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samedi 6 juillet 2019

Réflexion décomplexée sur des sujets qui fâchent (12 juin 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/fpckohHv5_4


Bonjour!
Que la France ne soit pas en mesure de permettre à chaque Français d’y vivre décemment est à peu près aussi normal qu’une poussée d’acné juvénile sur les fesses, qu’on imagine un poil déshydratées et pileuses, de Brigitte Macron. Désolé pour l’image mentale, moi-aussi ça va me hanter. Climat tempéré, richesse du sol, eau abondante, faible densité de population, QI moyen élevé (hors période électorale), jusqu’à il y a peu, relative homogénéité ethnoculturelle préservant des conflits internes insolubles afférents au multiculturalisme, héritage culturel et technologique, population industrieuse à forte productivité, génie français, dissuasion nucléaire, 5e puiss... non ça c’était avant Sarkozy, 6e puiss… non ça c’était avant Hollande, 7e, 8e ? puissance mondiale ? En tout cas plus que le Liechtenstein… Comment se fait-il donc qu’après avoir théoriquement gagné au loto du seul fait d’être nés là, ce qui devrait au moins faire de nous les privilégies qui se goinfrent dans la salle à manger du Titanic qu’est devenue la planète, la seule partie de cette corne d’abondance que beaucoup de gens connaissent c’est la pointe laquelle commence à furieusement leur chatouiller les amygdales après un détour douloureux par l’intestin grêle ? Tout simplement parce que nous sommes spoliés par le haut et par le bas et, faute de liberté d’expression, dans l’impossibilité conceptuelle collective de voir le problème dans sa globalité, ni de le dénoncer sans être obligatoirement des haineux racistes, antisémites, polyphobes et cannibales.
D’ailleurs, à ce propos, YouTube venant d’intensifier sa politique de lutte contre la haine, je précise que vous n’en trouverez pas ici et que je souhaite qu’il soit bien acté que si, en raison d’une interprétation totalement erronée de mes propos, il vous venait l’idée saugrenue d’occire quelqu’un, fût-il une nuisance jupitérienne, je préconise au contraire de le faire avec beaucoup d’amour, en l’étreignant très fort par exemple. Mais bon, revenons à nos mougeons. L’économie de marché n’est pas mauvaise en soi, mais livrée à elle-même, elle n’est rien d’autre que la loi de la jungle, faussée de surcroit, en pseudo démocratie, par le fait que ceux qui squattent le haut de la chaîne alimentaire ne sont pas tenus par les lois et restrictions qu’ils imposent aux autres au nom de l’égalité et avec lesquelles ils se torchent les hémorroïdes, l’article 68 de la constitution qui permet théoriquement de destituer Macron étant visiblement en compétition avec le triple ouate de cellulose les jours où il y a chili con carne à la cantine de l’assemblée. C’est un peu comme si les lions, inspirés par notre premier sinistre installaient des radars tourelles en pleine brousse et limitaient la vitesse à 10 km à l’heure et que toute antilope qui ferait remarquer que lesdits lions ne respectent pas eux ladite vitesse quand ils chassent se voyait alors cordialement invitée à pénétrer seule dans la tanière pour faire part de ses doléances et se faire expliquer la démocratie. Du coup, poussé par le moteur pervers du profit et par l’idéologie, car c’en est une, de la croissance perpétuelle, le marché envahit des secteurs où il n’a rien à faire. Peu importe le bénéfice financier, même si on trouvera toujours des cons pour échanger un rein contre un iPhone, un corps sain mené par un esprit sain ne se défait pas de son pancréas sous prétexte que c’est plus rentable de le vendre et d’importer de l’insuline. Pourtant force est de constater que tous les organes sont non seulement vendus mais bradés sauf le sphincter anal qui lui est carrément offert car déjà trop abimé pour valoir quelque chose. Mais surtout, le bénéfice est à court terme et si les conséquences, désastreuses sur la durée, pèsent sur les épaules de la population autant que le genre masculin du mot vagin sur le néant occipital féministe de Marlène Schiappa, le produit de la vente et les profits sur la dépendance induite, alimentent un système maffieux au bénéfice de 1% de cancrelats, fruits de nos tares collectives et  protégés, en échange de commissions diverses et de miettes confortables, (ou non dans le cas de la police) par une armée de laquais et de politiciens, contre toute tentative populaire de s’immiscer dans leur business. Et la meilleure façon d’empêcher les gens de mettre leur nez quelque part c’est de répandre du répulsif. Ça marche bien contre les chats qui, sociétalement plus avancés que nous, prennent votre potager pour des toilettes publiques inclusives et unisexes.
