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Bonjour,
le trait commun de toutes les idéologies délétères qui détruisent notre civilisation et ce à quoi on les reconnait, c’est le déni de la réalité et leur obstination à vouloir la remplacer par des chimères supposées s’affranchir des lois naturelles. Ces délires sont rendus possibles par une extrême segmentation des nos activités qui nous fait perdre de vue le schéma général. Acheter des wings de poulet au supermarché n’a plus rien à voir avec le fermier qui élevait et tuait lui-même ses poules, le pain de mie en tranches nous fait oublier ce que c’était que d’avoir conscience des graines qui sont plantées et cultivées, puis moulues par un meunier avant d’être travaillées par un boulanger dont la sueur se mêlait au levain avant de s’évaporer dans le four à bois, bois que quelqu’un avait coupé à la hache. On a perdu la conscience de cette chaine au point que même les enfants ne sont plus une continuité mais sont ravalés au rang de produits préemballés pour parfaire l’illusion que des paires (PAIRES) de même sexe sont équivalentes à des couples. Pour autant, quand le monde ne nous plaît pas, c’est un réflexe naturel que de se réfugier dans le fantasme et même parmi ceux qui sont assez conscients de la réalité pour dénoncer et combattre lesdites idéologies, il est dangereusement facile de perdre de vue la chaîne évènementielle et de créer du concept hors-sol. C’est le cas par exemple avec la remigration que beaucoup évoquent, comme un concept éthéré à la « YAKA », « FOKON » donnant l’impression qu’il suffirait d’appuyer sur un bouton pour que des gens, dont beaucoup sont venus ici illégalement et qui s’asseyent gentiment depuis, pour certains en tout cas, sur nos lois et coutumes, se mettent d’un coup à respecter lesdites lois et à obtempérer en quittant gentiment le pays en rang par deux avec leur petite valise à la main. D’autres tout aussi naïfs, ou ne voulant pas regarder en face le recours à la violence qui serait indispensable, dépeignent la chose comme une immigration à l’envers et cultivent l’illusion que la progressivité hyperbolique qui a fonctionné pour permettre l’invasion migratoire fonctionnerait dans l’autre sens et qu’on pourrait envisager une remigration douce étalée sur une ou deux décennies et qu’il suffirait, en gros de demander gentiment et de couper les pompes aspirantes pour inverser les flux.
Ça ne marchera pas, d’abord parce que, sauf à ce que l’Afrique devienne enfin l’Eldorado qu’elle devrait être compte tenu de ses ressources, quels que soient les problèmes et les obstacles que l’on pourra dresser sur leur route, nos allogènes auront toujours plus d’opportunités ici que chez eux, un chez eux mythique et souvent idéalisé qui, pour certains, même s’ils détestent la France, ne leur est pas davantage adapté que notre hexagone, notamment les ré-indigénisés des 2éme ou troisième générations et plus. Par ailleurs, ils ont déjà mis en place des réseaux de solidarité et de substitution ainsi que des économies parallèles basées sur la drogue et autres. Ensuite parce qu’un nombre non négligeable d’entre eux, qu’on n’est pas, et ça devrait nous inquiéter, en mesure de quantifier, est là en mission de conquête, prêt à tous les sacrifices pour faire de notre continent une terre d’Islam. Enfin, parce que ça n’a jamais marché dans l’histoire et que toutes les remigrations connues, à commencer par les pieds noirs d’Algérie, se sont faites à grands coups de pied au cul, métaphore poétique ne reflétant pas l’aspect sanglant du processus. Tous ceux qui parlent de remigration et ne vous disent pas ça sont soit des bobos qui s’ignorent, soit des naïfs, soit des escrocs. Une remigration, c’est violent, très violent et il faudra casser beaucoup d’œufs pour faire cette omelette d’autant plus qu’une démographie galopante qui nous menace tous et qui bizarrement ne suscite aucune invocation du fameux droit d’ingérence va sans cesse augmenter la pression migratoire selon le principe élémentaire des vases communicants et qu’il faudra lui opposer