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vendredi 5 juillet 2019

Il faut les accueillir ? Ben non ! (28 août 2018)

Vidéo Censurée sur YouTube. Vous pouvez la visionner avec un de ces liens :
https://www.brighteon.com/5832563877001
https://www.bitchute.com/video/qDxOSGUlXedv/
https://bit.tube/play?hash=QmVTt1keBcvc9tRHTJEgp4rwoFKzBJJfovyk85j7T1VHxM&channel=237534


Bonjour,
on n’imagine même pas à quel point nous sommes manipulés par les mots. L’autre jour je suis tombé sur la vidéo d’une émission de radio connue qui distillait sa propagande sur la nécessité d’accepter l’invasion migratoire avec, autour de la table, comme c’est généralement le cas dans ce genre d’émission, uniquement des gens qui étaient tous d’accord pour que le Titanic garde le cap de la bienpensance et qui, pour donner l’illusion d’une pluralité d’opinion, se disputaient sur la couleur de la tapisserie dans la salle de bal et l’opportunité ou non d’installer des WC unisexes inclusifs sur le pont principal mais se regroupaient immédiatement comme une horde de hyènes tous crocs dehors dès que quelqu’un avait l’outrecuidance ne serait-ce que d’évoquer le concept d’iceberg ; au cas particulier, une certaine députée biterroise, invitée téléphonique du jour, laquelle se trouvait donc tant matériellement que numériquement à son désavantage et qui défendait cette idée saugrenue d’extrême extrême extrême-droite consistant à penser que ce n’était peut-être pas une si bonne idée que ça d’accueillir l’Aquarius et d’envoyer un signal aux quelques milliards d’individus qui seraient mieux chez nous que chez eux, qu’on les attend avec des petits drapeaux « Welcome ! » et un tube de vaseline à la main, sachant que même si on en accueillait 60 millions cela ne représenterait qu’une partie de leur surplus de natalité annuel et, que outre le fait qu’on deviendrait alors certainement aussi misérables qu’eux, sans avoir nous, dans cette hypothèse, aucun autre endroit disposé à nous accueillir, on n’aurait objectivement rien résolu en matière de pauvreté dans le monde. C’est comme croire, si l’appartement de votre voisin est infesté de cafards, qu’en récupérer charitablement tous les jours une dizaine chez vous va en faire baisser le nombre chez lui. Eh bien, non ! S’il ne fumige pas, ledit voisin aura chaque jour davantage de cafards et vous aussi. Non bien sûr que je compare en aucune façon ces gens avec des cafards, mais compte tenu de leur natalité galopante, le modèle mathématique exponentiel lui, est hélas, strictement le même. Quant au mythe des gens qui viendraient de pays en guerre et bénéficieraient à ce titre du droit d’asile, on sait désormais que c’est absolument faux. D’ailleurs regardez les images d’archives de la deuxième guerre mondiale et comparez : où sont les femmes, les enfants et les vieillards ? Sur l’Aquarius, 17 femmes et enfants sur 650 personnes. Et même en gobant ce mensonge éhonté des gens qui fuient la guerre, il s’agirait alors de flots d’hommes jeunes, en âge de combattre qui préfèrent déserter qui plus est en laissant leur famille derrière. Est-on vraiment sûrs de vouloir de ça chez nous ?
Comme il n’y a aucun raisonnement logique ou rationnel qui puisse justifier un positionnement immigrationniste purement idéologique renforcé par le besoin de valider sa supériorité en accordant la charité à des êtres forcément inférieurs, la main qui donne étant au-dessus de celle qui reçoit, et ce, afin d’admirer le matin dans la glace le reflet immaculé de cette personne si généreuse - avec l’argent des autres - avant d’aller bosser en enjambant tranquillement le SDF blanc allongé devant leur porte, ces blablateurs publics, souvent parasites improductifs, subventionnés et payés, directement ou non, par nos impôts pour nous infliger leur avis ô combien éclairé, ont donc recours sans le moindre scrupule au sentimentalisme et à la manipulation les plus éhontés.
Le niveau n’est généralement pas très haut car la conscience de sa médiocrité, de son illégitimité à occuper le poste et donc de la facilité avec laquelle on peut être remplacé est ce qui garantit le mieux la servilité au système, mais c’est souvent encore plus flagrant parmi les quotas de personnes issues de la diversité qu’on nous impose, car les choisir en fonction de leur mérite contribuerait trop dangereusement à écorner l’image de victime que le système renvoie systématiquement aux gens de couleur, et n’enverrait pas un message assez clair pour signifier que l’homme blanc (sauf, et encore, s’il est juif, homo ou fluide non binaire) est désormais persona non-grata dans les médias du seul fait de la couleur de sa peau et de son sexe, ce qui n’est pas du tout discriminatoire. Du coup, on se retrouve, pour nous faire la leçon, avec des harpies excitées bien loin du niveau d’un Sédar Senghor ou d’un Aimé Césaire.
