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dimanche 23 juin 2024

Législatives : le retour des castors (24/06/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/emEz3VqEJ68

Bonjour !
Si Mbappé se fût appelé Didier on eût pu abréger en « Mbappé D. » tant le castor multimillionnaire à queue plate (et désormais nez assorti) semble apprécier les câlins dans les vestiaires, au point qu’il en redemande en appelant à voter indirectement pour le palpeur élyséen en préconisant le barrage aux extrêmes. Certains schtroumpfs (seule raison, sauf à être daltonien, de les appeler encore « les bleus »), sont même plus restrictifs, ciblant spécifiquement le RN à l’instar de celui à qui on a envie de dire : « Thuram à contre-courant Marcus ».
 
Idem pour le monde de la culture qui craint de ne plus pouvoir se goinfrer de subventions pour faire, entre autres choses indispensables, des films que personne ne regarde sur un gentil migrant au grand cœur qui finit par partager plusieurs décimètres d’amour turgescent avec une héroïne préménopausée qui lutte contre le patriarcat et le réchauffement climatique en se colorant les cheveux en bleu et en jetant de la soupe bio en emballage recyclable sur quelque tableau de maître à fort indice carbone. On ne compte plus les tribunes anti-RN dont la dernière a été publiée à l’occasion d’une fête de la musique particulièrement animée (certains étant plus à l’aise avec les staccatos de kalachnikov que de violons, violons dont d’autres étaient sortis pour jouer du couteau). Une tribune signée par 500 artistes plus ou moins inconnus à l’exception de Clara Luciani pourtant potentielle inspiratrice de la grenade dégoupillée dissolutive macronienne.
 
Libération enchaîne les titres apocalyptiques avertissant que le RN va détruire la planète en supprimant les éoliennes, tandis que la gauche défend la démocratie dans les rues en cassant des vitrines et en protestant contre le résultat d’élections. Jusqu’à Squeezie qui s’est fait squeezer perdant son statut de Youtubeur N°1 au profit de « Tibo in Shape » après sa diatribe anti-RN.  Et bien qu’elle soit plutôt mignonne, en voyant l’air renfrogné de Sophie Binet, Jacques Hélian aurait plutôt chanté : « Ah CGT resté célibataire… », le syndicat d’extrême gauche (mais apolitique sans quoi il perdrait son statut) ayant pour la première fois, donné des consignes de vote en faveur du nouveau Front Populaire. 
 
Seule voix discordante, Macron lui-même, que probablement induit en erreur par de mauvaises langues complotistes, je soupçonnais naïvement d’être un homosexuel marié à un pédophile à perruque, fortement hué, au passage, par des perruquophobes, lors de son apparition subreptice aux funérailles de feu Françoise Hardi, Macron qui, donc, serait, au contraire, si j’en crois la gauche unanime, un ignoble transphobe, pour avoir mentionné que l’usine à gaz immigrationniste investisseuse de fichés S susnommée promet rien moins que le changement de sexe en mairie comme on demande une fiche d’état civil. Il a toutefois évité le qualificatif de misogyne en omettant d’évoquer la proposition par Louis Boyard d’un congé menstruel mensuel, dont Sandrine Rousseau, bien que moyennement concernée, ne tardera pas à demander si les transgenres pourront bénéficier.
 
Un affront populaire qui pourrait toutefois perdre une partie indéterminée de ses électeurs pas déjà déroutés par ces mesures si l’on considère qu’Allah ( lequel, à en croire la phrase favorite de ses thuriféraires, est akbar, chatouillant probablement les deux mètres, et dont les desseins, contrairement au bientôt chômeur Attal, sont impénétrables) a décidé de rappeler à lui au moins mille pèlerins déshydratés de la Mecque, terme qui dans le Sud-Ouest, évoque un autre flux continu, mais qui se mouche. Sachant que si le tarif pour la mort en martyr, sans tenir compte de l’inflation, c’est 72 vierges taille 54, en cas de mort pour simple oubli d’un chapeau et d’une bouteille de Cristalline le mystère reste entier quant à la récompense éventuelle : peut-être quelques écologistes recyclées, ou un clone de Mathilde Panot. L’éternité promet donc d’être longue pour eux, paix à leur âme.
 