toujours plus de force pour l’endiguer, sachant que la seule façon d’empêcher de venir quelqu’un qui risque de mourir chez lui, c’est qu’il soit sûr de mourir chez nous. Il est intéressant de noter que nous sommes les seuls que cette perspective inquiète. Les pays dont sont issus les gens qu’on répugne à remigrer n’ayant eux, aucun état d’âme quand la situation est inversée. Il n’est qu’à voir le massacre orchestré des blancs par le gouvernement Sud-Africain, alors même que ces derniers sont arrivés là en même temps que les ancêtres de Nelson Mandela, originaires au départ du Zimbabwe, juste à temps pour sauver les vrais habitants, les Bochimans que ces derniers massacraient allègrement et que maintenant qu’ils sont au pouvoir ils traitent de nouveau avec le plus profond dédain. Les blancs sont ostracisés pour la couleur de leur peau, les entreprises sont obligées de les licencier jusqu’à ce que leur pourcentage en interne reflète leur pourcentage dans la population, soit 8 % et en baisse constante, quasi quotidiennement, des fermiers blancs sont massacrés et atrocement torturés dans l’impunité la plus totale pendant des heures par des groupes armés, femmes enfants et bébés compris, lesquels, pour vous donner une idée de la barbarie dont il est question, sont jetés vivants dans de l’eau bouillante ; le gouvernement en rajoute même une couche en requalifiant ces atrocités de simples vols avec violence et en annonçant qu’il va exproprier lesdits fermiers sans compensation, les politiques chantent « il faut tuer les boers » sur les estrades, des ghettos de blancs sans emploi se créent dans les villes et on leur refuse soins médicaux et scolarisation des enfants juste parce qu’ils sont blancs, les viols massifs sont classés sans suite, les meurtres également, la police ne se déplaçant que si la victime est noire, etc. Il est évident que, comme par exemple le gouvernement Algérien qui depuis des décennies masque son incompétence en blâmant le colonisateur Français pourtant parti depuis longtemps pour tous les problèmes du pays, ce qui explique l’animosité autrement incompréhensible de certains ressortissants, on peut comprendre l’intérêt d’entretenir et d’amplifier la haine du blanc en faisant croire à des populations misérables que s’ils sont pauvres, ce n’est pas à cause de la corruption du gouvernement et de l’application d’un système communiste qui n’a jamais marché nulle part mais à cause des fermiers blancs. Mais cela revient à se tirer une balle dans le pied, car les noirs sont en train, faute de savoir-faire, de rendre définitivement stériles les terres qu’ils récupèrent et qu’ils finissent par abandonner, de plus tous les blancs virés n’ont pas été remplacés par des personnes compétentes compte tenu du fait qu’il est très dur de produire en masse des ingénieurs quand le QI moyen de la population noire locale est de 65, soit un des plus bas de la planète. Et même si souvent on embauche plusieurs personnes pour en remplacer une, toutes les infrastructures sont en train de se casser la figure, problèmes d’eau, d’électricité, corruption endémique, suivant la voie tracée par le Zimbabwe dont la population crève la bouche ouverte et qui essaie désespérément et sans succès de faire revenir quelques-uns des blancs qu’il a chassés.
En revanche, sur la méthode, on ne peut nier qu’elle est efficace et que si les pays européens étaient aussi empressés à accueillir ces Sud-Africains qui ont le tort d’être trop blancs, trop instruits, trop chrétiens et trop qualifiés pour qu’on leur ouvre nos portes malgré ce qui ressemble à un apartheid à l’envers avec un petit côté génocidaire en plus qu’ils le sont à accueillir de potentiels terroristes juste sur leur bonne mine, le pays serait déjà quasiment nettoyé de toute « blanchitude ». C’est à ça que ressemble une incitation à la remigration efficace, même si on peut faire ça de manière plus intelligente, plus humaine et pour d’autres raison qu’un racisme gras sans aucune justification logique, économique ou autre, sinon, au cas particulier la haine viscérale du blanc.
