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lundi 18 mars 2024

Après les révélations sur Jean-Michel Trogneux, je viens de réaliser un truc énorme (18/03/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/clXCGOuJ4_w

Bonjour ! 
La légende raconte qu’il y aurait, quelque part, dans les tréfonds du gouvernement, une mythique créature encore hétérosexuelle dont la quéquête serait aussi dure que celle du Saint-Graal. Une épopée qui n’a point tenté Sarah El Haïry, ministre déléguée à quelque chose (ayant trait à la famille) et heureuse maman d’un bébé éprouvette sans OGM ou autre masculinité toxique. Nonobstant, il semblerait que, paradoxalement, traiter les moules comme des esquimaux n’améliore pas la maîtrise de la langue, puisque dans une apostrophe (loin de Bernard Pivot) à Sandrine Rousseau, elle a réussi à jeter par 2 fois « l’eau propre » sur l’écologiste, gaspillage qui frise la provocation, en concluant sa diatribe par l’espoir plein d’optimisme que les mots de Sandrine, « n’avaient pas dépassé ses propos » ce qui eût certes été grave, mais moins que la tentative de « La Chaîne Parlementaire » de corriger discrètement la retranscription sur X de ce morceau d’anthologie, provoquant le raz de marée de commentaires ironiques (ta mère) que l’on imagine. 
Avec ce concept révolutionnaire du diplômé analphabète, la France innove, assurément, mais le mieux est l’ennemi du bien et, compte tenu de l’extrême concentration du phénomène au sein d’un même gouvernement, la seule explication qui me vient à l’esprit est la présence, dans les sous-sols de l’Élysée, d’un élevage clandestin d’individus génétiquement modifiés pour dépasser les limites, depuis longtemps atteintes, de la connerie humaine. Comment, sinon, expliquer Bruno Le Maire lequel, après 7 ans passés au ministère de l’Économie à taxer tout ce qui était taxable, des cabanes de jardins aux poulaillers, découvre que les anus ne se dilatent pas à l’infini et, avec, la fameuse courbe de Laffer (dont visiblement il n’a pas vraiment le sens) selon laquelle il est un point au-delà duquel trop d’impôts et de taxes contractent suffisamment l’économie et les dépenses des ménages pour diminuer l’assiette (au propre comme au figuré) et donc, finalement, les recettes (devenues WeightWatchers), faisant qu’à partir de là, plus on taxe, moins ça rapporte (en tout cas, si on taxe les mêmes). Faisant grincer « les dents de l’amer » contribuable, et mal conseillé par quelque requin de la finance (« l’aidant de Lemaire », en l’occurrence), il lui faut désormais trouver non plus 10, puis 20 comme annoncé, ni même 50, mais selon certaines sources à Bercy, 174 milliards et 18 centimes pour éviter la mise sous tutelle par le FMI. 
Outre les 11% d’augmentation budgétaire de l’Élysée (perruques de « première Dame » incluses), les 6% pour l’Assemblée nationale, les 2% pour le Sénat et les 34% pour le Conseil constitutionnel, sans omettre profond les, respectivement, 300€ et 700€ mensuels pour les faux frais des vrais députés et sénateurs, il faut également être en mesure de continuer à alimenter le hachoir à blancs en Ukraine afin de satisfaire les fantasmes guerriers et remplacistes de notre grand timonier ; d’autant qu’il semblerait que, contre toute attente, les bombes fabriquées avec des pièces de machine à laver par des incapables, alcooliques et à genoux, dirigés par un polycancéreux, tapent dans le « Miele » et soient en train « d’essorer » les défenses de l’éminent pratiquant de piano à queue sans les mains. 
Lors d’une intervention lunaire, après avoir expliqué qu’il faudrait peut-être envoyer nos troupes parce qu’Anne-Sophie Lapix ne pouvait pas exclure de lever son plantureux postérieur de sa chaise à la fin de l’interview, notre bon gars de la narine a quand même dévoilé le « poteau rose » (comme dirait Sarah El Haïri) et la raison de son acharnement : « si Poutine gagne, la crédibilité de l’Union européenne serait réduite à néant ». En gros, on va donc se ruiner à faire la guerre pour que le concept de « l’Europe c’est la paix et la prospérité » soit encore crédible. Et pour financer tout ça, une fois à court d’usines à gaz potentiellement antisémites