Émeutes anglaises, cérémonie de clôture des JO, Lucie Castets, Caverivière… (12/08/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/FvgSi-jOdbM

Bonjour !
La sexualité débridée de nos ministres a depuis longtemps ringardisé le Kâma-Sûtra dans lequel je n’ai pas trouvé la moindre référence à la position du « démissionnaire », laquelle suppose, j’imagine, en préalable, d’être dilaté comme jamais grâce à l’insertion dans quelque endroit (où le premier d’entre eux aime « Séjourné » et réciproquement), d’un nombre consistant de médailles olympiques à l’aide d’un lubrifiant « aqueux » à base d’eau baignable de la seine ou d’huile de « castors », petits animaux influençables que leur queue plate condamne techniquement à un rôle passif, ce qu’ils semblent, par ailleurs, affectionner, puisqu’inlassablement, ils en redemandent. 

 

La menace brune repoussée par leur courageux barrage semble, en fait, sinon « fantôme » en tout cas bronzée, si on en juge par les longues vacances qu’elle prend, préférant danser la lambada sous les cocotiers que se donner « Le Pen » de commenter une cérémonie d’ouverture qui a fait tousser jusqu’au Pape (un peu poussé par Erdogan, il est vrai), ou les émeutes anti-immigration de masse au « Royaume désuni » et l’attitude écœurante des autorités, travaillistes (elles), auxquelles Macron a officiellement apporté son total soutien, de même que tous nos médias y compris C-News dont le N semble avoir reculé d’au moins 4 lettres. Un gouvernement dont le Premier ministre, qui s’appelle Keir parce que « Nick Starmer » eût été trop connoté, était de ceux qui avaient posé un genou à terre pendant l’escroquerie « Black Lives Matter » laquelle a permis à des escrocs, parfaitement visibles dans la pénombre, eux, de s’enrichir et de partir avec la caisse. 

 

À présent, il vide des prisons surchargées de criminels à taux garanti en mélanine bio, dont un ayant découpé à la machette un blanc privilégié de 14 ans, taquinerie qualifiée d’homicide « involontaire » par quelque juge compatissant. L’espace ainsi récupéré permet de pouvoir enfermer les véritables menaces : d’odieux carencés en pigments cutanés qui écopent à la chaîne de plusieurs années ferme, pour avoir qui « haineusement » protesté sur les réseaux sociaux contre l’égorgement de 3 fillettes de rien du tout, qui dégagé du CO2 inutile en assistant « en curieux » à des manifestations, attitude désormais officiellement condamnée stricto sensu en ces termes, la curiosité étant un vilain défaut, par les pantins britanniques serviles avec une serpillière sur la tête, supposés vomir des sentences, à défaut de rendre la justice. 

 

Pendant ce temps, la même police qui a laissé durant des années des gangs de Pakistanais violer des milliers de jeunes Anglaises de peur de passer pour des racistes et qui, selon les derniers chiffres, en 3 ans, n’a interpellé aucun suspect à Londres pour le moindre crime de proximité (vols de portables, de vélos, de véhicules, cambriolages…) défonce la porte de personnes âgées et les arrête à la moindre remarque sur Facebook, laisse des groupes armés musulmans se promener dans les rues sans intervenir, commence ses allocutions officielles par des salutations en arabe et se déploie autour des mosquées pour les protéger. Une gestion efficace du problème, parachevée en apothéose (suite à une fausse rumeur d’émeutes supposément planifiées par une extrême droite imaginaire passée, par un tour de prestidigitation médiatique, du statut d’égorgée à celui de coupable) par des contre-manifestations « spontanées » avec des pancartes préimprimées tombées du ciel, où se mêlaient islamistes et extrême gauche, supposés représenter la minorité silencieuse.

Une situation, qui ne saurait se produire dans la France du vivre-ensemble harmonieux ou selon Philippe Caverivière, un humoriste, un vrai, un tatoué, évoquant les jeux Olympiques : « Quand on entend les prénoms Sofiane, Bilal, Brahim, on se rend compte que la diversité, ça marche »… sauf apparemment en prison. Contrairement au Royaume-Uni, il n’y a pas chez nous de sentiment communautaire indigène (tué par des années de lavage de cerveau) ni un nombre encore suffisant d’autochtones insolvables et n’ayant plus rien à perdre, en revanche, nous souffrons du même manque de solution démocratique, les votes, pour des « cancres las » interchangeables, ne changeant absolument rien et la communauté blanche, jamais consultée sur l’immigration de masse qu’on lui impose, étant la seule à n’avoir pas droit à la moindre représentation, ni même à officiellement exister. 

