Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/AMY8lkrmvks
Bonjour !
À l’exception de Patrick Buisson surnommé, depuis qu’il est feu, l’ardent Buisson et non l’inverse (faut pas pousser non plus), de la chair à canon plus ou moins circoncise des conflits dont on nous parle et de ceux dont on ne nous parle pas, du salopard qui nous a englués dans le mensonge européen et dont on ne dira plus en le voyant vieillir : « Tiens, Delors dure ! », de Thomas qui s’est banalement suicidé en se jetant contre un innocent couteau, du petit ange Nahel qui slalome à présent sans permis parmi ses 72 …. 71 …. 70… enfin parmi les vierges qui lui restent et des victimes adultes de la mort subite du nourrisson (sans rapport aucun avec une quelconque vaccination), contre vents, marées et dilatations anales, globalement, nous avons survécu à 2023… pour payer des impôts et des taxes en 2024 et bosser jusqu’à 64 ans en dépit de l’arrivée massive de physiciens quantiques supposés justement payer nos retraites et non se payer des retraitées comme certains, moins versés dans notre belle langue que des traducteurs afghans, semblent l’avoir compris.
Encore un de ces mystères irrésolvables, à l’instar de la photophobie de notre première dame, dont l’IA la plus fiable de la planète en matière de reconnaissance faciale, capable de distinguer 1,4 milliard de Chinois entre eux, ose prétendre qu’elle n’est pas Brigitte Trogneux et que La Fontaine avait raison en décrétant : « si ce n’est toi, c’est donc ton frère… ». Peut-être que si BFMTV en parlait, ses audiences catastrophiques remonteraient. Heureusement, après l’échec de l’anusophile Ruquier, placé là par l’anusophile Fogiel, placé là par l’anusophile... mais je m’égare, il leur reste l’affaire Depardieu, et Depardieu, mathématiquement ça fait 4, comme les cheveux qu’on coupe autour, en raison d’ex-bombes à retardement lacrymal dont c’est le métier de pleurer sur commande lesquelles n’avaient rien à cirer de la solidarité féminine dont elles se réclament aujourd’hui quand elles nageaient dans les paillettes et qu’elles exhibaient leur arrière-train de vie et leur poitrine refaite sous le nez de leur femme de ménage.
Actrices que l’on entend moins, lorsque les perpétrateurs ne sont pas des mâles blancs de plus de 50 ans, mais des individus exotiques à vous créoliser rectalement un Mélenchon sans les mains, sur les viols dans les halls d’immeubles de jeunes et moins jeunes femmes qui, elles, n’obtiennent rien en échange, sauf peut-être le VIH et un pin’s « padamalgam ». L’affaire Depardieu, c’est juste le cinéma qui se meurt de sa médiocrité depuis sa confiscation par un entre-soi subventionné et de la dévaluation marchande des corps, provoquée par la libération féministe des mœurs rendant impossible l’éclosion de nouvelles stars dans une surenchère de fesses et ce, le temps que l’intelligence artificielle, qui remplace déjà avantageusement les instagrammeuses, mette tout le monde d’accord et au chômage.
En attendant, il reste les super zéros Marvel dont le principal super pouvoir consiste à changer de sexe et de couleur (un peu comme les personnages de Disney), les films éternels sur les méchants nazis qui traitent les Juifs comme de vulgaires Palestiniens, les Cléopâtre noires, les Napoléon erratiques et les chefs-d'œuvre comme les « SEGPA » dont le public auquel ils sont destinés assure la 4D sans lunettes dans les salles de cinéma jusqu’à l’intervention de la police.
Ce n’est pas la loi immigration, guère plus efficace, avant même son passage par le Conseil constitutionnel, qu’un coup de taser sur un mineur bien « isolé » qui va changer les choses.
Rien que ce 28 décembre, à Cannes, après avoir demandé à une dame qui passait de lui montrer ses seins et devant le refus raciste de cette dernière d’accéder à cette requête pourtant on ne peut plus normale, un migrant, pris d’une juste colère, lui a cogné la tête contre le trottoir avec une modération qui l’honore, histoire de lui apprendre la politesse élémentaire, puis, réalisant que son nez n’était pas parfait, le lui a gratuitement redressé à coups de pied, salissant malheureusement ses baskets au passage. On ignore encore si le juge va condamner, comme il se doit, cette dame pas assez ouverte à l’autre à payer les frais de teinturier.
Dans ces conditions, que vous souhaiter, amis survivants, pour 2024 ?
