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dimanche 23 février 2025

Baissez ce bras que je ne saurais voir… (23/02/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/uAq-f6uqt2g

Bonjour !

Une trahison du Renoncement National, c’est un peu comme une flatulence après un cassoulet cuit sans bicarbonate de soude : inévitable et malodorant, un Fion National en quelque sorte. Contrairement à notre Première dame, Marine « pas la peine » n’a pourtant théoriquement rien de bringuebalant par quoi être morphologiquement tenue et pourtant elle est bien tenue par-là, cas rare de transgenrisme politique. Une fois tout substrat idéologique évaporé, victime du réchauffement climatique, ne reste que l’intérêt personnel, le statut d’éternelle candidate qui dérape en ligne droite avant la ligne d’arrivée, lui assurant une procrastination doucereuse aux frais de la collectivité jusqu’à une retraite bien méritée, sans les tracas du pouvoir, partant du principe que ses électeurs, captifs faute d’alternative, si pas contents n’ont qu’à aller se Ferrand…. 
 
Un Ferrand nommé au ConCon, petit nom du Conseil Constitutionnel, grâce au pouvoir d’abstention dudit RN déjà utilisé pour valider Bayrou et le budget et éviter de plonger Macron dans une impasse. Un marchandage évident qui a pour finalité que ledit ConCon se prononce, AVANT son jugement pour détournements de fonds publics, sur une question prioritaire de constitutionnalité posée par un élu mahorais visé, lui aussi, par une peine d’inéligibilité immédiate et arguant qu’une telle peine ne saurait être prononcée avant que toutes les possibilités de recours aient été épuisées. Si validée, la décision ferait jurisprudence et permettrait à Marine « à la peine » de repousser l’inévitable échéance jusqu’à après les élections. 
 
Élections que, fidèle à son habitude, elle conclura en remuant du popotin sur des airs populaires après une défaite probable devant le premier Retailleau ou Villepin qui passera, voire un Macron dont elle aura permis, par sa forfaiture, un troisième mandat du fait que son aile droite, dépassé un certain seuil de dilatation anale, ira à la pêche, même dans ce cas de figure. Si, contre sa propre nullité, elle était miraculeusement élue, il faut garder en mémoire qu’une constante dans la 5e république est que chaque président a été pire que le précédent, Macron ayant touché le fond puis commencé à creuser à l’excavatrice sans trouver de pétrole, atteignant chaque jour de nouvelles profondeurs. Difficile d’imaginer pire, pourtant j’ai désormais la conviction que si quelqu’un est capable de creuser encore plus profond jusqu’à surgir au pied d’un kangourou tétanisé, c’est Marine Le Pen.

La question est donc de savoir pourquoi aucune alternative crédible n’est disponible en France. Il n’est qu’à voir Jordan Bardella, fuir comme un vampire homosexuel devant une gousse d’ail tenu par un islamiste afghan, face au bras tendu de Steve Bannon saluant la foule à la conférence CPAC à Washington, pour comprendre que, tant qu’on restera embourbés dans la seconde guerre mondiale et dans la sanctification de la Shoah devenue une quasi-religion qui a remplacé Jésus par Netanyahu et Satan par Hitler jusqu’à la caricature, rendant impossible toute véritable proposition nationaliste, nous finirons noyés dans de l’eau tiède tandis, qu’alors qu’on aura oublié 1515, 732 ou la Saint-Barthélemy, on commémorera encore le 2000e anniversaire de l’holocauste. Donc, non, Zemmour ou Knafo, sauf à ce qu’ils disent ouvertement la même chose, ne sont pas une option non plus.

D’une manière générale, l’Histoire avec un grand H, n’est pas fixe. On sait à présent, par exemple, grâce à l’historien centimètre Gims que les pyramides produisaient de l’électricité, grâce à Netflix, cousin d’Astérix et d’Abraracourcix, que Cléopâtre était noire et, pour ma part, j’ai toujours trouvé à Louis XIV un faux air de genderfluide. Pourtant, il reste un pan de notre histoire légalement inébranlable, même par benjamin Griveaux. 