Il ne faut toutefois pas sous-estimer l’instinct du castor ( jamais déshydraté, lui, puisque « aqueux » plate), qui reste persuadé que même avec un bureau politique constitué de gens, certes potentiellement utiles en cas d’épidémie de constipation, mais sur qui on ne pourrait guère compter pour repeupler la planète en cas de chute de météorite, agglutinés, de surcroît, autour d’une femme à chats noceuse, les bruits, sinon de bottes, au moins de talons aiguilles, résonneraient sur le pavé froid le lendemain de l’élection et que les fours, un peu partout, entreraient en mode préchauffage (dans les limites des pénuries énergétiques) sauf pour Serge Klarsfeld ou Alain Finkielkraut, antisémites notoires, disposés à voter RN au grand dam de Mélenchon lequel, selon ses dernières déclarations, se verrait bien à Matignon.
 
Blague à part, même si, pour avoir abandonné en rase campagne leur colonne vertébrale idéologique, je ne me fais aucune illusion sur les capacités de réforme d’un RN tenu de surcroît par Black-Rock et les testicules avec 3200 milliards de dettes, tout en ayant contre eux, l’état profond, une partie de la haute administration, les réseaux maçonniques, le Conseil constitutionnel, le coiffeur de Brigitte et j’en passe, ce qui ne leur laisse comme option qu’une mélonisation modérée, le contexte particulier fait que, même s’ils peuvent peu, ils vont faire l’intégralité de ce peu pour améliorer la situation et, à minima, ne pas faire encore plus que ce que l’U.E. exige comme l’enthousiaste Emmanuel Macron, et ce, sous peine de se faire complètement griller et de perdre toute chance de remporter les prochaines présidentielles.
 
Les seuls qui ont vraiment à craindre ce sont les gens qui pensent comme moi, car, comme le démontre leur promptitude à exclure un de leur candidat faussement accusé d’antisémitisme, ils seront tellement obsédés par vouloir démontrer à une gauche qui, pour avoir basé dessus son identité même, ne changera jamais d'avis, qu’ils ne sont pas d’extrême droite qu’ils vont encore renforcer la répression contre tout ce qui est identitaire ou se fout comme de sa première gastro-entérite du sort d’un peuple élu pour lequel il n’a pas voté.
 
Cela ne m’empêchera pas de voter pour eux, car, avec tous leurs défauts, il leur reste, dans quelque recoin de sphincter anal quelques atomes patriotiques encore épargnés par les douches rectales à répétition. Même s’ils ne considèrent pas que la priorité des priorités est la préservation de l’équilibre ethnique spécifique, fruit de millénaires de conflits et de croisements entre peuples compatibles, sans lequel il n’y a plus de peuple français ni de continuité du projet collectif qu’on appelle France et seul capable du génie éponyme jadis célébré de par le monde, que cette préservation, compte tenu de la situation, nécessite une remigration massive et qu’ils n’admettront jamais, a fortiori, que la première porte à cette immigration de masse qui a ouvert et justifié toutes les autres (au nom de l’égalité) a été l’acceptation d’un certain communautarisme spécifique qu’il convient de réévaluer, je dormirais quand même mieux en les sachant aux manettes, qu’avec, à la tête de l’exécutif, un maniaque persuadé que la France est déjà du passé et qui n’a de cesse que de la détruire pour être certain qu’elle ne puisse jamais plus renaître de ses cendres et menacer ses fantasmes européistes sur fond de troisième guerre mondiale ou pire, car c’est toujours possible, des tarés qui veulent ouvrir encore plus grand les vannes migratoires et instituer un statut de réfugié climatique.
 
