Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/1PGBhC4ctzc
Bonjour !
À l’occasion d’une promenade champêtre, j’ai vu une petite mouche scatophage visiblement atteinte de rectorragie aiguë déposer dans un « bzzz » de souffrance une chiure bien sanguinolente sur une bouse de vache. Je ne sais pas si c’est le côté présomptueux, mais, allez savoir pourquoi, ce petit point rouge sur une grosse merde, m’a fait penser à la légion d’honneur. Il est vrai que dans les deux cas, comme il n’est point aisé d’épingler une décoration sur la tête, on la dépose sur « les troncs ».
Le dévoiement de ce qu’un Dieudonné appelle poétiquement « fion de hamster » crève littéralement les yeux à l’instar de Castaner promu Chevalier (même si peu à cheval sur les principes) alors que pour « Ferrand » (même si pas maréchal) on peut voir un certain rapport d’autant qu’on lui a lâché la bride sur les mutuelles de Bretagne et qu’il était temps qu’il se remette en « selles »… ce qui nous ramène à l’étron. Dans le même « attelage » on trouve Emmanuelle « Wargon » qui hélas ne manque pas d’« R » (sinon elle suivrait son petit train-train) et je passe sur Bayrou, jadis taxé de « face de craie » avant qu’à force de trop écluser il ne vire au rouge. Comme cette « ex craie » ment, il mérite amplement son grade d’officier à l’instar de Muriel Pénicaud ou de Nicole « Belloubet » (question à laquelle, désapprouvant toute forme de muflerie, je ne répondrai pas) nommée, elle, carrément commandeur.
Olivier Véran, lui, n’a pas été promu. Non que sa personne ne soit pas le contraire d’une vraie sceptique, mais simplement parce que la chose n’est pas possible pour les ministres en exercice. Point d’inquiétude, son tour viendra certainement (comme Agnès Buzyn l’an dernier) en récompense de ses hauts faits d’armes tel celui de déclarer avec un regard torve de mulet sodomite transâne que : « l’État n’a pas vocation à prendre en charge tous les surcoûts liés à l’énergie ». Enfoirés de surcoûts qui n’ont, bien évidemment, rien à voir avec la politique désastreuse dudit état en matière de nucléaire, son refus de quitter le marché UE de l’énergie, le sabordage d’EDF par l’ARENH ou encore le soutien irrationnel à l’Ukraine (du joueur de piano « à queue » Zelensky) qui ne fait pourtant partie ni de l’OTAN ni de l’UE, mais pour laquelle Macron organise une conférence internationale en levant un milliard d’euros afin de s’assurer qu’elle passe bien l’hiver.
« En même temps » il laisse les Français crever la gueule ouverte à moitié obstruée par leur col roulé en attendant l’estocade finale du 1er juillet 2023 avec la fin des tarifs réglementés du gaz (l’électricité suivra) pour les ménages lesquels, eux aussi, pourront goûter aux joies de voir leurs factures multipliées par le même coefficient que l’insécurité sous OQTF : aller chez LIDL devenant aussi dangereux que la ligne de front ukrainienne puisque, après une attaque au hachoir à viande le 12 décembre ayant fait 5 blessés dont 3 graves, on apprend que, ces jours-ci, une employée, actuellement entre la vie et la mort, a reçu plusieurs coups de couteau à l’abdomen d’un mineur non accompagné à calvitie précoce et en situation irrégulière ; comme quoi il y a ceux qui tirailleurs, comme Omar Sy dans son dernier navet, et ceux qui poignardent ici.
Pendant que les cons se gratulent entre eux et que notre première dame (à lever l’abattant des w.c.) nous explique, face caméra, qu’il n’y a aucun pays au Monde où on est mieux qu’en France, les légions de déshonneur seconde classe que nous sommes, bientôt contraintes d’aller dans les points de deal pour trouver du doliprane et de regarder le contenu de leur assiette avec une loupe pour entretenir l’illusion d’en avoir plus, commencent à mesurer l’ampleur de la catastrophe macronienne, mais pas encore au point de faire la révolution.
