Bonjour,
nous sommes soumis en permanence à une logorrhée d’informations souvent futiles destinées à nous distraire pendant que les grandes personnes s’occupent de notre destinée. Au milieu de ces informations, noyée, il y a la réalité des choses qu’on ne nous cache même pas, même si on ne peut plus la distinguer du reste. S’il est, en effet, quasiment impossible d’imposer le silence sur certaines choses parce que, par orgueil, ou crise soudaine de conscience aiguë, généralement quand on a déjà un pied dans la tombe, quelqu’un finira toujours par parler, ou que même si on ne leur donne souvent qu’un petit bout de l’information, les simples exécutants, à l’heure d’internet, arrivent à recouper les choses, il est beaucoup plus facile en revanche de rendre les dites choses indiscernables en les noyant au milieu d’une avalanche d’inepties et en les décrédibilisant par association avec des méchants pas beaux ou encore en les mélangeant avec des demi-vérités pour attraper les mouches, des fausses informations, et des théories raillées par le système allant des Illuminati aux extra-terrestres reptiliens. Sachant que, même dans l’hypothèse où ces théories seraient exactes en tout ou en partie, elles seront immanquablement ridiculisées par le comportement du pourcentage variable de fanatiques qu’elles attirent, lesquels y adhèrent comme à une religion et qui, dépourvus de capacités de recul ou d’analyse leur permettant de développer une pensée propre, sont accros à cette sensation, jusque-là inconnue pour eux, d’être supérieur au commun des mortels pour croire savoir quelque chose que les autres ignorent avec cette docte certitude inébranlable que leur confère le fait d’avoir visionné une vidéo de 20 minutes. C’est toujours à ceux-là que le système va tendre un micro. Personnellement, si le coup des aliens est une possibilité que je n’ai pas de raison logique d’exclure, surtout quand je revois encore la main de manuel Valls trembler et ses yeux lui sortir de la tête face à Marion Maréchal, ce n’est pas vraiment la première qui me vient à l’esprit pour expliquer les choses. On a toujours tendance à rechercher une cause extérieure à nos malheurs, de Satan pour les uns aux petits bonhommes verts qui si l’on en croit la rumeur seraient plutôt gris, pour les autres, comme si l’homme, avec l’aide appréciable de son oligarchie, n’était pas capable de scier tout seul la branche sur laquelle il est assis. Et toute force négative, réelle ou supposée qui tirerait les ficelles en coulisse ne ferait de toute façon que s’appuyer sur nos faiblesses qu’on est incapables de regarder en face en raison de l’illusion de notre supériorité qui découle elle-même de l’acceptation de la notion toxique et flatteuse « d’humanité » ce qui nous conduit, par manque d’humilité, à répéter sans cesse les mêmes erreurs.
Toujours est-il que ce n’est pas facile de s’y retrouver, surtout que si, incontestablement, il y a des intérêts, souvent malsains et mégalomanes, qui s’alignent pour essayer d’influencer les choses dans leur direction, la nature chaotique de l’univers provoque son lot de nuisances qui nous échappe totalement et face auquel, plutôt que d’admettre les limites de nos possibilités d’actions sur notre destinée, il serait presque rassurant de se dire que tout est sous contrôle et manipulé par une bande d’enfoirés. En fait, les manipulations sont autant utilisées pour camoufler les magouilles que font les gens de pouvoir vis-à-vis des choses qu’ils peuvent influencer que pour masquer l’étendue de leur impuissance qui mettrait en péril leur légitimité et l’idée qu’ils servent à quelque chose, face à tout ce qui échappe à leur contrôle. Il est donc sain de questionner, même si l’on n’a pas toujours le temps d’approfondir, n’en déplaise aux lèche-culs premiers de la classe du système qui n’ont que le mot « source » à la bouche dès qu’une idée touche à leur petit confort : « quelles sont tes sources ? », « tu as vérifié les sources ? ». Si l’on veut continuer à avoir une vie et ne pas rester scotché devant son écran 24 heures par jour, il est impossible de tout vérifier de façon systématique face au flux gigantesque avec lequel on nous bombarde. C’est d’ailleurs fait pour ça, pour qu’on ne puisse pas vérifier les inepties que le système nous sort ; système qui, en revanche, brandit son « décodex » quand le boomerang lui revient en travers de la gueule et que ses adversaires utilisent ses méthodes. Cela n’empêche pas de faire un tri basé sur la