Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 5 novembre 2023

ISRAËL mal barré, LINKY coquin, INSEE à la ramasse, HOLD-UPS Olympiques et autres catastrophes (06/11/2023)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/nhV7IhxhinQ

Bonjour ! 
À peine remis des 40 bébés décapités atteints, post-mortem, de la même photophobie infantile et adolescente que Brigitte Macron, voilà qu’on nous annonce de nouveau l’indicible : après des décennies de compte rond, un 6 000 001e Juif aurait été jeté dans un four ; un bébé qui plus est, non décapité, mais cuit vivant, thermostat 7 (on suppose sans préchauffage), un bout dudit four étant même (selon le témoin) resté collé au corps calciné, d’où l’intérêt des systèmes à pyrolyse si vous prévoyez un génocide. Je ne doute pas une seule seconde qu’il existe des individus capables de faire non seulement ça, mais pire. J’ai même entendu parler d’un pays où l’on avorte 230 000 bébés par an, qui est passé de la 3e à la 20e place européenne en matière de mortalité infantile et où on a injecté aux gamins survivants un produit expérimental, tout en les traumatisant avec des masques, au prétexte qu’ils pourraient tuer leurs grands-parents, tandis que des hommes en jupe venaient leur expliquer, dès la maternelle, que c’est bien de se stériliser en changeant de sexe, d’autant que faire des enfants qui émettent du CO2 et qui pètent, c’est mauvais pour la planète. 
 
Cette mithridatisation fait que je suis un peu moins sensible qu’Éric « Nolleau qui coule », lequel, confronté en direct à cette annonce, avec une pudeur qui l’honore, a presque réussi à retenir ses larmes. En outre (vide), mon empathie est « empathie » tempérée par le fait que, contrairement aux 6 000 000 de personnes qui ont précédé ledit bébé dans cette odieuse contribution au réchauffement climatique, si l’on en croit des responsables locaux, une partie de la presse et le fait qu’Einthoven a subrepticement supprimé ses tweets sur le sujet, il est possible qu’il ait plutôt été au moulin qu’au four, même si la chose impliquerait l’improbable existence, à la marge, de membres du peuple élu capables de mentir (peut-être les fameux nazis sans prépuce qui, selon Guillaume Meurice, auraient infiltré leurs rangs). 
 
Conditionné par son vieux réflexe, Israël a commis l’erreur de jouer, une fois de plus, la carte de la concurrence victimaire. Nonobstant l’apparition, sur les réseaux, de photos d’enfants martyrs palestiniens avec des mains à 6 doigts (rappelant qu’à l’ère des IA et de Bruno Le Maire, on ne peut absolument plus faire confiance à personne) même en grattant les fonds de tiroirs… de fours, devant la disproportion criante des morts et des souffrances du camp d’en face, c’est un jeu que, cette fois, il ne peut pas gagner. En tant qu’envahisseur qui sera contesté tant qu’il restera un primo-occupant en vie, ce qui exclut toute solution à deux états, sa seule option tactique (et son moment de vérité) aurait été de sidérer tout le monde, avant que le furoncle de la colère internationale n’ait eu le temps de mûrir, en effectuant immédiatement une frappe nucléaire sur Gaza, rejoignant la Corée du Nord dans la liste des pays aussi intouchables que Caroline Fourest par le membre d’un membre du patriarcat toxique, parce que prêts à se couper un bras et à crever avec leurs adversaires plutôt que de renoncer à ce qu’ils sont. Netanyahou y a probablement pensé, mais il a loupé sa fenêtre de tir. 
 
