Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

jeudi 4 juillet 2019

Crise migratoire, terrorisme...Solutions et mensonges. (2 sept. 2017)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/dy2wtLnSaJQ



Bonjour, Florian Philippot a sorti récemment une vidéo, petit chef-d’œuvre de politiquement correct que je vous mets en lien, pour présenter ses solutions en matière d'immigration, lesquelles se résument, rien de nouveau sous le soleil, à sortir de Schengen, couper les pompes aspirantes et aider l’Afrique. Sur la forme, l'utilisation taquine d'un format graphique jusqu'ici utilisé par l'extrême-gauche est bien vu et l"éloge dithyrambique de Jean-Louis Borloo, à la fin, a dû provoquer un petit orgasme intellectuel à celui qui en a eu l'idée. Sur le fond, en revanche, si les solutions proposées doivent, bien sûr, faire partie de l'arsenal à mettre en place, ce sont celles qui auraient été efficaces il y a trente ans et cela revient, par manque de courage politique, à conseiller la vaccination à quelqu'un dont la gangrène avancée exige une amputation. Comme disait Churchill : "vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur, vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre" qu'on pourrait transposer en pire par "vous avez voulu vous faire accepter par le système pour avoir plus de voix, vous êtes quand même rejetés par le système et vous perdrez les élections. Mais, en même temps, vous en foutez un peu du moment que vos retraites de députés, qui seront payées par le contribuable, vous garantissent d'ores et déjà de vieux jours confortables." Le FN, éternel épouvantail du système, quoi qu'il dise et fasse, ce qui, perdu pour perdu, devrait lui octroyer une grande liberté de parole, préfère s'auto-castrer, démontrant qu'il est bel et bien un parti républicain. Effrayé par les réflexes conditionnés, par des décennies de lavage de cerveau d'un électorat de lemmings suicidaires, il se refuse à tenter un électrochoc qui pourrait réveiller les consciences et préfère chanter, à l'unisson, avec toute la classe politique, "jambalaya donnons-nous la main", tandis que le Titanic fonce tranquillement sur son iceberg multiculturel. En même temps, car même le déni de réalité a ses limites, cette classe politique se moque de nous avec la guerre contre le terrorisme. On utilise une astuce sémantique en jouant sur la confusion entre les expressions "être en guerre avec", qui signifie littéralement être en guerre et "faire la guerre à", qui signifie lutter contre. On peut parfaitement faire la guerre au terrorisme, au tabac, à la drogue... mais en revanche, on a besoin d’un ennemi déclaré pour être en guerre contre (ou avec). Le terrorisme étant un mode opératoire, comme la guérilla ou le pilonnage aérien, être en guerre contre le terrorisme a autant de sens qu'être en guerre contre le pilonnage aérien. La nuance peut sembler subtile à certains donc, prenez le temps d'y réfléchir, mais la manipulation est flagrante. Cela permet d'utiliser le mot "guerre", qui génère toutes les peurs et les réflexes pavloviens dont notre oligarchie a besoin pour justifier son existence, limiter, avec notre accord, nos droits et nos libertés et en appeler à notre sens du sacrifice, le tout, sans avoir à nommer précisément l'ennemi du moment, car il y en a toujours un, et s'il n'y en a pas, on le fabrique. Certes, on a inventé la farce de l'état islamique qu'on a nourri et financé et qu'on pourrait théoriquement vitrifier en 15 minutes avec le même peu de scrupules qu'on a eu à noyer Dresde sous les bombes incendiaires, à balancer de soi-disant bombes "atomiques" sur Nagasaki et Hiroshima, détruire l’Irak et la Libye et j'en passe et des meilleurs... mais, bizarrement, on se découvre d'un coup une fibre humanitaire et on ne saurait commettre ici un acte aussi horrible. On n'a même pas le cœur de les asphyxier financièrement, les pauvres, préférant réserver ces sanctions pour la Russie, avec laquelle on n'est pas en guerre, mais dont le leader n'est pas un fan des LGBTIQQ, même si, lui, ne les décapite pas. A la place, on se bat donc contre le fameux islamisme dont j'attends toujours qu'on me démontre en