cohérence, sachant que si quelque chose est incohérent on a de fortes chances d’être face à une manipulation. Avancer ensuite une explication qu’on ne peut pas prouver ou que poussé par son enthousiasme ou certaines agences gouvernementales on va essayer d’étayer par des éléments douteux, qui feront les délices de debunkers collabos en tout genre, est certes éminemment critiquable, mais ça n’enlève rien aux incohérences. Par exemple l’épopée lunaire, démarrée fort à propos pour faire oublier la baie des cochons, nécessitant des calculs complexes de trajectoire en temps réel, à une époque où votre calculette avait la taille d’un immeuble qui rentrait difficilement dans un module lunaire, arrêtée depuis plus de 40 ans pour de soi-disant raisons financières, sans même avoir eu l’idée de déployer une bannière coca-cola pour financer tout ça me laisse perplexe. Sachant que les Chinois après avoir annoncé leur intention de renouveler l’exploit ont fini par se contenter d’envoyer des légumes dans l’espace pour les irradier et les rendre géant, tandis qu’en même temps, en dépit de l’arlésienne régulière du tourisme de l’espace enfourchée désormais par Elon Musk, histoire de gagner quelques années durant lesquelles on ne se posera pas de question, et des films et séries qui entretiennent l’illusion, la conquête spatiale s’est tournée non vers l’espace mais vers la terre sous forme d’une armée de satellites de surveillance. Même pas besoin d’entrer dans le débat des bidonnages sur fond vert de la NASA pour trouver que, qu’on y soit réellement allés ou pas, il y a un truc qui cloche avec la lune. A l’inverse, ça ne marche que dans un sens et le fait que quelque chose soit cohérent ne suffit pas à en faire une garantie de vérité. On peut bâtir un modèle cohérent sur n’importe quel postulat et il faut donc toujours remonter au postulat de base parce que c’est généralement là qu’on nous fait avaler la couleuvre. Par exemple accueillir des migrants, c’est parfaitement cohérent si on nous a fait avaler la couleuvre de la notion d’humanité à coup de liberté, égalité, fraternité et de valeurs de la république.
Lorsque le système, devenu de plus en plus fainéant, et incapable, comme quelqu’un qui ment trop, de se rappeler de tous ses mensonges, n’a pas d’argument à opposer à quelque chose qui le dessert, peu importe que cela soit vrai ou faux, qui arrive à s’extirper du magma d’information pour atteindre un minimum de visibilité, quelqu’un de brillant a inventé, pour contrer ça, le concept de complotisme. Comme si voir des complots partout était ce désordre psychologique caricaturé dans les films et séries par ce genre d’individu en plein délire paranoïaque qui se sent personnellement visé, croyant dur comme fer que Soros et Macron se sont rencontrés en secret pour parler spécifiquement de lui alors que même sa boulangère ne sait pas comment il s’appelle. Toute réflexion privée menée par au moins deux personnes dans le but de réaliser une action concrète envers un tiers non présent, est par définition un complot. Nous vivons dans le complot permanent. Il y a les gentils, comme préparer un anniversaire-surprise et il y a les moins gentils. La politique étrangère de tous les pays n’est rien d’autre que du complot. Quand on y regarde de plus près, il n’y a pratiquement aucune guerre qui n’ait été causée par une manipulation ou une attaque sous faux drapeau faisant passer l’assaillant réel pour la pauvre victime qui se défend, les Américains étant largement dans le peloton de tête de cette pratique utilisée tour à tour dans la guerre de sécession, pour piéger les Japonais avec l’attaque soi-disant « surprise » de Pearl Harbour, les attaques maritimes de bateaux fantômes ayant déclenché la guerre du Vietnam et les prétextes bidons pour foutre à feu et à sang le moyen orient.
Le problème, comme toujours est inversé et n’est pas tant qu’on voit des complots partout, mais que partout, les complots finissent par se voir. Internet a permis un passage de l’information à la vitesse de la lumière, information qui est potentiellement recoupée et analysée par des milliards d’individus, au sein desquels se trouve immanquablement la personne qui a les compétences et la détermination pour reconstituer le puzzle. Un bonhomme comme Etienne CHOUARD par exemple a fait quasiment à lui tout seul pencher la balance du côté du NON en 2005 en faisant le gros boulot de lire et d’expliquer un texte que ses rédacteurs avaient comploté à rendre illisible.