Au cas particulier la personne qui remplissait le quota diversité, après avoir rappelé qu’elle était croyante, ce qui n’annonce généralement pas qu’on va nous gratifier juste après d’une prise de position particulièrement rationnelle, n’a rien trouvé de mieux à dire, que : « on doit les sauver ! ». Le tout asséné comme une vérité absolue du genre « l’eau ça mouille ! » ou « Macron nous entube ! »
« On doit les sauver ! » : 4 mots, 4 mensonges. Donc, pour ceux qui en ont marre de se faire manipuler par la bonne conscience, voici quelques munitions pour vos prochaines discussions.
D’abord le « ON ». C’est qui, « ON » ? Parce que, je ne sais pas vous, mais moi, personne ne m’a rien demandé. De quel droit une personne quelconque peut ainsi englober tout le monde de force dans son délire immigrationniste ? Ce « On » ne veut certainement pas dire les Français. Il ne veut pas non plus dire la France laquelle en tant qu’entité théoriquement là pour défendre d’abord ses citoyens devrait au contraire considérer que, qu’elle se fasse ou non les armes à la main, une invasion reste une invasion et qu’en temps de guerre, et si je ne m’abuse, à moins que Valls et Macron ne nous aient menti, chose que je n’ose même pas imaginer, on est en guerre contre le terrorisme, non seulement les navires ennemis n’ont pas vocation à être accueillis, mais s’ils pénètrent nos eaux territoriales, ils sont supposés être envoyés par le fond, ce qui je l’admets n’est pas très écologique. Pour autant, d’un point de vue strictement humanitaire, si la marine nationale torpillait quelques centaines de personnes, ou quelques milliers s’ils ne comprenaient pas du premier coup et insistaient un petit peu, ils arrêteraient de traverser et, au bout du compte, en évitant des milliers de noyades, un état responsable, préoccupé d’abord de l’intérêt de ses citoyens, en agissant ainsi sauverait des vies. S’il n’y a plus de « ON » pour assumer le coût économique et social de cette fausse générosité, il ne reste plus que le « JE », et là, quand il faut payer de sa poche, il n’y a généralement plus personne. Concrètement, je serais curieux de savoir combien de migrants cette donneuse de leçons héberge dans son appartement, combien elle donne par mois pour les soutenir, sachant que même quand elle les défend sur les ondes, elle est payée pour le faire, donc il se pourrait que non seulement elle ne sacrifie rien mais qu’en plus elle gagne de l’argent pour se faire, à bon compte, une bonne conscience aux frais de la collectivité et au détriment des plus pauvres d’entre nous et de l’avenir de nos enfants.
Après le « ON », il y a le « DOIT ». « On doit ». De quel devoir parle-t-elle ? Car s’il s’agit d’une obligation légale d’accueillir toute la misère du Monde, la discussion est clause. Mais cette obligation n’existe pas, et pour cause, sinon autant supprimer les États et les frontières. Il ne s’agit pas non plus d’une obligation dictée par la raison d’État car si la justification de l’accueil c’est que l’occident doit se racheter parce qu’il est responsable du chaos que ces gens subissent, même sans tenir compte de la haine probable que par réaction ils éprouveraient alors à notre encontre, indépendamment du fait que le citoyen lambda n’est jamais consulté pour les action militaires commises en son nom, comme en général on ne bombarde pas des amis, techniquement, par définition, le seul fait qu’on les ait attaqués fait d’eux des ennemis et, dans tous les cas, aucun gouvernement sensé ne laisse entrer en masse chez lui des milliers d’ennemis en âge de combattre. Et s’il s’agit d’une obligation morale, ce n’est plus dès lors une obligation générale, et quelqu’un qui parlerait français correctement aurait dit non pas « on doit », mais « on se doit de », puisque ladite obligation est par nature personnelle, la phrase devenant dès lors non plus une affirmation mais une exhortation. Je pense que vous saisissez tant la nuance que la manipulation. En outre, même pour les catholiques, puisqu’elle se présente comme telle, si l’on s’en tient aux textes, la notion d’aide est réservée au prochain et non au lointain, en gros, privilégier les nécessiteux chez nous, ceux que l’on voit en ouvrant la fenêtre, quelle que soit par ailleurs leur race ou leur religion, par rapport à ceux qui sont derrière l’écran de la télé laquelle nous donne une fausse impression de proximité. Si j’étais croyant, je me verrais mal négocier l’entrée du paradis avec Saint-Pierre en disant, « certes, j’ai laissé mon voisin se suicider parce qu’il était en fin de droit et ne pouvait plus subvenir aux besoins de sa famille, mais ce n’est pas grave car j’ai aidé plein de petits enfants au Burkina-Faso, j’ai même mes attestations fiscales pour le prouver et je suis presque sûr que tout cet argent n’a pas été dépensé en pots de vins pour quelque dictateur africain et en frais de fonctionnement pour les dirigeants de l’ONG qui m’a envoyé tous ces jolis dépliants en couleur.» Les indulgences ont certes servi à financer les cathédrales, mais je ne suis pas sûr que faire « le  bien » par procuration en achetant sa bonne conscience avec un chèque soit ce qu’une puissance céleste attendrait de nous. Et c’est certainement encore pire si notre générosité ne nous coûte rien et est prise en charge par la collectivité. Il faut bien comprendre qu’on a supposément été chassés du paradis pour notre manque d’humilité et que toutes les emmerdes que Dieu met sciemment sur notre route n’ont pour seul but que de nous apprendre ladite humilité qui est la clé du paradis. Pour avoir lu le livre et regardé le film, en toute logique, il me semble que quand on est croyant, on n’est pas là pour créer l’hérésie d’un paradis sur terre et contrecarrer les plans de dieu en résolvant toute la misère du monde qu’il s’est fatigué à organiser, on est là, encore une fois, pour apprendre l’humilité, raisons pour laquelle le Pape lave les pieds des pauvres au lieu de leur dire, « tiens, voilà 100€, achète-toi un bidet ! ».
