Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/diPVxrz0FJ0
Bonjour !
Je ne sais si c’est parce qu’à force de la fantasmer en bas résille, une aiguille à tricoter à la main, le portrait de Simone Veil, qui ornait ma chambre à coucher aux prémices de l’adolescence, avait acquis la viscosité d’un papier tue-mouche (et même petits oiseaux sur la fin), mais je suis fan de l’avortement ; la chose ne s’explique pas. Si cela ne tenait qu’à moi je pousserais même le concept post-partum, façon sniper, à l’israélienne, sans plus trop de distinction entre un amas de cellules et des cellules du Hamas, lorsque le bébé a des malformations, est vraiment trop moche ou sourit devant un poster d’Emmanuel Macron, la société n’ayant pas à payer le coût du choix égoïste des parents de le garder en vie, surtout depuis l’afflux massif en notre beau pays de mineurs isolés avec prise à la terre, atteints d’alopécie précoce et dont il va bien falloir s’occuper faute, à ce jour, d’un droit constitutionnel à l’avortement rétroactif.
Non, vraiment, l’avortement c’est bien, d’autant qu’en ces temps de déficit structurel, le jus de fœtus (label bien rouge) est une matière première très prisée de l’industrie pharmaceutique et cosmétique, preuve que le « made in France » n’est pas encore mort. Non seulement c’est bon pour le PIB, mais petit bout de cervelle en forme de cerise sur le gâteau, statistiquement, certaines pourront ainsi se séparer en douceur dudit amas de cellules en appliquant leur crème de nuit, laquelle, qu’elles se rassurent, n’aura pas été testée sur un anus de lapin, déontologie oblige. Pour autant, c’est un peu dommage de se priver, en nombre, d’individus potentiellement sains et fonctionnels qui, une fois en phase avec leur trisexualité hélicoïdale à osmose inverse, auraient pu allègrement franchir la frontière ukrainienne dans des chars de gay-pride (sous peine de 5 ans de prison et 500 000€ d’amende, nouveau tarif défini pour les objecteurs de conscience par la dernière loi de programmation militaire) tel que martialement envisagé, en substance, par notre Alexandre le Gland, es« thète de nœuds » gordiens diplomatiques, aspirant, surtout par le nez et sous brevet Dyson, à son heure de gloire, avec cette hybris caractéristique des gens qui s’imaginent sodomiser la planète parce qu’ils insèrent leur micropénis dans une taupinière.
L’entièreté de la diplomatie européenne, ainsi que l’ONU et les USA, ont immédiatement crié au fou, sans que nos oppositions en carton en profitent pour lancer une procédure de destitution qui, même si elle n’aboutissait pas, finirait de le décrédibiliser à l’international faisant que plus personne ne prendrait ses élucubrations au sérieux. Il n’en demeure pas moins que Poutine, comme chacun le sait, ne rêve que d’envahir la France pour piller nos ressources naturelles, s’emparer de la CAF et de notre enrichissement culturel et que ce n’est qu’après le sac de Surmulot-City et le viol collectif sur matelas recyclé de Sandrine Rousseau, que le tyran sanguinaire pourra enfin succomber à l’un de ses 48 cancers avec la satisfaction du devoir accompli.
C’est dommage qu’il n’ait pas les moyens en hommes pour envahir des pays non russophones et s’y maintenir contre des populations hostiles, même si, selon le très dilaté Gabriel Attal, son avant-poste serait déjà là, sous les traits de Marine Le Pen, l’immonde fachode qui ne veut pas, la très nauséabonde (à l’instar, pour être honnête, de Mélenchon) d’une troisième Guerre mondiale pour faire plaisir à Raphaël Glucksmann lequel, lui, n’ira certes jamais sur le front, mais qui brave d’autres dangers au quotidien, si l’on considère à quel point une partie de son anatomie est culturellement à découvert, en regard de la dentition de fort bonne facture de Madame son épouse.
Je dis dommage, car ce que Poutine a les moyens de faire, en revanche, si on le titille un peu trop à la main poilue entre le scrotum et l'urètre, c’est d’hypersoniquement transformer l’hexagone en terrain de pétanque fluorescent avant que notre timonier ait pu sortir son doigt enfariné de sa narine ou de quelque autre orifice et le poser sur le fameux bouton rouge probablement redécoré en arc-en-ciel par le machin à perruque qui, paraît-il, hante, la nuit, les couloirs de l’Élysée en grand-remplaçant les moquettes. Mais je m’égare. Donc, si j’ai bien compris, on crame 300 000€ en congrès pompeux pour modifier la constitution afin de pérenniser à jamais le droit au fœticide… jusqu’à ce qu’on remodifie la constitution tellement peu modifiable qu’on vient de la modifier (sans, toutefois, en profiter pour y rajouter quoi que ce soit sur l’immigration, la souveraineté ou autres problèmes mineurs non prioritaires). Ces gens sont des génies.
Par ailleurs, si on altère substantiellement ce qui est constitutif, le résultat, par définition, n’est plus constitutif, sauf à signifier le début d’une nouvelle république constituée par la nouvelle constitution (l’ancienne ayant été constituée par la constitution originale) ou alors il faut changer le nom et ne plus appeler ça constitution. Ça marche aussi avec constipation, le résultat étant, peu ou « prout », le même.
Certes, on ne peut exiger de personne d’accepter de porter en son sein un petit Gérard Miller au regard torve, conçu sous hypnose avec un pénis sans col roulé, et sauf convictions religieuses profondes ou humanisme à la mords-moi-le-nœud (action qui, justement, aurait pu éviter le problème), il existe de nombreux cas parfaitement légitimes, d’un point de vue individuel, d’en passer par ce processus. Pour autant, de même que sourire à quelqu’un qui vous éclaire sur la taille hors norme d’Allah en brandissant un couteau décapitatoire ou que s’excuser pour des propos jugés offensants ou antichose, comme souvent quand l’état « s’emmêle », cette vision à court terme, au nom, principalement, du droit de la femme à être un homme comme les autres et à s’envoyer en l’air sans en peser préalablement les conséquences, provoquera, bien évidemment, le contraire des résultats escomptés.
Dans un premier temps, le déficit de naissances, accompagné de l’arrivée massive d’enrichisseurs culturels, peu chauds à l’idée d’aller mourir en Ukraine, mais ravis à celle de pouvoir enrichir culturellement les veuves des gogos qui y seront allés lorsqu’elles peineront à passer sous les 11 secondes au 100 (se faire) mètres arrêté, se traduit déjà par l’effondrement de la société dite « patriarcale » sans le support de laquelle le mirage de la femme à chats, forte et indépendante, va s’évaporer façon plainte contre Dupont Maserati durant un de ces pics de réchauffement climatique provoqués par les vaches qui pètent et que même des jets de soupe sur des œuvres de maître ne parviennent pas à empêcher. Au meilleur des cas, les femmes seront traitées comme au Paléolithique supérieur et, au pire, la nature ayant horreur du vide, déjà remplacées dans les compétitions sportives et les concours de beauté par des bidules LGBT, en reléguant leur fonction première au rang de commodité, seront déclarées obsolètes avec l’avènement de l’ectogenèse, c’est-à-dire l’utérus artificiel déjà expérimenté et, dans leur fonction secondaire relationnelle, seront, comme d’ores et déjà sur Instagram ou Onlyfans, « avantageusement » remplacées par des intelligences aussi artificielles que les seins de leurs prédécesseuses et peu sujettes aux bouffées de chaleur.
Merci donc, les « féministes » lesquelles, à l’instar des idéologies mortifères dont elles sont le produit, abhorrent tout ce qui est beau, à commencer, paradoxalement, par la femme elle-même (la féminine en tout cas) d’où le couronnement, à Miss Allemagne, d’une quadragénaire turque contre laquelle Nicole Belloubet en minijupe, sous le bon éclairage d’une ampoule de 0,5 watt judicieusement tamisée, aurait eu une chance raisonnable de l’emporter. Il en est de même dans l’art et la musique. C'est ainsi que le pervers narcissique qui nous gouverne, après s’être rendu compte qu’en dépit de tous ses efforts, il restait encore de petits bouts de l’image de la France non recouverts d'un substrat reconnaissable à son odeur et sa couleur macron foncé, a jeté son dévolu, pour inaugurer des JO (dont les plans de la sécurité ont été volés gare du Nord et qui promettent de rester profondément dans nos « anales ») sur la pétulante Aya NAKAMURA qui, après notre imminente extinction, poussera au suicide collectif toute civilisation extra-terrestre qui essaiera de reconstituer notre langage sur la base de ses chansons. Un choix motivé par la volonté de, dixit : « faire rayonner la culture française » tant il est vrai qu'une fois multiplié par π, le rayon de cette dernière peut se voir de loin.
En attendant un hypothétique homme providentiel au sphincter anal monodirectionnel, avec un seul passeport, un casier judiciaire vierge, si possible des enfants et un souci de continuité du projet démarré sous Clovis qu’on appelle la France, cela commence à sentir mauvais entre les arrivistes corrompus et autres amateurs de pédales dont l'odeur de selles des selles, et d'aisselles des celles et ceux qu'on descelle les soutenir, finit par devenir suffocante. Même les promesses de Macron aux agriculteurs, de plus en plus en colère, et qui découvrent les délices des plaquages au sol et autres gardes à vue, ont été « avortées » avant même qu’il ait eu le temps de fermer sa grande bouche avec, non seulement la poursuite du Mercosur, mais de nouveaux traités de libre-échange avec le Kenya et le Chili signés en plein salon de l'agriculture.
Mais il ne faut pas désespérer juste parce qu’épisodiquement, une gamine de 12 ans se fait sexuellement enrichir sur les Champs-Élysées ou qu’une autre, du même âge, se fait violer pendant des mois, par une bande de 17 « mineurs » défavorablement connus des services de police; tandis que la presse nous narre les malheurs, non plus de Sophie, mais d’Anne-Sophie Lapix dont le modeste hôtel particulier gagné à la sueur de son… on va dire « front », dans le quartier mal famé du 16e, a déjà fait l’objet de deux tentatives d’effraction par des individus qui, par un pur hasard statistique, comme ceux précédemment cités, vont hélas renforcer les préjugés nauséabonds des adversaires du vivre ensemble et dont une partie a déjà été appréhendée grâce aux efforts de la police scientifique, connue pour sa célérité à se déplacer lorsque le citoyen lambda se fait cambrioler. Il ne faut pas désespérer, car des contes de fées modernes sont encore possibles, comme pour ces centaines de migrants importés à nos frais par avion de Mayotte, dont les kwassa-kwassa se sont transformés en citrouilles avant qu'ils ne soient hébergés dans un véritable château dont, pour mieux les accommoder, le mobilier Louis XVI a été vendu pour une bouchée de pain à la farine ukrainienne détaxée. Elle est pas belle la vie ?
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Tu est génial sache le
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