En outre, les gouvernements, les ONG, les médias et les multinationales se sont tellement fait prendre en délit de mensonge, que plus personne de sensé ne peut avoir confiance en eux, ne serait-ce que pour nous donner l’heure. Abraham Lincoln disait fort hypocritement : « On peut mentir une fois à tout le monde, on peut mentir tout le temps à une personne, mais on ne peut mentir tout le temps à tout le monde ». On a la preuve quotidienne qu’il avait tort. Nous avons tous conscience que ce qui est mis à jour n’est probablement que le sommet d’un énorme iceberg de mensonges. Il y a les gros comme le nuage de Tchernobyl, les armes de destruction massives de Saddam Hussein. Il y a les insidieux : mensonges sur la dette, le budget, les recettes tarabiscotées et subtiles pour compter les chômeurs ou pour compter les Français. Et il y a tous les autres, de la pseudo-lutte contre le terrorisme aux OGM qui devaient éradiquer la faim dans le monde, en passant par le milliard dépensé en vaccins bidons contre la grippe aviaire, les photos truquées pendant les manif Charlie laissant croire que les officiels étaient en tête de cortège alors qu’ils manifestaient à part etc. Du coup, sachant à qui on a affaire et du peu de cas que ces gens, supposés eux aussi faire partie de cette humanité qu’on nous vend et bénéficier à ce titre de notre compassion, font de la vie humaine et des conséquences environnementale de leurs manœuvres lucratives, quand le récit est incohérent et qu’en outre, on a à la fois un motif crédible et la preuve d’un gain substantiel, émettre l’idée d’une possibilité d’anguille sous roche ne me semble pas être la chose la plus stupide au monde.
Par exemple lorsque l’on sait que le simple coût du désamiantage des Twin Towers aurait coûté aussi cher que le prix des bâtiments, qu’en raison de la poussière d’amiante qui se serait alors répandue partout leur démolition contrôlée (qui avait été demandée) a été interdite et que la démolition étage par étage aurait coûté plus de 10 milliards, on peut être surpris que Larry Silverstein s’en soit porté acquéreur pour 3,2 milliards de dollars, ait souscrit neuf assurances couvrant les risques d’attentat à hauteur de 5 milliards de dollars, transformant ainsi, en 7 semaines seulement, l’inextricable cauchemar financier du désamiantage en un bénéfice net de 1,8 milliards. Et comme apparemment il a le cul bordé de nouilles, comme il l’a déclaré sur CNN au cours d’une interview, il était exceptionnellement absent de son bureau dans l’immeuble le jour des attentats, sa femme l’ayant enfin convaincu d’aller chez le dentiste tandis que les autres membres de sa famille étaient tous en réunion à l’extérieur. Un esprit malade de complotiste relèverait aussi que le matin même, Donald Rumsfeld annonçait, un peu embarrassé quand même, que le pentagone, lequel au passage avait organisé de grandes manœuvres aériennes laissant le périmètre sans couverture, avait perdu la trace de 2300 milliards de dollars, broutille presque équivalente au PIB de la totalité de l’Afrique, et immédiatement passée à la trappe après le malencontreux crash avionesque perpétré par des jihadistes munis de passeports ignifugés, de quelques cutters et ayant appris à piloter avec un logiciel Microsoft.
On pourrait me reprocher de faire des liens rapides entre des choses qui n’ont rien à voir, peut-être, mais quand il s’agit de milliards et quand on sait que l’argent à tendance à toujours être aspiré par le haut de la pyramide pour aller au même endroit, ça me fait un peu comme quand on me dit d’un côté que j’ai exploité l’Afrique et que donc je dois accueillir des migrants, alors que c’est le seul continent sur lequel je n’ai jamais mis les pieds, et de l’autre que la dette officielle de mon pays qui va être léguée à nos enfants s’élève à 2600 milliards, faisant quand même de moi un sale exploiteur particulièrement pauvre. Que quelqu’un ait bien profité de l’exploitation de l’Afrique, aucun doute, mais cela devient apparemment éminemment complotiste de penser que ce n’est ni moi, ni mon pays…
Encore une fois, je ne vends rien et je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, je soumets juste à votre appréciation, tant qu’on me laisse faire, une réflexion qui vaut ce qu’elle vaut et dont la seule prétention est d’être logique, honnête et argumentée. Merci à tous les infâmes complotistes qui vont liker et partager cette vidéo assurant la croissance régulière d’une chaîne qui n’a pas, je le rappelle, vocation à être accessible à tout le monde. Comme d’habitude je vous mets les liens de mes chaînes secondaires PewTube et BitChute car, un jour ou l’autre toutes les bonnes choses ont une fin et la patience Youtubesque n’est pas infinie. Merci pour votre fidélité et votre soutien et à très bientôt… j’espère.
