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lundi 19 août 2024

Interview de Trump par Musk, destitution de Macron, RIP DELON et autres actus… (19/08/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/kpAwhMykvA0

 

Bonjour !
La semaine dernière, j’ai omis de parler du décès de Patrice Laffont, animateur de nombreux jeux télévisés dont « le mot le plus long ». Mal m’en a pris, car son fantôme est venu me hanter dans mon sommeil, déguisé en Brigitte Macron et chantant à tue-tête le générique de l’émission. Comme je lui demandai pourquoi, il me rétorqua : parce qu’elle a de la « voix IEL » (et aussi parce que les « consonnes »). Je n’eus pas le temps de m’offusquer de ce manque de respect envers notre première dame à « l’habitus âgé », qu’il s’était déjà volatilisé. 
 
Tant qu’à être réveillé, faisant fi des avertissements de Thierry (Bretton en apparence, mais en réalité sénégalais pour raisons fiscalo-sentimentales), qui, par une longue missive enjoignait Elon Musk de ne pas interviewer Donald Trump sur X (missive à laquelle il lui a été répondu par l’intéressé avec quelques suggestions imagées quant à l’endroit précis où il pouvait se la mettre), j’ai donc écouté en direct ladite interview, réputée plus contagieuse que la variole du singe, puisqu’il n’y a même pas besoin de s’enculer pour l’attraper, variole qui, selon l’OMS ne justifie pas qu’on freine discriminatoirement l’immigration africaine ou qu’on oriente la prophylaxie vers les seuls homosexuels, des QR code dans le reste du monde, des masques, une distanciation sociale et une vaccination obligatoire de l’ensemble de la planète suffisant amplement à résoudre le problème. 
 
Une interview donc, qui a contaminé un petit milliard de personnes à travers le monde en comptant les reprises et autres retweets.
Finalement, pas de quoi fouetter un des chats à une queue de Marine Le Pen avec celui qui en a neuf, car après une énième resucée du récit de la tentative d’assassinat, la dénonciation de l’immigration de masse, la critique du camp opposé (mise à l’écart inconstitutionnelle de Biden, refus de Kamala de donner des interviews…) quelques promesses de restaurer l’économie, et des congratulations réciproques, pas grand-chose sur Israël ou l’Ukraine, par exemple, questions évacuées sans la moindre relance par le désormais classique « si j’avais été aux commandes, ça n’aurait pas eu lieu… » ; pas d’analyse de fond sur quoi que ce soit non plus, même pas le wokisme… Bref, petite conversation entre amis, le contenu ayant relativement peu d’importance par rapport au symbole de l’union de ces deux personnages emblématiques qui donnent un point d’ancrage et surtout un minimum de liberté d’expression aux peuples autochtones en colère à travers le monde. Grâce leur en soit rendue, même si les deux ont de gros défauts et s’empêtrent souvent dans leurs contradictions.
 
Pendant ce temps, tandis que, faute d’une loi sur la fin de vie, les Parisiens voient s’éloigner tout espoir de se baigner, eux aussi, dans une Seine qui attend toujours que notre présidentissime daigne y faire trempette, dès qu’on repasse en deçà du seuil olympique de 3 policiers au mètre carré, dans la capitale, la vie reprend doucement ses « doigts » comme celui, qu’on imagine plus propre en sortant qu’en rentrant, qu’a introduit un sombre individu, voire individu sombre (la presse ne s’étendant pas sur ce genre de détail), dans l’orifice anal d’une touriste américaine de 17 ans qui déambulait sur les Champs-Élysées en compagnie de ses parents. Pour peu que l’individu, visiblement pas une lumière, n’ait pas eu les codes (ce qui « m’effare ») et qu’il se soit agi de l’auriculaire, preuve d’une certaine retenue, voire de distinction, peut-être la justice se montrera-t-elle clémente. 
 
Pendant ce temps, dans le 14e, une femme de 83 ans qui promenait son chien, probablement pas un malinois, était affectueusement serrée au cou, jusqu’à perdre connaissance et la totalité de ses bijoux. Je passe sur les meurtres à coups de couteau à pastèque par des … (non celle-là, je n’ose pas), les viols sous OQTF, les règlements de comptes et autres gâteries sanglantes sans lesquelles la France ne serait plus … le Frankistan.
 
Du coup, la rentrée s’annonce brutale. Déjà, les greniers sont vides en raison d’une sécheresse particulièrement humide et asymptomatique qui a bousillé quasiment toutes nos récoltes, blé compris. Le côté positif étant que nous avons pu passer l’été avec seulement 3 canadairs en état de fonctionnement, Bruno Le Maire, aussi performant qu’un basketteur « migrant », ayant pensé qu’il était judicieux d’économiser 50 millions, soit environ 50 m3 d’eau de Seine baignable au tarif actuel, sur ce poste budgétaire. 
 
