Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/1Ge7X7F3i2U
Bonjour !
Mon imagination est hélas, plus fertile qu’Élisabeth Borne et, à la lecture de la presse, cette image mentale que je ne peux plus dé-voir d’un homme (probablement à jeun, qui plus est) la chevauchant sauvagement en tirant une langue même pas bleue, m’a provoqué à la fois des terreurs nocturnes et l’irrépressible envie de donner à « action contre la faim ». Un acte certes bienveillant, mais en contradiction majeure avec ma fibre écologique davantage encline, au contraire, à lutter contre la surpopulation planétaire, lutte à laquelle, il est vrai, cette vision apocalyptique, une fois reconstituée par une intelligence artificielle et larguée en hélicoptère sous forme de tracts au-dessus du Nigeria pourrait largement contribuer.
À peine remis, voilà que j’apprends qu’elle serait en fait en trouple passant du 49-3 au 69 à trois, méthode certes écologique pour pallier la sécheresse vaginale en ces temps de réchauffement climatique pour cause de vaches qui pètent, mais tout aussi délétère pour ceux qui ont tendance à visualiser et qui, comme moi, ignorant encore qui est la concubine officielle de son amant, afin de rester cohérents, lui auront provisoirement substitué Roselyne Bachelot qu’on imagine tout aussi climato-toxique qu’un bovidé standard. Cela commence à faire, d’autant que sans même revenir sur Darmanin et autres Dupont-Moretti, après les coming-outs en série, les spectacles trans à l’Élysée, la photophobe qui, SI LA MI, LA MI dans LA RE en mode mineur une fois sur le DO, à même le SOL et le crash-test Photoshop de Marlène Schiappa dans Play-boy, c’est Bruno Le Maire, accessoirement ministre de l’Économie, qui évoque avec emphase, dans son dernier roman, une dilatation anale apparemment télékinésique qui, au moins, rassure quant à la capacité à s’asseoir confortablement, dans la vraie vie, de madame son épouse. Ladite télékinésie anale laquelle, selon moi, apporte un éclairage nouveau au mystère du caca pas nerveux d’Amber Heard dans les draps de Johnny Depp, n’est, par ailleurs, qu’un des nombreux superpouvoirs de celui qui a mis la Russie à genoux avec un col roulé et qui lutte contre l’inflation en envoyant des courriers de réprimande aux patrons du CAC 40.
En toute honnêteté, je ne sais pas combien de temps encore je vais trouver l’énergie de faire ces vidéos, car caricaturer une caricature me paraît aussi superfétatoire et gratifiant que remixer du vomi de purée et j’ai de plus en plus l’impression de regarder un documentaire animalier sur les bonobos ou les « bornobos », je ne sais plus très bien.
Pourtant, comparativement à ces derniers (et aux nombreux autres animaux qui, afin de pouvoir assimiler leur nourriture dans de bonnes conditions, sont contraints de s’y reprendre à deux fois et à manger ce qui sort dudit sphincter dilatable à distance par le mage de Bercy) la nature avait, jusque-là, été plutôt clémente envers notre espèce ; le progrès, visiblement, beaucoup moins.
On comprend mieux, dès lors, pourquoi, même avec des chandelles, le concept de dîner romantique ne s’est pas répandu chez certains primates, marsupiaux et castors, d’autant qu’après avoir élu Macron deux fois, d’aucuns, chez ces derniers, réalisent enfin la nature de ce qu’ils sont en train de mastiquer. À leur décharge, comme dirait une autre plume pas si légère du gouvernement au style quelque peu « pompeux » sinon « pompeur », même s’il suffisait d’avoir 4 neurones alignés, les années bissextiles, pour réaliser qu’aucune option n’était pire que Macron, on peut excuser le peu d’engouement suscité par la femme à chats lorsque, visiblement perturbée par la vision flamboyante d’un CRS gazouillis, car « cuit cuit cuit », elle se fend d’un Tweet pour condamner ce qu’elle appelle des « tentatives d’assassinat contre les forces de l’ordre » sans un seul mot sur les mains arrachées et autres yeux baladeurs qui, tel le retour des hirondelles, annoncent, comme aux plus beaux jours des gilets jaunes, l’arrivée du printemps social au Macronistan.
