Je sais pas vous, mais moi, j'ai pas gazé de Juif et j'ai colonisé personne. (18 avr. 2018)

Vidéo Censurée sur YouTube. Vous pouvez la visionner avec un de ces liens :
https://www.brighteon.com/5830282210001
https://www.bitchute.com/video/Fue2m0Nii5iO/
https://bit.tube/play?hash=QmNa15d5A5FGkasKagderoGS4LyVduqrRKfRrQ9LMu7Vjk&channel=237534

Bonjour, 

si l'on veut pouvoir sauver notre civilisation il faut commencer par identifier et neutraliser les leviers de manipulations qui sont utilisés pour nous convaincre, non seulement d'accepter de commettre un suicide collectif, mais que ledit suicide serait une bonne chose. Le principal de ces leviers est la culpabilité et, surtout, le glissement de la culpabilité individuelle vers la culpabilité collective, laquelle n'a pas de date de péremption. C'est à dire, la conception, qui n'a rien à voir avec la logique, selon laquelle la faute des parents, non seulement pèserait sur les enfants, mais qu'ils en seraient héréditairement et éternellement coresponsables. En gros, si votre arrière-grand-père était un tueur en série vous devez passer, vous aussi, sur la chaise électrique, sauf à prouver, tous les jours, à quel point vous aimez votre prochain, notamment en faisant acte de contrition, en validant l'idée d'être un sous-citoyen et en faisant des dons substantiels à toute la famille, née ou à naître, ainsi qu'aux amis, connaissances, coreligionnaires et sympathisants des victimes d'un aïeul vous n'avez jamais connu, ou même simplement rencontré. C'est absurde !

Et, outre le fait que nos ancêtres n'étaient pas plus consultés que nous ne le sommes par nos politiques, avant de procéder à des horreurs quelconques en leur nom, quasiment tous les protagonistes étant morts et les conflits afférents terminés, on n'est pas plus responsables individuellement et collectivement de la Shoah et de la colonisation que de la Saint-Barthélémy et, à ce titre, le devoir de mémoire, au demeurant particulièrement sélectif, qu'on nous impose est un abus manifeste. Donc, quand on dit qu'on n'a pas le droit de défendre nos frontières à cause de la colonisation, c'est de la manipulation, de même que le fait que leurs ancêtres aient massacré les indiens ne peut être un argument pour obliger, par exemple, les Américains à accepter d'être envahis à leur tour. Les enfants des vainqueurs, nés après la fin des conflits, n'y sont pour rien. C'est désormais chez eux et ils bénéficient de la légitimité territoriale, tandis que la responsabilité collective disparaît en même temps que la ou les générations qui ont participé auxdits conflits. La chose ne s'appliquant pas, bien sûr, si on veut être cohérent, quand le conflit n'a jamais cessé. Et les futures générations d'Israéliens, par exemple, ne seront légitimes, dans le pays qu'ils occupent, que s'ils obtiennent la paix ou, plus vraisemblablement, hélas, si la Palestine est complètement détruite avant leur naissance.

Je suis tombé, l'autre jour, sur un débat entre Jean-Marie Le Pen et Gérald Darmanin lequel, dans la même veine manipulatrice (qui fonctionne aussi à l'envers pour s'attribuer des qualités supposément héréditaires) a eu le culot d'exhiber une photo encadrée de son grand-père algérien, héros de guerre décoré, comme si cela était supposé lui conférer, à lui, dont la moitié de la page Wikipédia est consacrée à ses déboires judiciaires et ses trahisons politiques, une aura quelconque. Il trimballe probablement, dans son autre poche, celle de son autre grand-père, juif maltais, toujours selon Wikipédia, qu'il pourra exhiber dans d'autres cercles à moins, bien sûr, qu'il ne hiérarchise ses grands-pères selon des critères que je serais curieux de connaître. 

