Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

jeudi 4 juillet 2019

L'arnaque LGBT (15 sept. 2017)

Vidéo Censurée sur YouTube. Vous pouvez la visionner avec un de ces liens :
https://www.brighteon.com/5826152505001
https://www.bitchute.com/video/chbqdncDRSCW/
https://bit.tube/play?hash=QmaJBqSknDHrhoVm11guCativaXYHyYJU8N5w8gqrPPxgr&channel=237534

Bonjour, cette vidéo n'a pas pour objectif de juger les personnes ou les pratiques, chacun étant libre d'occuper ses loisirs comme il l'entend, tant que cela n'interfère pas avec la sécurité de ses concitoyens et avec leur droit à vivre une vie normale. En revanche, je suis concerné par le lobbying, les abus de langage et les distorsions de la réalité qui eux, relèvent d'une idéologie qui va beaucoup plus loin que les pratiques et les gens qu'elle prétend défendre et qui contribue, avec d'autres, à la dislocation de notre société. Le lobby LGBT, en termes de représentativité est aux homosexuels lesquels, pour la plupart ne revendiquent rien qu'un droit légitime à l'indifférence, ce que le CRIF est à la communauté juive : une protubérance bruyante et fanatique qui pousse à l'exaspération des masses par une attitude agressive, exaspération sur laquelle elle s'appuie ensuite pour justifier ladite agressivité, le tout généreusement subventionné par nos impôts. Le décès récent du, faute de descendance, peu regretté Pierre Bergé, pour lequel les femmes pauvres avaient vocation à louer leur ventre, prive ses moutons, pour le coup sans "berger", à la fois d'un mécène important et d'une certaine puissance de feu médiatique. C'est presque dommage car le lobby LGBT, en poussant la logique égalitariste et relativiste de la "diversité" à son paroxysme, la conduit à s'écrouler sous le poids de ses contradictions, de sorte que, même le lavage de cerveau scolaire et médiatique intensif de masses au QI en constante diminution, ne parvient plus à empêcher un nombre croissant d'individus de réaliser son absurdité. Le premier abus de langage est le dévoiement du terme "normal". La norme est une généralité qui s'applique, non à un individu, personne n'est "normal", de même que personne n'est le Français moyen, mais à un ensemble d'individus, et qui est démontrable par les faits et la réalité, termes qui ont tendance à devenir des gros-mots. Par exemple, si je dis que l'hétérosexualité est la norme, c'est démontré par le seul fait que nous existons. Si l'homosexualité était la norme, l'espèce humaine n'existerait plus. Pour voir là-dedans matière à débat, il faut déjà avoir sérieusement fumé la moquette. On ne peut pas nier, pour autant, que l'homosexualité a toujours existé et que c'est un phénomène naturel et, en ce sens, le fait de l'avoir traité comme une maladie mentale pendant des années était totalement infondé. A l'inverse, prétendre que quelque chose est normal juste parce que ça existe est un parfait abus de langage. Il y a des gens dont les fantasmes sexuels tournent autour du cannibalisme. Il y à des gens, vous ne le voyez pas mais je mets des guillemets à "gens", qui peuvent être excités sexuellement par des petits bébés. Ça aussi ça a toujours existé. Est-ce que pour autant c'est normal ? Je vous laisse conclure tout seul. Donc, l'homosexualité et toutes les disciplines associées ne sont pas normales au sens littéral du terme, en revanche elles sont parfaitement naturelles et acceptables tant qu'elles ne perturbent pas le fonctionnement de la société et ne contreviennent pas aux règles de droit commun, mais, il faut rester cohérent. Soit on admet qu'il s'agit d'un phénomène naturel, auquel cas on exclut toute forme de prosélytisme lequel, dans ce cas, n'aurait aucun sens, soit on fait du prosélytisme en se baladant à poil sur des chars et en imposant gratuitement le spectacle inesthétique d'hommes qui se roulent des pelles dans