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samedi 6 juillet 2019

Communautarisme blanc ? (4 sept. 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/GvNMbBLdXWw


Bonjour,
le gaulois est beaucoup de choses. Selon Macron, il serait même réfractaire au changement. C’est vrai que quand on nous annonce, avec des yeux de chèvre morte et un rictus narquois, qu’on va continuer à nous la mettre profond, mais que, pour cause de restrictions budgétaires, on va devoir se passer de vaseline, certains rétrogrades, parmi-nous, ont la fâcheuse manie de s’énerver un petit peu et de serrer obstinément les fesses. Pour autant, pas si sûr qu’on puisse y voir une forme de réfractivité au changement proprement dit, étant donné que pas besoin de sondage pour subodorer que beaucoup des infâmes lgbtphobes qui, de façon incompréhensible, refusent cette offre généreuse d’un bon chatouillis de prostate Jupitérien, ne verraient certainement aucune objection à un changement … de président.
Toujours est-il donc, que si le gaulois, en particulier (et le Français, en général) est beaucoup de choses, il n’est pas raciste. C’est d’ailleurs dommage car s’il l’avait été vraiment, il n’aurait pas culpabilisé, dans les années 70, quand on lui a appris que si-si, il l’était, et ne se serait pas laisser refourguer, pour prouver le contraire, l’escroquerie du regroupement familial qui a dissuadé les travailleurs du Maghreb de rentrer simplement chez eux, comme initialement prévu, quand il n’y a plus eu de boulot en France. Merci Giscard, merci Chirac, lesquels illustrent parfaitement l’escroquerie du mot droite qui prétend réunir, sous le même vocable, la défense du capital et de l’économie de marché, qui a besoin d’immigration, et la défense des valeurs et de l’identité, laquelle a des besoins exactement contraires, et qu’on ne met en avant qu’en période électorale pour gagner les élections avant de ranger, soigneusement, la casquette nationale et les promesses afférentes dans la mallette de farces et attrapes, jusqu’à la prochaine représentation.
Non seulement on lui a répété et répété au Français qu’il était raciste, mais on lui a même donné des raisons de l’être en important, massivement, des allogènes, rendus hostiles et agressifs par le lavage de cerveau de l’antiracisme. Mais rien à faire, pour un Français, quelqu’un qui se comporte comme un Français, c’est un Français, point barre. C’est ça notre logiciel de base. Pour autant, le système, gêné par la réciproque de ce positionnement, est opiniâtre et a toujours plusieurs fers au feu ; il est donc très facile, en évitant un piège, de tomber dans un autre, ledit système étant, généralement, derrière les solutions les plus apparentes, qu’on nous propose, aux problèmes qu’il a lui-même créés. L’un de ces pièges étant de baser notre solidarité, et le communautarisme de réaction indispensable à ne pas se faire bouffer, uniquement sur la couleur de la peau. On n’a certes pas vraiment le choix car, qu’on le veuille ou non, résultat de décennies de conditionnement par les copains d’Harlem Désir, de Julien Dray et de BHL et de la culture de la victimisation, les autres communautés nous perçoivent, désormais, en tant que blancs et nous rejettent en bloc comme un collectif quelles que soient nos positions individuelles ; et les bobos, qui croient qu’avoir manifesté aux côtés des migrants leur vaudra de faire l’objet d’une clémence quelconque quand l’heure sera venue de tomber les masques, n’ont rien compris au film. Les regarder se faire massacrer en premier sera d’ailleurs, probablement, avec la confirmation d’avoir eu raison, une des maigres et amères satisfactions qui nous seront accordées quand ils auront laissé entrer, sur notre sol, un nombre suffisant d’allogènes pour que la situation dégénère.