nous sommes soumis en permanence à une logorrhée d’informations souvent futiles destinées à nous distraire pendant que les grandes personnes s’occupent de notre destinée. Au milieu de ces informations, noyée, il y a la réalité des choses qu’on ne nous cache même pas, même si on ne peut plus la distinguer du reste. S’il est, en effet, quasiment impossible d’imposer le silence sur certaines choses parce que, par orgueil, ou crise soudaine de conscience aiguë, généralement quand on a déjà un pied dans la tombe, quelqu’un finira toujours par parler, ou que même si on ne leur donne souvent qu’un petit bout de l’information, les simples exécutants, à l’heure d’internet, arrivent à recouper les choses, il est beaucoup plus facile en revanche de rendre les dites choses indiscernables en les noyant au milieu d’une avalanche d’inepties et en les décrédibilisant par association avec des méchants pas beaux ou encore en les mélangeant avec des demi-vérités pour attraper les mouches, des fausses informations, et des théories raillées par le système allant des Illuminati aux extra-terrestres reptiliens. Sachant que, même dans l’hypothèse où ces théories seraient exactes en tout ou en partie, elles seront immanquablement ridiculisées par le comportement du pourcentage variable de fanatiques qu’elles attirent, lesquels y adhèrent comme à une religion et qui, dépourvus de capacités de recul ou d’analyse leur permettant de développer une pensée propre, sont accros à cette sensation, jusque-là inconnue pour eux, d’être supérieur au commun des mortels pour croire savoir quelque chose que les autres ignorent avec cette docte certitude inébranlable que leur confère le fait d’avoir visionné une vidéo de 20 minutes. C’est toujours à ceux-là que le système va tendre un micro. Personnellement, si le coup des aliens est une possibilité que je n’ai pas de raison logique d’exclure, surtout quand je revois encore la main de manuel Valls trembler et ses yeux lui sortir de la tête face à Marion Maréchal, ce n’est pas vraiment la première qui me vient à l’esprit pour expliquer les choses. On a toujours tendance à rechercher une cause extérieure à nos malheurs, de Satan pour les uns aux petits bonhommes verts qui si l’on en croit la rumeur seraient plutôt gris, pour les autres, comme si l’homme, avec l’aide appréciable de son oligarchie, n’était pas capable de scier tout seul la branche sur laquelle il est assis. Et toute force négative, réelle ou supposée qui tirerait les ficelles en coulisse ne ferait de toute façon que s’appuyer sur nos faiblesses qu’on est incapables de regarder en face en raison de l’illusion de notre supériorité qui découle elle-même de l’acceptation de la notion toxique et flatteuse « d’humanité » ce qui nous conduit, par manque d’humilité, à répéter sans cesse les mêmes erreurs.