Le pire qui puisse arriver c’est qu’ils se plantent lamentablement en essayant de dévier le Titanic de sa course funeste sans avoir accès au gouvernail et que, privée de débouché politique, une partie suffisante de la masse se décide enfin à sortir les fourches. À moins que, résignés, nous acceptions collectivement de nous noyer dans l’eau tiède et de crever d’une mort qui, alors, serait méritée, mettant fin à une épopée de plusieurs millénaires réduite à un simple concept administratif qu’on appellerait peut-être toujours la France : une étendue de terre sans âme, transformée en coupe-gorge maffieux avec des gens indifférenciés dessus et en voie de tiers-mondisation, mais où, héritage macrono-hidalguesque, on pourrait se baigner dans la Seine comme dans le Gange, à ses risques et périls. 
 
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dimanche 16 juin 2024

Chanson Parodique « Pas la Joie » en réponse aux Goguettes (en trio mais à quatre). (17/06/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/lgxnZ5m-od4


La version des goguettes vue de gauche : https://www.youtube.com/watch?v=NW7aHPIfmMM

 Paroles :

Pas la joie
Ça crisse chez les frères la truelle
Pas la joie
Ils ont tous peur de Bardella
Pas la joie
Ya des manifs dans les ruelles
Pas la joie
Chez les antifas
Chaque jour des coups d’couteau qui s’amoncellent
C’est d’l’amour, mais les fachos ne comprennent pas
Qu’il faut plus de migrants pour les demoiselles
Et toutes celles qui vite ne courent pas

Ça y est LFI crache sur le Hamas
Et les socialistes s’allient au NPA
Oublié Gaza, ya plus rien qui s’y passe
Qu’a fumé Glucksmann pour avoir l’air béat ?
Ils ont quand même fait la photo de famille
Pour sceller l’accord des carpes et des Ruffin
Ya juste un p’tit truc qui un peu me titille
On voit que des blancs sur l’cliché, c’est pas fin

Pas la joie
Au CRIF ils en sont tous malades
Ils peuvent pas
Choisir ou peste, ou choléra
Contre ça
Ya aussi pénurie d’pommade
Pas le choix
Faut faire son Alya
 
Pas la joie
Ils veulent freiner l’immigration
Aux médias, ils veulent sucrer les subventions
Ainsi qu’à la foultitude d’associations
Dont l'trafic nourrit les poissons

Et comme dit Ciotti aux LR : « chauve qui peut ! »
Leur cabine téléphonique coupée en deux
Tandis que Zemmour dit que point trop Knafo
Malgré son papa, Marion n’a pas ce qu’il faut
Et puisqu’ils soutiennent l’abattage rituel
Qu’elle les ait trahis, c’est beaucoup moins cruel
Entre élus du peuple et gens du peuple élu
Scission consommée d’après ce que j’ai lu

Pas la joie,
La gauche veut la guerre en Ukraine
C’était ça
Ou perdre des sous, des places, tout ça
Pas la joie
Si trop de gens votaient RN
Plus d’Attal,
Le Maire, ou Moussah
Pas la joie, ce n’est même plus une élection
Même si joie, ça permet de virer Macron
Mais c’est notre (même si Fabius nous a dit non)
Référendum immigration

mardi 11 juin 2024

Analyse enrhumée (désolé) de la dissolution (11/06/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/AmZGCnpnDIo

Bonjour !

D’ordinaire, les élections, c’est un peu comme s’asseoir sur une bite d’amarrage quand on est assez dilaté pour plaire à Bruno Le Maire : on sait d’avance comment ça va finir pour ceux qui votent. La notion foireuse de démocratie vire à la catastrophe à partir de 50% de cons et (ou) d’égoïstes et (ou) de mal informés au sein de ceux qui se déplacent pour voter et croient encore que choisir parmi des candidats autorisés, présélectionnés pour être compatibles avec le système, peut changer quoi que ce soit. 
 