toutes les séries américaines, alors même que cela n'apporte rien au scénario, en admettant dès lors, implicitement, que l'on pense, à tort ou à raison, qu'il peut aussi partiellement s'agir d'une forme de perversion qui peut donc s'inculquer et vers laquelle on espère attirer des gens. Dans ce dernier cas, il ne faut pas s'étonner que la réponse d'une partie de la population, qui n'a pas forcément envie d'y exposer ses enfants, puisse être négative. Autre abus de langage : la pluralisation de la sexualité. La sexualité implique un élément mâle et un élément femelle. L'hétérosexualité est la sexualité et ce terme, inventé seulement pour justifier, a contrario, le non-sens sémantique "d'homo" sexualité, ne devrait même pas exister tant il est superfétatoire. Ce n'est pas parce qu'une activité utilise un organe sexuel ou provoque une excitation sexuelle qu'il s'agit, scientifiquement, d'une activité "sexuelle", susceptible, par définition, de mettre en relation un élément mâle est un élément femelle pouvant, hypothétiquement, aboutir à la reproduction. Si un individu, et il y a des gens assez cons pour le faire, introduit son pénis dans un aspirateur, comme on le lui dira certainement à l'hôpital : "ce n'est pas un acte sexuel !". Un autre non-sens est la propagande, consistant à répandre l'idée, que ces pratiques concernent un nombre de personnes suffisamment conséquent pour justifier de devenir une priorité nationale, juste après l'antisémitisme (faut pas pousser non plus), et bien avant le chômage, alors-même qu'ils sont obligés, pour faire nombre, de s'agglomérer dans un ensemble hétéroclite, mot doublement sexiste, poussant le ridicule, et l'inventivité il faut bien le reconnaître, jusqu'à allonger, à l'infini, leur acronyme, qui est passé de "LGBT" à "LGBTQQIP2SAA" sous réserve, bien sûr, qu'une nouvelle lettre n'ait pas été ajoutée pendant que vous regardiez cette vidéo. Je ne parle même pas de cette propension à se définir par sa sexualité. Je ne sais pas vous mais, quand je me présente, je le fais par mon nom puis, par mon métier. Dans d'autres cercles, je peux évoquer d'autres cordes que j'ai à mon arc en musique, écriture, langues etc. mais je ne vois pas dans quel contexte je pourrais me présenter en disant : "Bonjour, je suis hétéro!". Cela reviendrait, à la fois, à admettre que je n'ai rien d'autre à proposer la société et que je fais, implicitement, une offre de service sexuelle. Si tel était le cas, je ne trouverais pas anormal être traité avec un certain recul. De la même manière, on ne peut pas étaler sur la table, devant des inconnus, l'usage que l'on fait de son postérieur comme seule identification de sa personne et se plaindre d'homophobie si l'on est considéré avec une certaine circonspection. D'autant plus qu'il existe de véritables discriminations qui sont dévalorisées par ces attitudes infantiles. Je me suis retrouvé un jour, à un mariage, à la même table qu'une paire homosexuelle et l'un des deux, ancien policier, avec lequel j'ai pu avoir une conversation franche et honnête, m'a confié avoir connu un véritable enfer professionnel en raison de son homosexualité. Il en a même fait un livre, je vous mets le lien Amazon pour ceux que ça pourrait intéresser, alors-même, et c'est là toute la différence, qu'il n'en avait jamais fait état sur son lieu de travail, que la chose n'avait aucun impact sur ledit travail, qu'il n'étalait pas sa vie privée et se comportait exactement comme tous ses collègues. Là oui, on peut parler d'homo-répulsion. Je dis bien "homo-répulsion" car, un autre détournement de langage est l'utilisation, à tort et à travers, du suffixe "phobie" qui, originellement, signifie "peur" et suggère vaguement une maladie mentale, laquelle permet de décrédibiliser les gens qui pensent autrement à la manière de l'ex union soviétique. Or, sauf à