Elle aurait pu déplorer les deux et pointer d’un des doigts, dont ELLE dispose encore, le machiavélisme de ceux qui poussent à ce genre d’affrontement horizontal entre esclaves salariés pour éviter un affrontement vertical visant l’élite parasitaire, ou simplement, pour changer (sauf à avoir le nez bouché) fermer son orifice buccal ; mais là, elle choisit un camp, validant la manipulation et augmentant le ressentiment de ceux qui ont les yeux déjà trop irrités par les gaz pour avoir encore des larmes à gaspiller sur des matraqueurs compulsifs, quel que soit leur degré de cuisson.
Sans même évoquer les utilisations possibles du manche, notamment après passage de Bruno Le Maire, un marteau peut tout aussi bien enfoncer un clou que défoncer un crâne, le dénigrer systématiquement est donc aussi stupide que de l’encenser en permanence. De la même façon, lorsqu’on ne laisse plus la police faire ce pourquoi elle est respectable et respectée, à savoir enfoncer le clou de la lutte contre une délinquance à croissance exponentielle non seulement en nombre, mais en bêtise, gratuité, cruauté et sordidité des actes et qu’on en fait une milice, lamentablement zélée qui plus est, chargée de protéger non plus la population, mais une élite corrompue, illégitime et malveillante qui sème elle-même le chaos pour se maintenir au pouvoir, il n’est pas anormal que sa cote d’amour chute comme la note de la France par Fitch qui sera suivie par les autres agences de notation, lesquelles ont gentiment accepté d’en différer l’annonce sur demande paniquée du dilatateur anal, baisse qu’était supposée éviter la réforme des retraites et qui a finalement été provoquée et amplifiée par le chaos social qui s’en est suivi. Heureusement que nous avons élu un Mozart de la finance.
Pour en revenir à la police, mettre sur un pied d’égalité d’un côté les Arnaud Beltrame que j’imagine mal, dormir paisiblement la nuit, s’ils avaient énucléé une gamine de 17 ans (chose qui, visiblement, n’émeut ni Macron, ni Darmanin, ni celle qui ne s’appellera jamais Élisabeth borgne) et, de l’autre, les mercenaires au rabais qui vont se prendre désormais, grâce à leur soutien aveugle à leurs maîtres, des cocktails Molotov et autres cacatovs dans les gencives jusqu’à 64 ans minimum, comme tous les autres baisés de la réforme sur lesquels ils tapent, relève de la mauvaise foi ou d’un QI de blatte anémique après 8 heures de Candy Crush, le cumul n’étant pas totalement exclu.
D’autant qu’en ayant, à l’instar de son clone peroxydé italien, tout trahi, faisant de son parti une coquille idéologiquement vide comme les autres, Marine Le Pen, tout comme, de l’autre côté de l’opposition contrôlée, le castor en chef Mélenchon, est directement responsable de l’absence criante d’alternative politique crédible.
Tandis que ceux qui dénoncent (à raison, mais de façon trop simpliste) la branche économique de la tenaille qui nous serre les testicules passent leur temps à lutter contre ceux qui dénoncent (à raison, mais de façon pas assez simpliste) la branche migratoire et réciproquement, tout le monde oublie l’axe central qui les articule, incarné par Macron et protégé par plusieurs strates de tabous antichose et machinphobe, sans lequel il n’y aurait plus de tenaille du tout et qui justifierait, pour en venir à bout, au moins une alliance de circonstance des baisés qui se croient de gauche et des baisés qui se croient de droite.
