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lundi 29 juillet 2024

Jeux olym-piques… dans la caisse.

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/NywYCALvoLE

Bonjour !
Ma bonté intrinsèque a su lutter contre ces sombres pensées qui parfois la tentent à l’attente (Allah tend à l’attentat latent), à la tante à moumoute plus grande déconvenue, d’une quelconque catastrophe, d’où l’intérêt des sous-titres et du bouton pause pour ceux qui n’auraient pas suivi. Non que j’eusse souhaité qu’il y eût des morts ou des blessés, mais l’état profond, après avoir acculé à la démission un Biden qui, depuis qu’il est réapparu, articule ses phrases et a grandi de 10 cm, a loupé une occasion en or d’érafler non pas une, mais les 2 oreilles de Macron, de sorte à ringardiser Trump, quitte à ajouter la queue, façon corrida, par ricochet malheureux sur Brigitte. 
 
Mais ils ont probablement dû renoncer découragés, non par un ratio d’un membre des forces de l’ordre (dont 1800 étrangers) pour 5 spectateurs, les 44 000 barrières rien que sur Paris, les drones, les hélicoptères, les plongeurs-démineurs, et une interdiction de survol dans un rayon de 150 km, mais par les QR codes qui, encore une fois, ont prouvé leur efficacité (sauf quand il fait soleil et qu’il faut les imprimer sur papier). 
 
Profitant qu’on n’a pas inscrit, dans la foulée du droit à l’IVG, le droit au TGV dans la constitution, certains ont entrepris, à la place, de mener la vie « duraille » à la SNCF, bloquant 800 000 passagers de rien du tout, les problèmes de transport s’ajoutant ainsi à la sécheresse asymptomatique du fait d’avoir invité François Hollande, faisant que les pluies ont de nouveau souillé la Seine qui du coup ne l’était plus, rendue « provisoirement » non baignable pour cause de coliformes fécaux, Anne Hidalgo ayant vraisemblablement flatulé dedans. 
 
Broutilles auxquelles s’ajoutent les agressions sexuelles de touristes et de gardiennes de la paix, les vols dans les vestiaires, les envahissements de stades par des spectateurs, le rationnement de nourriture au village olympique, les installations sportives non conformes, les athlètes contraints d’aller chez Ikea acheter, à leurs frais, des matelas pour poser sur leur lit en carton, ceux qui déménagent à l’hôtel, car les trajets jusqu’au stade durent des plombes, l’absence de climatisation … liste non exhaustive. 
 
Menus problèmes vite oubliés à l’issue d’une cérémonie qui restera dans les « anales » avec Aya Cacamura et Céline Fion, laquelle a, certes, bien chanté, mais à 2 millions la chanson, ça fait quand même un peu mal au rectum, quant à lady CACA, en différé, les cons plus ou moins tribuables qui avaient payé pour y assister et n’ont vu que des marches vides ont eu son truc en plume dans un endroit adapté, ce qui est mieux que rien. 
 
Mon moment préféré a quand même été le banquet de travestis (dont un laissait choir un testicule) en hommage à Jésus (qui, c’est vrai, portait une robe) incarné par quelqu’un évoquant, fort à propos, les saints (saindoux entre autres) et, à sa décharge, nous épargnant la couronne « d’épines » qui eût nécessité qu’ils se missent tous en cercle. Un tableau ponctué par un schtroumpf naturiste chantant le mérite d’être nu devant les seules personnes à qui cela ne s’applique pas, à savoir des drag-queens qui, justement, sans habits, se mueraient d’une Brigitte en un Jean-Michel ordinaire, non-sens déclenchant chez moi une crise de connophobie aiguë dépassant de loin ce que, même Hanouna à son apogée, a pu m’inspirer, d’autant que, non seulement on n’a pas eu d’attentant au C4, et c’est heureux, mais on n’a plus de C8 non plus : merci L’ARCOM ! 
 
À la place on aura Caroline Fourest, Raphaël Enthoven et Christophe Barbier. C’est dire si le niveau va monter, d’autant que la nouvelle chaîne appartient au grand copain de Macron Kretinsky ce qui est un mauvais présagesky, mais je digresse.
 
Pour en finir avec cette cérémonie, confondant anneaux et anus, qui n’aurait eu de sens que si le lancer de travelo avait été introduit, ne serait-ce que sur quelques centimètres, en tant qu’épreuve officielle, du veau d’or sous un drapeau olympique à l’envers, au dernier cavalier de l’apocalypse, en passant par Marie-Antoinette décapitée, la bouche ouverte comme tentant une dernière fellation, et une mini-partouze à trois dont 2 hommes forcément racisés, faisant que des passages entiers ont été censurés dans de nombreux pays et ont énervé jusqu’à Jean-Luc Mélenchon, la France a dilaté comme jamais son rayonnement, mais façon Fukushima. 
 
Les éloges orchestrés d’une presse française enthousiaste et de la quasi-unanimité, Zemmour excepté, des prépuçodéficients médiatiques à la Bercoff, ne parviennent pas à cacher que le Comité International Olympique, devant le shitstorm (c’est plus poli en anglais) de commentaires outrés du monde entier, et surtout face à la menace de retrait de gros sponsors américains, a dû se fendre d’une conférence de presse pour s’excuser tandis que la vidéo, contrairement aux cérémonies précédentes, n’était plus visible sur ses plateformes dans la plupart des pays, officiellement « pour raison de droits ». 
 
Je rappelle incidemment que la grosse Commission (européenne) a ouvert une procédure de sanction pour déficit public excessif à l'encontre de la France qu’elle menace de 2,5 milliards d’amende par an si elle ne réduit pas son déficit d’au moins 4% (soit la bagatelle de 112 milliards rien que d’ici à la fin de l’année). Dans ces conditions, 130 millions d’euros, fourchette basse, soit 4 fois plus que Londres, et plus d’un demi-milliard en coûts réels en comptant les frais annexes (des taquins avancent même 666 millions), c’est un peu cher payé pour des scènes en différé, des montages vidéo cache-misère de remplissage, des chorégraphies approximatives en tenues rose bonbon, du papier brillant sur des murs aussi cradingues qu’un prélèvement rectal de Séjourné (alors que le Karcher tout neuf de Sarkozy dort toujours dans les caves de l’Élysée), un automate en fil de fer et un ennuyeux défilé de bateaux hétéroclites même pas décorés, par lesquels on nous a visiblement menés. Une manne financière qui n’a peut-être pas été perdue pour tout le monde. 
 
Mais cracher sur les Français avec leur argent tandis que la moitié en redemande, quoi de plus jouissif pour certains. Au bout du compte, un spectacle pédant et prétentieux à l’image du principal instigateur, et dont le beau était absent, sauf exception accidentelle (immédiatement souillée) et le joli costume d’Al Capone de Brigitte qui a, paraît-il, « elle »-même, recruté Thomas pas Jolly-Jolly pour produire cette daube.
 
En tout cas, Macron, lequel ne choisira pas de Premier ministre avant, a minima, le 18 août, voire septembre s’il prolonge sa « trêve » aux jeux paralympiques, et ce au grand dam des castors à sphincter dilaté, a bien mérité les sifflets, forcément admiratifs, qui ont retenti, en dépit d’un public méticuleusement sélectionné, sans que les commentateurs ne les relèvent, rendant quasi inintelligibles les 2 phrases qu’il a prononcées à l’occasion de l’ouverture de son « olympride ».
 
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