Bonjour !
Entre deux épisodes de la fameuse série « si tu ne me renvoies pas l’ascenseur, je te renvoie la censure » rediffusée désormais à chaque discussion budgétaire, immédiatement rendue stérile par un 49-3 voire un 50 avec l’inflation, notre Premier ministre béarnais a fait monter la sauce éponyme en évoquant un « sentiment » de submersion non pas mi-, mais complètement « grattoire », un peu comme les morpions à propos desquels seul l’ami des moustiques Aymeric Caron pourrait dire : « à présent, qu’ils sont-là, on ne peut quand même pas les renvoyer ».
Entre deux épisodes de la fameuse série « si tu ne me renvoies pas l’ascenseur, je te renvoie la censure » rediffusée désormais à chaque discussion budgétaire, immédiatement rendue stérile par un 49-3 voire un 50 avec l’inflation, notre Premier ministre béarnais a fait monter la sauce éponyme en évoquant un « sentiment » de submersion non pas mi-, mais complètement « grattoire », un peu comme les morpions à propos desquels seul l’ami des moustiques Aymeric Caron pourrait dire : « à présent, qu’ils sont-là, on ne peut quand même pas les renvoyer ».
On m’objectera qu’on ne saurait comparer des humains avec des insectes qui eux n’ont pas de pouces opposables à l’instar de n’importe quel … pédophile, cannibale ou génocidaire qui se respecte. Être humain est simplement une classification zoologique et certainement pas un sauf-conduit pour entrer sur notre territoire, d’autant que lesdits morpions, même d’exportation, ne sont qu’observateurs passifs en cas de viols en pleine rue par des gens qui n’ont pas les codes, et donc, objectivement, un moindre mal en comparaison de ceux, pourtant humanoïdes, qui les commettent. D’ailleurs, dans le camp de l’ouverture décomplexée et déconstipée à l’autre si affinités, ceux suffisamment « à la masse » pour ne pas avoir eu besoin d’outils pour profaner sa tombe cette semaine, ne considéraient certainement pas Jean-Marie le Pen comme un être humain, pas plus qu’ils ne considèrent comme tels les « fachos », terme englobant les gens pro « vaches qui pètent » et amateurs de diesel qui ne sont pas d’accord avec eux.
Une distinction subtile entre les humains et les autres qu’on retrouve dans le vocabulaire utilisé selon qu’on évoque les « otages » israéliens, un peu empâtés avec des joues bien roses, preuve du laisser-aller de la Palestine en matière de nutrition et les centaines de « détenus démocratiques » soumis visiblement à des séances intensives d’aérobic pour éviter les problèmes cardiaques liés au surpoids, échangés par Israël, avant-garde de la civilisation. Toujours est-il qu’en matière d’immigration, un con qu’on convainc étant plus rare qu’un trou du cul cucul cucurbitin, l’abruti intégral manquant d’intégrité plébiscitera toujours l’intégriste refusant de s’intégrer.
Sachant que les statistiques ethniques, contrairement à l’explication détaillée des différentes pratiques sexuelles en maternelle, sont interdites, qu’on vient d’étendre (au diable l’avarice) à tous les bébés les tests de drépanocytose et que les gens non assimilés, présents depuis plusieurs générations sur notre sol, sont considérés comme Français par l’INSEE, il en résulte que (en attendant que Candace Owens, après avoir dépeint, en apéritif, les fréquentations et références pédophiles troublantes du couple présidentiel dans son premier épisode, entre dans le lourd), comme pour le sexe d’une certaine Première dame qui a malencontreusement perdu les polaroïds de quand elle était enceinte, on en est réduits à supputer, sachant qu’en 1975, année où l’indice de fécondité est descendu en dessous du seuil de remplacement, nous étions 52 millions.
Il en découle que la probabilité d’un lien de parenté avec Vercingétorix est plus que restreinte concernant la génération spontanée de la vingtaine de millions d’individus supplémentaires comptabilisée depuis, et ce, encore, a minima, car même en multipliant les OQTF par le carré de l’hypoténuse du bikini d’Aurore Bergé nul ne connaît le nombre réel des clandestins sur notre territoire. Par ailleurs, si l’on considère la proportion des mêmes dans la jeunesse, on peut raisonnablement penser qu’une fois que les boomers auront passé l’arme du même côté que leur bulletin de vote, la vente de crème solaire va considérablement chuter si on ne remigre pas massivement et qu’on ne se remet pas à faire des gosses.
