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dimanche 27 juillet 2025

Des antisémites partout, Effondrement des naissances, Brigitte dépose plainte… (27/07/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8HL-urjcVXg

Bonjour !

Tels la kryptonite pour superman ou les tests ADN pour Brigitte Macron, l’accusation d’antisémitisme agissait encore (pré-génocide humanitaire en direct de bébés terroristes haineux) comme un rayon paralysant anti-érectile sur les sociétés européennes. Force est de constater que, depuis, le Rubicon des arguments qui le sont autant, ayant été franchi, en dépit de lois toujours plus rectalement intrusives, imposées par les mêmes (la dernière en date étant, sous prétexte de protection des mineurs, la fin programmée de l’anonymat sur les réseaux sociaux), l’effet de ce qualificatif est, désormais, à peu près aussi dissuasif que l’indication du nombre de calories pour 100 g de matière sèche sur un bocal de foie gras de canard aux truffes pour Gérard Larcher. 

Tandis que le grand public US, toutes tendances confondues, découvre, éberlué, jusque dans les médias mainstream, l’impact désastreux, impossible à masquer plus longtemps, de décennies d’influence israélienne sur le congrès et que les plus complotistes vont jusqu’à pointer du doigt, « maussades », certaines coïncidences troublantes autour de l’assassinat de Kennedy, du 11 septembre et de l’affaire Epstein, pour la première fois de son histoire, le peuple élu par vote électronique divin ultra-fiable, qui reconnaît lui-même avoir été chassé, au cours des millénaires, d’à peu près partout sur la planète, sans pour autant s’interroger plus avant sur les causes, encourt le risque, mondialisation de l’information oblige, de l’être, certes, à nouveau de partout, mais cette fois simultanément, ce qui, tant qu’Elon Musk n’aura pas réussi à poser un pied sur Mars, s’avérerait quelque peu problématique. 

Sans pour autant nier l’existence, à la marge, d’un antisémitisme viscéral, une partie totalement évitable de ce rejet est indubitablement liée à un problème d’attitude, faisant que, contrairement à la poule et l’œuf, on peut raisonnablement penser que les israélites préludent à l’antisémitisme. En témoigne la mésaventure de 50 adolescents hébraïques à passeport français (du fait de l’absurdité, pour eux comme pour tous les autres, du concept même de double nationalité) revenant d’une colonie communautaire exclusive, probablement orientée vers l’apprentissage du vivre ensemble, et débarqués d’un avion espagnol, après avoir entonné des chants en hébreu appelant à l’amour universel, et perturbé, entre autres, selon l’équipage stipendié par le « hamas », l’énoncé des consignes de sécurité. 
 
Un comportement pouvant passer, pour les regards mal avertis, pour « sûr de soi et dominateur » comme aurait dit un certain Charles de sinistre mémoire. Une fausse impression malencontreusement amplifiée par les lamentations qui s’imposaient et des hurlements indignés à l’antisémitisme, perçus par quelques esprits retors comme systématiques à la moindre contrariété et qui, justifiés ou non, ont pu commencer à fatiguer certains d’autant que, pendant ce temps-là, des enfants palestiniens mourraient littéralement de faim et eux, sournoisement, en silence. 

S’ajoutent à cela l’assimilation juridique suicidaire de l’antisionisme à l’antisémitisme, laquelle ne laisse plus aucune place à la nuance, le projet, déjà sur les rails, de réprimer l’accusation « abusive » de génocide comme une contestation des crimes contre l’humanité, et le front quasi commun jusqu’à la caricature, présenté par l’intelligentzia communautaire française dans son soutien à Israël, à commencer par la cylindrique Knafo donc les cocoricos s’arrêtent à l’abattage rituel et qui tombe en syncope à l’annonce (il est vrai, sortie subitement par Macron de quelque endroit dilaté de son anatomie) que la France va reconnaître la Palestine en septembre lors de l’assemblée générale des Nations unies. 
 
Le capital sympathie est encore renforcé si l’on inclut, dans le mix, l’arrivée massive sur notre territoire de populations, elles ouvertement antisémites, que cette même intelligentzia nous a imposées, à coups de lois antiracistes, de peur d’être exclue des cercles de décision si on venait à se poser la question raciale, devenue taboue, mais indissociable d’un nationalisme sérieux. Une immigration, en outre, qui tombe à pic pour compenser un avortement légalisé par Simone Veil (coïncidence), tandis que Badinter (re-coïncidence) supprimait la peine de mort, ce qui nous rend impuissants face à une délinquance devenue exponentielle. 
 