Toujours est-il que ce n’est pas facile de s’y retrouver, surtout que si, incontestablement, il y a des intérêts, souvent malsains et mégalomanes, qui s’alignent pour essayer d’influencer les choses dans leur direction, la nature chaotique de l’univers provoque son lot de nuisances qui nous échappe totalement et face auquel, plutôt que d’admettre les limites de nos possibilités d’actions sur notre destinée, il serait presque rassurant de se dire que tout est sous contrôle et manipulé par une bande d’enfoirés. En fait, les manipulations sont autant utilisées pour camoufler les magouilles que font les gens de pouvoir vis-à-vis des choses qu’ils peuvent influencer que pour masquer l’étendue de leur impuissance qui mettrait en péril leur légitimité et l’idée qu’ils servent à quelque chose, face à tout ce qui échappe à leur contrôle. Il est donc sain de questionner, même si l’on n’a pas toujours le temps d’approfondir, n’en déplaise aux lèche-culs premiers de la classe du système qui n’ont que le mot « source » à la bouche dès qu’une idée touche à leur petit confort : « quelles sont tes sources ? », « tu as vérifié les sources ? ». Si l’on veut continuer à avoir une vie et ne pas rester scotché devant son écran 24 heures par jour, il est impossible de tout vérifier de façon systématique face au flux gigantesque avec lequel on nous bombarde. C’est d’ailleurs fait pour ça, pour qu’on ne puisse pas vérifier les inepties que le système nous sort ; système qui, en revanche, brandit son « décodex » quand le boomerang lui revient en travers de la gueule et que ses adversaires utilisent ses méthodes. Cela n’empêche pas de faire un tri basé sur la cohérence, sachant que si quelque chose est incohérent on a de fortes chances d’être face à une manipulation. Avancer ensuite une explication qu’on ne peut pas prouver ou que poussé par son enthousiasme ou certaines agences gouvernementales on va essayer d’étayer par des éléments douteux, qui feront les délices de debunkers collabos en tout genre, est certes éminemment critiquable, mais ça n’enlève rien aux incohérences. Par exemple l’épopée lunaire, démarrée fort à propos pour faire oublier la baie des cochons, nécessitant des calculs complexes de trajectoire en temps réel, à une époque où votre calculette avait la taille d’un immeuble qui rentrait difficilement dans un module lunaire, arrêtée depuis plus de 40 ans pour de soi-disant raisons financières, sans même avoir eu l’idée de déployer une bannière coca-cola pour financer tout ça me laisse perplexe. Sachant que les Chinois après avoir annoncé leur intention de renouveler l’exploit ont fini par se contenter d’envoyer des légumes dans l’espace pour les irradier et les rendre géant, tandis qu’en même temps, en dépit de l’arlésienne régulière du tourisme de l’espace enfourchée désormais par Elon Musk, histoire de gagner quelques années durant lesquelles on ne se posera pas de question, et des films et séries qui entretiennent l’illusion, la conquête spatiale s’est tournée non vers l’espace mais vers la terre sous forme d’une armée de satellites de surveillance. Même pas besoin d’entrer dans le débat des bidonnages sur fond vert de la NASA pour trouver que, qu’on y soit réellement allés ou pas, il y a un truc qui cloche avec la lune. A l’inverse, ça ne marche que dans un sens et le fait que quelque chose soit cohérent ne suffit pas à en faire une garantie de vérité. On peut bâtir un modèle cohérent sur n’importe quel postulat et il faut donc toujours remonter au postulat de base parce que c’est généralement là qu’on nous fait avaler la couleuvre. Par exemple accueillir des migrants, c’est parfaitement cohérent si on nous a fait avaler la couleuvre de la notion d’humanité à coup de liberté, égalité, fraternité et de valeurs de la république.
Lorsque le système, devenu de plus en plus fainéant, et incapable, comme quelqu’un qui ment trop, de se rappeler de tous ses mensonges, n’a pas d’argument à opposer à quelque chose qui le dessert, peu importe que cela soit vrai ou faux, qui arrive à s’extirper du magma d’information pour atteindre un minimum de visibilité, quelqu’un de brillant a inventé, pour contrer ça, le concept de complotisme. Comme si voir des complots partout était ce désordre psychologique caricaturé dans les films et séries par ce genre d’individu en plein délire paranoïaque qui se sent personnellement visé, croyant dur comme fer que Soros et Macron se sont rencontrés en secret pour parler spécifiquement de lui alors que même sa boulangère ne sait pas comment il s’appelle. Toute réflexion privée menée par au moins deux personnes dans le but de réaliser une action concrète envers un tiers non présent, est par définition un complot. Nous vivons dans le complot permanent. Il y a les gentils, comme préparer un anniversaire-surprise et il y a les moins gentils. La politique étrangère de tous les pays n’est rien d’autre que du complot. Quand on y regarde de plus près, il n’y a pratiquement aucune guerre qui n’ait été causée par une manipulation ou une attaque sous faux drapeau faisant passer l’assaillant réel pour la pauvre victime qui se défend, les Américains étant largement dans le peloton de tête de cette pratique utilisée tour à tour dans la guerre de sécession, pour piéger les Japonais avec l’attaque soi-disant « surprise » de Pearl Harbour, les attaques maritimes de bateaux fantômes ayant déclenché la guerre du Vietnam et les prétextes bidons pour foutre à feu et à sang le moyen orient.
