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lundi 15 janvier 2024

Remaniement : c’est encore pire que ce que vous pensez… (15/01/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/m_wpKAh-1hg

Bonjour ! 

Il faut que quelqu’un ait le courage de le dire : il n’y a pas assez de juifs et d’homosexuels dans la politique française, un état de fait déplorable qui nous renvoie aux heures les plus sombres de notre histoire… depuis l’invention de l’électricité. Même si, comme l’a fort justement souligné, à l’époque, le frétillant Manuel Valls, les uns sont l’avant-garde de la république et que les autres arrivent juste derrière, ce qui peut être dangereux en cas de freinage brusque, force est de constater qu’ils ne sont pas représentés proportionnellement à leurs mérites, même si Meyer Habib fait ce qu’il peut pour occuper un maximum de volume et que le rassemblement national, de son côté, fait largement dans « l’attente ».

Une ostracisation qui fait tache d’huile dans la société civile où les préposés au marteau-piqueur et autres collecteurs d’ordures ménagères cachent visiblement leur kippa et leur drapeau LGBT. Mais j’ai ouï dire que les choses seraient en train de changer grâce à une méthode innovante de cumul qui permettrait d’en caser un petit peu plus. Il se murmure, par exemple, que les 49-3 éructés par Elisabeth Borne n’auraient été qu’une tentative d’expulser une boule de poils coincée au fond de sa gorge, son manque de souplesse faisant qu’il soit peu probable qu’ils aient été les siens, un trichobézoard enroulé autour du caillou allemand que l’on croyait égaré par son père, lequel s’appelait Bornstein. 

Après cette hybridation dans la douleur, il eût été fort dommageable, pour le pays, qu’au prétexte d’un remaniement, nous revinssions en arrière en matière de représentativité 2.0, même si un doublé au poste de Premier ministre semblait aussi peu probable que la découverte d’une photo de Brigitte Macron enceinte confirmée au carbone 14. Et pourtant, probablement en relation avec un prénom d’archange, envoyé par Dieu, selon Christophe Barbier, pour sauver Macron, le miracle semble s’être reproduit, donnant naissance, cette fois, non plus à une créature filiforme et fripée, mais à un être de lumière en tout point parfait. Si la chose est avérée, on ne pourra qu’admirer l’abnégation de celui qui, pour pouvoir chausser les deux casquettes et maintenir un semblant de parité au plus haut niveau de l’État, a dû surmonter le challenge d’un organe aux capacités coulissantes probablement altérées et donc peu adapté aux espaces exigus, à supposer, bien sûr, qu’il ait « séjourné » dans l’intimité du nouveau ministre des Affaires étrangères et non l’inverse, ce qui, de toute façon, ne nous regarde pas. 

Quel dommage que ces deux Premiers ministres d’exception, n’aient pas partagé, de surcroît, une troisième casquette sous forme d’appartenance à un forum économique ou obédience maçonnique quelconque souffrant souvent d’une truellophobie pas assez fermement dénoncée résultant, là encore, en une pénurie de francs-maçons dans la sphère politique. Quel symbole c’eût été : un de ces évènements exceptionnels, lesquels ne se produisent, dit-on, qu’une fois tous les mille ans, quand le trou noir d’Uranus s’aligne sur la constellation du triangle. C’est d’autant plus remarquable que c’est le très viril Emmanuel Macron (qu’on a pu observer, ces jours-ci, en cosplay de boxeur, gants sur l’épaule), lui-même marié à un parangon de féminité, qui, bousculant courageusement les conventions, passant des gnons sur sac de frappe à des mi-gnons en mode Henri III, nous fait ce cadeau inestimable. Un symbole salué dans le monde entier, de la savane africaine aux plaines de l’Oural jusqu’aux rives du Mékong où, enfin libérés de leurs chaînes, des femmes à cheveux bleus et des hommes déconstruits, en liesse, voire en laisse, envahissent les rues, porté.e.s par un vent irrépressible de liberté ou de méthane. 

La France is back, Rachida Dati aussi laquelle, outre sa maîtrise incontestée de la conjugaison du verbe savoir à l’imparfait du subjonctif, d’où sa nomination au ministère de la Culture, est aussi membre du club très fermé des mis en examen dont le jugement approche (pour une histoire de 900 000€ qui lui ont été gracieusement offerts sans contrepartie) et ne pouvait donc pas vraiment refuser l’offre et le traitement Moretti qui va avec, lâchant ainsi la grappe, au passage, à miss Tahiti qui veut se baigner dans la seine, le temps des JO, ce qu’on appelle, en culture gay, se faire un Pierre en deux coups.