Personne ne conteste que le chiffre sacralisé de 6 millions est purement symbolique et que, bien évidemment, Adolphe Hitler n’était pas en ligne directe téléphonique avec Dachau en disant : « encore un, encore un, encore un… STOP ! 6 millions, on arrête ! ». Donc les chipotages sur ce point n’ont pas vraiment de sens et si avec, respectivement, 144 000 et 250 000 morts, le fait d’avoir nonchalamment jeté quelques bombinettes sur des populations civiles à Hiroshima - Nagasaki et sur Dresde n’est pas considéré comme un crime contre l’humanité et que les nations qui l’ont fait peuvent encore décider de ce qui est bien et de ce qui est mal dans le reste du monde, on peut en déduire que, mathématiquement, l’horreur commence à 250 001 morts et que donc, non seulement les conditions du génocide sont largement remplies dans le cas qui nous préoccupe, mais que, selon les mêmes critères, avec largement moins de 100.000 civils tués (cette fois et pour l’instant) dans la bande de Gaza, Israël, petit faiseur, est encore dans le camp du bien.

La motivation de la loi Gayssot, objectivement liberticide, n’est donc pas de sacraliser un chiffre, mais les victimes elles-mêmes et, par extension, tous leurs descendants, en gravant dans le marbre de la loi qu’il y a bien eu mise en œuvre délibérée d’un plan d’éradication méthodique d’une partie de la population en fonction de ses caractéristiques, au cas particulier religieuses et (ou) ethniques, les Juifs eux-mêmes ayant une abondante littérature consacrée à la seule question : « c’est quoi être juif ? » Visiblement les Allemands avaient trouvé une réponse et, pour quelque obscure raison, ça ne leur avait pas plu au point d’organiser un génocide. 

Les révisionnistes, eux, si j’ai bien compris, contestent l’existence de ce plan et, accessoirement, le modus operandi et non les chiffres, même Vincent Reynouard semblant à peu près d’accord avec la fourchette basse officielle calculée selon les méthodes par cumul et par déficit qui se recoupent autour des 5 millions, minima difficilement contestable.

Un modus operandi à fort indice carbone essentiellement avéré par le biais de témoignages et des premières constatations des Russes qui ont libéré les camps. Russes dont on ne savait pas encore, à l’époque, à quel point ils étaient méchants et qu’ils devraient un jour être mis à genoux par Bruno Le Maire. Le fait qu’ils aient menti pour Katyn ou l’Holodomor ne saurait pour autant remettre en cause l’impartialité de leur témoignage. Bref, si des éléments nouveaux, inconnus à l’époque, et Reynouard prétend en apporter, venaient à faire surface, pourquoi ne pas simplement les examiner, tranquillement, à tête reposée et simplement voir, d’un point de vue historique et scientifique s’ils sont recevables ou non, plutôt que de le mettre encore en prison et en faire un martyr, ce qui me semble à la fois excessif et, dans un contexte d’une augmentation de l’antisémitisme parallèle à la courbe de l’endettement, pour le moins contre-productif ?

Tout simplement par peur, du fait qu’on ne parle pas juste d’un génocide, mais du génocide d’un peuple qui a collectivement la particularité de se revendiquer lui-même comme ayant vocation à guider l’humanité vers la lumière (sauf le samedi), mission confiée par Yahvé, nom qui sonne comme l’imparfait d’avoir alors que Dieu, pour les catholiques, serait plutôt le parfait d’être. Dès lors, au fil des siècles, ceux qui estimaient pouvoir se guider tout seuls ont eu tendance à se poser, de façon récurrente (et pas toujours très urbaine) la question de savoir s’ils avaient besoin de cette guidance. Un questionnement qui durant des heures pas très claires a parfois évolué de « indispensables pour nous guider » à « indispensables tout court » ce qui peut expliquer une certaine paranoïa et cette avalanche de lois liberticides. 
 
Une paranoïa qui n’a pourtant plus lieu d’être depuis qu’il existe un pays d’accueil (dont c’est la raison d’être initiale et la justification du trucidage de quelques Palestiniens) vers lequel, même si, cas peu probable, les heures s’assombrissaient de nouveau, il serait plus économique et écologique de laisser fuir la population concernée que d’aggraver une nouvelle fois le réchauffement climatique. Bien sûr qu’il se trouvera toujours des individus mal informés et haineux qui pourraient s’accommoder d’un monde sans BHL, Soros, Schwab, Sarkozy, Hollande, Macron, Attal ou Borne, mais il faut savoir prendre du recul sachant que les dinosaures n’étaient pas circoncis et tout le monde sait comment ils ont fini… un peu comme tous ces jeunes et moins jeunes qui ces derniers temps se sont éteints suite à de nombreuses « coupures »… de coran, comme encore ce samedi à Mulhouse, la lutte contre l’antisémitisme, quand elle est répressive, débouchant sur de l’antiracisme institutionnel débouchant sur l’acceptation collective de l’immigration de masse débouchant sur la fatalité des attaques au couteau.

