Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/aNwLTmAKdZY
Bonjour !
Bonne nouvelle, la doyenne des Français et de l’humanité est morte… à 118 ans sans avoir été violée par un individu sous OQTF, une occasion manquée pour la postérité le record actuel, selon mes tablettes, n’étant que d’un modeste 96 ans, ce qui relègue à peine en division d’honneur la mamie de 78 culturellement enrichie, à Lille, ces jours-ci, par un Guinéen portant le joli prénom du prophète et tout juste sorti de prison pour agression sexuelle. Ce n’est pas comme cela qu’on va redresser une natalité qui, selon les derniers chiffres tombés mardi dernier, avec seulement 723 000 futurs esclaves salariés transgenres sans droit à la retraite nés en 2022, atteint un plus bas depuis 1945. On se demande bien pourquoi.
Les OQTF, c’est un peu comme les bons points jadis à l’école, au bout de 10 on a droit à une image, non plus de la Sainte Vierge, mais de Brigitte sans perruque, carte qui doit mieux s’échanger chez les gérontophiles que la vignette Panini de Mbappé chez les amateurs de ballon rond. Clémentine Autain blême, même si visiblement perturbée par sa ménopause au point de déplorer la privatisation de la SNCF, a donc, elle, encore un peu de marge avant d’attirer les nostalgiques de la viande de brousse, d’autant qu’elle a l’air propre sur elle. Par ce tweet, absolument pas destiné à se la jouer prolétaire (à 7000€ par mois, sans les à-côtés) qui prend les transports en commun, mais en première (histoire de raviver la lutte des classes), certes elle a « déraillé », certes, en retour, elle en a pris plein son « arrière-train » aux allures de « locomotive », mais est-ce que pour autant elle perd la boussole et s’é-gare du nor-mal ou est-ce qu’elle a juste un train d’avance ?
À sa décharge dirait Griveaux, la SNCF est ce que l’on appelle non un porc-épic, mais par souci d’inclusivité (façon repas végétariens à la cantine) un EPIC tout court, acronyme d’Établissement Public à Intérêt Commercial. « EPIC, EPIC et colégram, amstramgram ! » et hop, d’un coup de baguette magique (parcimonieusement lubrifiée), même si elle n’est pas privatisée sur le papier, elle se retrouve ainsi gérée comme une entreprise privée néolibérale, c’est-à-dire saucissonnée (mais en restant économiquement halal) en plusieurs entités de sorte qu’au lieu d’être obligatoirement réinvestis dans les infrastructures ou dans la qualité et la pérennité du service, les profits (2,2 milliards rien qu’en 2022) sont décorrélés et détournés comme un mineur par une prof de français vers le pot commun du tonneau des Danaïdes étatique pour abreuver tant les parasites du haut que ceux du bas, financer la guerre en Ukraine, la décarbonation de l’Afrique du Sud, la reconstruction du Pakistan ou des vols au Qatar pour aller faire des papouilles à Mbappé, sans parler de la moquette de l’Élysée. Bref pour payer à la fois le petit train-train et le grand train ce ceux qui nous gouvernent, souvent à base de rails et de coke comme au temps des locomotives à vapeur.
C’est le fameux concept de fongibilité introduit en 2008 dans sa Loi de Modernisation de l’Économie, dite LME, par Sarkozy lequel, j’espère, sera un jour pendu par le cou à une table basse et subitement privé de ses talonnettes. Un hold-up qu’on cherche démocratiquement à étendre aux retraites à coup de 49.3 avec un report de l’âge de départ au-delà de l’espérance de vie moyenne en bonne santé et de l’espérance de vie tout court pour un tiers des gens les plus pauvres qu’on traite et retraite comme des bovins subissant la traite et la retraite jusqu’à la dernière goutte pour faire du beurre sur leur dos alors même que, pour les choses importantes, Macron n’a aucun problème à trouver 413 milliards d’argent magique pour financer la troisième guerre mondiale sous forme de budget militaire en hausse.
Un régime des retraites qui plus est excédentaire cette année et qui avec (entre la loi Jospin et les complémentaires) un fonds de réserve cumulé de plus de 150 milliards, auxquels viendront s’ajouter, dès 2024, 24 milliards de la CADES, n’est absolument pas menacé le temps que la résorption naturelle des boomers vienne rééquilibrer les comptes. Des séniors qui, par ailleurs, probablement par civisme et solidarité, connaissent actuellement un pic exceptionnel de mortalité en dépit de trois doses de la potion supposée les rendre aussi immortels que Soros ou Schwab qui, eux, sont toujours-là et en pleine forme comme tous leurs émules, si l’on en juge par le nombre record de prostituées de luxe qui ont fait, cette année, le trajet jusqu’à Davos (probablement pour discuter du réchauffement « climax tique »).
Une profession hélas hors de portée, même en robe moulante 100% coton biodégradable, pour Greta Thunberg, arrêtée pendant 3 minutes et 12 secondes (faut pas pousser non plus) pour avoir protesté avec les militants écologistes contre la vague de rasage de villages teutons multicentenaires soutenue, elle, par les élus écologistes, afin d’étendre les mines de charbon nécessaires à compenser la dénucléarisation de l’électricité, voulue par l’ensemble des écologistes. Je n’arrive pas à mettre le doigt dessus, mais il y a quelque chose qui me chiffonne.