Cette culpabilité ou, à l'inverse, sanctification collective, est la conséquence directe de l'influence, supposée être une richesse, du tribalisme africain et du Proche-et-Moyen-Orient, ce qui inclut la culture juive, avec ses longues traditions de guerres ethniques et de loi du talion intergénérationnelles, un peu comme la vendetta sicilienne qui est une rare rémanence chez nous de ce genre de pratiques. Notre culture occidentale, certes plus étatiste et individualiste, qui s'est construite sur d'autres valeurs a fini par accepter cette honte collective insensée, introduite par la faille que constitue la tendance à l'auto-flagellation de la civilisation chrétienne, elle-même héritière des philosophes grecs qui se masturbaient les neurones sur les concepts de bien, de mal et d'éthique tout en sodomisant, accessoirement, quelque giton. Au passage, cela permet de mettre en exergue une autre manipulation, souvent utilisée notamment contre l'ex FN, cherchant à décrédibiliser la pensée de quelqu'un, comme je viens de le faire avec les grecs pour illustrer mon propos, non par des arguments, mais en jugeant leurs actes, ce qui revient à dire qu'ils ont tort sur tout, même quand ils donnent l'heure où constatent que la pluie tombe. Si les actes sont importants, ce n'est pas pour juger de la validité d'une pensée ou d'un constat, le pire des salauds pouvant avoir une définition, très pertinente, du bien sans être obligé de s'y conformer, mais pour apprécier l'honnêteté des conseils et directives censés découler de cette pensée. Quand des gens qui, souvent, sont les mêmes qui passent leur temps à décrédibiliser des opinions en utilisant ce sophisme, font eux-mêmes exactement le contraire de ce qu'ils nous conseillent, par exemple quand ils disent "métissez-vous" mais ne se marient qu'entre eux, là, en revanche, il y a lieu de se méfier. Cela inclut également tous ceux qui prônent le "vivre-ensemble" et le multiculturalisme, mais qui s'en protègent grâce à leur argent, que souvent ils nous piquent, mettant leurs enfants dans des écoles épargnée par le phénomène, vivant, eux-mêmes, dans des lieux très chers peu enclins à la mixité et, quand mixité il y a, on est loin des racailles de banlieue, les rares cas rencontrés faisant partie de la même classe sociale, étant bien entendu, ce que les pauvres qu'on pousse à s'affronter, ont du mal à comprendre que, plus on se rejoint dans la richesse, l'opulence, le parasitisme et les magouilles, moins on se divise sur des considérations ethniques. 

N'en déplaise à ceux qui pensent que la culpabilité est intrinsèque à l'humain, elle n'est que la résultante d'un conditionnement nécessaire à la cohésion d'une société qui n'a pas les moyens de mettre un policier derrière chaque habitant lequel, par ce biais, s'autosurveille. Conditionnement d'autant plus efficace qu'il s'adresse à des gens suffisamment intelligents pour éprouver de l'empathie. Il est clair que des gens capables d'arracher le cœur de quelqu'un et de le bouffer devant des caméras ou, comme en Afrique-du-Sud, de régulièrement violer, crucifier et cramer vivants des enfants de trois ou quatre ans, n'ont pas de culpabilité, ni individuelle, ni collective. C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne reproche, par exemple l'esclavage, qu'aux occidentaux qui cumulent les deux conditions nécessaires pour que l'escroquerie fonctionne : avoir des richesses qu'on peut ponctionner et une bonne conscience. Alors même que lesdits occidentaux, eux, ont aboli ledit esclavage, même si pour, au bout du compte, le remplacer par le salariat qui fait la même chose, mais en beaucoup plus efficace et facile à gérer. Un esclavage qu'en revanche, on ne reproche jamais aux cultures de l'Afrique et du Proche-et- Moyen-Orient, pour la bonne raison que, soit elles sont trop pauvres pour qu'on puisse se servir de la dite culpabilité pour leur extorquer quoi que ce soit, soit, surtout, parce que le concept même de "culpabilité" n'y existe pas et ce, d'autant moins, que toutes les actions sont exécutées au nom de Dieu, donc incritiquables, où qu'on se définit par nature comme éternelle victime, véhiculant alors l'idée fausse que, si on a été victime, on ne peut pas être bourreau (et réciproquement). 

Ce positionnement, pratique et éternel, dans le camp du bien, quoi qu'on fasse, explique aussi, au passage, la cruauté décomplexée israélienne de ces derniers jours, étant eux-mêmes précurseurs de la victimisation à outrance. Du coup, ce genre de chantage, utilisé sans vergogne contre nous, avec une redoutable efficacité, par toutes les victimes qui se réclament, même si elles n'en ont pas personnellement souffert, tant de la Shoah que de la colonisation et autres horreurs, perpétrées par l'infâme Occidental, ne marche jamais dans l'autre sens et les fait doucement rigoler. Alors même que, par exemple, ledit esclavage a été financé par les uns et pratiqué par les autres de façon mille fois plus inhumaine, avec castration systématique des hommes et infanticide, tant sur des noirs que sur des blancs, que la traite des blanches n'a jamais cessé et qu'on trouve encore des esclaves, aujourd'hui, y compris dans la Libye post-Kadhafi. 

