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dimanche 23 février 2025

Baissez ce bras que je ne saurais voir… (23/02/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/uAq-f6uqt2g

Bonjour !

Une trahison du Renoncement National, c’est un peu comme une flatulence après un cassoulet cuit sans bicarbonate de soude : inévitable et malodorant, un Fion National en quelque sorte. Contrairement à notre Première dame, Marine « pas la peine » n’a pourtant théoriquement rien de bringuebalant par quoi être morphologiquement tenue et pourtant elle est bien tenue par-là, cas rare de transgenrisme politique. Une fois tout substrat idéologique évaporé, victime du réchauffement climatique, ne reste que l’intérêt personnel, le statut d’éternelle candidate qui dérape en ligne droite avant la ligne d’arrivée, lui assurant une procrastination doucereuse aux frais de la collectivité jusqu’à une retraite bien méritée, sans les tracas du pouvoir, partant du principe que ses électeurs, captifs faute d’alternative, si pas contents n’ont qu’à aller se Ferrand…. 
 
Un Ferrand nommé au ConCon, petit nom du Conseil Constitutionnel, grâce au pouvoir d’abstention dudit RN déjà utilisé pour valider Bayrou et le budget et éviter de plonger Macron dans une impasse. Un marchandage évident qui a pour finalité que ledit ConCon se prononce, AVANT son jugement pour détournements de fonds publics, sur une question prioritaire de constitutionnalité posée par un élu mahorais visé, lui aussi, par une peine d’inéligibilité immédiate et arguant qu’une telle peine ne saurait être prononcée avant que toutes les possibilités de recours aient été épuisées. Si validée, la décision ferait jurisprudence et permettrait à Marine « à la peine » de repousser l’inévitable échéance jusqu’à après les élections. 
 
Élections que, fidèle à son habitude, elle conclura en remuant du popotin sur des airs populaires après une défaite probable devant le premier Retailleau ou Villepin qui passera, voire un Macron dont elle aura permis, par sa forfaiture, un troisième mandat du fait que son aile droite, dépassé un certain seuil de dilatation anale, ira à la pêche, même dans ce cas de figure. Si, contre sa propre nullité, elle était miraculeusement élue, il faut garder en mémoire qu’une constante dans la 5e république est que chaque président a été pire que le précédent, Macron ayant touché le fond puis commencé à creuser à l’excavatrice sans trouver de pétrole, atteignant chaque jour de nouvelles profondeurs. Difficile d’imaginer pire, pourtant j’ai désormais la conviction que si quelqu’un est capable de creuser encore plus profond jusqu’à surgir au pied d’un kangourou tétanisé, c’est Marine Le Pen.

La question est donc de savoir pourquoi aucune alternative crédible n’est disponible en France. Il n’est qu’à voir Jordan Bardella, fuir comme un vampire homosexuel devant une gousse d’ail tenu par un islamiste afghan, face au bras tendu de Steve Bannon saluant la foule à la conférence CPAC à Washington, pour comprendre que, tant qu’on restera embourbés dans la seconde guerre mondiale et dans la sanctification de la Shoah devenue une quasi-religion qui a remplacé Jésus par Netanyahu et Satan par Hitler jusqu’à la caricature, rendant impossible toute véritable proposition nationaliste, nous finirons noyés dans de l’eau tiède tandis, qu’alors qu’on aura oublié 1515, 732 ou la Saint-Barthélemy, on commémorera encore le 2000e anniversaire de l’holocauste. Donc, non, Zemmour ou Knafo, sauf à ce qu’ils disent ouvertement la même chose, ne sont pas une option non plus.

D’une manière générale, l’Histoire avec un grand H, n’est pas fixe. On sait à présent, par exemple, grâce à l’historien centimètre Gims que les pyramides produisaient de l’électricité, grâce à Netflix, cousin d’Astérix et d’Abraracourcix, que Cléopâtre était noire et, pour ma part, j’ai toujours trouvé à Louis XIV un faux air de genderfluide. Pourtant, il reste un pan de notre histoire légalement inébranlable, même par benjamin Griveaux. 

Personne ne conteste que le chiffre sacralisé de 6 millions est purement symbolique et que, bien évidemment, Adolphe Hitler n’était pas en ligne directe téléphonique avec Dachau en disant : « encore un, encore un, encore un… STOP ! 6 millions, on arrête ! ». Donc les chipotages sur ce point n’ont pas vraiment de sens et si avec, respectivement, 144 000 et 250 000 morts, le fait d’avoir nonchalamment jeté quelques bombinettes sur des populations civiles à Hiroshima - Nagasaki et sur Dresde n’est pas considéré comme un crime contre l’humanité et que les nations qui l’ont fait peuvent encore décider de ce qui est bien et de ce qui est mal dans le reste du monde, on peut en déduire que, mathématiquement, l’horreur commence à 250 001 morts et que donc, non seulement les conditions du génocide sont largement remplies dans le cas qui nous préoccupe, mais que, selon les mêmes critères, avec largement moins de 100.000 civils tués (cette fois et pour l’instant) dans la bande de Gaza, Israël, petit faiseur, est encore dans le camp du bien.