Le statu quo n’est plus possible non plus, car il n’était viable que grâce à l’épouvantail de l’appui indéfectible des États-Unis, appui à sens unique, aussi incompréhensible, pour le reste du monde, que le « en même temps » macronien et qu’on nous vend, outre le fait d’être aussi un pays d’envahisseurs mais qui a définitivement génocidé son problème, comme résultant de la fascination pour Israël des presbytériens et autres protestants américains dont, par ailleurs, le nombre s’amenuise avec l’arrivée massive d’hispaniques catholiques. En fait, il faut plutôt chercher l’explication du côté de l’arnaque mise en place par le puissant lobby sioniste qu’on appelle l’AIPAC, sans l’approbation duquel il est difficile d’être élu aux USA et qui, rien qu’en 2022, a appuyé, en échange du soutien à l’état hébreu, rien moins que 365 candidats, soit la majorité des républicains et des démocrates de la Chambre, troquant ainsi quelques millions pour les frais de campagne contre des milliards d’aide militaire, aux frais du contribuable américain. Mais ledit contribuable, de moins en moins dupe, commence massivement à tourner casaque, faisant que des politiciens, comme récemment Ocasio-Cortez, ne craignent plus de s’opposer ouvertement à l’AIPAC et, avec une armée US devenue « inclusive », technologiquement surclassée par la Russie, la Chine (et même l’Iran dans certains domaines), dirigée de surcroît par quelqu’un qui n’a plus l’électricité à tous les étages, l’épouvantail n’effraie plus grand monde. 
 
Il n’y a plus guère qu’en France où on fait encore le ratio, à coup de règle de trois et de loi Gayssot, en divisant la somme des mensonges par les 6 000 000 de fois où des descendants de Moïse ont dit la vérité sur les horreurs perpétrées par les nazis avec prépuce, leur laissant encore un peu de marge avant d’être décrédibilisés en tant qu’entité la plus mathématiquement digne de confiance de la planète. D’autant que, peu excités par la 15e rediffusion du film érotique mettant en scène Élisabeth Borne et un escargot, intitulé « 49-3 nuances de petit-gris », des parlementaires LR, plutôt que de se consacrer à des trucs inutiles comme faire tomber le gouvernement en votant une motion de censure, ont cerné les véritables enjeux et, dans la lignée de Kevin Bossuet qui propose que tout le monde porte la Kippa, ont déposé un projet de loi contre l’antisionisme, parce que sinon, dixit : « ça pourrait importer le conflit chez nous », ce qui revient à interdire de ne pas aimer Israël tout en continuant à importer en masse des gens qui ne l’aiment pas. Citoyen respectueux de la loi, je continuerai donc d’écouter religieusement Meyer Habib et BHL même s’il existe une poignée de gens encore plus mathématiquement crédibles… dans les bureaux de l’INSEE par exemple. 
 
Cet organisme, chargé de nous faire considérer, avec optimisme, que la bouteille est passée d’à moitié vide à 3,72% pleine, a subitement réalisé qu’en météorologie, le froid ressenti était supérieur au froid réel et en a donc conclu, au moment de publier les chiffres pour le troisième trimestre (ce n’est pas une blague), que le PIB ressenti pouvait-être plus élevé que le PIB réel lequel s’effondre, façon chaise Ikea sous Gérard Larcher, et ce bien qu’on y ait inclus le chiffre d’affaires de la drogue et de la prostitution, cette dernière étant durement affectée par la concurrence déloyale de toutes ces grand-mères qui se font violer gratuitement quasiment tous les jours. C’est ainsi que grâce à des concepts novateurs tel le « bien-être monétaire », mesuré en interrogeant des gens choisis au hasard avec la plus haute rigueur scientifique et un doigt mouillé avec juste ce qu’il faut d’eau distillée chimiquement pure, ce nouvel indicateur fait de la France le leader mondial en PIB ressenti, et il est vrai qu’en comparaison avec l’antérieur, mon ressenti « postérieur » est relativement profond. Un PIB ressenti d’autant plus élevé qu’on n’a pas reçu sa facture d’électricité. 
 