 

Dès lors, tous ceux qui condamnent la « violence » sont des hypocrites s’ils ne proposent aucune solution alternative crédible et cèdent, par ailleurs, tel un soutien-gorge de première dame sous le poids de prothèses mammaires surdimensionnées, à celle exercée régulièrement sous forme d’émeutes par les communautés minoritaires ; émeutes qu’ils laissent se dérouler sans réagir. L’extrême sévérité, au contraire, à l’encontre des Britanniques de souche, fortement inspirée par le traitement des gilets jaunes français, conduisant pour eux (et eux seuls) à l’interdiction de toute manifestation ou de l’expression de la moindre bribe de mécontentement, ne pourra pousser qu’à la radicalisation et à la clandestinité avec tout ce que l’on peut imaginer derrière, tandis que, faute d’aborder le problème de ladite immigration de masse, poule aux œufs d’or pour trop de monde, d’autres gamines seront égorgées ou violées en masse, les politiques inventant alors de nouveaux superlatifs pour condamner les atrocités et la violence qui frappent, sans aucune cause identifiable, outre les vaches qui pètent, un peu comme les intempéries. 

 

N'en déplaise à ceux qui ramènent tout à la lutte réelle (mais moins prégnante qu’ils ne croient), des riches contre des pauvres poussés à se battre entre eux plutôt que de relever la tête vers les marionnettistes, il n’y a jamais eu et n’y aura jamais d’internationale des travailleurs pour de simples raisons d’incompatibilité structurelle, et la lutte pour la préservation de son identité passera toujours avant celle des classes, car elle est primordiale. Question de survie, d’autant que pour s’unir (sauf à être une prof de français face à un élève mineur), il faut être deux à le vouloir. Passé un seuil critique, qui varie de 1 à quelques millions, en fonctions des cultures et des atavismes spécifiques, toute immigration de masse est toxique, même lorsqu’elle peut sembler compatible. 

 

Par exemple l’importation dans les années 30 de millions d’Espagnols, dont un nombre conséquent de « rouges » rabiques du genre à déterrer, pendant les massacres de ce que l’on a appelé « la terreur rouge », des cadavres de bonnes sœurs pour les pendre et viscéralement internationalistes et immigrationnistes, a durablement ancré le Sud-Ouest à gauche, a infusé dans la société (le slogan antifa est « no pasaran ! », même s’ils sont passés sans vaseline), a probablement joué un rôle dans l’arrivée de la gauche au pouvoir en 81, voire a pu mathématiquement faire basculer du côté sombre en mai 68. 

 

Imaginons dès lors (il suffit pour cela de suivre l’actualité, comme avec cette femme violée pendant 2 heures dans un parking de Metz par un Nigérian - aux larmes – sous OQTF, sinon ce n’est pas drôle, lui ayant piqué, qui plus est, son portable histoire de faire ça en musique), les dégâts potentiels, dans le magasin de porcelaine, lorsqu’on y lâche une masse d’éléphants issus d’ethnies et de cultures radicalement différentes (et venant, de surcroît, d’un autre continent), fruits d’une évolution, ni meilleure, ni pire, mais spécifique, étalée sur des milliers d’années avec, pour seule préparation, un stage de citoyenneté dispensé par une femme à barbe à cheveux bleus et bas résille…

La masse dilue malheureusement l’individu et si rien n’est fait pour stopper la folie migratoire, au bout du compte, les personnes méritantes qui ont fait l’effort de s’intégrer seront balayées comme les autres sachant que, lorsque le problème est le loup et qu’il se cache dans la forêt, la solution la plus efficace est de supprimer suffisamment d’arbres, peu importe qu’ils soient bons ou mauvais, qu’ils produisent des glands ou des noix, pour que la forêt disparaisse et que ledit loup n’ait plus d’endroit où se cacher.

Ceci mis à part, hormis quelques minutes de Tom Cruise histoire de ne pas mettre toutes les Yseult dans le même panier, la cérémonie de clôture des JO, a été à peu près aussi exaltante qu’un roman coécrit par Bruno Le Maire et Marlène Schiappa. Une cérémonie probablement remaniée en catastrophe sans orgie transsexuelle ou sacrifice rituel d’enfants et osant à peine tenter un être flamboyant à cornes arrivant sur terre après la fin du Monde. Un Monde encore sous le choc de l’annonce de l’homosexualité de Lucie Castets, première Première ministre de réalité virtuelle du multivers et sur lequel, dans l’attente de l’attaque annoncée par l’Iran le temps de faire, au préalable, le plein de systèmes de défense russes, Israël, histoire de tuer le temps et pas que, bombarde des écoles à Gaza et trouve même un moment pour protester de ne pas avoir été invitée (pas plus que la Russie, pour des raisons évidentes), à la cérémonie de PAIX commémorant l’anniversaire du test de bombe atomique effectué gratuitement par le camp du bien sur Nagasaki, le Japon ayant déjà perdu la guerre à l’époque. 

 

Les Américains, par solidarité (jamais logiquement expliquée) avec Israël, ont, dans la foulée, refusé d’y assister, ce qui a provoqué une vague d’indignation sans précédent au pays du soleil levant et un début d’ulcère chez mon épouse nipponne, ravivant des haines que seuls les naïfs croyaient éteintes, le tout dans une situation internationale explosive où l’Ukraine sacrifie des troupes dans une attaque insensée en territoire Russe dans l’espoir de booster la campagne de Kamala Harris, médiatiquement passée du rang de crétine reconnue à celui d’idole des foules, en vue de rendre crédible la prochaine triche électorale. À part ça, tout va bien.

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