Je le dis et je le répète, outre une immigration excessive de gens qui les aiment culinairement, le principal obstacle à une vie sereine de nos compatriotes juifs, n’est pas une hypothétique remise en question de l’holocauste, voire une simple relégation de celui-ci en bonne place avec tous les autres massacres de l’humanité dans un livre d’histoire poussiéreux (ce qui ferait d’eux simplement des gens ordinaires invisibles et non plus des victimes éternelles avec une cible sur le dos), mais bien un « devoir de mémoire » qui garde les plaies ouvertes ainsi que certaines pourritures, comme il en existe dans toutes les communautés, qui se servent de l’antisémitisme comme paravent dès qu’ils sont pris la main dans le pot de confiture, ceux-là mêmes qui, de tout temps, ont créé et renforcé, par leurs actions, des stéréotypes qui n’ont pas lieu d’être aux dépens, au premier chef, de leur communauté dont ils n’ont, par ailleurs, rien à cirer.

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dimanche 16 février 2025

LOUISE l’analyse INTERDITE sans laquelle ça va recommencer (16/02/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/tFtgP13shAQ

Bonjour !

Avec un sens du sacrifice gratuit que seul pourrait comprendre un spermatozoïde qui, par quelque mystérieux concours de circonstances (n’ayant rien à voir avec notre première dame), se retrouverait inexplicablement collé sur le gros intestin d’Emmanuel Macron, je me dois de faire l’analyse que personne n’ose faire concernant la transformation artisanale de la petite Louise en steak haché et ce, que ce soit la « droite », tétanisée de s’être fourvoyée quant à l’identité du déchet humain responsable, ou pire, la « gauche », soulagée et en semi-érection, qui parle plus dudit fourvoiement que du drame lui-même. Il est clair, en effet, que face à tant d’atrocité gratuite, nous sommes passés à deux doigts de la goutte de thé à la menthe qui aurait pu faire déborder le vase de Soissons du fameux « sentiment » de submersion migratoire. 

Pourtant, si on se sort les 2 doigts en question de là où je pense et que l’on dépasse l’analyse purement raciste des deux camps, focalisés sur la couleur de peau de l’assassin, à l’instar (un clou ou un couteau chassant l’autre) de tous les noms déjà oubliés sur l’interminable liste des gamins tués pour rien, dont hélas, Elias, l’avant-dernier en date, pudiquement décrit par les médias comme ayant été « poignardé » alors qu’il a été massacré à la machette et pour lequel il n’a pas été jugé opportun, par ceux qui aiment exciter les foules, de parler d’antisémitisme du fait que les assassins n’étaient ni blancs, ni Arabes, on se rend compte que le meurtre de Louise, bien que perpétré par un blanc, est bien, lui aussi, un pur produit de l’immigration de masse non européenne.

Contrairement à Elon Musk qui ne fait aucun tri dans sa mission d’enfanter à lui seul une équipe de rugby, plus les remplaçants, avec ce coup-ci, un bébé a prépuce escamotable conçu avec une damoiselle au nez refait déjà maman célibataire et connue pour ses vidéos explicites où elle partageait, entre autres, son désir de se faire bourriquer par un grand black baptisé Tyrone, BFM est plus sélective. Dans son résumé de l’affaire Louise, elle ne retient dudit perpétrateur que l’addiction aux jeux vidéo, un peu comme Macron cherchant à expliquer les émeutes, imputables, en outre, comme chacun sait, à l’ennui et au réchauffement climatique. Un Macron qui n’a pas dit un mot sur Louise préférant poster une compilation de mèmes générés par intelligence artificielle se foutant allègrement de sa gueule sans arriver toutefois à surpasser la réalité. 
 
Certes les jeux vidéo sont un gaspillage de temps de cerveau disponible, mais comparés au fait de rester scotché devant BFM, font au moins travailler les réflexes et secouent quelques neurones. En revanche on ne parle plus du fait que le fameux Owen, qui contrairement à la chanson éponyme « Owen the saints » n’en était pas un, fréquentait des bandes ethniques et se mettait en scène dans des vidéos débiles parlant le même sabir simiesque qui perdrait tout sens à l’écrit sans les grimaces et la gestuelle. Un mimétisme poussé jusque dans la tenue vestimentaire et le comportement : incapacité à refréner ses accès de colère et à réfléchir avant aux conséquences possibles de ses actes, déjà connu des services de police, toujours un couteau dans la poche et ayant même déclaré, au cas particulier, avoir voulu « racketter quelqu’un pour se calmer ». Il s’est tellement identifié à de la racaille ethnique que son attitude générale a conduit les enquêteurs, après visionnage des images de vidéosurveillance, à d’abord placer en garde à vue un petit délinquant d’origine maghrébine avec lequel ils l’on carrément confondu. Comme dit le proverbe : « si ça ressemble à un canard et que ça fait coin-coin, ce n’est pas une Première dame ». Peu importe donc qu’il s’appelle Owen, c’est bien une « racaille » mentale pour ne pas employer d’autre mot sachant qu’on ne peut plus appeler un chatGPT un chatGPT. 