Le score du « Renoncement National (à toutes ses convictions) » était prévu, de même que le petit chat, probablement castré, du parti animaliste, dépassant à lui tout seul les scores cumulés de ses compagnons d’infortune « fr.exités », démontrant une fois de plus l’ineptie de la méthode Coué de ceux qui confondent vues sur YouTube et électeurs potentiels et qui pensent que (à l’exception de 3, selon Raymond Devos) plusieurs fois rien c’est déjà quelque chose. Cela ne les empêchera pas de continuer les querelles intestines et intestinales sur le thème : « si ma tante en avait eu, elle eût pu être première dame », car ça ne saurait être de leur faute. 
 
Je le répète, le Frexit, pour aussi nécessaire qu’il soit, n’est pas un programme politique, c’est un moyen d’action, comme la dévaluation ou un suppositoire. Il ne vaut qu’en appui d’une vision et  d’un programme audacieux qui répondent clairement à la question : « le Frexit pour quoi faire ? ».
Or, ce qui est supposé rétablir la France d’un coup de « braguette » magique avec l’incantation « article 50 », n’est que du gaullisme béat, réchauffé à la sauce républicaine, dans les limites conceptuelles propres à des énarques formatés, empreints, de surcroît, de la frilosité consensuelle inclusive, consubstantielle à la démocratie suicidaire, de sorte à n’effrayer et n’exclure personne et à proposer de tout changer sans toucher aux avantages acquis, contradictoires et incompatibles des uns et des autres. 
 
Pas vraiment de quoi galvaniser les foules lesquelles ont déjà pléthore de marchands d’eau tiède pour leur vendre qu’un onguent parfumé à la menthe leur évitera l’amputation. Par ailleurs, à une époque où les politiciens sont marketés comme des barils de lessive et sélectionnés sur leur capacité à se faire élire plutôt qu’à gouverner (d’où leur médiocrité croissante), pour toutes les idées qui ne lui plaisent pas, mais qu’il doit faire semblant de tolérer afin de donner une impression de pluralité, le système s’ingénie à ne laisser subsister, à coup de pressions souvent judiciaires ou de dossiers de mœurs, que des erreurs manifestes de casting pour incarner lesdites idées. 
 
Qui dit nationalisme, par exemple, dit virilité, les deux étant quasiment synonymes, ne serait-ce que parce que les nations se sont forgées par la guerre et les rapports de force jusqu’à ce qu’un équilibre soit trouvé et parce que la force et la violence, ou en tout cas leur potentialité, sont nécessaires pour préserver et garantir la continuité du peuple historique fruit de cet équilibre, sans reconnaissance duquel, y compris sur des bases ethniques, il n’y a plus de nation et tous les sacrifices passés auront été vains. 
 
Comment se fait-il, que sur 68 millions d’habitants, les partis dits nationalistes ou souverainistes se retrouvent toujours avec, à leur tête, des leaders qui sont à l’opposé de ladite virilité soit qu’ils se fassent artisanalement déconstiper ou fantasment de l’être (quand ce ne sont pas des femmes) ou sinon, qui sont, jusqu’au gag zemmourien, aux antipodes du peuple historique de par leurs origines. Non que cela soit forcément rédhibitoire, à titre exceptionnel (les qualités « propres » des individus ne se résumant pas à leur élasticité anale, leur taux de mélanine, leur absence de prépuce ou leurs ovaires), mais le caractère quasi systématique (quand on creuse un peu) ainsi que l’improbabilité statistique ont de quoi interroger. 
 
Je ne fonde donc pas de grands espoirs dans le RN, qui, s’il avait un peu plus de bouteille, serait un peu la cage aux fioles, et si certains pourront se réjouir que les gesticulations hystériques de Macron qui a lui-même fait de ces élections un enjeu national, sautant de chrysanthèmes mémoriels en « crises en thèmes » internationaux, de même que son braquage télévisuel de dernière minute, n’auront pas empêché la débâcle face au RN, on peut se demander si ce n’était pas calculé. Je dois admettre, en toute humilité, ne pas avoir vu venir le coup de la dissolution. 
 