et faute de pouvoir taxer jusqu’à l’infini et au-delà, pourquoi, se dit le brave Bruno, ne pas simplement piocher dans toute cette épargne bolchévique qui dort honteusement, en commençant par le livret « A », comme Andouille ? D’autant qu’en cas de guerre (d’où ce vocabulaire de plus en plus martial) l’état a tous les droits y compris (et il ne s’en est pas privé par le passé) celui de faire ouvrir les coffres des particuliers pour « réquisitionner » notamment les métaux précieux qui s’y trouvent. Ce n’est donc pas parce que le chien famélique agonise que les puces ne vont pas essayer de le sucer jusqu’à la dernière goutte, façon ministre de la Culture. 
Il est vrai que la mort est très tendance en ce moment, qu’il s’agisse de nos militaires, de celle, programmée, de nos agriculteurs, bientôt suivis par les petites entreprises du bâtiment qui font face à une crise cataclysmique, ou encore de la sanctification de l’avortement et des panthéonisations quasi hebdomadaires, le tout couronné par le projet de loi sur le droit à mourir, probablement au Rivotril comme testé, en masse, dans les maisons de retraite durant le Covid. Un privilège toutefois réservé aux heureux survivants de l’insécurité, laquelle galope façon cheval de feu le trou de la couche d’ozone, et prend de telles proportions qu’à Rennes, pour rester dans l’équitation, une fusillade urbaine, avec des balles capables de percer des murs d’immeubles (et probablement importées d’Ukraine avec rabais exceptionnel de 30% en tapant le code « AVECVOSIMPOTS ») a duré rien moins que 67 minutes, sans que la Police pour les uns, mais rêche pour les autres, dont l’armement suffit tout juste à taper sur du gilet jaune catégorie 2, ne se risque à intervenir. 
Mais rassurez-vous, sur la voie de la félicité, il nous reste les valeurs de la république, qui se font surtout sentir en passant les dos d’âne. Il fut un temps, quand elle avait pour but de tuer le catholicisme, où la laïcité, pour n’en citer qu’une, était la liberté de ne pas croire, avant, la nature ayant horreur du vide, de se muer en obligation de croire aux religions de remplacement du moment. Religions auxquelles, sur les conseils de mon avocat, j’adhère sans la moindre réserve, à commencer par les chambres emplies d’une substance à l’indice carbone restant à mesurer, mais aux effets assez horribles pour vous traumatiser une première dame jusqu’à ne plus oser flatuler que dans sa baignoire dans l’espoir que les pets d’eau filent. Idem pour l’enrichissement culturel qui, certes, tarde un peu à se matérialiser sur mon compte en banque, mais je garde espoir. Je conspue également le méchant Trump à cheveux orange et je brûle un cierge à sainte Ursula pour les vaccins miracles qui ont sauvé la planète en dépit des efforts de nazis cannibales non-vaccinés lesquels, si on ne les avait pas emmerdés, auraient pu contaminer les vaccinés quintuple dose avec le virus contre lequel ils étaient vaccinés. 
Il va sans dire que je voue également aux gémonies les odieuses vaches qui pètent, le méchant Poutine et ses vues territoriales sur Biscarosse et même les infâmes bébés terroristes du Hamas qui méritent amplement ce qui leur arrive. Il m’arrive toutefois de me réveiller la nuit en me disant que face aux atrocités, certes humaines et proportionnées, commises à Gaza, mêmes ceux, pas encore remplacés par de nouveaux arrivants plus réfractaires, qui adhèrent toujours au projet avec toute la ferveur légale qui s’impose, pourraient finir par se dire « ouais, finalement, kippa-blanche, blanche-kippa » et, une fois rendus là, même l’avalanche de textes liberticides suggérée par le représentant du CRIF en préambule du solennel 80e anniversaire de cette association caritative d’utilité publique qui fera l’objet d’une cérémonie exceptionnelle à l’Élysée, n’y pourrait plus rien changer. 