Car, avant même de parler de remigration, il faut déjà être clair sur les buts de ladite remigration. Et là aussi, pas grand monde pour oser dire que face aux temps difficiles qui s’annoncent, il est indispensable d’avoir le pays le plus homogène possible, le plus intelligent possible, le plus compétent possible et le plus solidaire possible. Il faut donc casser les communautés et se débarrasser au maximum et rapidement du plus grand nombre possible de ceux qui ne sont pas assimilés ou assimilables, cumulent faible QI et propension à la violence, pillent et plombent la solidarité nationale ainsi que de tous ceux qui d’une manière générale ont à cœur les intérêts d’un autre pays avant le nôtre et bénéficient d’une double nationalité qu’elle soit de leur choix ou non.
Donc, quand vous parlez de remigration, si vous êtes sérieux, c’est de tout ça dont vous parlez. Sachant que dès qu’ils seront plus forts que nous (et compte tenu de notre apathie, ils n’ont pas besoin d’être majoritaires pour ça suivant l’exemple d’une certaine communauté), ils nous rappelleront à quel point nos bons sentiments ne sont pas réciproques et notre morale et tabous humanitaires ne sont pas universels. Il est malheureusement impossible de simplement regarder cette vérité en face en pseudo-démocratie, surtout quand nos dirigeants eux-mêmes travaillent contre-nous rejoins par une partie de la population dont le cerveau a été lavé à 60° avec triple essorage et c’est pour cela que, sauf miracle, même les attentats ayant produits des charlies au lieu d’une insurrection, la survie de nos civilisations me semble largement compromise.
Merci de liker et de partager. Je ne prétends pas détenir la vérité, juste donner un avis logique, honnête et argumenté pouvant servir de base à une discussion ouverte. Les commentaires sont là pour ça. Compte tenu du vent de censure qui souffle actuellement sur YouTube, je vous mets en lien ma Chaîne PewTube, lien à conserver quelque part au cas où cette chaîne serait de la prochaine charrette. A bientôt, j’espère.
le trait commun de toutes les idéologies délétères qui détruisent notre civilisation et ce à quoi on les reconnait, c’est le déni de la réalité et leur obstination à vouloir la remplacer par des chimères supposées s’affranchir des lois naturelles. Ces délires sont rendus possibles par une extrême segmentation des nos activités qui nous fait perdre de vue le schéma général. Acheter des wings de poulet au supermarché n’a plus rien à voir avec le fermier qui élevait et tuait lui-même ses poules, le pain de mie en tranches nous fait oublier ce que c’était que d’avoir conscience des graines qui sont plantées et cultivées, puis moulues par un meunier avant d’être travaillées par un boulanger dont la sueur se mêlait au levain avant de s’évaporer dans le four à bois, bois que quelqu’un avait coupé à la hache. On a perdu la conscience de cette chaine au point que même les enfants ne sont plus une continuité mais sont ravalés au rang de produits préemballés pour parfaire l’illusion que des paires (PAIRES) de même sexe sont équivalentes à des couples. Pour autant, quand le monde ne nous plaît pas, c’est un réflexe naturel que de se réfugier dans le fantasme et même parmi ceux qui sont assez conscients de la réalité pour dénoncer et combattre lesdites idéologies, il est dangereusement facile de perdre de vue la chaîne évènementielle et de créer du concept hors-sol. C’est le cas par exemple avec la remigration que beaucoup évoquent, comme un concept éthéré à la « YAKA », « FOKON » donnant l’impression qu’il suffirait d’appuyer sur un bouton pour que des gens, dont beaucoup sont venus ici illégalement et qui s’asseyent gentiment depuis, pour certains en tout cas, sur nos lois et coutumes, se mettent d’un coup à respecter lesdites lois et à obtempérer en quittant gentiment le pays en rang par deux avec leur petite valise à la main. D’autres tout aussi naïfs, ou ne voulant pas regarder en face le recours à la violence qui serait indispensable, dépeignent la chose comme une immigration à l’envers et cultivent l’illusion que la progressivité hyperbolique qui a fonctionné pour permettre l’invasion migratoire fonctionnerait dans l’autre sens et qu’on pourrait envisager une remigration douce étalée sur une ou deux décennies et qu’il suffirait, en gros de demander gentiment et de couper les pompes aspirantes pour inverser les flux.