Santé, bonheur et prospérité, par les temps qui courent, c’est peut-être un peu trop demander. Ne pas succomber à un excès trop tranchant de sentiment d’insécurité afin d’être encore là en 2025, me semblerait déjà pas mal.
Et collectivement, on peut souhaiter au pays un maximum de liberté d’expression, car si on ne peut pas dénoncer les problèmes on ne risque pas de trouver de solutions. Le hic, c’est qu’identifier les problèmes conduit à identifier les causes, ce qui conduit à identifier des coupables lesquels font donc tout pour brouiller les cartes, aggravant encore la situation. Certes, éliminer l’incendiaire n’a jamais arrêté un incendie, de même que stopper l’immigration, même si c’est souhaitable, n’empêchera pas que flambe la natalité des Français de papier hautement inflammable et autres résidents plus ou moins légaux qui sont déjà là et suffisent, à eux seuls, à nous grand remplacer à l’horizon 2050, d’autant qu’on vient de décréter 111 nouveaux quartiers prioritaires (prioritaires pour les subventions illimitées sous peine d’émeute s’entend), soit un total de 1362 zones de non-droit réparties pour la première fois sur l’ensemble du territoire jusqu’en Lozère.
J’ai longtemps pensé que commencer par la chasse au coupable revenait à mettre la charrue avant les Gérard Larcher, mais il me faut bien admettre que ce n'est plus le cas si c’est ledit coupable qui détient la clé du local des camions de pompiers et que non seulement il a allumé le feu, mais qu’il empêche de l’éteindre, voire en déclenche de nouveaux sans arrêt, car il sait qu’une fois le sinistre maîtrisé, tout le monde va se retourner contre lui. Depuis Robin des bois, lorsque l’incendiaire se niche au cœur du pouvoir, le réflexe est de saper son autorité en prenant le maquis où l’on se replie après avoir éliminé des sbires de-ci, de-là et saboté des infrastructures, mais la technologie, les satellites, la vision infrarouge, les caméras de surveillance, les traceurs GPS et tout ce qu’on ne sait pas, font que, même en forêt de Sherwood ou, à défaut, dans les tréfonds du bois de Boulogne (où, en outre, on risque d’être repérés par Frank Tapiro et son épouse), ce n’est plus possible aujourd’hui. Le seul moyen serait une gigantesque vague populaire spontanée, un tsunami, lui aussi de plus en plus improbable, le pouvoir profond s’ingéniant à nous diviser en nous diversifiant et en brisant la cohérence ethnico-culturelle et les idéaux nationaux qui l’accompagnent.
Nous en sommes donc réduits à espérer que le mouvement de fond vienne d’ailleurs en regardant ce qui se passe en Ukraine, Israël, Asie et USA.
Pendant que la France crame, à la demande de l’état profond américain justement, notre flotte, consciente des priorités du gouvernement, essaie d’empêcher le blocus d’Israël par les rebelles Houthis en mer rouge, lesquels en font des caisses (à Houthis). Généreuse avec nos sous, notre marine tire en moyenne deux missiles à 2 millions d’euros pièce pour intercepter chaque drone à 10 000 € lancé par lesdits Houthis, et ce, sans présenter la facture à personne. Pendant ce temps, on continue d’allonger pour l’Ukraine sans qu’on n’ait jamais demandé, ni à vous ni à moi, si on était d’accord, tout en transférant le peu d’autorité qui nous reste à l’Union européenne en passe de réaliser rien moins qu’un coup d’État et de se proclamer état fédéral.
J’attendais le discours de Macron avant de clôturer cette vidéo, espérant que, pour une fois, en plus de parler, il allait dire quelque chose, preuve que je suis un éternel naïf. Il a remercié la maniaque du 49-3, plutôt que de la « remercier » et, pan ! dans le nez de ceux qui le disaient impuissant, annoncé que la flèche de Notre-Dame est désormais dressée dans le ciel. Il paraît qu’il a fait plein de choses bien en 2023, que la France rayonne dans le Monde et qu’il va encore accélérer en 2024... sauf si, trompés par les mensonges de vils défaitistes, nous renoncions au paradis du plein emploi décarboné, enfin à portée de main, en votant mal aux européennes et en bloquant la possibilité d’une Europe souveraine qui a enfin les moyens de nous protéger contre l’immigration en accueillant mieux les gentils migrants et en faisant quelque chose d’indéterminé aux autres pour les faire partir…
Sur ces belles paroles, bonne survie à tous !
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