Ensuite, il y a le « LES ». « il faut les » C’est qui « LES » ?. Parce que justement, on n’en sait rien. On met tranquillement dans le même panier les rares femmes et enfants, les quelques personnes issues éventuellement d’un pays en guerre et la nuée d’opportunistes économiques prête à sauter sur tout ce qui porte un jupon ou ne peut pas se défendre dans une fourchette outrepassant celle du journal de tintin lequel, au moins, se limitait, lui, aux jeunes de 7 à 77 ans.
Enfin, après « il faut les » il y a « AIDER » ou « SAUVER » ou « ACCUEILLIR ». Quelle que soit la façon dont vous terminez la phrase, c’est la même manipulation. Aider à quoi ? Si j’aide un violeur en tenant sa victime, est-ce que le fait d’aider est forcément quelque chose de positif ? Donc, aider à quoi faire ? Vivre à paris sous des tentes et s’initier au trafic de drogue pour survivre en attendant de toucher les aides sociales qui sont la seule perspective dans un pays qui n’a déjà plus de travail à proposer à ses propres citoyens ? Si je tombe sur une portée abandonnée de petits rats ou de petites souris, est-ce vraiment une si bonne idée que ça de les sauver au biberon et d’empêcher le chat de les bouffer ? Bien sûr que je généralise mais on n’a objectivement pas besoin d’eux et la rubrique « faits-divers » en dépit d’efforts considérables pour masquer l’identité des perpétrateurs, nous rappelle quotidiennement à quel point certains de ces futurs voltaires et ingénieurs des mines que contrairement à nos propres délinquants, on pourrait éviter en les empêchant simplement d’entrer, sont une chance pour la France. En quoi est-ce positif, surtout quand on a des enfants à protéger lesquels vont déjà devoir payer « nos » dettes, d’accueillir chez soi, en nombre, des gens qu’on ne connaît pas et qui comme je l’ai dit plus haut ont des raisons parfaitement compréhensibles de nous être hostiles ?
Parce que si les avantages tant pour nous que pour les pays d’origine on a du mal à les voir, les inconvénients sautent aux yeux : augmentation de la criminalité, de l’insécurité, des zones de non droit, aggravation du chômage, réintroduction de maladies qu’on croyait éradiquées, baisse du niveau scolaire, effondrement du système de protection sociale, propagation de l’Islam, attaques des forces de l’ordre, des pompiers ou du SAMU, dégradation des lieux publics et des transports en commun, dégradation du statut de la femme et agressions sexuelles de masse, perte de notre identité et de la solidarité collective qui en découle …. J’arrête là car même moi, j’ai besoin de respirer de temps en temps.
Donc si on vous dit, « on doit les aider » vous pouvez répondre, « Désolé, mais il n’y a pas de on qui tienne, je ne dois rien du tout, de qui on parle et les aider pour quoi faire ?
Gardez quand-même à l’esprit que si les migrants sont un problème, contrairement à ceux qui sont en train d’acheter toute notre patrimoine avec de la monnaie de singe en prévision de l’effondrement du système financier, ils ne nous piquent pas une richesse qu’on n’a plus et pompent juste sur notre ligne de crédit, étant donné que, conséquence du mondialisme, on ne produit plus rien et qu’on bosse presque tous dans les services. Donc, migrants ou pas, ça ne va pas durer indéfiniment. En revanche quand tout ça va s’effondrer, ça va être dur de se relever et de reprendre par la force aux parasites institutionnels et financiers ce qu’ils se sont accaparés, sans un fort sentiment d’identité nationale et des solidarités qui jouent à plein, en d’autres termes sans unité ethnique et culturelle.
Cette chaîne n’est pas monétisée et je ne vends rien. Je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste de développer, tant qu’on me laisse faire et pour ce qu’il vaut, un raisonnement logique, honnête et argumenté. Ce qui est important n’est pas tant ce que je dis, que le processus de réflexion critique qui je l’espère s’enclenche derrière sachant qu’autant il peut m’arriver d’enrichir le point de vue de certains, autant vos nombreux commentaires enrichissent le mien. Il n’y a rien de plus subversif que la réflexion brute affranchie de toute auto-censure et de fait, plus cette chaîne croît, plus son risque de disparaître augmente, donc profitez-en tant que ça dure. Merci encore pour votre fidélité, vos likes, votre soutien et vos partages sans lesquels je prêcherais dans le désert, et à bientôt… j’espère.

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