Comme plus on attend, plus ladite remigration, de plus en plus improbable, se heurtera à une forte résistance, il suffit aux traîtres qui nous gouvernent de faire la sourde oreille, pendant encore quelques mois, au ras le bol général, pour que soit atteint le point de non-retour au-delà duquel, par le jeu de la bascule démographique (qui s’enclenchera demain, mais se met en place aujourd’hui), nous n’aurons plus ni le nombre ni la force vitale pour, au moment crucial, exercer la pression « coup de pied au culesque » indispensable pour ne pas terminer une épopée de 2000 ans dans les chiottes de l’histoire.
Non seulement il n’est pas question de remigration, y compris au RN, mais lesdits traîtres en sont encore à faire mine de s’écharper quant à savoir s’il serait éventuellement opportun d’envisager l’hypothèse d’une discussion préliminaire sur la possibilité, dans les limites du droit Européen, de la Cour Européenne des Droits de l’Homme avant ceux du citoyen et en fonction de la météo, de freiner la vague actuelle en proposant le retour en première classe par avion décarboné des seuls OQTF multirécidivistes avec accord préalable des pays d’origine. Tout le monde semble avoir oublié la méthode traditionnelle et universelle, encore appliquée ailleurs, consistant à autoriser la maréchaussée, voire l’armée, à tirer à vue sur toute personne non invitée pénétrant sur le territoire, pourtant seule façon, à ce stade, de les dissuader et de gagner le petit répit nécessaire avant la grande bascule pour faire le tri, en commençant par les criminels.
Mais peut-être me trompé-je, d’aucuns clamant, au contraire, que l’immigration extraeuropéenne est vitale pour l’économie nonobstant une symétrie xénophobe des courbes entre l’augmentation de l’une et la chute de l’autre, désormais en croissance négative au quatrième trimestre (-0,2 point, après -0,1 au troisième). Par ailleurs, les ingénieurs congolais étant supposés payer nos retraites, je m’étonne que, plutôt que de puiser dans le réservoir de près de 600 millions de futurs cotisants qui, rien qu’en Afrique, se déclarent ouverts à l’idée, si on le leur demande gentiment, de venir bénéficier de la CAF et de l’AME, les mêmes qui plébiscitent l’enrichissement culturel, en restent aux recettes archaïques consistant à augmenter continuellement le nombre d’annuités ou à envisager de taxer les infâmes retraités, réputés « aisés » dès 2000€ par mois, lesquels, c’est bien connu, après avoir aidé leurs enfants et petits-enfants dans la merde, utilisent le reliquat pour payer l’essence de la Ferrari crit’air 1 qu’ils garent devant leur Yacht à Saint-Tropez.
Pendant ce temps, nos députés miséreux sont à la peine et viennent de restituer à d’autres retraités, à savoir les anciens Présidents et Premiers ministres, les menus avantages tels que personnel et voiture de fonction, que le Sénat, après un repas un peu trop arrosé, leur avait supprimés la semaine dernière.
Conformément à l’adage « heureux les simples d’esprit, car le royaume des cieux est à eux », la baisse mystérieuse, totalement inexplicable, du QI moyen des Français ne nous empêche pas de ridiculiser Deepseek et ChatGPT avec, tandis que la Chine et les USA se bagarrent sur des broutilles, une IA bleu-blanc-rouge au doux nom de Lucie (mais pas Castets, elle a sa fierté) lancée par un copain de notre Président et financée par le contribuable. Une IA qui, la première, a atteint le niveau de l’intelligence humaine puisque, comme tout écolier tricolore qui se respecte, elle ne sait pas compter et répond n’importe quoi aux questions qui lui sont posées.
Espérons qu’elle ne sera pas visée par le règlement européen qui, depuis le 2 février, interdit les systèmes d’IA présentant des risques « inacceptables », comprendre : « qui ne seraient pas complètement politiquement corrects ». Cela ne concerne évidemment pas le susnommé ChatGPT abondamment utilisé pour produire un flot de critiques positives pour le film, subventionné à hauteur de 10 millions d’euros par la collectivité, revisitant les 3 mousquetaires remplacés par des femmes racisées à l’accent du 93 (sans aucune intention ironique) luttant contre le patriarcat toxique de Richelieu. Des critiques qui n’ont pas pesé lourd face à la nuée de commentaires peu amènes sous la bande-annonce, et n’ont pu empêcher un public raciste et misogyne de ne pas aller le voir, « la cheffe d’œuvre » culminant à 2 masochistes par séance en moyenne et Allô Ciné, finissant de se discréditer, en supprimant la note moyenne des spectateurs.
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