quoi il est différent de l'islam et prône autre chose que ce qui est écrit dans le coran et les hadiths. Mais dans les deux cas, islam et islamisme, on nous roule encore de la farine car il s'agit d'une idéologie et, toujours le même procédé, si on peut faire la guerre à une idéologie, on ne peut pas être en guerre contre elle. On ne peut être en guerre que contre des ennemis concrets et ils ont beau n'avoir que le "pas amalgame" à la bouche, nos élites savent très bien qu'ils poussent à la guerre civile car l'ennemi immédiat et concret que les gens perçoivent instinctivement, indépendamment, et c'est un autre débat, des forces qui l'instrumentalisent, c'est le musulman, dont la passivité indifférente, quand elle n'est pas bienveillante, envers le terrorisme, dont il héberge souvent, pendant des mois, des auteurs dans quelque Molenbeek, sans jamais les dénoncer, n'appelle pas forcément à la sympathie et à la solidarité nationale. Demander aux gens de faire la distinction entre les gentils musulmans et les méchants islamistes c'est un peu comme si en 1939 on leur avait dit : "bon, on va ouvrir les frontières massivement aux nazis car tous n'interprètent pas Mein Kampf littéralement et on va simplement surveiller et fichier S ceux qui portent un brassard avec une croix gammée ou qui font trop souvent une quenelle inversée, pour qu'ils ne tuent pas trop de gens." Mais il y a encore une manipulation sous-jacente, car si tous les terroristes se revendiquent de l'islam et que son développement, en France, est certes, dépassé un seuil critique, délétère pour notre société, ils ne représentent que le sommet visible d'un problème plus vaste. Tandis qu'on nous focalise dessus, on ne réalise pas que le problème immédiat, et je laisse volontairement de côté ceux qui ont allumé l'incendie, car la priorité c'est d'éteindre le feu, ce n'est pas l'islam, mais l'immigration massive de populations, musulmanes ou non, incompatibles avec le maintien d'une cohérence nationale déjà affaiblie par une américanisation intensive, populations auxquelles vient s'ajouter, issue de parents pourtant officiellement Français, une descendance à progression exponentielle, absolument pas assimilée et pire, en voie de ré-indigénisation, qu'on voit de plus en plus dans la rue, mais jamais dans les statistiques. Si on est en guerre, comme le disent unanimement nos élites, FN compris, alors il faut être cohérent, si possible désigner vraiment l'ennemi, lequel n'est pas toujours celui que l'on croit et surtout, tuer les soldats qu'il nous envoie, d'autant plus que la liste de nos morts, elle, s'allonge après chaque attentat. C'est le principe de la guerre et c'est comme ça que ça a toujours fonctionné, même si la réalité est devenue incompatible avec la démocratie et que, par conséquent, ce qui suit, bien que purement théorique, risque de choquer certains. Un état logique, qui se croit vraiment en guerre, réaliserait donc que, même si la majorité n'est pas armée et n'en est peut-être même pas forcément consciente, les migrants sont utilisés comme une force d'invasion et de déstabilisation. Un état logique, qui se croit vraiment en guerre, décrèterait que la seule présence, illégale, d'un individu sur le sol français constitue donc un acte de guerre et, après avoir donné une date à laquelle les ennemis devront avoir quitté le territoire, histoire de laisser une chance à ceux qui sont de bonne foi de prendre la mesure de la situation et la poudre d'escampette, ne se contenterait pas de ramener gentiment ceux, trop bêtes ou malveillants pour suivre l'injonction, à une frontière qui n'existe plus, mais les passerait systématiquement et publiquement par les armes, conscient que seul un acte symbolique fort pourrait casser l'image erronée d'Eldorado et de bonnes poires que certaines populations du Monde se font de nos sociétés. Et si, histoire de bien choquer les consciences, au lieu d'envoyer des hommes dans la force de l'âge, comme c'est le cas actuellement, l'ennemi se mettait à envoyer au front des femmes et des enfants, lesquels servent traditionnellement de boucliers humains, cet état logique verrait le piège et mettrait ses pudeurs