Après qu’un traducteur afghan hurlant « Allah Akbar » s’est homophobiquement trompé de pédale et a foncé en voiture dans une manifestation de gauchistes qui réclamaient des jours de congés supplémentaires et dont les survivants, incurables, ont remanifesté le lendemain contre la « récupération » du massacre par l’extrême droite, au moment où, d’un côté J.D. Vance rappelle, à Munich, lieu du drame, que personne n’a jamais été consulté électoralement pour approuver l’immigration de masse et où, de l’autre, l’infect Mélenchon (millionnaire parasite qui n’a jamais tenu un vrai marteau ou une vraie faucille, pas plus qu’une vraie truelle et qui n’est maçon qu’au grand Orient dont le nom même méprise l’occident) met du beurre dans ses épinards et de la beurette dans son plumard en vendant la « créolisation » inéluctable des campagnes françaises, la question qui fâche est de savoir pourquoi ledit Owen s’est assimilé à une engeance qui, elle, non seulement a refusé de faire de même, mais semble en être organiquement incapable.

Est-ce qu’il n’aurait pas évolué différemment sans cette immigration de masse, déjà majoritaire dans de nombreux établissements scolaires, qui fait que des jeunes européens se sentent menacés au point de tenter de s’intégrer aux groupes les plus violents par instinct de survie et, qu’inconscients du ridicule, notamment quand ils rappent, essaient d’être plus allogènes que les allogènes pour tenter de faire oublier qu’ils sont blonds aux yeux bleus et donc les plus susceptibles d’être ciblés ? 

Il est donc plus que probable que sans cette influence la petite Louise serait encore vivante, d’autant que si les prisons n’étaient pas pleines avec des gens qui n’ont rien à faire chez nous, on pourrait y enfermer nos criminels pour toute la durée de leur peine et que disparaîtrait ce sentiment d’impunité délétère conséquence de ce trop-plein qui, autant que l’idéologie, explique le laxisme judiciaire. Il en résulte que si, collectivement, nous ne réalisons pas que l’immigration de masse de populations non européennes est la menace la plus grave qu’encourt notre société et que la gangrène est tellement avancée que simplement l’arrêter, ce que l’on ne fait même pas, ne sera pas suffisant et qu’il faudra sortir la scie, alors effectivement, Mélenchon aura raison et le fait que (tandis que lui vit, faut pas pousser non plus, loin des secteurs « créolisés ») ses fidèles seront les premiers à se faire égorger, ne consolera personne.

Il en va donc de la responsabilité des parents, plutôt que l’oxymore du « vivre-ensemble », d’augmenter les chances de survie de leurs enfants en leur inculquant une méfiance salutaire et de commencer à se regrouper entre eux, car de même que, quand on tend un micro à un Juif, la probabilité qu’il parle de l’holocauste est exponentielle en fonction du temps passé, qu’un Algérien parlera inévitablement de la colonisation et un noir de l’esclavage, tous les peuples de la terre ont une conscience ethnique ou raciale, parfois renforcée par un esprit de revanche, conscience qu’on a arrachée aux seuls occidentaux à force de lavage de cerveau droit-de-l’hommiste et de catholicisme dévoyé. 
 
Bien sûr qu’au niveau individuel certaines personnes sont bien intégrées et que l’idée n’est pas de les rejeter, mais simplement d’admettre, à partir du moment où elles ne sont pas assimilables comme pouvait l’être l’immigration européenne, qu’elles subissent toutes, indépendamment de leur parfois bonne volonté, une dynamique de groupe qui fera que leurs enfants ou petits-enfants, voire elles-mêmes, finiront happés par la force d’attraction de leurs communautés respectives si on laisse ces dernières atteindre une masse critique ; et si vous pensez que, dépassé un certain rapport de force, on ne va pas se faire massacrer comme des lapins ou des Boers en Afrique du Sud, réfléchissez à nouveau. Cela arrive déjà tous les jours sous nos yeux. La seule chose qui nous sauve encore c’est que, dans le nouveau Far Oued, certains sont, pour l’instant, occupés à se massacrer entre eux au fusil automatique, voire récemment à la grenade, faisant qu’on attend une version dédicacée de Clara Luciani pour le maire écolo anti-police de Grenoble particulièrement ouvert à l’autre : « dans ton cul la grenade... » 