On peut tout de suite éliminer l’hypothèse du dilemme moral, du respect des institutions ou du souci de l’intérêt général, on parle quand même d’Emmanuel Macron. D’ailleurs, dans ce cas, il aurait carrément démissionné, chose qu’il ne fera pas, car notre Manu « militari » a encore une guerre contre la Russie à déclencher, la Nouvelle-Calédonie à brader avec un 8e mort dans le silence médiatique et encore plein de nouvelles taxes à inventer comme les cartes Pokémon désormais exclues des exemptions en tant qu’objets de collection pour la revente, au cas où les smicards, dont le nombre a presque doublé depuis 2017, passant de 10,5 % à 17,3, voudraient revendre les leurs pour payer leur essence à 2€ le litre en attendant l’explosion du prix du gaz dès le premier juillet.
 
Son calcul est donc simple. Option 1 : par une onde de choc, il arrive à faire peur à ceux qui ont voté RN, mais sans vraiment vouloir aller jusqu’à le porter au pouvoir. Cela risque d’être compliqué, car après 7 ans de lui, la menace du pire, c’est un peu comme si la peste essayait d’effrayer avec la gastro-entérite, même si cela pourrait suffire à mobiliser massivement un électorat allogène peu consommateur de papier toilette et jusqu’ici peu concerné, s’il pense que la manne de la CAF, seul édifice qui ne brûle jamais durant les émeutes, pourrait se tarir. Il pourrait ainsi rassembler une coalition hétéroclite, incapable, par idéologie, de gouverner avec le RN et qui, sans Macron pour les lier, n’aurait d’autre choix qu’une nouvelle dissolution interdite avant encore un an. Il aurait alors tout loisir de continuer à faire du 49.3 jusqu’à la fin de son mandat sans qu’on puisse lui opposer son manque de légitimité ou alors, en cas de difficultés, de se poser en fédérateur face au chaos ambiant ingouvernable.
 
Option 2 : l’option 1 échoue et il pourra tranquillement laisser d’autres se dépatouiller des situations inextricables dans lesquelles il nous a fourrés, et, dans l’hypothèse peu probable où le RN serait majoritaire, compter sur les engeances du pouvoir profond que sont le conseil Constitutionnel et autres instances malfaisantes, pour empêcher toute action significative, de sorte que les gars de la Marine, tant à voile qu’à vapeur, se brûlent les ailes et soient totalement décrédibilisés pour 2027.
 
Pour autant, les étoiles semblent s’aligner puisque, sentant confusément que c’est leur survie qui est en jeu, les peuples européens sont en train de bouger modérément (un quart seulement du nouveau parlement est constitué de nationalistes), mais suffisamment pour, dans un contexte international favorable et devant la perspective inquiétante d’une troisième guerre mondiale, donner une légitimité audit RN qui sera moins vulnérable aux blocages et manifestations des bébés castors, à queue et encéphalogramme plats, lesquelles ont déjà commencé, de peur que si, d’aventure, le parti à la flamme (ou à la flemme selon les points de vue) réussissait à améliorer la situation ou même simplement ne faisait pas résonner les bottes sur le pavé comme annoncé, tout leur fonds de commerce « antifasciste » s’effondre de sorte qu’il ne leur resterait plus que le wokisme comme argument de vente.
 
Par ailleurs, autre aspect positif, pour la plèbe que nous sommes, ledit RN est condamné à des résultats rapides en dépit d’une situation inextricable, s’il ne veut pas, non seulement obérer ses chances pour 2027, mais carrément se faire lyncher, car, le dernier espoir électoral une fois décrédibilisé, les gens se décideront peut-être à enfin sortir les fourches, réalisant que l’élection, moyen frileux de protester, entre un plat de frites et Hanouna, sans verser le sang et se mettre directement en danger, a pour conséquence, au bout du compte, l’invasion migratoire par des gens qui, eux, ne respectent que la force et donc, l’explosion de la violence puisque, face à des moutons, c’est open-bar. Ainsi le sang oligarchique épargné d’un côté est simplement versé de l’autre en sang gaulois (et pas que), y compris par la république elle-même, ce qu’on appelle la démocratie (par nature lente et inefficace) n’étant qu’un système provisoire d’administration de l’opulence jeté aux orties, par ceux-là mêmes qui la promeuvent, dès que le moindre problème sérieux (réel ou imaginaire) se fait jour : guerre, pandémie, crise économique, urticaire météorologique…
 
