Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/emEz3VqEJ68
Bonjour !
Si Mbappé se fût appelé Didier on eût pu abréger en « Mbappé D. » tant le castor multimillionnaire à queue plate (et désormais nez assorti) semble apprécier les câlins dans les vestiaires, au point qu’il en redemande en appelant à voter indirectement pour le palpeur élyséen en préconisant le barrage aux extrêmes. Certains schtroumpfs (seule raison, sauf à être daltonien, de les appeler encore « les bleus »), sont même plus restrictifs, ciblant spécifiquement le RN à l’instar de celui à qui on a envie de dire : « Thuram à contre-courant Marcus ».
Idem pour le monde de la culture qui craint de ne plus pouvoir se goinfrer de subventions pour faire, entre autres choses indispensables, des films que personne ne regarde sur un gentil migrant au grand cœur qui finit par partager plusieurs décimètres d’amour turgescent avec une héroïne préménopausée qui lutte contre le patriarcat et le réchauffement climatique en se colorant les cheveux en bleu et en jetant de la soupe bio en emballage recyclable sur quelque tableau de maître à fort indice carbone. On ne compte plus les tribunes anti-RN dont la dernière a été publiée à l’occasion d’une fête de la musique particulièrement animée (certains étant plus à l’aise avec les staccatos de kalachnikov que de violons, violons dont d’autres étaient sortis pour jouer du couteau). Une tribune signée par 500 artistes plus ou moins inconnus à l’exception de Clara Luciani pourtant potentielle inspiratrice de la grenade dégoupillée dissolutive macronienne.
Libération enchaîne les titres apocalyptiques avertissant que le RN va détruire la planète en supprimant les éoliennes, tandis que la gauche défend la démocratie dans les rues en cassant des vitrines et en protestant contre le résultat d’élections. Jusqu’à Squeezie qui s’est fait squeezer perdant son statut de Youtubeur N°1 au profit de « Tibo in Shape » après sa diatribe anti-RN. Et bien qu’elle soit plutôt mignonne, en voyant l’air renfrogné de Sophie Binet, Jacques Hélian aurait plutôt chanté : « Ah CGT resté célibataire… », le syndicat d’extrême gauche (mais apolitique sans quoi il perdrait son statut) ayant pour la première fois, donné des consignes de vote en faveur du nouveau Front Populaire.
Seule voix discordante, Macron lui-même, que probablement induit en erreur par de mauvaises langues complotistes, je soupçonnais naïvement d’être un homosexuel marié à un pédophile à perruque, fortement hué, au passage, par des perruquophobes, lors de son apparition subreptice aux funérailles de feu Françoise Hardi, Macron qui, donc, serait, au contraire, si j’en crois la gauche unanime, un ignoble transphobe, pour avoir mentionné que l’usine à gaz immigrationniste investisseuse de fichés S susnommée promet rien moins que le changement de sexe en mairie comme on demande une fiche d’état civil. Il a toutefois évité le qualificatif de misogyne en omettant d’évoquer la proposition par Louis Boyard d’un congé menstruel mensuel, dont Sandrine Rousseau, bien que moyennement concernée, ne tardera pas à demander si les transgenres pourront bénéficier.
Un affront populaire qui pourrait toutefois perdre une partie indéterminée de ses électeurs pas déjà déroutés par ces mesures si l’on considère qu’Allah ( lequel, à en croire la phrase favorite de ses thuriféraires, est akbar, chatouillant probablement les deux mètres, et dont les desseins, contrairement au bientôt chômeur Attal, sont impénétrables) a décidé de rappeler à lui au moins mille pèlerins déshydratés de la Mecque, terme qui dans le Sud-Ouest, évoque un autre flux continu, mais qui se mouche. Sachant que si le tarif pour la mort en martyr, sans tenir compte de l’inflation, c’est 72 vierges taille 54, en cas de mort pour simple oubli d’un chapeau et d’une bouteille de Cristalline le mystère reste entier quant à la récompense éventuelle : peut-être quelques écologistes recyclées, ou un clone de Mathilde Panot. L’éternité promet donc d’être longue pour eux, paix à leur âme.
