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dimanche 28 mai 2023

DÉCIVILISATION : « IL » nous prend (encore) POUR DES CONS ! (29/05/2023)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/F4lDbZndyp8

Bonjour ! 

Le pompier pyromane Macron, pipiromane si l’on tient compte de son incontinence verbale, amplifiée par la sécurité d’en tenir quand même une sacrée couche, ajoute le barbarisme à la barbarie avec son concept de « décivilisation ». Infâme manipulateur et grand-maître de la confusion, il utilise, pour illustrer son propos, les deux seuls cas, dans l’avalanche de faits divers que nous connaissons, qui ont autant à voir avec la « civilisation » que Bruno Le Maire et ses « dix lattés » façon « Starbutts » avec le prix Goncourt. D’abord, une Pierre-Palmadite bis (il va très bien, merci) qui tue, ce coup-ci, 3 policiers pour s’être trouvés au mauvais endroit au mauvais moment, ce qui, contrairement à d’autres, tués eux dans le feu de l’action (et dans l’indifférence la plus totale) par des thuriféraires de Victor Hugo diplômés en physique quantique qu’il est toujours délicat de dénoncer, leur vaut des funérailles nationales qui ne mangent pas de pain politique. 

Ensuite, mélangeant les vaches et les Gérard Larcher, il y agglutine le fait que la déliquescence de l’État, de l’hôpital et de la justice (sur laquelle sa responsabilité est écrasante) ait permis qu’un fou dangereux, connu et identifié (et non, je ne parle pas de lui) se balade en liberté et tue une infirmière sur son lieu de travail. Il n’a pas osé rajouter au mix les commentaires désobligeants au festival palmipède de Cannes sur la fille de Benjamin Biolay, laquelle n’est visiblement pas « bio » et n’a pour elle (pas de pot, elle morfle pour les autres) que son statut « d’encore une fille (ou un fils) de », mais nul doute que l’intention y était. 

On aurait apprécié ce genre de dénonciation agglutinante Macronienne au moment de l’affaire Lola, en commentaire des enrichissements culturels à répétitions (par voie vaginale pour les plus chanceuses) de personnes âgées grabataires et de tout ce qui ne court pas assez vite, des rodéos urbains (par des gens qui ne le sont pas) jusque dans les galeries marchandes des supermarchés, des exactions des supporters anglais au Stade de France, des fusillades quotidiennes pour le privilège de fournir les gars de la narine, de la version moderne des attaques de diligences sur l’autoroute A1, des « féminicides » commis par des hommes génériques sans aucune autre caractéristique particulière qui saute aux yeux, des chauffeurs de bus agressés ou tués, des harcèlements dans les transports et sur les trottoirs pas assez larges, des centaines d’attaques au couteau quotidiennes, des zones de non-droit, des go-fast non seulement pour la drogue, mais désormais pour faire entrer des migrants dont 2000 sont discrètement déplacés chaque mois de Paris vers la province en prévision des J.O. afin que le Monde entier puisse se focaliser sur les rats, des commissariats attaqués, des collectionneurs d’OQTF compulsifs, des mosqu…, des synago…, arrr ! des églises pillées, des cimetières profanés, des profs qui ont littéralement la tête ailleurs ou se font tabasser, des pompiers caillassés, des combats à la machette entre bandes rivales, de l’explosion des cambriolages, de la surpopulation carcérale, de la saturation de l’espace culturel par une musique de merde, du massacre en règle de notre langue, de l’effondrement de notre système de solidarité sous le poids de la misère du Monde, des urgences pour gens pas pressés, des squats de domiciles de personnes âgées, de la crise du logement face à l’afflux de nouveaux arrivants... 

C’est tout cela (qui fait que le Canada nous place au même rang que l’Afrique du Sud dans ses conseils de prudence aux voyageurs) et, malheureusement, bien d’autres choses encore, que les gens comprennent quand on leur parle de « décivilisation » alors que celui qui aura lancé sciemment le mot et l’aura hypocritement utilisé en regard de cas particuliers qui n’ont rien à voir, aura beau jeu, ensuite, à la moindre réaction, de jouer les vierges effarouchées devant un Darmanin qui descend sa braguette et de traiter ceux qui seront tombés dans le panneau de « racistes », vocable utilisé sur les autochtones (et les autochtones seulement) pour diaboliser toute velléité naturelle d’autopréservation. 

De même qu’un animal malade attire les parasites comme un siège de député vacant, la raison première de notre déchéance est la perte de sens et de transcendance au profit d’un matérialisme égoïste, lequel détruit toute forme de solidarité organique qui est pourtant la seule qui subsiste en cas de crise. D’abord la solidarité ethnico-culturelle primale (sans laquelle la notion même de pays n’aurait jamais vu le jour) puis, cette ligne de défense tombée, notre noyau civilisationnel occidental, la famille (et non point la tribu, comme ailleurs) devenue mononucléaire avant d’exploser en vol. À défaut de pouvoir guérir le chien, on peut au moins le soulager de ses puces lesquelles, sans être la cause première et j’insiste sur ce point, aggravent encore la situation et compromettent toute infime chance de rétablissement qui pourrait encore subsister. 