Je ne donc suis pas certain que Marine le Pen, dont l’agenda et l'horloge biologique entrent mécaniquement en conflit avec ceux de Bardella qui, lui, a intérêt à être Premier ministre rapidement, veuille dudit pouvoir. En tout cas pas pour si peu de temps et dans de telles conditions. Mais Macron, tordu et conscient du bluff, a demandé à voir, sa paire de... deux, tout en sachant que son électorat ne comprendrait pas qu’elle refuse. Comme il est déjà peu probable que le RN devienne majoritaire, un premier sondage lui accordant au maximum 265 sièges, ne serait-ce qu’à cause des villes grand-remplacées où, visiblement, les bobos n’ont pas encore pris assez de coups de couteau pour prendre la mesure de la situation, elle a juste à laisser faire et à effaroucher, par sécurité, quelques chalands par une alliance avec les thuriféraires d’abattage rituel de reconquête (sauf alliance improbable avec les LR pour équilibrer) de sorte à rester de justesse (ah, mince alors !) dans l’opposition, ce qui serait pour elle la situation la plus confortable. L’avenir nous le dira, car parfois les dynamiques sont dures à arrêter.
 
De son côté, la France Insoumise, misant intelligemment, autant que cyniquement, sur la démographie de remplacement, a fait mieux que prévu et n’a aucun intérêt à s’allier avec le feu de paille belliciste et pro sioniste Gluksmannien ou les écologistes wokes en perdition qui, après avoir failli ne pas avoir de représentants dans l’hémicycle européen, sont incapables d’avoir des députés sous leurs seules couleurs, ce qui pourrait se traduire par une hécatombe, le départ de Sandrine Rousseau privant, hélas, les humoristes de 50% de leur matériel.
 
Reste les traîtres LR, encore accrochés à leur maillage local qui s’effrite et qui, de par leurs compromissions et pour avoir loupé plusieurs occasions de provoquer eux-mêmes une dissolution en soutenant une motion de censure, ont manqué le coche et essaient désespérément de faire croire qu’ils ne s’allieront pas au meilleur offrant en postes juteux, sitôt les élections passées.
 
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dimanche 2 juin 2024

La chute s’accélère… (03/06/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/LlDdMmp3tt8

Bonjour !

Loin de moi l’idée d’en faire tout un fromage, mais en matière de finances, depuis que « Mozart est là » tout part en camembert et, selon Standard & Poor’s, avec une note de AA- nous voilà officiellement rétrogradés au rang de pays de troisième zone standard (and poor), rejoignant le groupe de la Tchéquie, de la Slovénie ou de l’Estonie. 
 
La seule chose qui empêche encore la dégringolade complète (façon Nicole Beloubet sans Wonderbra™) c’est, non pas nos perspectives économiques enrichies aux migrants azotés organiques, ni même le nouveau marché de trafic d’organes qui va logiquement s’ouvrir, parce que le gaspillage c’est mal, consécutivement au vote, en cours, de la loi sur l’aide active à mourir, à éliminer des retraités coûteux et à faire rentrer des frais de succession dans les caisses, mais la certitude, aussi ferme qu’une érection de première dame, que nos gouvernants n’hésiteront pas à piller, jusqu’au dernier centime, les quelques 1500 milliards qui dorment, de moins en moins sereinement, sur nos comptes en banque et autres livrets A, pour alimenter le racket d’une dette esclavagiste dilatée au-delà de tous les fantasmes brunolemairiens. 
 