Cette idée du communautarisme blanc, calqué sur la culture américaine qui non seulement n’est pas la nôtre, mais a contribué, plus encore que l’immigration, à nous priver de notre identité, sans parler des conséquences de ses guerres impérialistes continuelles, dans la plus pure tradition anglo-saxonne, cette idée donc, est poussée insidieusement par des médias, largement dominés par l’élite d’une certaine communauté, qui partage notre couleur de peau mais pas nos intérêts, et que, raison pour laquelle elle pousse, on se doit, si la couleur de la peau est le seul critère pris en compte, de considérer comme étant dans notre camp alors même que, comme je l’ai déjà dit souvent, même si elle n’est pas la seule, elle n’est pas pour rien dans l’affaiblissement de notre pays et que si le sionisme, qui n’est qu’une forme de patriotisme, est parfaitement légitime en Israël, il est une plaie dans le reste du monde. Pour ceux qui croient que j’exagère, voici un tableau, datant de 2013, je n’ai pas hélas trouvé plus récent, avec, en rouge, ce que Manuel Valls appellerait « l’avant-garde de la république » dans les organigrammes de tous les grands médias américains, ceux qui expliquent au monde entier ce qui est bien ou non, drôle ou non, et plébiscitent ces négations de l’ordre naturel que sont les délires extrêmes du LGBT, du féminisme et de l’immigrationnisme. Ça fait, quand même, beaucoup de rouge. Bon, après, les goûts et les couleurs…
A leur décharge, ils ne font qu’exploiter la nature humaine et sont simplement visiblement plus doués pour occuper des places qui, sans eux, seraient quand même occupées par nos pourris à nous. Probablement d’ailleurs que beaucoup, comme dans toute communauté qui se respecte, se cooptent simplement entre eux, parce que la soupe est bonne, sans forcément se réunir tous les vendredis pour planifier, de concert, la fin de la civilisation, même si, la façon dont ils se sont concertés pour virer le même jour Alex Jones de toutes leurs plateformes, donne du grain à moudre à ceux qui pensent le contraire. Dans tous les cas, même si cela ne fait jamais plaisir à entendre, il convient de rappeler que le système n’est pas juste un corps étranger. C’est un sous-produit de l’humanité qui fait partie de notre nature profonde et découle du fait que nous avons, à la base, le même comportement collectif qu’un virus qui croît jusqu’à la destruction complète de son hôte et, par voie de conséquence, la sienne. Donc si l’on place suffisamment longtemps un groupe d’individus, tirés au hasard, sur une île déserte, non seulement une hiérarchie va instantanément se mettre en place, mais un certain nombre de parasites va commencer à tirer les ficelles en douce.
Il est clair que, plus le temps passe, plus ledit système devient une entité à part entière qui s’éloigne toujours plus de l’humanité, la nature, qui a horreur du vide, ayant trouvé ainsi le moyen de remplacer nos prédateurs naturels que nous avons éliminés. Il n’en demeure pas moins que, sauf à en faire un Phoenix qui renaîtra inlassablement de ses cendres, on ne peut lutter efficacement contre ledit système sans mettre en place des mécanismes de sécurité rigoureux et impitoyables, qui prennent en compte le fait qu’il existe en nous et se nourrit de nos impératifs génétiques de survie, lesquels nous rendent égoïstes et manipulables. Notre orgueil nous pousse à valoriser l’individualisme alors que nous sommes incapables de survivre hors de la société. Et en tombant dans cette illusion, ramenés à l’individu, nous sommes tous vulnérables et, de fait, achetables pour un peu de sécurité, d’où l’entretien par les médias d’un état de peur permanent, qui nous pousse à accepter, sans broncher, d’être des esclaves salariés. Il n’y a pas à en avoir honte. On fait ce que l’on peut pour nourrir sa famille et ce sacrifice est plus qu’honorable.
En revanche, il faut avoir l’humilité de se regarder honnêtement dans la glace et cesser de croire au mythe du héros solitaire vendu par Hollywood qui, après s’être fait frapper, poignarder et tirer dessus, se relève tranquillement et va vaincre un méchant clairement identifiable, le tout se finissant par un happy-end avec un top model, sans que personne ne lui présente, à la fin, l’addition pour avoir détruit, ce faisant, la moitié de la ville (ou de la planète selon le budget du film en effets spéciaux). Dans la vraie vie, l’ennemi n’est pas facilement identifiable, il fonctionne en réseau et le héros solitaire, quand il n’est pas instantanément tué, contrairement aux suppôts du système, qui eux ne payent jamais rien (c’est d’ailleurs un excellent moyen de les identifier), se voit toujours présenter l’addition à la fin. D’où le besoin de forger, nous aussi, des réseaux.