Il ne faut toutefois pas sous-estimer l’instinct du castor ( jamais déshydraté, lui, puisque « aqueux » plate), qui reste persuadé que même avec un bureau politique constitué de gens, certes potentiellement utiles en cas d’épidémie de constipation, mais sur qui on ne pourrait guère compter pour repeupler la planète en cas de chute de météorite, agglutinés, de surcroît, autour d’une femme à chats noceuse, les bruits, sinon de bottes, au moins de talons aiguilles, résonneraient sur le pavé froid le lendemain de l’élection et que les fours, un peu partout, entreraient en mode préchauffage (dans les limites des pénuries énergétiques) sauf pour Serge Klarsfeld ou Alain Finkielkraut, antisémites notoires, disposés à voter RN au grand dam de Mélenchon lequel, selon ses dernières déclarations, se verrait bien à Matignon.
Blague à part, même si, pour avoir abandonné en rase campagne leur colonne vertébrale idéologique, je ne me fais aucune illusion sur les capacités de réforme d’un RN tenu de surcroît par Black-Rock et les testicules avec 3200 milliards de dettes, tout en ayant contre eux, l’état profond, une partie de la haute administration, les réseaux maçonniques, le Conseil constitutionnel, le coiffeur de Brigitte et j’en passe, ce qui ne leur laisse comme option qu’une mélonisation modérée, le contexte particulier fait que, même s’ils peuvent peu, ils vont faire l’intégralité de ce peu pour améliorer la situation et, à minima, ne pas faire encore plus que ce que l’U.E. exige comme l’enthousiaste Emmanuel Macron, et ce, sous peine de se faire complètement griller et de perdre toute chance de remporter les prochaines présidentielles.
Les seuls qui ont vraiment à craindre ce sont les gens qui pensent comme moi, car, comme le démontre leur promptitude à exclure un de leur candidat faussement accusé d’antisémitisme, ils seront tellement obsédés par vouloir démontrer à une gauche qui, pour avoir basé dessus son identité même, ne changera jamais d'avis, qu’ils ne sont pas d’extrême droite qu’ils vont encore renforcer la répression contre tout ce qui est identitaire ou se fout comme de sa première gastro-entérite du sort d’un peuple élu pour lequel il n’a pas voté.
Cela ne m’empêchera pas de voter pour eux, car, avec tous leurs défauts, il leur reste, dans quelque recoin de sphincter anal quelques atomes patriotiques encore épargnés par les douches rectales à répétition. Même s’ils ne considèrent pas que la priorité des priorités est la préservation de l’équilibre ethnique spécifique, fruit de millénaires de conflits et de croisements entre peuples compatibles, sans lequel il n’y a plus de peuple français ni de continuité du projet collectif qu’on appelle France et seul capable du génie éponyme jadis célébré de par le monde, que cette préservation, compte tenu de la situation, nécessite une remigration massive et qu’ils n’admettront jamais, a fortiori, que la première porte à cette immigration de masse qui a ouvert et justifié toutes les autres (au nom de l’égalité) a été l’acceptation d’un certain communautarisme spécifique qu’il convient de réévaluer, je dormirais quand même mieux en les sachant aux manettes, qu’avec, à la tête de l’exécutif, un maniaque persuadé que la France est déjà du passé et qui n’a de cesse que de la détruire pour être certain qu’elle ne puisse jamais plus renaître de ses cendres et menacer ses fantasmes européistes sur fond de troisième guerre mondiale ou pire, car c’est toujours possible, des tarés qui veulent ouvrir encore plus grand les vannes migratoires et instituer un statut de réfugié climatique.
Le pire qui puisse arriver c’est qu’ils se plantent lamentablement en essayant de dévier le Titanic de sa course funeste sans avoir accès au gouvernail et que, privée de débouché politique, une partie suffisante de la masse se décide enfin à sortir les fourches. À moins que, résignés, nous acceptions collectivement de nous noyer dans l’eau tiède et de crever d’une mort qui, alors, serait méritée, mettant fin à une épopée de plusieurs millénaires réduite à un simple concept administratif qu’on appellerait peut-être toujours la France : une étendue de terre sans âme, transformée en coupe-gorge maffieux avec des gens indifférenciés dessus et en voie de tiers-mondisation, mais où, héritage macrono-hidalguesque, on pourrait se baigner dans la Seine comme dans le Gange, à ses risques et périls.
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