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mercredi 19 janvier 2022

Eradiquons le patriarcat toxique! (19 janv.2022)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/i-5AmKmCakQ

 

Bonjour ! 

Il paraît qu’une certaine Brizitte, connue pour avoir dit à ses élèves « allez, lisez ! », chose que, pour notre plus grand malheur, l’un d’entre eux a mal interprétée (comme il a mal interprété « maîtresse ») que cette Brizitte donc prétend qu’on la diffame, alors qu’au contraire, si j’ai bien compris, on la dit homme. Donc si on la dit femme on ne la diffame pas alors que si on la dit « homme », là on la diffame même si quand on la dit « femme » alors qu’elle est homme quelque part on diffame l’homme qu’on dit « femme ». Du coup, on n’y en…trave lo…giquement rien d’autant que les avis divergent et que dix verges, même au cas particulier, ça me semble beaucoup, à moins que j’aie mal compris « diffame »... Dans tous les cas, il faut raison garder : ce n’est pas parce qu’elle a de grands pieds, de larges épaules, une perruque, une poitrine à volumétrie variable, une grosse boite crânienne, des arcades sourcilières prononcées, un menton carré, une voix bizarre, pas de hanches et un annulaire plus long que son index que l’on peut en déduire quoi que ce soit. 

Certains, perturbés par une photophobie qui l’a poursuivie durant son enfance, son adolescence et son premier mariage, estiment qu’elle n’est pas transparente en ce qui concerne ses enfants et c’est normal car si elle était trans…parente nul besoin d’être trans…lucide pour comprendre que cela ajouterait à la confusion d’autant que la chose ne serait pas limpide. Certains vont jusqu’à voir dans sa gestuelle des trans…positions… d’attitudes masculines. Peut -être qu’ils se plantent, voire qu’ils se trans…plantent pour aller sur un registre botanique. Toujours est-il que je pense avoir trouvé l’origine de la rumeur selon laquelle elle serait son frère Jean-Michel. La faute en incombe à Valérie Pécresse qui a finalement retrouvé, encore dans son emballage d’origine, le Kärcher collector de Sarkozy lequel a plutôt opté pour un casher de marque BHL, notamment en Libye. En effet, un Kärcher forcément ça nettoie et si ça nettoie… c’est donc ton frère, d’où, je pense, la rumeur. 

Une Valérie Pécresse laquelle vit dans un monde où les années font 246 jours et où Oradour-sur-Glane se situe en Corrèze, qui a produit sur les réseaux sociaux un remake du tube de Jacques Dutronc : « il est 5 heures, Pécresse s’éveille… Pécresse s’éveille » soulignant à quel point, pour elle, se lever des potron-minet, relève de l’exploit, exploit que tous les Français adeptes de la grasse matinée, du livreur, au boulanger en passant par l’infirmière et la femme de ménage apprécieront. J’espère qu’elle n’a pas pris de taxi (en supposant que ces fainéants soient déjà levés de si bonne heure) taxi qu’elle aurait pu partager avec Anne Hidalgo laquelle explique dans une vidéo, elle-aussi virale, à quel point les taxis c’est bien, que grâce à eux, elle découvre Paris (visiblement, elle n’est pas du coin) et que moins il y aura de voitures dans la capitale (ce à quoi elle s’emploie) plus il y aura… de taxis. Les 1,8 %, au Q.I. de crevette anémique congelée, encore disposés à voter pour elle auront donc compris qu’à défaut de baguette, fût-elle à 29 centimes chez Leclerc, ils pourront manger de la brioche. 

