMiteDansLaCaverne:4/couleurs:3


 Bonjour !
Je vais faire court car j’ai ce que l’on appelle, de façon ignominieusement raciste, le blocage de la page blanche.  Je n’ai plus envie de rire, même jaune, car au fond de moi, je broie du noir, littéralement vert de rage tellement je vois rouge de ne plus voir la vie en rose face à ma peur bleue de l’avenir, lequel me semble très gris. J’ai l’impression de m’être fait marron à m’époumoner pour rien, violet par manque d’oxygène et de me retrouver chocolat à toujours passer à l’orange, à deux doigts de la suppression de chaîne. Bref, j’en vois de toutes les couleurs, ce qui me rend un peu chromophobe et quand j’apprends que les Suisses, abusés par un arc-en-ciel aux allures sympathiques, ont voté le mariage triste avec le même entrain que les écologistes ont plébiscité Sandrine Rousseau, laquelle, passée à un poil pubien de la victoire, déconstruit ses compagnons sans passer par la case prison, cela me conforte dans ma conviction que, hélas, la démocratie est toxique, dépassé un certain niveau de conditionnement et de destruction du bon sens élémentaire. 

Comme je m’évertue à le dire depuis des années : un couple homo ça n’existe pas, pas plus qu’un couple de chaussures. Dans les deux cas, il s’agit d’une paire et l’utilisation erronée du mot couple pour l’ensemble donne la fausse impression d’une inégalité entre un vrai couple, forcément hétéro et une paire homosexuelle. Le mariage, projet de vie contractuel, lequel, par ailleurs, n’a rien à voir avec l’amour qui est, au mieux, la cerise sur le gâteau, c’est pour les couples et l’on peut imaginer, par exemple, un « pariage » pour les paires, actant qu’il s’agit de deux choses fondamentalement différentes, ce qui coupe court à l’entreprise de désagrégation de la famille et autres absurdités du style : parent 1 et parent 2. C’est effrayant comme il suffit de tordre le sens d’un mot pour foutre en l’air toute la société. 

De même, quand les règles harmoniques ne sont plus respectées et qu’il n’y a plus de mélodie, en gros si vous ne pouvez pas le siffloter, ce n’est plus de la musique, pareil pour l’art en général. Ne pas utiliser les mots appropriés, voire ne pas en inventer de nouveaux pour toutes ces formes de dégénérescence à le même effet que de considérer les frites comme des légumes. En bouffant, au passage, toutes les subventions, ces sous-produits finissent par remplacer lesdits légumes dans l’assiette, tout en donnant, sur le papier, bonne conscience. Ensuite, on se demande, avec un l’air ingénu de la vierge-Marie apprenant sa condition : d’où vient l’obésité d’un côté, et la connerie ambiante de l’autre. Pareil pour le pseudo vaccin, qu’on nous inflige actuellement, qui n’a de commun avec un véritable vaccin que le terme dont la définition a, par ailleurs, été changée par le CDC à cette occasion. On est d’abord passé d’une « suspension de micro-organismes atténués ou tués visant à la prévention, le traitement ou l’immunisation contre des maladies infectieuses » qui était la définition du dictionnaire médical, à « une préparation visant à immuniser contre une maladie spécifique » puis, finalement, face à une efficacité plus que relative en ce qui concerne l’immunité à « une préparation visant à stimuler la réponse immunitaire face à certaines maladies ». Mais, pour le grand public, c’est toujours un vaccin et il n’y a aucune différence de nature entre celui contre la polio et cette substance expérimentale dont toute critique, depuis le 29 septembre, vaut, de façon systématique, une exclusion de la plateforme YouTube. 

De la même façon, ce godemiché géant, qu’on nous fait passer depuis des années pour un thermomètre à chaque fois qu’on nous l’introduit entre les fesses, en nous disant : « c’est pour votre bien ». C’est ainsi que, « pour notre bien », le porte-mensonge du gouvernement vient d’annoncer que la possibilité du pass sanitaire sur un claquement de doigt sera prolongée jusqu’à cet été, chose que ma boule de cristal complotiste avait prédit depuis que le mot pass a été prononcé pour la première fois. Pendant ce temps, Macron (contre lequel aucun vaccin n’a encore été trouvé) met en place une « commission pour mesurer les dangers du numérique sur la cohésion nationale et nos institutions afin de mieux y faire face ». Comprenez : « Il est temps de finir le ménage sur internet. La parole du gouvernement, lequel ne ment jamais, est sacrée, comme une vache en Inde ou Marlène, chez nous, pour peu qu’elle ait des cornes ce que seul son con plus ou moins joint peut confirmer.» 

Pour couronner le tout, l’euro numérique, dès 2022, pourrait signifier la fin de l’argent liquide, l’impossibilité de retirer ses sous des banques et le parachèvement du contrôle total sur nos vies, sachant que chaque dépense sera enregistrée et que si on n’a pas acheté un dentifrice écologique, qu’on a mis du diesel dans sa voiture ou qu’on est abonné à « Rivarol » ou à « faits et documents », il suffira d’un clic pour nous rendre SDF. Pendant ce temps, on expérimente, grandeur nature, dans les endroits entourés d’eau d’où les gens ne peuvent pas s’échapper, comme l’Australie ou l’Angleterre, qui le degré de tolérance face à une tyrannie Orwellienne, qui les réactions au conditionnement aux pénuries diverses, comme l’essence. Bref, une convergence, à toute vitesse, des tyrannies sanitaires, économiques et climatiques… pour les peuples, tandis que les élites, vaccinées à l’eau distillée, se baladent sans masques, que l’Europe exempte de taxes le kérosène pour les jets privés et qu’on essaie de nous faire croire, une dernière fois, au mirage électoral en trumpisant Éric Zemmour lequel (il faut au moins lui reconnaître ça) s’est engagé à supprimer toutes les loi liberticides (y compris la loi Gayssot) ce qui, sur le papier, si je croyais encore à tout ce cirque et n’étais pas convaincu que les promesses n’engagent que ceux qui y croient, le rendrait le moins pire des candidats, à mes yeux. 

Le pire, dans tout ça, c’est que Greta Thunberg, venue à la rame jusqu’en Allemagne pour se plaindre qu’on ne retourne pas assez vite à l’éclairage à la bougie, à désormais 18 ans et qu’elle pourrait bien faire son apparition, aux côtés d’Agnès Buzin, récemment recyclée par Macron en directrice exécutive de l’académie de l’OMS, dans ces cauchemars érotiques qui parfois me réveillent la nuit et dont il m’arrive de vous faire part. En plus d’une gousse d’ail, d’un exemplaire de Mein Kampf et d’un crucifix il va falloir, désormais, que j’accroche une bombonne de CO2 au-dessus de mon lit.
Avant de vous suicider, n’hésitez pas à liker, partager et à laisser vos dernières paroles pour la postérité sous forme de commentaire. 

Pour tous les autres, à bientôt… j’espère.

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