Pour ce qui est du pillage par le haut, ce répulsif c’est l’antisémitisme. Quelques gouttes suffisent même si un phénomène d’accoutumance conduit à devoir augmenter les doses. Moi je le prends en suppositoire. Il est bien évident, comme disait Saint François des Sales que partout où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie et que même si le peuple « élu » avait perdu l’élection, dans ce système, même sans eux, il y aurait toujours un 1% de privilégiés ; donc , les montrer du doigt en tant que juifs, d’autant plus qu’il ne s’agit là que d’une élite absolument pas représentative de coreligionnaires qu’elle n’hésite pas à mettre en danger par son comportement, est intellectuellement absurde ; pour autant, il est incontestable, que pour X raisons, il y a une disproportion statistique de juifs en haut de la pyramide, lesquels se revendiquent ouvertement en tant que tels affirmant que cela impacte tous les aspects de leur existence. Dans ces conditions, et c’est un peu le but de la manœuvre, impossible de critiquer ce qu’ils font ou ce que fait le 1% dont ils ne sont qu’une partie sans que cela ne soit retourné comme une attaque contre ce qu’ils sont ou croient être. Critiquer des idées ou des concepts c’est facile, ça ne mange pas de pain et tout le monde s’en fout, même Hollande a eu sa seconde de gloire, entre deux croissants, avec son ennemi la finance « sans visage ». Pour une critique efficace et dangereuse, en revanche, il faut montrer du doigt les gens qui se cachent derrière le rideau et citer des noms, mais critiquer, par exemple, un banquier juif dans un monde post-shoahtique, même si factuellement il est juif et banquier, de par les sous-entendus qu’on verra dans le fait d’accoler les deux, est devenu une impossibilité, susceptible de tomber sous le coup de la loi. Pour s’acheter un certificat de non-antisémitisme, sans lequel on a autant de chance de survivre dans le Landerneau médiatico-politique qu’un loukoum en fin de ramadan, il est même vivement recommandé d’être sioniste, concept qui en France a autant de raison d’être que le pangermanisme ou l’atlantisme : si vous faites passer un autre pays avant le nôtre allez vivre là-bas et on en reparle quand après avoir apprécié les délices de la mère patrie, vous reviendrez la queue entre les jambes, ce qui quand on est circoncis peut être douloureux, comme la majorité des naïfs qui font leur aliyah. Toujours est-il que cela donne un marqueur intéressant permettant d’identifier de probables défenseurs, conscient ou non, volontaires ou non, de la partie haute de la tenaille qui nous écrase.
En sus du répulsif, pour que cette spoliation par le haut puisse s’effectuer tranquillement ça ne gâte pas de distraire la plèbe en désignant un bouc émissaire à l’autre bout du spectre, à savoir l’immigration. Attention, bouc émissaire ne veut absolument pas dire innocent, surtout au cas particulier, et ladite immigration constitue ainsi la deuxième partie de la tenaille : la ponction des ressources par le bas, notamment de ce qu’il reste de notre protection sociale, de sorte que celui qui attend depuis 10 ans une place en HLM et se voit griller la priorité par de nouveaux arrivants aura tendance à tourner vers eux sa légitime colère plutôt que vers la spoliation par le haut. Cette immigration a ses propres moteurs et ses propres intérêts politiques poussés par certaines puissances étrangères ce qui fait que ceux qui l’ont encouragée ont en quelque sorte mis le feu mais n’ont qu’un contrôle limité sur comment il se propage et certains commencent à serrer les fesses en voyant lesdites flammes leur lécher la kippa d’un peu trop près, d’où un regain soudain de nationalisme de certaines élites médiatiques, souvent ancien soutiens de « touche pas à mon pote » contre l’invasion islamique qui menace notre civilisation soi-disant « judéo » chrétienne. Comme pour la spoliation par le haut, un répulsif est nécessaire pour tenir à distance le bon sens populaire et l’empêcher d’analyser l’escroquerie qui, elle aussi, génère beaucoup d’argent et fait vivre son lot de parasites au sein d’associations subventionnées. Dans ce cas, le répulsif c’est le racisme et l’islamophobie. Bon, là j’ai pas trouvé en suppositoire. Pourtant le problème de l’immigration, ce n’est pas tant la race (qu’on n’a jamais autant évoquée que depuis qu’elle n’existe plus officiellement) ou la religion que tout simplement le fait qu’elle est potentiellement infinie alors que nos ressources elles ne le sont pas. Il n’en demeure pas moins que, dépassé un seuil, elle modifie un substrat forgé par le temps pour être le mieux en adéquation avec son environnement, de même que le colonialisme, initié je le rappelle par la gauche dans le but louable d’apporter la civilisation aux peuples « inférieurs », sans demander leur avis à ceux qui à l’époque labouraient leur champ dans la Beauce et qui n’y sont pour rien, a perturbé des systèmes auto-régulés par la nature et les maladies, évitant peut être à Rokhaya Diallo de se faire bouffer par un lion misogyne et au lion des dommages irréparables à son système digestif.