D’un point de vue du cirque politique, ce n’est pas mal non plus, puisque Macron propose une réunion des partis seulement fin août, histoire de gagner du temps dans l’espoir d’embrayer sur les jeux paralympiques avant que quoi que ce soit ne soit décidé et que, pas dupe, après Alain MINC la semaine dernière, LFI, qui croit toujours avoir gagné les élections (quelqu’un devrait se dévouer pour leur dire la vérité), évoque à son tour la destitution du palpeur compulsif de médaillés olympiques, sur la base de l’article 68 de la constitution s’il ne choisit pas Lucie Casse-pieds. Sachant que cette procédure, contrairement aux amours de certains enseignants de français, nécessite, à la fin, non seulement une majorité, mais une majorité des deux tiers des deux chambres réunies en congrès, tant que Gérard Larcher tiendra le Sénat et la cantine et que les LR et les socialos auront une part du gâteau, la probabilité que la chose arrive sera équivalente à celle de voir un jour des photos de Brigitte adolescente. 
 
Fort de son pouvoir de nuisance, après Sarkozy-BHL, le tandem de tristes « sires qu’on ci »…te pour avoir provoqué, en attaquant la Libye, le déferlement migratoire que l’on connaît, depuis, en provenance du continent africain, Macron autre sire concis, selon Ploncard d’Assac, sauf quand il parle, veut à présent nous embringuer dans le conflit qui s’annonce au Moyen-Orient, en menaçant l’Iran s’il venait à riposter, comme il l’a annoncé, à l’attaque israélienne sur son territoire. Étant un fervent partisan des droits de l’homme… à s’entre-tuer sans ingérence étrangère, je n’ai rien contre Israël génocidant les Palestiniens, sauf à nous prendre pour des cons en faisant mine d’habiller la chose avec des considérations morales, de même que, si l’état hébreu se prend un retour de manivelle, ça ne m’empêchera pas de reprendre des frites, éliminer l’autre étant, à ce stade, pour les deux camps, une question de survie et peu me chaut qui gagne.
 
En revanche, je ne vois pas de quel droit un président illégitime avec un gouvernement démissionnaire, après nous avoir embringué dans une guerre ruineuse qui ne nous concerne pas et qu’on savait mathématiquement perdue, dès le départ, entre l’Ukraine et la Russie, s’arroge le droit de nous engager potentiellement dans un nouveau conflit, qui plus est en faveur du camp qui n’a pas de pétrole et à l’encontre de nos intérêts géostratégiques les plus élémentaires, sur un simple claquement de doigts des Américains répondant, eux-mêmes, pour des raisons tout aussi mystérieuses, à un claquement de doigts d’Israël. 
 
 
Mais fi de ces choses qui nous dépassent et tandis que, suivant la trace du Bangladesh où un tweet critique envers le régime pouvait vous envoyer en prison, avec les résultats que l’on connaît, s’accumulent, au Royaume-Uni, occupé à mater la rébellion des populations autochtones, des sentences de plus en plus disproportionnées, comme 28 mois de prison à une mère de famille de 5 enfants pour avoir jeté une cannette vide en direction d’un hôtel hébergeant des migrants, preuve qu’un FREXIT sans ménage physique, idéalement préalable, ne servirait strictement à rien, on apprend qu’en France, les autochtones, déjà privés du droit de se défendre, n’ont même plus celui de propriété puisque quelqu’un qui entre par effraction, dans un domicile privé, pour profiter de la piscine, fait le con et finit paraplégique, peut tranquillement porter plainte contre le propriétaire. 
 
Bref, c’est toute une civilisation qui s’effondre de long en large et surtout DELON, décédé sans être remplacé, le moule à monstres sacrés étant depuis longtemps cassé, ne laissant plus que Brigitte …Bardot (ne confondons pas) comme réminiscence de la fascination exercée, jadis, par la France sur le monde. Pour mesurer le phénomène Delon, avant que la mode, pour quelque raison mystérieuse qui n’a, bien sûr, rien à voir avec un sentiment de grand remplacement fantasmé par l’extrême droite, ne soit à « l’Ahmed » dans laquelle on s’enfonce, avec parfois des maux devant, je dois, comme beaucoup de ma génération, dont probablement Soral, mon prénom au personnage. 
 
Ma mère étant, hélas, représentative de son époque, durant ma scolarité, on comptait parfois jusqu’à 7 Alains dans une salle de classe, faisant que, par commodité, au prétexte que j’avais plusieurs prénoms, on m’appelait parfois Jacques ou Xavier, donnant de fait un avantage indu, à savoir celui d'être appelé par son prénom d’usage, à ceux qui n'en avaient qu'un, simplement parce qu'ils n'en avaient qu'un, preuve que les germes du déclin du pays en raison d'un égalitarisme aux antipodes de l'égalité étaient déjà présents.
 
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