J’ai vu récemment une vidéo de Julien Rochedy qui, oubliant complètement l’exemple de l’Islande en 2009, lui aussi à base de casseroles, fait valoir que, sans idéologie de remplacement qui aurait infusé dans une partie des élites elles-mêmes et faute de courbe démographique adéquate rendant possible le niveau élevé de violence nécessaire, nous sommes condamnés à des jacqueries sans lendemain et qu’une révolution, qu’il n’envisage que selon le modèle de 1789, n’est pas possible à ce stade. Certes, il ne faut jamais négliger l’histoire, mais à une époque, en s’appuyant également sur elle, on pouvait affirmer avec certitude que, sans cavalerie, aucune guerre ne pouvait être gagnée, or s’il subsiste quelques bourrins, il n’y a pas beaucoup de chevaux en ce moment en Ukraine. Si la nature humaine non LGBT reste à peu près constante, les choses évoluent : comparaison n’est donc pas raison. Pour rester dans les évocations historiques, nous ne sommes qu’à un Ravaillac de l’effondrement d’un système à bout de souffle, infoutu de gérer des casserolades et qui, même sans réfractaire à la poule au pot, pourrait fort bien imploser (de lui-même ou en raison de facteurs externes), et ce à tout moment.
Quant à l’idéologie de remplacement, pourquoi la révolution devrait-elle être idéologique quand les nouvelles technologies permettent une autodictature sous forme de démocratie directe en temps réel, rendant superfétatoire la totalité des parasites politiques et dont on peut espérer que, paradoxalement, l’ensemble des égoïsmes individuels devienne un atout qui la rendra suffisamment impitoyable pour arrêter la pente suicidaire et régler un certain nombre de problèmes récurrents impossibles à solutionner dans un système représentatif, comme le fait qu’après avoir battu son maître, 3 individus hilares massacrent sous ses yeux, à coups de pied, la petite chienne qu’il promenait, ou encore qu’un type qui viole une gamine de 3 ans pas encore en transition de genre, s’en tire avec 5 ans de prison... AVEC SURSIS. Je vous épargne le dénominateur commun.
Dans l’intervalle, face à un gouvernement qui travaille désormais ouvertement à finir de dépecer la France sans plus aucun contre-pouvoir et qui initie la violence et la répression, le contrat social qui seul donne le monopole de ladite violence à l’état est mécaniquement caduque. Quand des drones envahissent les rues comme dans les pires dystopies de la science-fiction, que des nonagénaires sont condamnés par la justice pour avoir affiché sur leur propriété une banderole « Macron on t’emmerde », au lieu de « Macron, NOUS-AUSSI on t’emmerde » ce qui eût été plus délicat à sanctionner, que des préfets pondent des arrêtés anti-casseroles, que les images de la tête à claques diffusées à la télé pour faire croire à la plèbe que tout se passe bien ne sont pas reprises sur les écrans géants du stade de France, faisant que les supporters sur place, confinés derrière des grilles hérissées de pointes, se voient privés de l’instant où leur équipe soulève la coupe remise en catimini dans les tribunes, quand chaque visite du président nécessite un village Potemkine, 3 compagnies de CRS, un hélicoptère et un groupe électrogène et que, pour couronner le tout à 200 millions de livres sterling, comme dirait Charles III, l’EHPAD du Conseil constitutionnel dit R.I.P. au second RIP sur les retraites, on peut, en effet, s’attendre, logiquement, à des actions violentes que certains, en l’absence de porte de sortie « démocratique », considéreront comme de la légitime défense.
Bien sûr, Macron non seulement s’en moque, mais s’en sert, n’ayant pas encore réalisé que les choses ont évolué et que, contrairement à ce qu’il s’imagine, si la pression se maintient, le temps ne joue plus forcément en sa faveur et que les picotements qu’il sent dans sa zone anale ce n’est plus seulement Bruno Le Maire qui s’entraîne.
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