Si l’on ajoute la séquence ultra Marine, non pas de Jean-Michel Blanquer les pieds dans l’eau à Ibiza et le reste dans quelque « cabaña » pendant que les enseignants attendaient leur protocole de rentrée, mais de la toute aussi ultra Marine Le Pen, nous rappelant à quel point elle est douée pour remuer du popotin sur des musiques exotiques (même après défaite électorale) et où on la voit glisser un discours patriote entre deux appels à la prière, plus Christiane Taubira dont on se remémore la déclaration enflammée à Assa Traoré et la masterclass en langue de bois sur le pass vaccinal, on se prend à regretter qu’à un poil pubien près, Sandrine Rousseau ne soit pas parvenue à déconstruire le suppôt du patriarcat incarné par Yannick Jadot, surnommé « Yannick la mer » lorsqu’il s’inquiète de l’érosion du littoral. Quelle occasion manquée de montrer à la face du Monde, par ce quasi grand chelem de l’excellence, que oui, les femmes sont les égales des hommes et que les femmes politiques sont sans conteste aussi… incompétentes, nulles, hypocrites et corrompues que leurs homologues masculins. 

D’autant que Ségolène Royal était disponible (elle le dit à qui veut l’entendre) et que la gauche a manqué une occasion en or (qu’elle rattrapera peut-être à la primaire) de faire appel à celle qui a fait… 2% lors de sa tentative, l’an passé, de se faire élire sénatrice des Français de l’étranger. Mais bon, soyons positifs : même si, faute de « bravitude », nous sommes peut-être passés à côté d’un grand pas pour l’humanité, la masculinité toxique a du plomb dans l’aile et c’est ce qui compte. 

Mélenchon, lequel fait carrément chanter « l’hymne des femmes » à capella dans ses meetings sans toutefois aller jusqu’à laisser sa place à Clémentine Autain blême ou Raquel Garrido (laquelle fait pourtant largement le poids), non content de n’être plus, littéralement, qu’un hologramme, parle désormais à la Terre depuis la lune par mur d’images interposé pour nous expliquer que le covid c’est la faute à la déforestation. Comme maintenant, nouveauté 2022, on a droit à l’odeur en plus, il a même été contraint d’ôter le col mao qu’il porte depuis 30 ans et dans lequel aurait pu se nicher un reste de senteur masculine. Une masculinité qu’on se garde bien de trans…humer à l’Elysée où là non plus les taux de testostérone, sauf si on les cumule, ne sont pas significatifs. Poutou quant à lui évoque plus un câlin qu’autre chose et comme je ne veux pas être méchant concernant Philippot, Asselineau et Dupont-Aignan dont les penchants n’enlèvent rien aux mérites, il ne reste guère que Lassalle et Zemmour pour représenter le patriarcat dans cette pantomime électorale et encore, derrière Zemmour il y a Sarah et de Sarah, disent certains, point trop Knafo. 

Zemmour (dont par ailleurs je partage une partie des analyses) a fait très fort en matière de grand-écart en parvenant à mettre, dans deux interviews différentes, sur le dos de l’immigration et du laxisme de la justice les soi-disant « violences » faites aux élus que, bien sûr, comme tous les autres candidats, peu enthousiastes à l’idée d’admettre leur rôle de canalisateurs de colère dans une direction autre que verticale, il condamne, se gardant de relever que la fortune des milliardaires a augmenté de 86% depuis le début de la pandémie de cas et que, côté théorie du ruissellement, pour le coup, on voit nettement l’impact du réchauffement climatique. 

En tous les cas, merci à lui de m’avoir éclairé car, n’ayant pas entendu le moindre « Allah Akbar » (peut-être à cause des masques FFP2) j’avais naïvement imputé la chose au fait que les gens se sentent acculés, mot qu’il convient d’articuler soigneusement, sachant que, pour rester dans l’analogie scatologique, une majorité d’entre nous n’a jamais rien vu de positif sortir d’une urne non plus. Tel le pot de fer et le pot sommé de se taire, nous sommes désarmés face à des gens qui votent, en notre nom, des lois scélérates à 4 heures du matin en buvant du champagne et sans jamais nous consulter. Si certains, parmi nous, disent qu’ils ne sont pas contents ou tentent d’évacuer un peu de vapeur en désignant des boucs émissaires plus ou moins pertinents (autres que ceux que l’on désigne pour eux) ils se font censurer, nazifier, complotiser ou antivaxxer avec comparution immédiate. Ceux dont le frigo n’est pas encore vide ne peuvent même plus faire le dos rond en essayant de se focaliser sur leurs loisirs ou le repas entre amis qu’ils vont faire le Week-end car on vient les « emmerder » jusque-là avec des masques et des pass vaccinaux. Même quand ils essaient de s’évader de ce Monde de merde, par la télé, le cinéma et même les jeux vidéo, on leur impose de la propagande lgbt covidiste à hautes doses avec des histoires inexistantes et des personnages superficiels résumés à leur identité diverse et inclusive. Et encore, je ne parle que des gens qui, n’ayant pas d’enfants, ont le luxe de l’égoïsme. Les autres sont socialement sommés de faire injecter un produit expérimental à leurs gosses en dépit d’un rapport bénéfices-risques négatif et de leur imposer de respirer toute la journée leurs miasmes derrière un masque en papier. 