Mais le gouvernement a pensé à tout puisqu’il expérimente la possibilité, grâce au compteur Linky, tant décrié par d’infâmes complotistes, de diminuer la consommation en baissant la puissance dudit compteur à distance, au cas peu probable où l’électricité viendrait à manquer cet hiver au prétexte fallacieux que ledit gouvernement aurait mis la Russie à genoux (chose dont l’Ukraine nous remercie en refusant de renouveler l'accord de transit de gaz russe vers l'Europe), se serait fâché avec les pays producteurs de gaz et de pétrole du Golfe pour, entre autres macronneries, avoir soutenu inconditionnellement Israël (qui nous remercie en bombardant l’antenne de l’AFP et l’institut français à Gaza), aurait ruiné EDF, refusé de sortir de l’ARENH et sabordé notre production nucléaire. Reste la chaleur animale, raison probable pour laquelle Macron, qui pense loin, veut inscrire le droit à l’avortement dans la constitution. En d’autres termes, si vous êtes parti manifester pour le climat en laissant 2 radiateurs allumés et que le cumulus et le frigo s’enclenchent en même temps, même si vous payez un abonnement de 9 kWh, le compteur va disjoncter et, à votre retour, vos poissons rouges seront aussi morts que Matthew Perry, et votre grand-mère, sous respirateur artificiel, aussi. Merci qui, merci Linky. 
 
Pendant ce temps, n’en déplaise aux poutinolâtres, comme nous l’annoncent les médias depuis le début, l’Ukraine continue sa tactique consistant à faire semblant de perdre pour prendre la Russie par surprise lorsqu’elle s’y attendra le moins : idéalement une fois que ses chars seront à dix kilomètres de la frontière polonaise. Afin de maximiser ledit effet de surprise, une partie des armes, payées avec nos impôts, a même été confiée au Hamas pour laisser croire à une pénurie. Ledit Poutine, avec ses douze cancers médiatiques, son Alzheimer et ses problèmes cardiaques n’aura plus alors d’autre choix que de se réfugier en rampant dans son bunker. 
 
Un bunker qui fait, hélas, défaut autour du stade de France où, même si tout se passe très bien et qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter, après la délégation olympique et paralympique japonaise victime d’une attaque « à la diligence » à Saint-Denis, cette semaine, c’est au tour de la délégation olympique mongole de se faire détrousser et délester de 600 000€, ce qui fait que, pour l’instant, elle est médaille d’or dans cette nouvelle discipline. 
 
Les complotistes se sont également trompés sur le vaccin, tellement efficace que plus personne ne voit l’intérêt d’une dose supplémentaire, de sorte que Pfizer se retrouve dans le rouge et ce d’autant plus, qu’après évaporation, liée, on suppose, au réchauffement climatique, seulement 8,6 milliards étaient rentrés officiellement dans ses caisses. Confronté, depuis, à une chute vertigineuse de ses ventes, une faillite ne serait pas exclue. Heureusement que, contrairement aux produits pour déboucher le nez, les fameux vasoconstricteurs qui, comme les boas éponymes, après des décennies de délivrance sans ordonnance, sont subitement responsables de l’envolée des crises cardiaques et des embolies pulmonaires, les vaccins expérimentaux, eux, n’y sont strictement pour rien, car, sinon, en cas justement de faillite, ceux qui auraient pu être victimes des effets secondaires qui n’existent pas, voire, pour les plus subversifs, des effets secondaires de leurs effets secondaires, n’auraient alors plus d’interlocuteurs à qui demander de dédommagement. 
 
Toutefois, que lesdits complotistes se rassurent, sauf à ce que le bâtiment s’effondre suite à l’encastrement de deux avions dans deux autres immeubles quelques centaines de mètres plus loin, comme pour Enron, aucun risque que les mails avec Ursula et autres échanges avec nos dirigeants ne s’égarent durant le désordre consécutif à la liquidation éventuelle. 
 
Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.

1 commentaire:

  1. J'adore toujours votre humour mais ne commente jamais.
    Là je vois qu'il n'y a pas de commentaire.
    Alors je me lance (mais ne tombe pas) et je vous dis : "J'adore, continuez, sachez que je vous lis et sans doute nombre de personnes, régulièrement.
    Merci pour vos textes à savourer délicieusement.

    RépondreSupprimer