La liberté d’expression d’opinions étant un absolu qui ne souffre aucune exception, nous en sommes malheureusement au stade où, dans le prolongement logique de la première entorse sous forme d’interdiction de blasphème sur la Shoah, par extension, on ne peut plus blasphémer sur rien de sorte que si vous êtres pris d’une envie pressante en pleine cambrousse et que vous n’avez qu’un coran à portée de la main, quelle que soit l’option que vous choisirez vous serez dans la merde. Le plus triste est qu’il se trouvera des gens pour trouver ça normal, oubliant qu’ils ont été Charlie, les mêmes qui ont trouvé normal de porter des masques et de se faire vacciner avec un machin expérimental, tout ça parce qu’au lieu des solidarités traditionnelles on a délégué le pouvoir d’information, de décision et le monopole de la violence à l’état qui, en république, n’a jamais représenté le peuple.

Un état qui nous enfonce, sachant que si on nomme Ferrand au Conseil constitutionnel, on est sûrs de se Ferrand… mais je m’égare. Par ailleurs la Cour des comptes nous apprend que les financements alloués aux associations chargées de l’accompagnement des réfugiés et demandeurs d’asile ont fortement augmenté parce que pour ça, de l’argent on en trouve. Par exemple, les crédits de la mission « Immigration, asile et intégration » ont progressé de 23 % entre 2019 et 2023, pour atteindre 2,3 milliards, tandis que les subventions aux associations ont bondi de 52 %, dépassant 1,1 milliard. Je vous épargne la liste du reste.

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dimanche 9 février 2025

VOUS LAVEZ TROP VOS SLIPS, Louise, Jack Lang, grand ménage US et autres news (09/02/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/5WvsMj-Imt8


 Bonjour !
Tout le monde connaît la blague de la jeune femme qui étend 7 petites culottes étiquetées « lundi, mardi, mercredi… » et du vieux monsieur dans le jardin mitoyen qui fait de même avec ses slips sur lesquels est inscrit : « janvier, février… ». Eh bien, si l’on en croit les conclusions de l’agence de la transition écologique, de son petit nom l’ADEME (au cerveau apparemment) effectivement, on lave trop nos oripeaux, ce qui rivalise avec les vaches qui pètent en matière de destruction de la planète. 
 
N’osant pas encore aller jusqu’à nous recommander de boire nos urines pour économiser cette eau précieuse dont on a besoin dans le désert pour laver les panneaux solaires (écologie oblige), le rapport suggère qu’un soutien-gorge pourrait être porté 7 fois, un vêtement de sport 3, un pull 15 et un jean 30, par exemple. Il est vrai qu’avec le thermostat à 13° dans les appartements, préconisé par la même engeance, on transpire moins qu’avant. 
 
Des conseils avisés donc, qui ne nous coûtent que 4 petits milliards si l’on s’en réfère au budget de cette entité, elle-même une goutte d’eau dans les 80 milliards que l’état verse annuellement à quelques 1200 agences gouvernementales qui selon le précepte immortalisé par Coluche : « dites-moi de quoi vous avez besoin et je vous expliquerai comment vous en passer » réfléchissent au meilleur moyen de nous emmerder, parfois, comme ici, littéralement. Une préconisation frisant l’homophobie envers ceux, notamment dans les hautes sphères, qui, faute de n’avoir pas que le vent en poupe, cultivent une grande élasticité rectale qui pourrait mal s’accommoder d’une réutilisation trop poussée de leurs sous-vêtements. Un peu de décence slip vous plaît ! 
 
Sachant qu’en Picardie des gens sont désormais payés pour fouiller les sacs poubelles dans le but de verbaliser ceux qui y auraient oublié une peau de banane, je pensais que « policier d’ordures » (et non pas le contraire) était le niveau hiérarchique le plus bas jusqu’auquel on pouvait descendre pour satisfaire la dictature escrologiste, mais il est fort probable qu’en ce moment même quelque fonctionnaire soit en train de rédiger un projet de grille indiciaire en vue d’un potentiel recrutement de « renifleurs de slips » : renifleur de seconde classe, de première classe, renifleur principal, voire renifleur divisionnaire en fin de carrière, ce qui fait son petit effet sur une carte de visite.