Une dette dont le remboursement des seuls intérêts, qui dépassent déjà les 53 milliards, et qui vont continuer d’exploser avec la remontée des taux dus à la baisse de ladite note, est en passe (tarifée) de devenir le premier poste de dépense de l’état, devant l’éducation … aux valeurs de la république (et accessoirement aux mathématiques, histoire de compter les coups de couteau). On peut, bien sûr, choisir de croire celui qui, entre deux bouquins, a trouvé le temps, outre, selon lui, de sauver la France, de sciemment trafiquer le budget prévisionnel 2024 (passé à coups de 49-3) lorsqu’il nous dit, juste avant des élections, que cela n’aura aucune incidence sur la vie des Français (mais certainement sur leur mort). 
 
Des Français qui nagent tellement dans l’opulence qu’Attal, aux mains vierges de toutes callosités, si ce n’est masturbatoires, souhaite serrer encore un peu plus la vis aux fainéants de chômeurs et que la Cour des comptes propose de ne plus indemniser les 8 premiers jours d’arrêt maladie pour les autres. Pour autant, il reste encore un peu de marge puisque le Conseil constitutionnel (ConCon, pour les intimes) vient d’accorder à tous les migrants illégaux le droit à l’aide juridictionnelle, aux frais des généreux contribuables, par définition réfractaires aux amalgames et à toute forme de discrimination. 
 
Pas comme la belle diversité de Palma de Mallorca, composée de Gitans, Marocains, Sud-Américains, Guinéens… entre beaucoup d’autres peuples bien trop riches en mélanine pour pouvoir être considérés comme racistes aux yeux de tout gauchiste qui se respecte. Une foule qui, ulcérée par les exactions spécifiques attribuées aux migrants algériens, a commencé à descendre dans la rue avec des pancartes explicites et à se faire justice elle-même avec, pour résultat inattendu des abjectes ratonades qui s’en sont suivies, une baisse totalement inexplicable de la criminalité de plus de 90%. C’est probablement nerveux, mais « one, two, three, ah, j’ai ri ! ». 
 
Il y aurait donc un phénomène d’autorégulation migratoire, passé un certain seuil de saturation, lorsque, pour quelque mystérieuse raison, les blancs ont déserté une zone et que les allogènes deviennent, à leur tour, victimes des rescapés de l’équivalent du kärcher de Sarkozy. 

Pendant ce temps, outre-Rhin, les Allemands sont également touchés par l’inflation… de connerie gouvernementale puisqu’ils en sont, si j’ai bien compris, à confectionner leurs housses de couettes en poils de rats, comme en témoigne leur nouveau tube de l’été, qui me trotte dans la tête, car il est très « catchy » : Ah, housse ! Laine de Rats, housse !  Ah, housse ! Laine de Rats, housse !
Bon, le sens est un peu confus, mais pas plus que de l’Aya Nakamura et je peine à comprendre pourquoi tout le monde s’affole avec ça, tandis qu’une justice visiblement ratophobe s’en prend aux malheureux interprètes de cette reprise bon enfant et festive de la chanson « l’amour toujours » (en français dans le texte), y compris désormais en Suisse alémanique.

Une chanson d’amour donc, de nouveau chantée en réponse à l’attentat islamiste au couteau à Mannheim avec plusieurs victimes dont un policier qui, plutôt que de neutraliser le barbu avec un couteau ensanglanté à la main qui se tenait devant lui, préjugé qui eût été raciste, a préféré immobiliser une victime au crâne suspicieusement rasé et à la peau blême, ce qui lui a valu de se prendre un coup de couteau non amalgamant dans la nuque, par derrière. 
 
En tout cas, les Allemands, eux, ne censurent pas les vidéos, pas comme en France où, sauf images pédagogiques du petit Aylan en décomposition sur une plage ou des camps de la mort, dont on sature le fondement de nos têtes de moins en moins blondes (parce que c’est comme pour les chasseurs, il y a les bonnes images horribles et les mauvaises), les autorités affichent désormais systématiquement le message : « Ne partagez pas ces vidéos, ne les diffusez pas par respect pour les victimes » sur les réseaux sociaux. Conscient des priorités, notre pourfendeur de supporters anglais, lâche même la grappe à Kévin et Mattéo pour courageusement s’en aller traquer ceux qui font fuiter lesdites vidéos disruptrices de sieste léthargique du Français moyen, que ce soit pour celle de l’évasion de « la mouche » qui semble s’être définitivement envolée (y compris des médias) après la mort de deux gardiens à un péage avec des armes de guerre, ou encore pour l’agression dans le métro de Lyon, avec certes un modeste couteau, mais filmée en HD.