La motivation de la loi Gayssot, objectivement liberticide, n’est donc pas de sacraliser un chiffre, mais les victimes elles-mêmes et, par extension, tous leurs descendants, en gravant dans le marbre de la loi qu’il y a bien eu mise en œuvre délibérée d’un plan d’éradication méthodique d’une partie de la population en fonction de ses caractéristiques, au cas particulier religieuses et (ou) ethniques, les Juifs eux-mêmes ayant une abondante littérature consacrée à la seule question : « c’est quoi être juif ? » Visiblement les Allemands avaient trouvé une réponse et, pour quelque obscure raison, ça ne leur avait pas plu au point d’organiser un génocide. 

Les révisionnistes, eux, si j’ai bien compris, contestent l’existence de ce plan et, accessoirement, le modus operandi et non les chiffres, même Vincent Reynouard semblant à peu près d’accord avec la fourchette basse officielle calculée selon les méthodes par cumul et par déficit qui se recoupent autour des 5 millions, minima difficilement contestable.

Un modus operandi à fort indice carbone essentiellement avéré par le biais de témoignages et des premières constatations des Russes qui ont libéré les camps. Russes dont on ne savait pas encore, à l’époque, à quel point ils étaient méchants et qu’ils devraient un jour être mis à genoux par Bruno Le Maire. Le fait qu’ils aient menti pour Katyn ou l’Holodomor ne saurait pour autant remettre en cause l’impartialité de leur témoignage. Bref, si des éléments nouveaux, inconnus à l’époque, et Reynouard prétend en apporter, venaient à faire surface, pourquoi ne pas simplement les examiner, tranquillement, à tête reposée et simplement voir, d’un point de vue historique et scientifique s’ils sont recevables ou non, plutôt que de le mettre encore en prison et en faire un martyr, ce qui me semble à la fois excessif et, dans un contexte d’une augmentation de l’antisémitisme parallèle à la courbe de l’endettement, pour le moins contre-productif ?

Tout simplement par peur, du fait qu’on ne parle pas juste d’un génocide, mais du génocide d’un peuple qui a collectivement la particularité de se revendiquer lui-même comme ayant vocation à guider l’humanité vers la lumière (sauf le samedi), mission confiée par Yahvé, nom qui sonne comme l’imparfait d’avoir alors que Dieu, pour les catholiques, serait plutôt le parfait d’être. Dès lors, au fil des siècles, ceux qui estimaient pouvoir se guider tout seuls ont eu tendance à se poser, de façon récurrente (et pas toujours très urbaine) la question de savoir s’ils avaient besoin de cette guidance. Un questionnement qui durant des heures pas très claires a parfois évolué de « indispensables pour nous guider » à « indispensables tout court » ce qui peut expliquer une certaine paranoïa et cette avalanche de lois liberticides. 
 
Une paranoïa qui n’a pourtant plus lieu d’être depuis qu’il existe un pays d’accueil (dont c’est la raison d’être initiale et la justification du trucidage de quelques Palestiniens) vers lequel, même si, cas peu probable, les heures s’assombrissaient de nouveau, il serait plus économique et écologique de laisser fuir la population concernée que d’aggraver une nouvelle fois le réchauffement climatique. Bien sûr qu’il se trouvera toujours des individus mal informés et haineux qui pourraient s’accommoder d’un monde sans BHL, Soros, Schwab, Sarkozy, Hollande, Macron, Attal ou Borne, mais il faut savoir prendre du recul sachant que les dinosaures n’étaient pas circoncis et tout le monde sait comment ils ont fini… un peu comme tous ces jeunes et moins jeunes qui ces derniers temps se sont éteints suite à de nombreuses « coupures »… de coran, comme encore ce samedi à Mulhouse, la lutte contre l’antisémitisme, quand elle est répressive, débouchant sur de l’antiracisme institutionnel débouchant sur l’acceptation collective de l’immigration de masse débouchant sur la fatalité des attaques au couteau.

Je le dis et je le répète, outre une immigration excessive de gens qui les aiment culinairement, le principal obstacle à une vie sereine de nos compatriotes juifs, n’est pas une hypothétique remise en question de l’holocauste, voire une simple relégation de celui-ci en bonne place avec tous les autres massacres de l’humanité dans un livre d’histoire poussiéreux (ce qui ferait d’eux simplement des gens ordinaires invisibles et non plus des victimes éternelles avec une cible sur le dos), mais bien un « devoir de mémoire » qui garde les plaies ouvertes ainsi que certaines pourritures, comme il en existe dans toutes les communautés, qui se servent de l’antisémitisme comme paravent dès qu’ils sont pris la main dans le pot de confiture, ceux-là mêmes qui, de tout temps, ont créé et renforcé, par leurs actions, des stéréotypes qui n’ont pas lieu d’être aux dépens, au premier chef, de leur communauté dont ils n’ont, par ailleurs, rien à cirer.

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1 commentaire:

  1. Il suffirait, peut-être, de lever les deux bras ensemble qui fermerait toute interprétation douteuse à l'égard d'une population victimaire.

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