En jouant sur les mots, comme avec l’outil à faire des moulinets de Brigitte (pour ceux qui ont vu la dernière production de La Bajon qui pourrait être littéralement la dernière), Macron n’aborde pas une des causes qu’il a certes contribué à amplifier, mais qu’on ne peut pas, honnêtement, faire reposer sur ses seules épaules déjà passablement chargées, même si ce n’est pas la raison première pour laquelle il aime à se pencher en avant. Tout en faisant un clin d’œil aux LR dont une agitation aussi stérile que les follicules pileux de leur leader autour de l’immigration est la seule cartouche qui leur reste, il parvient ainsi, bien qu’en donnant l’impression du contraire, à éviter de dénoncer ouvertement l’importation massive d’individus non « miscibles » tout en en faisant des cibles entières. 

Individus auxquels, d’ailleurs, contrairement à ce que certains font aux pompiers, je ne jette pas particulièrement la pierre, mais qui sont issus non seulement d’une autre civilisation, mais carrément d’un autre continent. Outre le fait qu’ils ont découvert l’électricité avant nous grâce aux pyramides, nous séparent des dizaines de milliers d’années d’évolution dans des directions différentes et des systèmes de valeurs, parfaitement respectables, mais parfois complètement antinomiques ; les uns considérant, par exemple, notamment dans le foot, que les autres peuvent se carrer leur drapeau arc-en-ciel, aboutissement ultime de la civilisation occidentale, dans un endroit susceptible de leur faire plaisir et n’étant pas très chauds, bizarrement, pour que leurs enfants changent de sexe alors même que la procédure, ce n’est pas une blague, est prise en charge à 100% par la sécurité sociale, ce qui vaut bien le déficit qu’on nous annonce ces jours-ci. 

Contrairement aux Italiens et autres Espagnols issus des vagues d’immigration précédentes, lesquels se sont dilués façon fonds Marianne et même s’il y a, bien évidemment et heureusement, des contre-exemples au niveau individuel, une fois atteinte une certaine masse critique, ce que même la gauche danoise a fini par comprendre, c’est la force d’attraction centripète du groupe qui prévaut chez ces individus qui, tels les glaçons dans le whisky ne se dissolvent jamais. Même après 2000 ans de supposée présence, il s’en trouvera toujours pour revendiquer encore EUX-MÊMES être différents, avec tout ce que cela implique de dissonance cognitive. C’est particulièrement criant chez certains que, pour des raisons qui confirment la problématique, il est devenu périlleux de nommer, mais qui ont ouvert la voie, par l’exemple, au communautarisme indissoluble, notamment en poussant des « hauts-CRIF » contre-productifs, rendant impossible le rejet des autres communautarismes sans tomber dans un deux poids, deux mesures, difficile à justifier. 

Sauf à ce que l’on passe tout ce beau monde à la raboteuse assimilationniste en les obligeant soit à renoncer complètement à leur identité et leur religion soit à partir ; indépendamment, encore une fois, de leur attitude individuelle qui peut sembler tout à fait correcte en surface (de même que tout arbre, bon ou mauvais, contribue de la même façon à la création d’une forêt) ces individus (ou leur descendance sur l’évolution de laquelle ils n’ont aucun contrôle) continueront à générer mécaniquement, même à leur corps défendant, des kystes communautaires présentant un risque confrontationnel évolutif non négligeable et permanent, à fortiori dans une « république » qui se veut constitutionnellement « une et indivisible ». Qu’est-ce que le concept foireux de « vivre ensemble » si ce n’est la reconnaissance, certes hypocrite et lâche, mais explicite, de ces différences irréconciliables. 

Le « vivre ensemble », choisi par personne et imposé à tout le monde, ne peut « fonctionner » que sous haute surveillance policière. Ce qui nous amène à la cause secondaire de la « décivilisation », 100%, elle, imputable à Macron, à savoir que quand la police est réorientée de ses missions régaliennes de lutte contre la criminalité et la délinquance vers le matraquage d’abord des Gilets Jaunes, puis de toute personne manifestant sa désapprobation contre le viol permanent des institutions, la vente à la découpe du pays et son assujettissement volontaire à la dictature de la dette, lesdits kystes communautaires, qu’on a par ailleurs laissés grossir au-delà du raisonnable, ne peuvent que s’enflammer à tous les sens du terme, détournant, cerise sur le clafoutis, l’attention des masses des premiers responsables de la situation et faisant oublier la réforme des retraites, tandis que les médias essaient de nous faire croire que la page est tournée et que la cote de Macron remonte. Il est vrai qu’il multiplie les pains sur la foule en colère et que ça lui donne un petit côté Jésus-Christ, un miracle est donc toujours possible, une crucifixion aussi. 

Toujours est-il que, pendant que les actes physiques se multiplient à une vitesse ahurissante, reléguant même les meurtres violents à la rubrique des casseroles écrasées, la liberté d’expression qui non seulement ne provoque pas plus la violence que la fumée ne provoque l’incendie mais, au contraire, en dénonce directement les causes, est chaque jour, justement pour cette raison, davantage réprimée. De même, les libertés individuelles fondamentales sont piétinées, lourdement, façon descente de lit de Marlène Schiappa. Le projet de loi et de programmation du ministère de la Justice 2023/2027 prévoit, par exemple, rien moins que les perquisitions de nuit et l’activation à distance des caméras et micros des dispositifs électroniques, même éteints, tels les téléphones. Si en sortant des toilettes vous tombez sur le GIGN alerté par les décibels ou qu’au saut du lit vous êtes arrêtés pour intégrisme en raison d’« Ô mon Dieu, oui, encore(s) ! » intempestifs, vous saurez désormais pourquoi. 

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