Dès lors, sauf à ce que des voix fortes s’élèvent au sein de ladite intelligentzia pour choisir définitivement leur camp entre la France et Israël, le retour de balancier qui lui pend au nez (ou ailleurs, si l’on souhaite éviter tout tropisme nauséabond) risque de lui faire très mal ainsi que, hélas, à nombre de ses coreligionnaires qu’elle s’est abusivement autodésignée pour représenter.

Quoi qu’il en soit, pour nous, le mal est fait et, en dépit des efforts soutenus d’un pourcentage indéterminable de jeunes hommes vigoureux et exotiques, « mi-grands » contrairement à Allah, qui s’efforcent d’enrichir culturellement, de la poussette au déambulateur, toute personne de sexe féminin incapable de passer sous la barre des 9 secondes au 100 mètres, départ arrêté, pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès a dépassé, en France, le nombre des naissances. 
 
C’est d’autant plus dramatique que si l’on veut assurer une continuité de la France depuis Vercingétorix et au-delà et honorer les sacrifices de tous ceux qui nous ont précédés, plutôt que provoquer une rupture gommant 2000 ans d’histoire et repartir de zéro vers autre chose à la mode Kalergi, parmi ces naissances, seul compte alors vraiment le nombre de celles culturellement, ethniquement et collectivement compatibles avec le substrat autochtone. 
 
Comme par hasard, entre l’interdiction des statistiques ethniques et la généralisation des tests de drépanocytose, tout semble fait pour le rendre aussi invisible que Jean-Michel Trogneux, lequel avec sa sœur à poitrine extensible (entre autres parties de son anatomie), Braun Pivet surnommée « la torchée humaine » à la buvette et Macron dit « le machin » plutôt que « la chose », fait contrepied au dernier Marvel « les 4 fantastiques » qu’une allergie à l’omniprésent et mal cast(r)é Pedro Pascal, associé à un manque d’enthousiasme à donner mes sous à Disney, me dissuade d’aller voir.

Une Brigitte, donc, qui, après avoir perdu contre Natacha Rey et Amandine Roy, plutôt que d’ouvrir son album de famille, essaie de gagner du temps de sorte à ne pas exploser en vol trop tôt, sachant qu’il reste encore 600 jours à son époux pour finir de couler la France. Pour ce faire, elle poursuit, probablement avec nos sous, Candace Owens aux États-Unis, manœuvre désespérée aussi dilatoire que dilatatoire qui, effet Streisand cataclysmique et occasion inespérée d'apprendre la traduction de « pénis » en chinois et en swahili, fait la une de tous les journaux de la planète. Tout cela va se terminer en corrida, ladite Candace semblant déterminée à réclamer, à l’issue, non seulement les oreilles, mais la totalité des trophées traditionnels tauromachiques plus, dixit : « la perruque ».

Tout ce cirque distractif, tout comme la proposition du ministre de la Santé de généraliser la sieste au travail en compensation des jours de congé supprimés (enfin la microsieste, faut pas pousser non plus) ne ralentit pas pour autant la saignée à blanc de la France autochtone de la même couleur. Une France autochtone, interdite de se désigner comme telle, y compris par les divers mouvements inclusifs, garantis sans relents nauséabonds, qui tentent de la canaliser vers des voies de garage comme une manif virtuelle le 10 septembre (tant qu’à faire une révolution, autant donner la date au gouvernement) et vers des revendications purement économiques et sectorielles visant à lui faire oublier que le problème principal est qu’on l’a dépossédée de son propre pays et que le seul slogan méritant d’être déployé serait « Cette fois, on reprend la France ! ». 
 
Trop c’est trop, et le pays commence à sérieusement bouillir. Mais la macronie est prête : les blindés antiémeutes qui ont défilé le 14 juillet, jamais déployés pendant celles, médiatiquement pudiques, qui ont éclaté ces jours-ci à Limoges et ailleurs, frétillent à l'idée d'être enfin étrennés et les CRS, tel Jésus, semblent prêts à multiplier les pains. Bref, un des côtés semble prêt à tuer (je rappelle, au passage, que je ne suis pas suicidaire), l’autre pas encore. Je me demande comment cela va finir…


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