Bref, le bateau prend l’eau de partout, non seulement en Allemagne où la misogynie l’a emporté au prétexte absurde et non paritaire que dès lors qu’on ne sait pas faire la différence entre des casques et des armes lourdes, qu’on emmène son fils en vacances dans un hélicoptère de l’armée et qu’on voit la guerre en Ukraine comme « un moyen de faire des rencontres », avoir un vagin ne serait pas à elle seule, une qualification suffisante pour être ministre des armées, ou en Nouvelle-Zélande dont la Première ministre, en pleurs, a démissionné au prétexte d’épuisement. Rien à voir, bien sûr, avec les bruits qui courent depuis un petit moment sur un énorme scandale sur le point d’éclater. Ceci dit, tout espoir n’est pas perdu pour elle quand on voit qu’Agnès Buzin vient d’être graciée par la Cour de cassation, les textes qu’elle était chargée d’appliquer ayant distraitement omis de prévoir une obligation de prudence ou de sécurité. Oups !
Tandis que sous la pression russe les lignes de défense ukrainiennes sont en train de craquer de partout (façon petite culotte d’Aurore Berger de quand elle soutenait Fillon retrouvée dans un tiroir un jour de lessive), avec la fin de l’argent magique covidien et la multiplication des achats de pétrole qui ne passent plus par le dollar, tout ce qui, dans le camp du bien, repose sur l’énergie, est en train de déguster à commencer par les GAFAM : Google, après Microsoft, Meta et Amazon commençant à licencier à tour de bras, les intelligences artificielles leur permettant, pour l’instant, de compenser les pertes en décimant les rangs des informaticiens de bas niveau, des services modélisables et des iels à pronoms et rentabilité volatiles.
Sentant l’eau monter, tandis que Marine Le Pen, focalisée sur les vraies priorités coupe de la canne à sucre au Sénégal, à l’appel des syndicats et des organisations de gauche, près de deux millions de personnes, soit… 1,4% de la population, dont la majorité a probablement voté Macron et recommencera sans hésiter s’il s’agit de faire barrage aux heures les plus sombres, auxquelles pourtant les restrictions électriques auraient dû l’avoir habituée, sont descendues dans la rue pour dire au dit Macron qu’elles ne sont pas contentes. Un Macron, pure coïncidence, en déplacement de l’autre côté des Pyrénées à ce moment-là et qui a pris note et de la sangria, tandis qu’Élisabeth Borne, elle, félicitait les moutons d’être restés sur le chemin balisé et de ne pas avoir fait de vagues. Ils sont visiblement morts de trouille c’est juste qu’ils le cachent par pudeur.
Les baïonnettes invoquées par Mirabeau, selon l’endroit où on les enfonce, n’étant pas forcément dissuasives pour tout le monde, la seule chose qui les fait trembler, c’est la perspective de finir comme Louis XVI le 21 janvier 1793, il y a 230 ans et ils savent très bien que les syndicats, dont les têtes, éminemment « coupables » à tous les sens du terme, sont subventionnées pour promener le chien en laisse jusqu’à ce qu’il soit trop fatigué pour grogner avant de le ramener gentiment à la niche avec un os à ronger le plus petit possible, n’iront jamais jusque-là. Une autre variante qu’ils craignent est la purge à la libération. En fait les deux évènements qui ont été dévoyés pour asseoir leur « légitimité » et dont, bien qu’encensés dans les manuels scolaires, il est interdit de s’inspirer parce que la violence (sauf tir de LBD occasionnel) c’est mal.
De fait, même s’ils n’ont pas hésité à confisquer les drapeaux bleu blanc rouge et les pancartes à pronoms interrogatifs en manifestation, il reste pertinent d’utiliser leur symbolique contre eux sachant qu’ils seront toujours moins à l’aise pour diaboliser ce qui les a enfantés que, par exemple, un gilet jaune. Si vous voulez vraiment qu’ils commencent à trembler, il faut donc créer le plus important, sans lequel les manifestations ne serviront à rien, à savoir une ambiance révolutionnaire, une petite musique qui monte, qui monte et s’immisce dans tous les interstice de la société et dans toutes les têtes et qui contrairement au malaise général et diffus actuel qui s’éparpille stérilement, pointe et se canalise dans une même direction, la leur, tout en faisant augmenter la pression dans la cocotte-minute.
Comment me direz-vous ? Je ne peux parler bien sûr que des actions légales. Il faut, par exemple, que des symboles tels « 1789 » ou « les Français parlent aux Français » soient partout : en hashtag, en tête durablement des tendances Tweeter, peints et collés dans le moindre recoin possible, floqués sur des T-shirts ou des casquettes. Il faut que « Ah, ça ira » par Édith Piaf (dont il suffit de remplacer, mentalement -sinon c’est de l’appel à la haine- « les aristocrates » par « le gang à Macron » ou « les suppôts de Schwab » dans les paroles pour réaliser qu’en dehors des maîtres rien n’a vraiment changé depuis) soit numéro un sur Spotify, qu’on l’entende en sonnerie de téléphone ou sifflotée partout dans la rue ; on peut lancer une mode du bonnet phrygien, créer un peu partout, dans le monde physique et virtuel des comités de salut public… La limite c’est l’imagination, et vous allez voir que là, ils vont se liquéfier sous vos yeux.
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