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dimanche 20 juillet 2025

Les gueux, « Nicolas qui paye »… pourquoi ça va faire Pschiiittt ! Analyse de fond (20/07/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/_kLZPyhrKE8

Bonjour !

Ne vous faites pas d’illusions, il n’y aura pas de révolution en France, même après que François Bayrou qui a dédié sa vie politique à la déconstipation de coléoptères qu’il localise avec ses oreilles radar pendant qu’il fait semblant de faire la sieste, nous aura collectivement empalés, à sec, sur l’obélisque, tel un parachutiste naturiste malchanceux ou quelque député RN extatique. En effet, le fait de se faire collectivement ramoner l’intestin grêle ne suffit pas à provoquer l’unité populaire nécessaire, ne serait-ce que parce que certains aiment ça. 

Peu importe que Sarah (point trop) Knafo trouve, au doigt suspicieusement mouillé, 63 milliards d’économie… en oubliant les 211 milliards distribués sans contrôles à des entreprises qui les reversent à leurs actionnaires et peu importe que LFI en trouve autant… en oubliant les 70 milliards que nous coûte l’immigration selon l’OID (les deux, frexitophobie oblige, omettant le trou sans fond de l’Union européenne). Peu importe, donc, car un système mafieux tel que la « raie-publique » avec, pile au centre, le modem, reconnaissable à son odeur et sa flexibilité dilatatoire, ne pouvant pas se suicider en devenant vertueux, aucune de ces pistes ne sera explorée. 
 
C’est Nicolas qui va continuer à payer de plus en plus cher la savonnette de plus en plus glissante qu’on le somme de ramasser, tout en attendant les prochaines élections qui, c’est promis, vont changer la donne. Il me semble que les trahisons d’un Trump englué dans l’affaire Epstein comme un morpion dans la zone rectale macronienne après l’accomplissement d’un devoir conjugal et qui était l’archétype du concept d’un changement radical par les urnes, devrait démontrer aux derniers naïfs que les pseudos démocraties, soi-disant « représentatives », sont juste un piège à cons plus ou moins tribuables.

En attendant, tandis que l’on nomme des cruches à la Najat qui tant Valaud qu’à la fin elle se case… à la Cour des comptes, on prive les gueux de 2 jours de congés, et plus si affinités, comme le déremboursement des affections de longue durée, style cancer ou Sandrine Rousseau. Mais qu’on se rassure, on continue à financer l’AME, les transitions de genre et les chirurgies de féminisation, éloignant tout risque supputatif de pénurie de Premières dames. Dans la même (pas de) veine, alors que les jets privés sillonnent le ciel pour porter la bonne parole du réchauffement climatique et que ceux de l’état transportent Bayrou à Pau, on montre d’un doigt vaseliné accusateur, aux jeunes sans avenir, la caravane cabossée de Marcel, l’enfoiré de retraité profiteur, dont on va geler la pension tout en plafonnant l’abattement fiscal de 10% à 2000 € afin de le pénaliser dès 1700€ par mois ce qui est quand même plus humain que de plafonner lesdites retraites à disons, 4 fois le SMIC, chose qui serait dramatique pour les miséreux tel François Hollande lequel doit s’efforcer de joindre les deux bouts et payer ses croissants matinaux avec 18 000€ mensuels (en sus des avantages en nature - personnel, locaux, véhicules… - du rendement de ses placements financiers et de la rente annuelle de 65 000€ dévolue aux ex-présidents).

On ne peut mesurer, en centimètres introduits, l’étendue de l’escroquerie que si l’on comprend (l’immonde Sarkozy ayant rendu le budget « fongible ») que ce que l’on va piquer à Marcel n’ira pas à Nicolas (l’autre, celui qui paye), ni même au remboursement de la dette (garantie par notre épargne que tout est déjà en place pour confisquer), mais continuera à financer l’immigration de masse, les milliardaires, l’UE, l’Ukraine, les éoliennes et la foule de parasites politico-médiatiques, d’associatifs et de copains nécessaire à pérenniser le système… ainsi qu’incidemment, le pourvoi en cassation (ce qui, si elle a des noix, peut s’avérer dangereux) de Brigitte Macron dans l’affaire qui l’oppose à Natacha Rey.
 
Pour schématiser, avant, le budget, c’était un peu un système d’enveloppes à l’ancienne et on mettait des sous dans chacune pour un usage spécifique sans qu’on puisse les utiliser pour autre chose ; depuis Sarkozy, qui préfère les valises, lesdites enveloppes sont juste virtuelles et indicatives : tout atterrit dans un pot commun sur un compte bancaire avec, « en sus », comme dirait Aurore Bergé, une « black card » illimitée à la discrétion du Président qui peut, avec, faire des cadeaux au monde entier. Donc, à chaque fois qu’on vous justifie un impôt (a fortiori de « solidarité ») comme étant destiné à financer une dépense spécifique, on vous ment comme un politicien en campagne, vous alimentez simplement le pot commun, ou plutôt le tonneau des Danaïdes, offrant juste plus d’argent à dilapider au système.