morales de côté, sachant que, contrairement au totalitarisme que les bienpensants et la presse ne manqueraient pas, alors, de le comparer, sans jamais, pour autant, critiquer Israël qui fait déjà plus ou moins la même chose, il ne tirerait pas là sur des populations captives mais sur des kamikazes suicidaires présents sur son sol en connaissance de cause, et contre sa volonté, et qui avaient la possibilité de faire demi-tour à tout moment. Ensuite seulement, la guerre ressemblerait à une vraie guerre car ceux qui viendront, et ils viendront, auront tombé le masque et seront ouvertement hostiles. Dans un même temps, un état logique, qui se croit en guerre, renforcerait ses frontières, lesquelles ne sont pas tant physiques qu'humaines. Si en Pologne ou en Hongrie le flot migratoire est contenu, c'est qu'une fois passée la frontière physique, qui n'est jamais inviolable, les envahisseurs se heurtent à cette frontière humaine qui, chez nous, a été détruite : des populations culturellement homogènes, qui aiment leur pays et qui leur sont hostiles, le tout conjugué à l'absence de communautés déjà implantées capables de leur offrir hébergement et support logistique. Il serait donc logique de recenser tous les binationaux et d'évaluer leur degré d'intégration : emploi, casier judiciaire, maîtrise du français, conjoint de la même origine etc. et de déchoir de la nationalité, et d'expulser, ceux qui ne répondraient pas à des critères minimums. Pour être totalement cohérents, il faudrait ensuite reprendre toutes les dernières naturalisations, en incluant le droit du sol, sur les trente dernières années, en commençant par les plus récentes, selon les mêmes critères, avec les mêmes conséquences. Enfin, le ver étant dans le fruit, les collaborateurs de tous bords qui, lavés du cerveau ou non, travaillent pour l'envahisseur, devraient-être considérés et traités pour ce qu'ils sont en temps de guerre : des traîtres. C'est à ça que ressemblerait la guerre qu'on nous vend si les politiciens croyaient vraiment à leurs salades. Bien entendu, tout cela est totalement impensable dans notre société des fausses pudeurs morales et même si, afin de ne pas faire une vidéo trop longue, je ne traiterai pas des problèmes potentiellement gigantesques que cela poserait ici et à l'international, tant cela interférerait avec le fameux "Nouvel Ordre Mondial" promu par nos élites, on peut déjà imaginer les manifestations de bobos, les sanctions économiques, la "haine" qui se déchaînerait sur nos expatriés, voire les interventions militaires de nos chers "alliés". Pour autant, ce ne serait jamais pire qu'en Syrie. En outre, une fois passés les hauts cris indignés, il y a fort à parier que l'arrêt, quasi instantané, du flot migratoire, lequel irait voir ailleurs, et le probable exode, prudent et massif, d'une partie des populations allogènes présentes sur le territoire, avant même que ne commencent les expulsions annoncées, limiterait le nombre de victimes potentielles qui serait probablement bien inférieur à celui provoqué, rien que dans les eaux de la Méditerranée, par l'attitude humaniste actuelle, et encore plus à celui de la guerre civile qui se profile si on continue à jouer les autruches et qu'on ne crève pas l'abcès. Aucun individu sain, moi le premier, ne souhaite la guerre, mais quand elle nous est imposée, c'est en tout cas ce que les politiques nous disent, on n'a pas d'autre choix que de la faire et, pour l'instant, je ne vois pas en quoi balancer quelques bombinettes dans le désert LA-BAS est censé nous protéger des ennemis qui nous tuent ICI. N'en déplaise au mahatma Philippot, la non-violence n'est pas universelle, de même que les civilisations n'ont pas les mêmes valeurs morales et si, au lieu des Anglais, Gandhi avait eu face à lui Attila et ses Huns ou le prophète Mohammed et ses autres, dans leur phase décapitatoire, il aurait probablement fini éventré, la tête sur une pique et on n'aurait jamais entendu parler de lui. Merci de liker et de partager et si vous avez des éléments, pour ou contre, de nature à enrichir le débat, les commentaires sont là pour ça.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire