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dimanche 5 mai 2024

Meurice, Bardella-Hayer le carnage, Drag-queen olympique, Matisse et autres news… (06/05/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/dBLnEudoEG8

Bonjour !
Encore tout auréolé (sous les bras) du penalty, marqué du plat du pied lors du match du Varietés Club de France et qu’aurait pu nonchalamment esquiver tout escargot, même neurasthénique, qui se serait trouvé sur la trajectoire au sortir d’une sieste, pitoyable créature hermaphrodite (je parle de l’escargot), Emmanuel Macron n’a pu s’empêcher de bander, telle Brigitte dans ses bons jours… ses muscles éminemment photoshopables et d’évoquer une nouvelle fois l’envoi (pas spécialement « recommandé » et dont l’accusé de réception pourrait être nucléaire) de troupes en Ukraine si les Russes perçaient les défenses de Zelensky, ce que, OUPS ! ils sont justement en train de faire tandis qu’ils exposent à Moscou, pour l’édification des bambins, les chars Abrams, canons Caesar et autres armes magiques hors de prix supposées changer le cours de la guerre qu’ils ont collectées sur le champ de bataille avec mode d’emploi et certificat de garantie, un peu façon Kärcher® (et non casher, attention au dérapage) de Sarkozy. 
 
Un qui a dérapé, justement, c’est le très prépuçophile Guillaume Meurice qui s’est fait virer par la compagne de Raphaël Enthoven, Adèle Van Reeth (Directrice de France Inter, parce que le monde est petit) pour avoir récidivé à traiter le philanthrope Netanyahou (contre lequel la cour pénale envisage de délivrer un mandat d’arrêt international) de nazi sans prépuce, considérant probablement que le zi de nazi serait une version, elle aussi raccourcie, de zizi, sinon le terme correct serait nazizi. Je comprends la logique et fort heureusement, il ne l’a pas traité de na tout court ce qui eût été transphobe. D’ailleurs, je connaissais quelqu’un qui s’appelait comme ça : une Asiatique « née Tanya ou » Albert, je n’ai jamais su, elle aussi impliquée dans le trafic d’orgasmes, mais je digresse. Ceci dit, j’attendrai de peler des oignons pour verser des larmes sur Meurice lequel a passé son temps, sur les deniers publics, à se moquer, non point des puissants, mais de leurs victimes caricaturées en fachos à QI de fer à repasser débranché et qui se prend enfin le mur de la réalité dans le nez (autre appendice tabou) façon Mélenchon, lequel se plaint quand, pour une fois, c’est lui qui voit ses meetings censurés pour critiquer (mais c’est un hasard) les mêmes.
 
Il semblerait que nous soyons pris en tenaille par des fanatiques prépuçophobes et, pour quelque absconse raison, réfractaires au saucisson. Des fanatiques certes non représentatifs, mais pas, pour autant, dénoncés par leurs communautés respectives sur lesquelles ils finissent, pourtant, par jeter le discrédit, obérant fortement le déjà oxymorique vivre-ensemble du fait qu’on en vient à ne plus pouvoir critiquer ni la judaïsation des médias et de la politique que certains, honte à eux, pourraient trouver excessive depuis les évènements du 7 octobre, ni l’islamisation, que d’autres pourraient percevoir comme tout aussi excessive, de la rue (ainsi que, par extension, l’ensemble de l’immigration non culturellement compatible qui ne se limite pas, tant s’en faut, à l’Islam) et ce, alors qu’on nous rebat quotidiennement les oreilles avec la laïcité qui, justement, est supposée permettre ce genre de critiques sans lesquelles aucun équilibre viable ne peut être trouvé. Comprenne qui pourra.

Il faut donc prendre des gants pour aborder certains sujets, pas comme Matisse qui lui s’est pris un Afghan, avec qui, paraît-il, il rappait (ce qui a dérapé) et que donc, apparemment, il côtoyait même lorsque ce n’était pas strictement nécessaire, faute qu’on lui ait inculqué un minimum de défiance vis-à-vis des gens dont les réactions sont imprévisibles (ou trop prévisibles, c’est selon) de par leur appartenance à une autre culture, et ce (surtout pour des enfants par les temps qui courent, mais visiblement pas assez vite) quitte à passer pour un raciste vivant, ce qui reste préférable au statut de vivre-ensembliste mort. 
 
De toute façon, il semblerait que nous soyons déjà « un pays de racistes dégénérés » selon Nassira El Mohaddem, (pro) éminente journaliste et heureuse détentrice de la carte plastifiée magique attestant de sa citoyenneté et donc probablement englobée dans sa propre assertion, laquelle semble avoir énervé un certain nombre de personnes susceptibles quant à la qualification de « racistes » alors que la véritable insulte était « dégénérés », l’ensemble constituant désormais un oxymore d’un point de vue survivaliste.
 
Par raccroc, la marche de ce samedi, impressionnante et non impressionniste comme on eût pu s’y attendre, et de la même couleur que l’arme utilisée sur Matisse, va régler tous ces problèmes de sentiment d’insécurité et on est rassurés de savoir que l’assassin n’aura pas la haine du père de la victime. Par ailleurs, le gouvernement a pris la mesure de la situation et le port d’un couteau sera désormais sanctionné de 500€ d’amende des fois que le citoyen lambda eût caressé l’idée saugrenue de retrouver le réflexe du Laguiole pour se protéger face à l’inaction de l’état, lequel prétend conserver le monopole de la violence sans plus remplir, avec ses 80% de femmes dans la magistrature (parce que la parité, faut pas pousser non plus), la partie protection des populations du contrat social qui est la seule raison pour laquelle les gens l’acceptent. 
 
Les agresseurs, eux, seront certainement intimidés, et on ne verra plus, comme ces jours-ci, des gens, pas encore informés, poursuivre un homme avec une machette pendant que d’autres violent son épouse dans une voiture. Après, une machette est-elle un couteau ? Le débat reste ouvert. Il en ira de même pour les auteurs de règlements de comptes par tirs à la Kalachnikov sur la voie publique, lesquels respectent avec un zèle remarquable l’obligation d’un permis de port d’arme. Pour faire bonne mesure, l’amende sera étendue aux sprays lacrymogènes, histoire que les « racistes dégénérées » de sexe féminin, les pires, n’aient pas la tentation xénophobe de refuser l’obole d’un viol gentiment demandé par quelque migrant incompris sous OQTF en état de misère sexuelle et qui, le pauvre, n’aurait pas les codes. 

Comme tout cela est quelque peu déprimant, une petite note « gaie » puisque l’on apprend qu’après Baptiste « pas net » (selon sa propre mère) pour avoir assouvi ses penchants pyromanes dans sa chambre à coucher dans laquelle il aurait bien attiré des jouvencelles à la puberté trop relative pour, qu’au bout du compte, lui soit confié la flamme olympique, cet honneur revient finalement à un flamboyant drag-queen fort sympathique qui va porter ladite flamme en courant avec des talons de 20 cm et une perruque synthétique hautement inflammable imbibée de laque qui ne l’est pas moins, ce qui ne peut que bien se passer, sachant que, comprenant à présent la logique macronienne, en cas de nouvelle défection, on peut s’attendre à voir débouler le gérant de la fistinière qui s’acquittera de la tâche sans les mains, parce que c’est ça la France qui innove. 
 
D’ailleurs, en parlant d’innovation, on a appris que des bataillons de retraités ont été recrutés et formés pendant plusieurs jours avec diaporamas PowerPoint de pointe qui plus est, pour contrer les attaques terroristes éventuelles et assurer la sécurité des J.O. à l’issue de quoi, tant qu’ils sont chauds, on pourra toujours les envoyer en Ukraine. Ils ont même été équipés de tasers et, on suppose, de déambulateurs bioniques. Du coup, on s’inquiète moins du gag hebdomadaire du vol d’ordinateurs avec données sensibles (7 ou 8, si je n’ai pas perdu le compte). Sûrement un coup des Russes, comme pour les punaises de lit, selon Valérie Hayer (persil) ardente défenderesse des « crétins d’orient » et affirmative sur ce point durant son débat sacrificiel face à Jordan Bardella à l’issue duquel, si l’on s’en réfère aux 5848 commentaires contre 9 (dont 4 « ni l’un ni l’autre, votez UPR ») que j’ai consultés sous la vidéo YouTube de BFMTV, elle s’est vautrée façon naturiste dans une mosquée salafiste, même si ladite BFM l’a proclamée gagnante avec une neutralité qui l’honore. 

Il est clair que les Français qui ont (si l’on fait confiance à ceux qui comptent) voté deux fois pour Macron sur des critères d’emballage et de jeunesse, ne vont pas commettre la même erreur et que Bardella, c’est complètement… différent. Et m… !
Pour résumer le débat, l’une a vanté la remise de 30% obtenue sur la vaseline chinoise grâce à l’Union européenne, en oubliant de préciser que si on en a besoin, c’est parce que ladite union a la déplorable habitude de nous empapaouter (comme dirait Stromae) à sec, tandis que l’autre, pourtant amateur de « sondages » sur lesquels il base ses opinions, a clamé haut et fort qu’il était contre ce type d’empapaoutage et qu’il allait y mettre un terme, mais tout en restant dans le baisodrome avec le slip sur les chevilles, les deux étant d’accord, incidemment, sur le méchant Poutine et le gentil Netanyahou. 

Toujours dans le grand Guignol, le valeureux Éric Zemmour, surnommé Z comme Zorro (« le renard » en espagnol), renard qui alerte les poules sur la présence de rats dans le poulailler, refusant, et c’est tout à son honneur (et particulièrement progressiste), de genrer la personne venue lui casser les œufs et lui en aplatir un sur le crâne, l’a frappée avec une technique originale que, bien qu’ayant un peu étudié les arts martiaux japonais, j’ai eu du mal à identifier (peut-être du krav-maga unisexe), sachant que, vu la force du coup, il a probablement enrhumé une mouche de passage tout en me faisant brièvement penser aux conséquences s’il avait appliqué la même technique à Poitiers en l’an 732. Il n’en demeure pas moins que les antifas carencés en mélanine qui l’ont agressé, lors d’un déplacement en Corse, parce qu’ils pensent que c’est un patriote (de la France s’entend) sont des crétins finis, ou plutôt pas finis et qu’il est plus que temps que Darmanin, le dissolveur suprême, plutôt que de se fendre d’un message de compassion, fasse le ménage ou admette, une fois pour toutes, qu’ils travaillent pour l’état plus ou moins profond qui les connaît tous, mais ne les arrête jamais.

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1 commentaire:

  1. Toujours une maitrise parfaite de la langue française. Un régal ! Merci, merci, merci !!!

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