Excepté Dominique Anract, président de la Confédération nationale des Boulangers de France qui, lui, trouve que : « l'État a pris les mesures suffisantes pour aider les artisans » et qui, pure coïncidence, a reçu le « fion de hamster » de la main légèrement pégueuse de Macron en personne, les autres boulangers, que leur désir de faire marcher les fours et la lettre de soutien de Bardella placent désormais, pour la presse, à l’extrême droite (comme tout ce qui conteste), d’ordinaire « bonnes pâtes », une fois dans le « pétrin » s’installent sur les ronds-points. D’autres, en nombre « croissant », prennent le risque de recevoir des pains en manifestant.
Manifestations qui, en deçà de 10 millions de participants selon la police (ou BFMTV qui n’a vu que quelques centaines de gilets jaunes dans les rues le 7 janvier), auront autant d’effet sur Macron qu’un plug anal de moins de 25 centimètres de long et de 15 de diamètre après consommation nasale d’un kilo de farine T45 sans grumeaux, d’autant que Brigitte laquelle, selon Roselyne Bachelot, fantasmait sur un projet de remplacement de la flèche de Notre-Dame par un phallus géant orné de deux boules dorées, ne doit pas y aller avec le dos de la cuillère. Si, à terme, il doit porter des couches, au moins il aura le « bout langé ».
Contrairement à la chanson, « si quand j’avance tu recules comment veux-tu… », même si Borne a reculé sur la baisse de 40% de la durée de l’indemnisation chômage (passée en catimini durant les fêtes) l’enculerie aura quand même lieu ladite baisse ayant seulement été reportée, pas annulée, et uniquement pour mieux faire passer la pilule (pour les chanceux et le gode anal pour les autres) de la réforme inutile des retraites et pour que la plèbe continue à croire que les syndicats sont plus efficaces qu’un suppositoire contre les maux de tête et que la seule réaction populaire possible doit se faire sous la forme de manifestations bien encadrées, sur parcours balisé, avec retour à la maison à temps pour Hanouna.
Heureusement que nos ministres se répandent sur les plateaux TV pour nous expliquer à quel point la France est devenue un paradis sur terre, car sinon des esprits simples pourraient s’imaginer que Macron a été placé là pour liquider le pays et que rien de positif ne pourra être entrepris tant qu’il ne partira pas. Comme d’évidence il ne partira pas de lui-même, la seule solution rationnelle, dans cette impasse, serait alors sa destitution par la force. Fort heureusement c’est interdit parce que la violence c’est mal. Mais comme on n’est jamais trop prudent, face à la perspective d’une foule se dirigeant vers l’Élysée en poussant devant elle une guillotine mal affûtée (histoire de faire durer le plaisir) - hypothèse peu probable si l’on considère le million de moutons d’abattoir massé sur les Champs-Élysées pour fêter le Nouvel An - il a non violemment commandé au trans Noël 10 millions de grenades (pour 38 millions d’euros) et rien moins que 11 nouvelles compagnies de CRS et de gendarmes (play)mobiles. Que voilà des sous bien dépensés.
Incapables de concevoir que, à l’instar d’un supplicié empalé en haut de la tour Eiffel après s’être gavé de rillettes frites, les choses ne vont faire qu’empirer et dans l’impossibilité d’admettre que bientôt ils n’auront plus rien (mais que selon Schwarz, ils seront heureux), même devant le spectacle de tous ces artisans aussi surpris qu’Emmanuel la première fois où il s’est assis sur les genoux de sa prof de français d’avoir tout perdu en un claquement de doigts, beaucoup vivent toujours dans l’illusion que tout ce qu’ils possèdent ne sert pas de garantie à nos 3000 milliards d’euros de dette publique et croient naïvement que c’est encore à eux. Dès lors, ils se contentent de manifester pacifiquement pour essayer de prolonger un peu la lente agonie plutôt que de plonger dans l’inconnu d’un renversement de table par nature chaotique.