Autant dire que dans un pays où l’on considère comme acquis que tout problème peut être résolu par une loi ou une taxe supplémentaire, y compris ceux qui sont liés à trop de taxes et trop de lois, les agences Théodule ont encore de beaux jours devant elles, une nouvelle venant même d’être crée en catastrophe pour « réguler l’intelligence artificielle » laquelle pourrait toutes les remplacer gratuitement d’où l’urgence. Si l’on rajoute à la problématique un cheptel surnuméraire de 600 000 élus qui n’ont aucune obligation de résultat (mais des clientèles à satisfaire) et 6 millions de fonctionnaires dont une moitié est payée pour empêcher l’autre de travailler correctement, il en découle un budget (non censuré par le RN et qui permet à Macron de se maintenir) non seulement sans la moindre baisse de dépenses publiques, mais en augmentation de 41 milliards, perruques et faux seins inclus. 
 
Comme il faut bien trouver des sous quelque part, après avoir baissé puis remonté, face à la bronca, le seuil de TVA pour les autoentrepreneurs (manœuvre qui aurait, selon lui, échappé à la sagacité de Bayrou, pas au courant non plus de la centaine de plaintes pour pédophilie déposées à l’encontre de l’établissement où ses enfants étaient scolarisés et que, selon Médiapart, il aurait étouffées à l’insu de son plein gré) on a concédé aux socialistes une taxation de 37% sur les bénéfices des grandes entreprises, soit, cocorico, le taux le plus élevé du monde, faisant que même le très modéré Bernard Arnault a haussé le (Vuit)ton. 
 
Ce n’est certes pas sur lui que je vais gaspiller mes Kleenex, surtout que le CAC40 et le Medef ont soutenu Macron et, par leur appétit migratoire court-termiste, ont creusé eux-mêmes le trou dans lequel ils risquent de tomber, mais il faut garder à l’esprit que contrairement aux parasites divers qui se nourrissent sur la bête sans rien apporter, lui se gave sur des richesses qu’il crée et que, comme d’autres avant lui, il pourrait aller les créer ailleurs. 
 
Surtout quand un Milei, par exemple, à coups de tronçonneuse à pédale, est passé en un an d’un déficit annuel comparable à celui de la France à un excédent, tout en jugulant l’inflation tandis que TRUMP envisage carrément de supprimer l’impôt sur le revenu pour les Américains et enclenche le mode supersonique sur les gaspillages et l’immigration, peut-être en échange d’être passé en mode supersionique sur le reste. Déjà 100 milliards de gabegies et détournements épinglés par MUSK en ce qui concerne l’USAID, gros robinet à pognon pour ONG toxiques et journaux de propagande en semi-faillite et encore 140 milliards relatifs au système de santé donc minimum 240 millions consacrés à des expériences de changement de genre sur des animaux. 
 
Par comparaison, confronté à un déficit prévisionnel de 23 milliards d’euros en 2025 pour une Sécurité Sociale qui fait honte à ses initiales en se laissant littéralement piller par l’immigration de masse, la réponse de notre gouvernement consiste à réactiver la taxe lapin. 

Hors quelques opérations de prédation sur les firmes existantes (le temps d’aspirer les subventions et primes diverses avant de tout revendre à la découpe) quel entrepreneur sain d’esprit voudrait encore s’installer dans un pays comme le nôtre ? Cela dit, il reste encore quelques niches (complémentaires qui plus est) comme l’import de migrants et leur accommodation sur le territoire ainsi que le marché en constante expansion des bougies et des petits nounours, seule réaction prévisible d’un peuple amorphe à l’addition du nom de la petite Louise à la longue liste des victimes de couteaux fous tenus du bout des doigts, avec réluctance, par des individus en souffrance, sans caractéristiques précises méritant d’être relevées, et qu’il est vital de protéger contre la stigmatisation et les récupérations de l’extrême droite.
 
Certains diront qu’un peu comme Jack Lang, bousculé ce week-end pour avoir croisé la route d’une manifestation anti-pédophilie, elle n’a juste pas eu de chance, se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment, soit dans son cas, en France en 2025. Cette Nouvelle France dont Mélenchon, qui brandit désormais comme un étendard ses origines marocaines, rêve ouvertement pour nos campagnes dans ses derniers discours et que Retailleau qui, lui, est aux manettes et délivre les coups de tampons peu hygiéniques qui la valident, ne fait rien pour freiner, le nombre de titres de séjour ayant atteint en 2024 le chiffre record de 336 000 (hors entrées irrégulières, mineurs et étrangers européens et, bien sûr, sans compter les naissances issues de Français non assimilés en dépit de plusieurs générations de présence sur notre territoire).