Un autre avantage du communautarisme blanc pour le système est, qu’après avoir échoué à nous vendre l’Europe par le biais de l’économie et de la « paix dans le Monde », c’est un excellent moyen de créer une solidarité européenne artificielle, basée sur la défense contre un ennemi commun, lui-aussi amené chez nous de manière totalement artificielle et orchestrée. Encore une fois, au point où on en est, c’est une question de survie et on n’a plus vraiment le choix, mais il faut se battre pour mettre d’abord en avant ce qu’il reste de notre culture et de notre identité, ce qui, outre le fait, du coup, de pouvoir élargir notre communauté à des gens, peu nombreux mais qui existent, qui n’ont peut-être pas notre couleur de peau mais sont, objectivement, plus proches de nous qu’un bobo macronien végan, fera que, même si l’on parvient, au bout du compte, à éviter la charia, ce ne sera pas pour devenir, au final, des Américains d’Europe, des homo-consumerus, avec, simplement, la spécificité de manger du camembert, pasteurisé qui plus est.
On ne peut pas gagner en tant qu’européens, c’est un concept qui n’a aucun sens même si, quand on est confronté à des gens qui viennent, non seulement d’un autre pays, mais d’un autre continent, par comparaison, ça peut faire illusion. Pour être polyglotte, ce qui, du temps de Fernand Raynaud, était fort pratique pour coller les timbres, je sais à quel point la seule structure de la langue conditionne la façon de penser ce qui fait, par exemple, que, en termes de fonctionnement et de structure mentale, les Allemands sont plus proches des Japonais, qui comme eux mettent le verbe en fin de phrase, que des Français ou des Espagnols. Du simple fait de parler dans une autre langue que la sienne, on pense différemment. Ajoutez les différences ethniques et culturelles, qui sont considérables dès qu’on creuse un peu, et vous comprendrez pourquoi, sauf à imposer par la force une langue commune (ce qu’on essaie de faire avec l’anglais), la construction européenne est vouée à l’échec.
Les peuples ne combattent que s’ils savent qui ils sont. C’est cette prise de conscience identitaire qui fait leur force et c’est leur force qui impose le respect sans lequel il n’y a pas d’alliance possible, juste des relations de vassalité. Les Hongrois, par exemple, sont un peuple fier, ils le démontrent chaque jour. Notre boulot, en tant que Français, c’est de redevenir un peuple fier, challenge qui, par les temps qui courent, s’apparente à l’escalade du Mont-Blanc à trottinette. La victoire ne viendra pas de je ne sais quelle solidarité européenne autour d’une culture commune de superficie, mais d’un effet d’émulation entre des peuples qui se respectent dans leur spécificité et leur identité. C’est la résistance du groupe de Visegrad qui a, indirectement, inspiré l’Italie. C’est la contagion du ras-le-bol italien qui fait que, même l’Espagne, commence à sortir de sa torpeur. C’est ce vent du changement, ainsi généré, qui souffle aussi sur l’Allemagne à Chemnitz, chose qu’on nous présente comme des débordements d’extrême droite chassant les migrants dans la rue…
Dans la réalité, au cas particulier, tout est parti d’une manifestation spontanée, essentiellement de femmes, des vraies, pas des féministes hystériques, pour rendre hommage à un Allemand, tué de 25 coups de couteau, tandis que ses deux amis sont dans un état grave, à l’hôpital, pour être intervenus et avoir empêché un groupe de migrants de violer une Allemande. Les Antifas ont essayé de bloquer violemment la manifestation et, du coup, les jeunes de la ville et les supporters de l’équipe de foot sont sortis dans la rue, pour protéger les femmes, et leur ont mis la pâtée. D’autres gens, couples, retraités se sont joints à eux, dans une manifestation spontanée, de milliers de personnes, qui réclamait l’expulsion de tous les migrants criminels et le départ de Merkel, débordant complètement les forces de l’ordre qui, comme d’habitude, comptaient sur les antifas pour faire le sale boulot. Il n’y a eu aucune chasse au migrant, en revanche, des antifas, pour une fois, se sont vu contester leur monopole de la rue. Il n’y aura pas de révolution si les vraies femmes ne se lèvent pas. Et là, pour une fois, c’est ce qui s’est passé. Quand ce sont les femmes qui sont à l’initiative d’un mouvement révolutionnaire spontané, les hommes suivent, et c’est quelque chose qui peut durer et vite échapper à tout contrôle. Le système politico-médiatique a donc, en catastrophe, sorti l’artillerie lourde, déployé des milliers de policiers et distillé ses mensonges et ses contre-feux médiatiques, mais il se passe définitivement quelque chose de nouveau en Allemagne, notamment en Allemagne de l’est, qui a été moins touchée par la castration par la SHOAH et a conservé quelques réflexes identitaires. Il nous incombe, à nous aussi, de surfer sur cette vague qui monte, et de retrouver notre identité.
Bien sûr, nous sommes tellement gangrenés par une idéologie d’extrême-gauche que ça ne concernera pas tout le monde, sachant que certains sont définitivement hors de portée de la raison et de la logique. En terme clinique, ça s’appelle des fous et notre boulot c’est de montrer au mougeon (ce mix de mouton et de pigeon qui se fait baiser, à chaque élection, sans en tirer de conséquences, mais qui commence quand même à se douter de quelque chose), que nous sommes gouvernés par des fous, que nous sommes informés par des fous et, surtout, que nous sommes nombreux à nous en rendre compte. Il est bien évident que je ne vous demande pas, pour ça, de risquer votre boulot ou votre intégrité physique, car lesdits fous sont dangereux et vindicatifs, mais, ceux qui le peuvent, doivent parler et parler fort pour les autres.
De temps à autre certains d’entre vous me signalent, dans les commentaires, qu’ils ont créé une chaîne YouTube ; j’en ai regardé quelques-unes et, vraiment, ce que je vois est très encourageant, pour ne pas dire impressionnant. Encore une fois, je ne vends rien et je suis conscient que cette chaîne, par nature éphémère, a une épée de Damoclès au-dessus de la tête, l’avantage étant que je ne cherche pas à m’accaparer ou à défendre une part d’un hypothétique gâteau, ce qui me donne l’opportunité, tant que je suis-là, d’encourager ce genre d’initiative. Pour ce que ça vaut, je vais donc mettre une playlist sur la page d’accueil de ma chaîne avec une vidéo de chacun de ceux qui sont dans ce cas de figure et qui me le demanderont dans les commentaires. Il doit, bien sûr, s’agir de votre vidéo à vous et pas d’une vidéo issue de telle chaîne sur laquelle vous êtes tombés par hasard et qui vous a bien plu. Aucune idée de l’impact que ça aura, mais si ça peut vous apporter quelques vues et faciliter votre décollage, c’est déjà ça de pris. Quant à ceux qui ne font pas de vidéos et qui ont un peu de temps, c’est un excellent moyen, dès que cette playlist sera en place, en allant voir ces vidéos et en n’hésitant pas à faire des critiques constructives, de contribuer à diffuser un peu de bon sens et de raison dans ce qui reste du Pays de Descartes.
Merci pour votre fidélité, votre soutien, vos likes et vos partages, souvent courageux compte tenu des thèmes abordés, et également, je ne le signale pas assez souvent, pour la grande courtoisie dans les commentaires en dépit de discussion parfois animées. Ça change de ce qu’on voit ailleurs, et ça fait vraiment plaisir. Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste d’avoir un discours honnête, logique et argumenté et, si votre avis diffère, n’hésitez pas à le partager dans les commentaires. A très bientôt... j’espère.

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