Pour qu’il y ait une révolution, il faudrait une année « blanche », mais pas vraiment au sens où l’entend Bayrou. Il faudrait admettre - ce que n’ont fait ni les « gueux » aujourd’hui, ni les gilets jaunes hier (alors que cela sautait pourtant aux yeux qui leur restaient) - que la vague qui les porte n’est rien d’autre que la révolte légitime des autochtones blancs, non binationaux et donc sans échappatoire, dépossédés de leur propre pays et de leur mot à dire ; pareil pour « Nicolas qui paye » qui symbolise exactement la même chose, sous un autre angle. 
 
Tant que cela ne sera pas revendiqué sans complexe, offrant une cohésion qui transcende les classes sociales, et seule manière d’unir et les gueux et Nicolas qui, séparément, n’ont aucune chance, tout mouvement tombera, soit dans le piège social de la gauche qui réclamera plus de sous, soit dans le piège fiscal de la droite qui réclamera moins d’impôts, deux choses apparemment contradictoires (et c’est voulu pour éviter tout risque d’union) alors même qu’on pourrait intelligemment concilier les 2 et satisfaire et les gueux et Nicolas. 
 
La gauche, dans son rôle de détournement des mouvements sociaux vers une voie de garage, scandera : « révolution ! », tout en encourageant son principal obstacle à savoir : l’immigration de masse et le multiculturalisme qui ne pourront qu’aboutir, à force d’exaspération, à des luttes horizontales comme les ratonnades en Espagne cette semaine et les émeutes raciales au Royaume-Uni, au lieu d’une véritable révolution qui ne saurait être que verticale, comme une lame de guillotine. 
 
Pas mieux pour la droite qui veut son immigration de travail, a une demi-molle chaque fois qu’un individu à forte teneur en mélanine (ou amateur de pâte à tartiner spécifique) secoue un drapeau bleu, blanc, rouge, et qui se contente de taper hypocritement sur « l’Islam », pour ne pas avoir à admettre de prisme ethnico-culturel qui serait préjudiciable à ceux qui la financent et tentent de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas. Au lieu de se rejoindre sur une identité qui pourrait les unir, les deux camps (en tout cas ceux qui s’en font les représentants) ont, pour seul point commun affiché, un « antiracisme » trouillard et maladif qui les dissout et dix sous ce n’est pas beaucoup. 

Contrairement à la république, si on change son peuple, la France n’est plus la France et, outre sa descente aux enfers économiques, perd et la motivation première et ce qui donne sa légitimité à toute lutte : assurer sa continuité, sa descendance et sa postérité. Par ailleurs, comment peut-on réclamer que le peuple soit traité avec équité quand ledit peuple n’est jamais clairement défini ? 
 
Pour autant, de même qu’il n’y a pas besoin d’être une baleine pour adhérer à S.O.S. baleines, il n’y a aucune raison d’ostraciser ceux qui ne correspondent pas à cette définition… du moment qu’ils y adhèrent. C’est ce que l’on appelle l’assimilation, la vraie, à l’opposé des hypocrites à la Jean Messiha dont le message subliminal est : « voyez comme je me suis bien intégré, je suis même plus Français que vous, preuve que la nationalité n’est pas organique et que tout le monde (soit plusieurs milliards d’individus) est potentiellement compatible ».

Il a raison sur un point : le problème est, avant tout, une histoire de compatibilité, mais pas seulement individuelle, car il faut aussi prendre en compte la compatibilité de groupe laquelle diminue en fonction du nombre. Trop d’arbres deviennent une forêt, laquelle finit par abriter des loups et, arrivés à ce stade, on est contraint de déboiser sans plus avoir le luxe de pouvoir se préoccuper de la qualité de chaque arbre qui peuvent, certes, être compatibles individuellement, mais qui, collectivement, feront quand même partie du problème forestier, si on laisse la situation se détériorer jusque-là. Il en va donc de l’intérêt même des gens assimilés, que la France retrouve son identité et évacue l’excédent de leurs ex-compatriotes, sous peine de retrouver ici ce qu’ils ont quitté ailleurs, la guerre civile en plus. 
 
Normalement, ce serait le rôle de l’état que de gérer les flux pour prévenir les incompatibilités de groupe de façon à permettre l’assimilation réussie des individus compatibles tout en protégeant l’indispensable cohérence ethnique et culturelle du substrat populaire, mais il fait exactement le contraire, car il a compris, justement, que c’était le moyen le plus sûr, à terme, d’éviter une révolution.

Conséquence de plus en plus visible, je vous épargne l’égrenage des faits divers banalement horribles de la semaine dont chacun, il y a encore quelques années, aurait fait les gros titres et qui sont devenus monotonement routiniers provoquant même un bâillement involontaire que pourrait mettre à profit toute mouche non analement estropiée par notre Premier ministre. Après quelques derniers soubresauts, on va donc probablement collectivement crever, mais au moins on ne pourra pas nous traiter de racistes ou d’antisémites… enfin pas plus que d’habitude.


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