L’immigration de masse, par nature, est toujours toxique pour les autochtones, même l’immigration espagnole, que je connais bien, un de mes grands-pères ayant terminé sa vie en prison outre-Pyrénées pour ses opinions politiques. Cette immigration, pourtant à priori de culture et d’ethnie relativement similaire et qui s’est parfaitement assimilée, en important massivement des « rojos », c’est-à-dire souvent des communistes irrécupérables car traumatisés qui ont transmis le gauchisme à une partie de leur descendance, a contribué à faire pencher l’équilibre politique de notre pays dans la mauvaise direction conduisant à Mitterrand, durcissant les œillères politiques des syndicats, nous fournissant des Manuel Valls et autres Anne Hidalgo ainsi que le « mini-moi » de Castaner qui assume n’avoir aucun regret sur les mutilations des Gilets Jaunes. Pourtant, même si les effets délétères de l’immigration ne sont donc que potentiellement aggravés par les différences ethnoculturelles mais pas dépendants d’elles, on nous vend que vouloir limiter l’accès à nos ressources à nos seuls ressortissants, c’est du racisme et pire, dans un pays où la religion officielle est la laïcité, alors que l’Islam ne représente qu’une partie de l’immigration, contrôler ses frontières devient islamophobe. Là encore, comme pour la critique de la spoliation par le haut, on rend volontairement impossible, par la confusion, la dissociation de l’immigré en tant qu’immigré et de l’immigré pour ce qu’il est. Pour ne pas être traité d’islamophobe et de raciste et se couper du ventre mou d’électeurs nourris à BFM TV sans lesquels aucune majorité électorale n’est possible dans un système à deux tours, il faut donc là-aussi en rajouter ; comme Benoît Hamon, aller bouffer un Kebab à Bézier en plein Ramadan ou comme Juan Branco intenter un procès à l’UE pour n’avoir pas empêché le refoulement de migrants en Turquie. On a donc notre second marqueur pour la spoliation par le bas, deuxième branche de notre tenaille et permettant d’identifier les faux amis de gauche. S’agissant de 2 marqueurs différents on comprend mieux, alors que le novice pourrait y voir un pléonasme, qu’on prenne la peine de toujours préciser « lutte contre le racisme ET l’antisémitisme » et on comprend mieux également pourquoi dans un monde où tout est une priorité du gouvernement c’est « plus » prioritaire que la lutte contre le chômage.
Pour ne pas compliquer je n’aborde pas tout ce qui est imposé à la population pour la diviser et l’affaiblir en l’éloignant des vrais problèmes et des centres de pouvoir comme l’idéologie LGBT, ou la surcouche de l’union européenne qui n’est qu’un outil au service d’intérêts qui préexistent et lui survivront, pour les naïfs qui croient qu’une sortie, même si souhaitable, résoudrait mécaniquement les problèmes et que le combat se situe à ce niveau. Donc une fois que le piège est refermé on se retrouve avec une offre politique biaisée avec d’un côté le RN devenu sioniste par parricide mais à fond contre l’immigration, de l’autre une gauche post-Mélenchonienne purgée des dissidents nationalistes, antisioniste tant que ce n’est pas antisémite (ce qui par les temps qui courent est une gageure) mais résolument immigrationniste et, au milieu, les poulets sans tête d’en marche qui, pour le coup, comme dirait Audiard sont une synthèse, tremblant de façon asselinienne à la perspective d’être soupçonnés de racisme ou d’antisémitisme et soutenant ardemment les 2 branches de la tenaille.
J’ai pensé un instant que les gilets jaunes auraient pu être le chaînon manquant luttant enfin contre les deux aspects ou pour la France, ce qui revient au même, et il s’en est fallu de peu, avant que les frileux du politiquement correct et du respect des règles ne les canalisent vers les modes d’action bridés et inefficaces de la gauche et des syndicats. Quand on réalise qu’aucun des 3 points clés de la Charte Jaune supposée servir de colonne vertébrale à une mutation vers la sphère politique n’est l’immigration et encore moins la liberté d’expression totale des opinions, pourtant mère de tous les combats qui se veulent démocratiques, et qui commence par l’abrogation des lois Gayssot et Pleven, cet espoir s’étiole, d’autant plus que, surtout en France, aucune solution n’est possible par les urnes. Pire, le fait que Macron ait cyniquement fait crever des yeux pour rafler les voix des électeur LR qui ne pensent qu’à protéger leurs sous et se voient rassurés par autant de zèle à mater les gueux, a payé. Pour autant le gouvernement et les médias qui, de façon concertée, parlent déjà au passé du mouvement ont peut-être sifflé un peu vite la fin de la récréation. Le génie du système c’est non seulement d’arriver à faire croire à la majorité qu’elle est minoritaire, mais de lui faire croire qu’elle a perdu et de la faire abandonner quelques mètres avant la ligne d’arrivée. Il n’y a aucune raison de succomber à ce défaitisme organisé sachant que c’est justement pendant la période estivale que l’état, déjà au bout du rouleau et à court de marges de manœuvre, est le plus faible et désorganisé. Les CRS seront lourdement handicapés par leur barda en pleine canicule et vivront très mal, en plus de s’être fait sucrer leurs week-ends durant l’année, d’être privés de vacances ; d’autant que, parallèlement, les plus belliqueux vont commencer à réaliser qu’ils vont être jetés comme des kleenex et envoyés en masse comme autant de lampistes devant les tribunaux. En outre, l’afflux de touristes, qu’il serait mal venu de dégommer accidentellement au LBD, démultiplie la visibilité médiatique de toute action, notamment à l’international. Ne pas pouvoir se payer de vacances devient alors un avantage tactique considérable.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

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