Mais bon, « dance avec les stars » a fait des records d’audience donc tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

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dimanche 2 février 2025

Un « sentiment » de submersion très, très PROFOND, pour tout dire ça fait mal au… (02/02/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/DoK4lfGdgX4


Bonjour !
Entre deux épisodes de la fameuse série « si tu ne me renvoies pas l’ascenseur, je te renvoie la censure » rediffusée désormais à chaque discussion budgétaire, immédiatement rendue stérile par un 49-3 voire un 50 avec l’inflation, notre Premier ministre béarnais a fait monter la sauce éponyme en évoquant un « sentiment » de submersion non pas mi-, mais complètement « grattoire », un peu comme les morpions à propos desquels seul l’ami des moustiques Aymeric Caron pourrait dire : « à présent, qu’ils sont-là, on ne peut quand même pas les renvoyer ». 
 
On m’objectera qu’on ne saurait comparer des humains avec des insectes qui eux n’ont pas de pouces opposables à l’instar de n’importe quel … pédophile, cannibale ou génocidaire qui se respecte. Être humain est simplement une classification zoologique et certainement pas un sauf-conduit pour entrer sur notre territoire, d’autant que lesdits morpions, même d’exportation, ne sont qu’observateurs passifs en cas de viols en pleine rue par des gens qui n’ont pas les codes, et donc, objectivement, un moindre mal en comparaison de ceux, pourtant humanoïdes, qui les commettent. D’ailleurs, dans le camp de l’ouverture décomplexée et déconstipée à l’autre si affinités, ceux suffisamment « à la masse » pour ne pas avoir eu besoin d’outils pour profaner sa tombe cette semaine, ne considéraient certainement pas Jean-Marie le Pen comme un être humain, pas plus qu’ils ne considèrent comme tels les « fachos », terme englobant les gens pro « vaches qui pètent » et amateurs de diesel qui ne sont pas d’accord avec eux. 
 
Une distinction subtile entre les humains et les autres qu’on retrouve dans le vocabulaire utilisé selon qu’on évoque les « otages » israéliens, un peu empâtés avec des joues bien roses, preuve du laisser-aller de la Palestine en matière de nutrition et les centaines de « détenus démocratiques » soumis visiblement à des séances intensives d’aérobic pour éviter les problèmes cardiaques liés au surpoids, échangés par Israël, avant-garde de la civilisation. Toujours est-il qu’en matière d’immigration, un con qu’on convainc étant plus rare qu’un trou du cul cucul cucurbitin, l’abruti intégral manquant d’intégrité plébiscitera toujours l’intégriste refusant de s’intégrer. 
 
Sachant que les statistiques ethniques, contrairement à l’explication détaillée des différentes pratiques sexuelles en maternelle, sont interdites, qu’on vient d’étendre (au diable l’avarice) à tous les bébés les tests de drépanocytose et que les gens non assimilés, présents depuis plusieurs générations sur notre sol, sont considérés comme Français par l’INSEE, il en résulte que (en attendant que Candace Owens, après avoir dépeint, en apéritif, les fréquentations et références pédophiles troublantes du couple présidentiel dans son premier épisode, entre dans le lourd), comme pour le sexe d’une certaine Première dame qui a malencontreusement perdu les polaroïds de quand elle était enceinte, on en est réduits à supputer, sachant qu’en 1975, année où l’indice de fécondité est descendu en dessous du seuil de remplacement, nous étions 52 millions. 
 
Il en découle que la probabilité d’un lien de parenté avec Vercingétorix est plus que restreinte concernant la génération spontanée de la vingtaine de millions d’individus supplémentaires comptabilisée depuis, et ce, encore, a minima, car même en multipliant les OQTF par le carré de l’hypoténuse du bikini d’Aurore Bergé nul ne connaît le nombre réel des clandestins sur notre territoire. Par ailleurs, si l’on considère la proportion des mêmes dans la jeunesse, on peut raisonnablement penser qu’une fois que les boomers auront passé l’arme du même côté que leur bulletin de vote, la vente de crème solaire va considérablement chuter si on ne remigre pas massivement et qu’on ne se remet pas à faire des gosses. 
 