Emmanuel Macron l’a dit : il compte sur l’énergie de Gabriel Attal. On ignore s’il se réfère à l’éolienne ou à la thermique, l’homme, bien que contre l’abaya, étant, paradoxalement, à voile… (et à vapeur selon une chanteuse connue), touchant même peut-être un peu à l’hydraulique, car pour paraphraser Corneille et faire taire les médisants qui le trouveraient trop jeune : « l’avaleur n’attend point le nombre des années » d’autant que, pour peu qu’il pédale, il pourrait, en plus, ajouter la mécanique à la collection ; dommage que si des champignons il a, ils ne soient pas nucléaires, mais personne n’est parfait. Gageons que malgré tous ces atouts, il devra consommer beaucoup de café afin de tenir le choc, sachant qu’à partir de « dix lattés » il ne peut que seoir à Bruno Le Maire lequel l’aura désormais au-dessus de lui. Un Bruno Le Maire qui a fait du tellement bon travail qu’il reste en poste, à l’instar des 3 autres cavaliers de l’apocalypse : Dupont-Maserati, Darmanin de jardin et Lecornu habillé, avec, en filigrane, l’ambition de mettre également la Chine à genoux et peut-être le Lichtenstein, s’il lui reste du temps. 

Contrairement à ceux qui, faute d’être trop aidés, avancent par étapettes, l’ascension de Gabriel a été fulgurante. Selon la presse, dithyrambique, il serait brillant, certains lubrifiants « aqueux » reflétant probablement la lumière ; pour ma part, n’ayant vu que sa tête, je n’ai rien remarqué de particulier. Nonobstant, ce n’est pas lui qui décide donc, même s’il sait choisir des collaborateurs honnêtes, comme sa ministre du sport et accessoirement de l’éducation, laquelle admet que ses gosses sont dans le privé parce que le public c’est, en gros, de la substance fécale, ou sa ministre des solidarités qui pensait, à l’époque, qu’un coït marital était supposé produire autre chose que de ladite substance et qui invoque, à présent, une crise aiguë de palinodie pour expliquer son revirement concernant sa position, quelles que soient ses qualités, soit c’est le poulain choisi par le système, auquel cas on lui laissera peut-être faire deux ou trois concessions pour ne pas se griller, accompagnées de promesses verbales comme les 32 milliards pour l’hôpital avant que, comme à l’accoutumée, il ne prenne une ligne de poudre… d’escampette avant qu’on ne réalise qu’il n’a rien fait du tout ; soit, dans le cas contraire, ce sera simplement « anus » horribilis pour tout le monde. 

Le seul but de Macron étant de durer jusqu’à la fin de son mandat pour s’assurer que la France ne puisse pas s’en relever, Attal est juste une de ces diversions dont il a le secret qui lui permettent de gagner 3 mois entre chaque enc… réforme impopulaire, le temps que le soufflé retombe. Ensuite il dira : « regardez là-bas, des européennes ! » ce qui lui fera gagner 3 mois de plus et, après la déculottée (et plus si affinités) qui va probablement s’en suivre (parce que ça va « barder, là ») on aura un autre remaniement qui lui fera encore gagner quelques mois, sachant que s’il tient jusqu’à un an et demi des présidentielles, les gens considèreront que ce n’est plus la peine de se révolter et attendront patiemment l’échéance pour se faire baiser encore une fois par le système qui, telle une araignée, tisse patiemment sa toile. Après, comme en Pologne, où s’installe une véritable dictature européiste au mépris des institutions, il sera trop tard. 

Pendant que nos médias, dégoulinants, eux-aussi, d’une infecte hétérosexualité antisémite et non fraternelle, nous gavent avec Attal, Depardieu et Alain Delon en large, pas un mot sur la gilet-jaunisation de l’Allemagne, entièrement bloquée par des dizaines de milliers de tracteurs et de camions ainsi que des grèves illimitées dans les transports avec l’appui des commerçants, le tout massivement soutenu par la population et qui font écho aux cris d’agonie de nos agriculteurs, passés, eux aussi, sous silence. Ce serait ironique que le renversement de l’UE débute en Allemagne, où même la gauche, avec Sarah Wagenknecht, devient farouchement anti-immigration, même si je ne suis pas sûr que, sauf à couper littéralement des têtes, seule chose que redoute l’oligarchie, cette dernière, qui reprend déjà des éléments de langage et de diabolisation macroniens, se laisse intimider, parlant même de dissoudre l’AFD ; d’autant qu’elle a fini par croire à ses propres salades et par sombrer dans un fanatisme idéologique qui passe avant les considérations économiques qui étaient, pourtant, la finalité consensuelle de départ de ses mensonges. 

D’ailleurs, le camp du bien a commencé à bombarder le Yémen sans mandat de l’ONU pour protéger l’approvisionnement d’Israël afin qu’il puisse continuer à bombarder démocratiquement Gaza et désormais le Sud Liban, tandis que Zelensky n’a plus que des chars de GayPride à opposer à Poutine et que le résultat des élections à Taïwan vient de faire remonter la température dans la région de quelques degrés, selon où l’on place le thermomètre. Tout ça ne peut que bien se terminer. 

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