Nous sommes un peu dans la situation de passagers d’un autobus conduit par un malade protégé par trois contrôleurs avec, à chaque arrêt, des gens qui le quittent et de nouveaux arrivants de plus en plus bruyants qui cassent les sièges à l’avant. Un bus qui fonce tout droit vers un précipice. Comme, malgré tout, le bus est chauffé (de moins en moins), parcimonieusement éclairé et que dehors il fait froid et qu’il y a des loups, calés dans les sièges du fond, nous préférons les restes d’une sécurité illusoire et d’un minimum de confort (même s’ils nous conduisent à une mort certaine à court terme) à la confrontation immédiate avec une réalité certes dure, mais qui nous laisse une chance. De nombreux boomers, heureusement pas tous, pensant à tort qu’ils crèveront avant que les catastrophes n’arrivent et plus concernés par un ongle incarné que par le sort de leur descendance, sont les plus réticents à se bouger les fesses alors que l’épisode du Rivotril a prouvé qu’ils seront littéralement massacrés quand, très prochainement, le point de non-retour franchi, on n’aura plus besoin de leur vote.
Cela tombe bien, il y a de la place au paradis où, depuis le décès du pape émérite, on dénombre désormais un tondu et un Pelé.
Sinon, le Royaume-Uni est en grève quasi générale depuis bientôt 6 mois dans de nombreux secteurs d’activités pour protester contre l’augmentation du coût de la vie, information que nos médias, probablement par pudeur, nous épargnent, de même qu’ils ont été assez discrets sur le chaos semé en Allemagne le soir du Premier de l’an par des individus discriminatoirement dotés d’une physiologie amalgamante laquelle, en d’autres temps heureusement révolus, aurait compliqué leur enrôlement dans la Waffen SS. Waffen SS dont on a visiblement, avec raison, rejeté les avancées technologiques répugnantes puisque, selon BFM, nos 198 fours crématoires n’arrivent pas à gérer la vague actuelle inexpliquée de centaines de morts supplémentaires parmi les plus de 65 ans (pourtant largement vaccinés) portant les délais d’attente jusqu’à 12 jours.
Côté 3e guerre mondiale, vexé d’être un des 3 seuls présidents de la planète, avec Biden et Scholz auquel Poutine n’a pas adressé ses vœux, Macron, pour se venger et obliger l’Allemagne, qui traînait les pieds, à faire pareil, a livré des chars légers à l’Ukraine, histoire de faire durer la boucherie un peu plus longtemps, tant elle est pratique pour justifier les conséquences de son sabotage en règle du pays. Les Ukrainiens ont profité d’une immense connerie russe pour liquider un grand nombre d’appelés réuni dans un même endroit à 20 kilomètres de la ligne de front prouvant, une nouvelle fois, la nocivité des portables, mais compte tenu de tout ce qui est en train de se déployer en face, du fait qu’ils ont pratiquement épuisé leur stock de défense antiaérienne et que le sol gelé permet de nouveau le passage des blindés lourds, ils pourraient bien comprendre, à brève échéance, ce que Poutine a voulu dire, il y a quelque temps par : « les choses sérieuses n’ont pas encore commencé ». À moins que, tout comme Trump, dont les absences de réactions étaient interprétées à tort par certains optimistes comme des plans élaborés de jeu d’échecs sur un goban à cheval sur un billard à trois bandes, il soit juste dans l’incapacité morale de franchir le Rubicon et de faire à temps ce qui doit être fait.
Enfin, des militants écologistes ont finalement compris qu’il était plus porteur et populaire d’asperger Matignon de peinture orange que de se coller à l’asphalte ou sur des toiles de maître. Pour les encourager, ce matin au réveil, pour sauver la planète, j’ai retenu une flatulence, mais depuis j’ai mauvaise haleine.
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