À l’exception de ces menues restrictions, les « droits » à peine « tordus » de l’homme sont toujours là, prêts à ce que l’on meure pour eux, chacun étant libre de croire ce qu’il veut sur le reste. À titre personnel, par exemple, jusqu’à preuve convaincante du contraire, j’ai la vague intuition que l’homme n’a jamais posé un pied sur la lune, mais qu’en revanche, il fut un temps où la très photophobe prétrentenaire Brigitte pouvait poser ses burnes sur la commode, comme l’a affirmé la très suivie Candace Owens dans des vidéos virales bien argumentées et vues des millions de fois, en attendant que Tucker Carlson, un jour ou l’autre, porte l’estocade finale. Outre tout ce que cela signifierait, si avéré, en termes de potentiel de manipulations et de chantage, cela implique également, comme pour la fille cachée de Mitterand, un contrôle strict de la presse de sorte que, même si le petit monde germanopratin se gausse et s’envoie des petits clins d’œil d’initiés à la télé depuis des années, tant que ce n’est pas au journal de 13 h, ça n’existe pas pour le bas peuple. 
Cela suppose, également, un lourd investissement financier largement rentabilisé si l’on considère toutes les trahisons de celui qui est en train d’achever ce qui reste de la France, au point que cela commence à se voir et que la pauvre Aya Nakamura paye le ras-le-bol général lié au fait qu’il semble devenu scandaleux, ne serait-ce que d’envisager, pour une fois, au nom de la diversité, sans aller, bien évidemment, jusqu’à l’abomination que serait un mâle blanc hétéro à prépuce, de faire représenter la France par quelqu’un de talentueux et qui parle la langue. On m’objectera qu’il y a d’autres moyens plus simples de contrôle, mais c’est négliger, le pouvoir et l’argent rendant immanquablement fou, que se cumulent, derrière, des considérations métaphysiques que certains qualifieront de sataniques, couplées à un mépris total du peuple et à une quasi-jouissance à pouvoir le duper en pleine lumière tout en pervertissant la totalité de ses valeurs. Un peu comme la pédophilie, c’est tellement inconcevable dans l’esprit de l’individu normal de base, encore sain, obligé de se focaliser sur son ticket de caisse, qu’il ne peut même pas envisager et a fortiori croire ce qui, parfois, s’étale devant ses yeux comme de la substance gluante sur le smartphone de Benjamin Griveaux. 
Tout cela ne saurait dater d’hier, c’était même peut-être plus facile avant, quand chaque smartphone, une fois nettoyé, n’était pas un espion en puissance et que les réseaux sociaux n’existaient pas pour répandre de soi-disant « fake news ». J’ai donc regardé, par curiosité et sans trop y croire, les différentes premières dames de notre cinquième république et, incroyable coïncidence, il s’avère qu’il y a eu un autre président français, venant lui aussi de chez Rothschild, marié à un échalas dégingandé, beaucoup plus grand que lui, à la mâchoire plutôt carrée et à la coiffure bizarroïde, que la presse, à une époque où les références étaient quand même Brigitte Bardot et Claudia Cardinale, s’obstinait, là aussi, avec insistance, à qualifier de belle femme. 
Après avoir vérifié sur vous-même que, contrairement aux femmes, les hommes ont l’annulaire plus long que l’index, je vous invite à parcourir les photos de l’individu, trouvables sur Google. Outre son prénom unisexe qui aurait pu faciliter un changement d’identité, l’enfant unique du couple était en fait adopté et, cerise sur le clafoutis, avaient couru, à l’époque, des rumeurs de partouzes suite à l’assassinat jamais élucidé d’un certain Stevan Markovic supposé les faire chanter avec des photos montages d’avant Photoshop, montrant cette personne en train de pomper dur contrairement à son mari qui Pompidou. Tant que ce n’est pas étayé par une enquête sérieuse, comme celle de « faits & documents » pour Brigitte, ce n’est, bien sûr, que du complotisme, mais étonnant, non ? comme dirait Desproges. 
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2 commentaires:

  1. Magnifique texte qui réussit a récapituler toutes les dingueries de l'époque 😍 On a pas trouvé l'hétéro finalement ?
    Juste une remarque je suis une femme ayant enfanté et pourtant mon annulaire est plus long. Je ne pense pas qu'on puisse faire une règle absolue depuis ces caractéristiques dites masculines

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  2. Desproges serait un grand fan de vous, c'est une certitude . Je le suis aussi .

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