Ne peut-on dès-lors concevoir, même quand on s’appelle Zemmour, qu’éperdus de reconnaissance, nous ayons parfois comme une envie de faire valoir le principe de subsidiarité et, faute d’accès direct à Macron ou à Bill Gates, d’étreindre affectueusement certains élus à notre portée, sans lesquels aucune de ces saloperies ne pourraient se faire, en serrant très, très, très, très fort. Dans un pays où un égorgement est pudiquement appelé par les médias « coup de couteau circulaire au niveau du cou », je ne vois pas en quoi le concept de « chaleureuse étreinte occipito-atloïdienne » pourrait choquer quiconque d’autant qu’à ce jour, en dépit de paroles verbales et twittesques personne n’a encore été affectueux jusque-là. Je ne suis pas quelqu’un de violent et, comme la majorité d’entre vous, j’ai sauvagement tué moins de 10 personnes dans ma vie, mais je commence à en avoir ma dose et je ne parle pas de vaccin. 

Comme dit le proverbe : « quand on se regarde, on se désole ; quand on se compare, on se console » et les Australiens me consolent beaucoup. Ne pouvant expulser pour raisons médicales un Novak Djokovic en pleine forme qu’il aurait été facile de tester tous les jours autant de fois que nécessaire, le con gourou du covidisme (avec les juges dans sa poche) qui leur tient lieu de ministre de l’immigration (celui qui enferme les non vaccinés dans des camps) après avoir sauté sur place, l’a expulsé pour « motif d’intérêt public ». La crainte étant qu’il booste la contestation contre la politique vaccinale et qu’il ridiculise le gouvernement si en plus, comme cela était probable, il avait gagné l’Open (pour le coup mal nommé) d’Australie. Mais n’ayez crainte, ma consolation sera de courte durée car, il en allait de la fierté de la France, on ne pouvait pas laisser à ceux qui, au moins, ont l’excuse de marcher la tête en bas, la médaille d’or du fanatisme et notre ministre des sports au nom imprononçable a déjà annoncé qu’on allait faire pareil pour Roland-Garros. 

Bon, sur ce, je vais manger des crêpes, non pas au nutella, mais « à rien » et si c’est « à rien », pour Darmanin, lequel en ce moment voit des nazis partout, c’est d’extrême droite. 

N’oubliez pas de cliquer sur tous les trucs en bas et de faire un tour sur mes autres chaînes en description, notamment ma chaîne « odysee » qui vient de dépasser les 2000 abonnés ce qui est loin d’être négligeable sur cette plateforme. Merci pour vos commentaires, vos encouragements et votre soutien et à bientôt…j’espère.

3 commentaires:

  1. Votre passage sur les critères apparents ("ce n’est pas parce qu’elle a de grands pieds, de larges épaules"…) m'a rappelé le célèbre test du canard :

    "Si ça ressemble à un canard, si ça nage comme un canard et si ça cancane comme un canard, c’est qu’il s’agit sans doute d’un canard."

    Il y avait une réplique du même genre chez Michel Audiard, mais je ne l'ai pas retrouvée.
    Bon courage à vous et merci encore.

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    1. sauf qu'aujourd'hui le canard vous répondra je suis poule d'eau de quel droit m'appelez vous canard

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  2. blog et chaine sensas ! merci

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