Pendant ce temps, on a de nouveaux Crépol, des agressions, des vols avec violence (y compris chez les bobos des arrondissements huppés), des viols, des féminicides, des meurtres gratuits et des règlements de comptes, partout sur le territoire, à un rythme croissant islamique (mais pas que), tout ça à cause de TikTok, si j’ai bien suivi la logique.

On pourra toujours se consoler, car au moins, à défaut de s’occuper de notre sécurité, le gouvernement que le monde entier nous envie aura mis la Russie à genoux. Une Russie pas conviée aux commémorations du débarquement malgré ses 25 millions de morts dans le conflit et à laquelle le tandem sans selle « Biden – Macron » est en train de déclarer tranquillement la guerre. Le premier en autorisant l’utilisation d’armes de longue portée américaines pour frapper sur le territoire russe et le second en suggérant non seulement la même chose, mais en officialisant l’envoi de militaires français en Ukraine. 
 
Tout cela pour éviter la catastrophe d’un effondrement de la défense ukrainienne avant les élections américaines qui se présentent relativement mal pour les globalistes. Le procès lunaire et la condamnation de Trump (de laquelle il va faire appel au dernier moment, en juillet, de sorte que, compte tenu des délais d’instruction, il ne puisse, ni être incarcéré ni empêché de se présenter le 5 novembre) ayant eu pour seule conséquence de faire littéralement exploser son site sous l’afflux de donations à sa campagne (50 millions en quelques heures). Notre leader suprême a donc décidé de chatouiller Poutine et ses (au moins) 6000 ogives nucléaires, dont un nombre indéterminé hypersoniques. Autant dire que si vous bossez dans une usine d’armement en France, il sera probablement judicieux d’envisager, à court terme, quelques jours d’arrêt maladie (même si pas payés) et d’aller voir la famille en province si vous demeurez à proximité de l’Élysée.

Après, il nous reste une petite chance d’y couper, si Macron s’obstine à vouloir se baigner dans la Seine, puisqu’on apprend de la bouche d’un ancien directeur du CNRS que, conséquence de décennies de corruption, de fainéantise et d’incompétence, une grande partie du tout-à-l’égout parisien se retrouve reliée au circuit des eaux pluviales (étron, étron petit patapon) et est donc rejetée directement dans la Seine, y compris à la hauteur du tronçon supposé accueillir les épreuves de nage libre des JO où Macron et Hidalgo envisagent de faire trempette. Comme aucun des deux ne sait fermer sa gueule, ils risquent d’avaler des choses…

Sinon, en vrac, Netanyahou a eu plus de temps de parole sur TF1 qu’Asselineau en 20 ans, pour nous expliquer que le bombardement de camps de réfugiés à Rafah c’est l’équivalent du débarquement de Normandie, Meyer Habib s’est fait traiter de porc par un député de la France Insoumise qui, dans un second temps, s’est excusé… auprès des porcs, Reconquête, en la personne de Sarah « point trop » Knafo, a fait l’éloge de l’abattage rituel, le RN envisage une alliance avec Meloni qui envisage une alliance avec Von Der Leyen, Hayer est complètement ailleurs, à mesure que sa campagne s’effondre, tandis que l’Union européenne essaie d’entériner en douce la suppression de l’unanimité des états membres pour prendre des décisions, notamment en matière de défense, parce que ce serait dommage de passer à côté de la troisième guerre mondiale, alors que la Corée du Nord, plus pacifiste et inventive, se contente d’envoyer des ballons chargés d’excréments sur son homologue du Sud.

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