Un Kadhafi de plus en plus regretté et qui, au vu de la mise en examen récente du meurtrier de masse Sarkozy, qui a sur les mains le sang de tous les morts de la guerre en Libye, toutes les horreurs qui s'y déroulent depuis et, sur les épaules, le déferlement consécutif, en Europe, du surplus de natalité africain, pourrait bien avoir été assassiné et son pays mis à sac, davantage pour couvrir les magouilles du dit Sarkozy et les valises de billets, que pour raisons humanitaires, ce qui, si avéré, serait positivement écœurant et justifierait, à mon sens, le rétablissement du crime de haute trahison et de la peine de mort. Là encore, toutes ces guerres et bombardements, dont le dernier en date effectué par le très martial caniche Macron, répondant au sifflet de ses maîtres, troquant l'habit de Jupiter contre celui d'Arès, ces bombardements donc, menés au nom de la France, pour des raisons foireuses du même acabit que la fiole de Colin Powell, sans consulter, ni les Français, ni même leurs représentants d'opérette, viendront encore gonfler, de façon totalement injustifiée, notre culpabilité collective en même temps que le ressentiment des peuples du Monde à notre encontre et l'agressivité de ceux, sur notre sol, qui réprouvent, avec raison pour le coup, même si, au cas particulier, lesdites frappe servent les intérêts de DAESH, ce mépris total de la souveraineté d'un autre état, mais qui, comme d'habitude, ne dirigeront pas leurs prochains attentats contre ledit Macron, mais contre d'innocents lampistes. 

Les seuls citoyens qui sont, partiellement, responsables, ce qui ne justifie pas, pour autant, qu'on les tue, sont ceux qui ont voté pour plus de 2 des 6 derniers présidents et qui, après s'être faits baiser par la gauche et par la droite, ont terminé en apothéose en élisant un banquier de chez Rothschild histoire, sans doute, de supprimer les intermédiaires. Même si le système électoral est un leurre et que les médias s'allient à l'éducation nationale pour nous laver le cerveau, quand on a Internet et quelques neurones en état de marche, il y a une limite au nombre de fois où l'on peut sortir la carte de la naïveté de manière crédible, la connerie n'étant pas, en la matière, une circonstance atténuante. 

Si nos sociétés, à la base, ne sont pas tribales, cela ne veut pas dire, pour autant, qu'il n'existe pas une culture héréditaire et qu'on ne subit pas les conséquences des actes de ses ancêtres, ne serait-ce que parce que c'est leur histoire et leur comportement qui déterminent, notamment, si on est riche ou pauvre, et si on bénéficie d'une éducation de qualité et d'un environnement sain. Pour autant, pour aussi injuste que cela puisse paraître, ce n'est pas parce que nos ancêtres ont fait de bons choix qu'on est redevable de quoi que ce soit envers ceux dont les ancêtres ont fait des mauvais. Ça fait partie de l'iniquité de la vie et des cartes qu'elle nous donne et avec lesquelles il nous faut composer, comme être grand ou petit, beau ou moche, avec de bons yeux ou non. De même, une longue tradition d'honorabilité fera que vous bénéficierez d'un a priori positif, alors que si vos parents sont alcooliques et en prison, 3 de vos frères en hôpital psychiatrique et que toute la famille vit notoirement d'expédients et de rapines, même si, malgré tout ça, vous êtes quelqu'un de très bien, il est humain que vous ne soyez pas le premier choix retenu si vous postulez pour faire du baby-sitting. Il est particulièrement abusif de présenter toute discrimination comme mauvaise ou négative. Si certains groupes sont, effectivement, l'objet d'une méfiance, ce n'est, ni par racisme, ni parce qu'on fait peser sur eux les fautes de leurs ancêtres. C'est souvent qu'il y a une continuité de comportement qui vient confirmer un a priori de bon sens, qui serait levé depuis longtemps, si les manipulations des mouvements antiracistes, ne l'avaient pas fait passer pour un racisme systémique auprès de populations immigrées, les dissuadant de faire le petit effort qui leur aurait permis d'être assimilées sans problème, comme bien d'autres, avant eux, dans la communauté française. Dans nos sociétés, si au lieu de chercher les causes de votre échec dans le racisme ou le comportement des autres, vous vous prenez en main et menez une vie honorable, ce qui j'en conviens, demande à certains de faire plus d'efforts que d'autres, l'ardoise est effacée car il suffit de prouver sa valeur individuelle pour être accepté chose, et c'est grave, qu'est en train de tuer l'islam dont les adeptes, faute de pouvoir s'assimiler sans trahir leur religion, ne peuvent que s'intégrer l'impossibilité, alors, de distinguer un musulman modéré oxymorique d'un terroriste dormant, jetant un voile de suspicion sur tout le monde. 

A mon sens, la différence culturelle majeure qui nous sépare des sociétés tribales c'est que, chez nous, traditionnellement, le sens de l'honneur n'est pas la sensation d'avoir hérité de je ne sais quelle supériorité, mais, au contraire, un idéal qu'on regarde avec humilité avec le désir d'être digne de nos ancêtres et de ce qu'ils ont bâti pour nous, par leur sueur, leur intelligence et parfois au sacrifice de leur vie, et d'être prêts à le défendre au sacrifice de la nôtre. 

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