se retrouver par hasard au milieu d'une Gay Pride avec un T-shirt de la Manif pour tous, je ne crois pas que, dans des circonstances normales, grand monde ait peur des "LGBTQQIP2SAA" Nous sommes tellement englués dans la novlangue que, quand on commence à dérouler le fil, ça ne s'arrête plus. Que dire du glissement conduisant à rendre synonyme "couple" et "paire". Il y a une raison pour laquelle il serait absurde de dire "un couple de chaussures", la même qui fait qu'un "couple" homosexuel est un non-sens. Par ce tour de passe-passe linguistique on a fait croire aux gens qu'une paire homosexuelle a quelque chose à voir avec un couple ce qui, si on tombe dans le panneau, amène, en toute logique, dans un souci normal d'égalité, à adopter le mariage homosexuel au lieu de définir un statut spécifique approprié et, toujours selon le même principe d'égalité entre deux choses qui ne le sont pas, à donner des droits parentaux à des gens qui ne veulent pas enfanter naturellement car, et je finirai là, sinon on y est jusqu'à demain, il s'agit bien d'une volonté car rien n'interdit à une personne homosexuelle, si c'est vraiment son but de la vie, et pas simplement une envie du même niveau qu'une télé 4k de 70 pouces, de faire comme tout le monde et de fonder un foyer avec une personne du sexe opposé, préalablement informée et consentante, pour avoir et élever des enfants. Pour jouer au basket, les personnes de petite taille ont le choix entre en baver plus que les autres ou choisir un autre sport. Ce n'est pas la faute des homos s'ils sont homos, de même que ce n'est pas la faute des hommes petits s'ils sont petits mais, s'ils veulent à tout prix jouer au basket de la parentalité, il est aussi absurde de changer, pour eux, les règles de la société, et d'aller contre l'ordre naturel, qu'il le serait, pour satisfaire tout le monde, de rajouter un deuxième jeu de paniers positionné à un mètre cinquante de hauteur. L'argument de l'amour qui serait un droit universel et la condition pour fonder un foyer stable, créant ainsi une disparité insupportable entre les homos et les hétéros, ne tient pas la route deux secondes si l'on considère que tous les hétéros, loin s'en faut, n'ont pas non plus le conjoint qu'ils voudraient mais qu'ils font avec, sur la base d'autres critères comme la confiance et l'affection, lesquels n'ont pas de lien particulier avec l'attirance sexuelle, s'ils veulent avoir une chance de se lancer dans un projet parental. On ne peut pas être un bon parent sans un sens poussé du sacrifice, ce qui exclut de dénier à sa progéniture, quand on peut l'éviter, le droit d'être élevé par ses deux parents biologiques dans la complémentarité père-mère conçue, par la nature, pour lui apporter, quand les 2 parents, ce qui n'est, hélas, pas toujours le cas, se comportent de manière responsable, les meilleur équilibre possible. Un des signes du fait qu'une société est malade, c'est quand les revendications des minorités se muent en exigences. Nonobstant, les arbres ne montent pas jusqu'au ciel et la réalité a toujours sa façon particulière de se rappeler à ceux qui la nient. Et pour les "LGBTQQIP2SAA" ce sera probablement quand une Gay Pride croisera, par hasard, une manif d'un autre genre de diversité, tout aussi revendicative et en croissance exponentielle, n'hésitant pas, elle, à se reproduire massivement par des moyens conventionnels, ce qui reviendra, au nom de la "diversité", à mettre une poule et un renard dans la même cage. Merci de liker et de partager et, comme d'habitude, je n'ai pas la prétention de détenir la vérité donc si vous avez des éléments complémentaires ou contradictoires à faire valoir, les commentaires sont là pour ça.

1 commentaire:

  1. Archives à sauvegarder !
    Ces textes coro, abra ,explo , zifs feront date !
    Comprends qui peut !

    RépondreSupprimer