Ça ne marchera pas, d’abord parce que, sauf à ce que l’Afrique devienne enfin l’Eldorado qu’elle devrait être compte tenu de ses ressources, quels que soient les problèmes et les obstacles que l’on pourra dresser sur leur route, nos allogènes auront toujours plus d’opportunités ici que chez eux, un chez eux mythique et souvent idéalisé qui, pour certains, même s’ils détestent la France, ne leur est pas davantage adapté que notre hexagone, notamment les ré-indigénisés des 2éme ou troisième générations et plus. Par ailleurs, ils ont déjà mis en place des réseaux de solidarité et de substitution ainsi que des économies parallèles basées sur la drogue et autres. Ensuite parce qu’un nombre non négligeable d’entre eux, qu’on n’est pas, et ça devrait nous inquiéter, en mesure de quantifier, est là en mission de conquête, prêt à tous les sacrifices pour faire de notre continent une terre d’Islam. Enfin, parce que ça n’a jamais marché dans l’histoire et que toutes les remigrations connues, à commencer par les pieds noirs d’Algérie, se sont faites à grands coups de pied au cul, métaphore poétique ne reflétant pas l’aspect sanglant du processus. Tous ceux qui parlent de remigration et ne vous disent pas ça sont soit des bobos qui s’ignorent, soit des naïfs, soit des escrocs. Une remigration, c’est violent, très violent et il faudra casser beaucoup d’œufs pour faire cette omelette d’autant plus qu’une démographie galopante qui nous menace tous et qui bizarrement ne suscite aucune invocation du fameux droit d’ingérence va sans cesse augmenter la pression migratoire selon le principe élémentaire des vases communicants et qu’il faudra lui opposer toujours plus de force pour l’endiguer, sachant que la seule façon d’empêcher de venir quelqu’un qui risque de mourir chez lui, c’est qu’il soit sûr de mourir chez nous. Il est intéressant de noter que nous sommes les seuls que cette perspective inquiète. Les pays dont sont issus les gens qu’on répugne à remigrer n’ayant eux, aucun état d’âme quand la situation est inversée. Il n’est qu’à voir le massacre orchestré des blancs par le gouvernement Sud-Africain, alors même que ces derniers sont arrivés là en même temps que les ancêtres de Nelson Mandela, originaires au départ du Zimbabwe, juste à temps pour sauver les vrais habitants, les Bochimans que ces derniers massacraient allègrement et que maintenant qu’ils sont au pouvoir ils traitent de nouveau avec le plus profond dédain. Les blancs sont ostracisés pour la couleur de leur peau, les entreprises sont obligées de les licencier jusqu’à ce que leur pourcentage en interne reflète leur pourcentage dans la population, soit 8 % et en baisse constante, quasi quotidiennement, des fermiers blancs sont massacrés et atrocement torturés dans l’impunité la plus totale pendant des heures par des groupes armés, femmes enfants et bébés compris, lesquels, pour vous donner une idée de la barbarie dont il est question, sont jetés vivants dans de l’eau bouillante ; le gouvernement en rajoute même une couche en requalifiant ces atrocités de simples vols avec violence et en annonçant qu’il va exproprier lesdits fermiers sans compensation, les politiques chantent « il faut tuer les boers » sur les estrades, des ghettos de blancs sans emploi se créent dans les villes et on leur refuse soins médicaux et scolarisation des enfants juste parce qu’ils sont blancs, les viols massifs sont classés sans suite, les meurtres également, la police ne se déplaçant que si la victime est noire, etc. Il est évident que, comme par exemple le gouvernement Algérien qui depuis des décennies masque son incompétence en blâmant le colonisateur Français pourtant parti depuis longtemps pour tous les problèmes du pays, ce qui explique l’animosité autrement incompréhensible de certains ressortissants, on peut comprendre l’intérêt d’entretenir et d’amplifier la haine du blanc en faisant croire à des populations misérables que s’ils sont pauvres, ce n’est pas à cause de la corruption du gouvernement et de l’application d’un système communiste qui n’a jamais marché nulle part mais à cause des fermiers blancs. Mais cela revient à se tirer une balle dans le pied, car les noirs sont en train, faute de savoir-faire, de rendre définitivement stériles les terres qu’ils récupèrent et qu’ils finissent par abandonner, de plus tous les blancs virés n’ont pas été remplacés par des personnes compétentes compte tenu du fait qu’il est très dur de produire en masse des ingénieurs quand le QI moyen de la population noire locale est de 65, soit un des plus bas de la planète. Et même si souvent on embauche plusieurs personnes pour en remplacer une, toutes les infrastructures sont en train de se casser la figure, problèmes d’eau, d’électricité, corruption endémique, suivant la voie tracée par le Zimbabwe dont la population crève la bouche ouverte et qui essaie désespérément et sans succès de faire revenir quelques-uns des blancs qu’il a chassés.
En revanche, sur la méthode, on ne peut nier qu’elle est efficace et que si les pays européens étaient aussi empressés à accueillir ces Sud-Africains qui ont le tort d’être trop blancs, trop instruits, trop chrétiens et trop qualifiés pour qu’on leur ouvre nos portes malgré ce qui ressemble à un apartheid à l’envers avec un petit côté génocidaire en plus qu’ils le sont à accueillir de potentiels terroristes juste sur leur bonne mine, le pays serait déjà quasiment nettoyé de toute « blanchitude ». C’est à ça que ressemble une incitation à la remigration efficace, même si on peut faire ça de manière plus intelligente, plus humaine et pour d’autres raison qu’un racisme gras sans aucune justification logique, économique ou autre, sinon, au cas particulier la haine viscérale du blanc.
Car, avant même de parler de remigration, il faut déjà être clair sur les buts de ladite remigration. Et là aussi, pas grand monde pour oser dire que face aux temps difficiles qui s’annoncent, il est indispensable d’avoir le pays le plus homogène possible, le plus intelligent possible, le plus compétent possible et le plus solidaire possible. Il faut donc casser les communautés et se débarrasser au maximum et rapidement du plus grand nombre possible de ceux qui ne sont pas assimilés ou assimilables, cumulent faible QI et propension à la violence, pillent et plombent la solidarité nationale ainsi que de tous ceux qui d’une manière générale ont à cœur les intérêts d’un autre pays avant le nôtre et bénéficient d’une double nationalité qu’elle soit de leur choix ou non.
Donc, quand vous parlez de remigration, si vous êtes sérieux, c’est de tout ça dont vous parlez. Sachant que dès qu’ils seront plus forts que nous (et compte tenu de notre apathie, ils n’ont pas besoin d’être majoritaires pour ça suivant l’exemple d’une certaine communauté), ils nous rappelleront à quel point nos bons sentiments ne sont pas réciproques et notre morale et tabous humanitaires ne sont pas universels. Il est malheureusement impossible de simplement regarder cette vérité en face en pseudo-démocratie, surtout quand nos dirigeants eux-mêmes travaillent contre-nous rejoins par une partie de la population dont le cerveau a été lavé à 60° avec triple essorage et c’est pour cela que, sauf miracle, même les attentats ayant produits des charlies au lieu d’une insurrection, la survie de nos civilisations me semble largement compromise.
Merci de liker et de partager. Je ne prétends pas détenir la vérité, juste donner un avis logique, honnête et argumenté pouvant servir de base à une discussion ouverte. Les commentaires sont là pour ça. Compte tenu du vent de censure qui souffle actuellement sur YouTube, je vous mets en lien ma Chaîne PewTube, lien à conserver quelque part au cas où cette chaîne serait de la prochaine charrette. A bientôt, j’espère.
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