Comme plus on attend, plus ladite remigration, de plus en plus improbable, se heurtera à une forte résistance, il suffit aux traîtres qui nous gouvernent de faire la sourde oreille, pendant encore quelques mois, au ras le bol général, pour que soit atteint le point de non-retour au-delà duquel, par le jeu de la bascule démographique (qui s’enclenchera demain, mais se met en place aujourd’hui), nous n’aurons plus ni le nombre ni la force vitale pour, au moment crucial, exercer la pression « coup de pied au culesque » indispensable pour ne pas terminer une épopée de 2000 ans dans les chiottes de l’histoire. 
 
Non seulement il n’est pas question de remigration, y compris au RN, mais lesdits traîtres en sont encore à faire mine de s’écharper quant à savoir s’il serait éventuellement opportun d’envisager l’hypothèse d’une discussion préliminaire sur la possibilité, dans les limites du droit Européen, de la Cour Européenne des Droits de l’Homme avant ceux du citoyen et en fonction de la météo, de freiner la vague actuelle en proposant le retour en première classe par avion décarboné des seuls OQTF multirécidivistes avec accord préalable des pays d’origine. Tout le monde semble avoir oublié la méthode traditionnelle et universelle, encore appliquée ailleurs, consistant à autoriser la maréchaussée, voire l’armée, à tirer à vue sur toute personne non invitée pénétrant sur le territoire, pourtant seule façon, à ce stade, de les dissuader et de gagner le petit répit nécessaire avant la grande bascule pour faire le tri, en commençant par les criminels.
 
Mais peut-être me trompé-je, d’aucuns clamant, au contraire, que l’immigration extraeuropéenne est vitale pour l’économie nonobstant une symétrie xénophobe des courbes entre l’augmentation de l’une et la chute de l’autre, désormais en croissance négative au quatrième trimestre (-0,2 point, après -0,1 au troisième). Par ailleurs, les ingénieurs congolais étant supposés payer nos retraites, je m’étonne que, plutôt que de puiser dans le réservoir de près de 600 millions de futurs cotisants qui, rien qu’en Afrique, se déclarent ouverts à l’idée, si on le leur demande gentiment, de venir bénéficier de la CAF et de l’AME, les mêmes qui plébiscitent l’enrichissement culturel, en restent aux recettes archaïques consistant à augmenter continuellement le nombre d’annuités ou à envisager de taxer les infâmes retraités, réputés « aisés » dès 2000€ par mois, lesquels, c’est bien connu, après avoir aidé leurs enfants et petits-enfants dans la merde, utilisent le reliquat pour payer l’essence de la Ferrari crit’air 1 qu’ils garent devant leur Yacht à Saint-Tropez. 
 
Pendant ce temps, nos députés miséreux sont à la peine et viennent de restituer à d’autres retraités, à savoir les anciens Présidents et Premiers ministres, les menus avantages tels que personnel et voiture de fonction, que le Sénat, après un repas un peu trop arrosé, leur avait supprimés la semaine dernière. 

Conformément à l’adage « heureux les simples d’esprit, car le royaume des cieux est à eux », la baisse mystérieuse, totalement inexplicable, du QI moyen des Français ne nous empêche pas de ridiculiser Deepseek et ChatGPT avec, tandis que la Chine et les USA se bagarrent sur des broutilles, une IA bleu-blanc-rouge au doux nom de Lucie (mais pas Castets, elle a sa fierté) lancée par un copain de notre Président et financée par le contribuable. Une IA qui, la première, a atteint le niveau de l’intelligence humaine puisque, comme tout écolier tricolore qui se respecte, elle ne sait pas compter et répond n’importe quoi aux questions qui lui sont posées. 
 
Espérons qu’elle ne sera pas visée par le règlement européen qui, depuis le 2 février, interdit les systèmes d’IA présentant des risques « inacceptables », comprendre : « qui ne seraient pas complètement politiquement corrects ». Cela ne concerne évidemment pas le susnommé ChatGPT abondamment utilisé pour produire un flot de critiques positives pour le film, subventionné à hauteur de 10 millions d’euros par la collectivité, revisitant les 3 mousquetaires remplacés par des femmes racisées à l’accent du 93 (sans aucune intention ironique) luttant contre le patriarcat toxique de Richelieu. Des critiques qui n’ont pas pesé lourd face à la nuée de commentaires peu amènes sous la bande-annonce, et n’ont pu empêcher un public raciste et misogyne de ne pas aller le voir, « la cheffe d’œuvre » culminant à 2 masochistes par séance en moyenne et Allô Ciné, finissant de se discréditer, en supprimant la note moyenne des spectateurs.

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