Le problème, comme toujours est inversé et n’est pas tant qu’on voit des complots partout, mais que partout, les complots finissent par se voir. Internet a permis un passage de l’information à la vitesse de la lumière, information qui est potentiellement recoupée et analysée par des milliards d’individus, au sein desquels se trouve immanquablement la personne qui a les compétences et la détermination pour reconstituer le puzzle. Un bonhomme comme Etienne CHOUARD par exemple a fait quasiment à lui tout seul pencher la balance du côté du NON en 2005 en faisant le gros boulot de lire et d’expliquer un texte que ses rédacteurs avaient comploté à rendre illisible.
En outre, les gouvernements, les ONG, les médias et les multinationales se sont tellement fait prendre en délit de mensonge, que plus personne de sensé ne peut avoir confiance en eux, ne serait-ce que pour nous donner l’heure. Abraham Lincoln disait fort hypocritement : « On peut mentir une fois à tout le monde, on peut mentir tout le temps à une personne, mais on ne peut mentir tout le temps à tout le monde ». On a la preuve quotidienne qu’il avait tort. Nous avons tous conscience que ce qui est mis à jour n’est probablement que le sommet d’un énorme iceberg de mensonges. Il y a les gros comme le nuage de Tchernobyl, les armes de destruction massives de Saddam Hussein. Il y a les insidieux : mensonges sur la dette, le budget, les recettes tarabiscotées et subtiles pour compter les chômeurs ou pour compter les Français. Et il y a tous les autres, de la pseudo-lutte contre le terrorisme aux OGM qui devaient éradiquer la faim dans le monde, en passant par le milliard dépensé en vaccins bidons contre la grippe aviaire, les photos truquées pendant les manif Charlie laissant croire que les officiels étaient en tête de cortège alors qu’ils manifestaient à part etc. Du coup, sachant à qui on a affaire et du peu de cas que ces gens, supposés eux aussi faire partie de cette humanité qu’on nous vend et bénéficier à ce titre de notre compassion, font de la vie humaine et des conséquences environnementale de leurs manœuvres lucratives, quand le récit est incohérent et qu’en outre, on a à la fois un motif crédible et la preuve d’un gain substantiel, émettre l’idée d’une possibilité d’anguille sous roche ne me semble pas être la chose la plus stupide au monde.
Par exemple lorsque l’on sait que le simple coût du désamiantage des Twin Towers aurait coûté aussi cher que le prix des bâtiments, qu’en raison de la poussière d’amiante qui se serait alors répandue partout leur démolition contrôlée (qui avait été demandée) a été interdite et que la démolition étage par étage aurait coûté plus de 10 milliards, on peut être surpris que Larry Silverstein s’en soit porté acquéreur pour 3,2 milliards de dollars, ait souscrit neuf assurances couvrant les risques d’attentat à hauteur de 5 milliards de dollars, transformant ainsi, en 7 semaines seulement, l’inextricable cauchemar financier du désamiantage en un bénéfice net de 1,8 milliards. Et comme apparemment il a le cul bordé de nouilles, comme il l’a déclaré sur CNN au cours d’une interview, il était exceptionnellement absent de son bureau dans l’immeuble le jour des attentats, sa femme l’ayant enfin convaincu d’aller chez le dentiste tandis que les autres membres de sa famille étaient tous en réunion à l’extérieur. Un esprit malade de complotiste relèverait aussi que le matin même, Donald Rumsfeld annonçait, un peu embarrassé quand même, que le pentagone, lequel au passage avait organisé de grandes manœuvres aériennes laissant le périmètre sans couverture, avait perdu la trace de 2300 milliards de dollars, broutille presque équivalente au PIB de la totalité de l’Afrique, et immédiatement passée à la trappe après le malencontreux crash avionesque perpétré par des jihadistes munis de passeports ignifugés, de quelques cutters et ayant appris à piloter avec un logiciel Microsoft.
On pourrait me reprocher de faire des liens rapides entre des choses qui n’ont rien à voir, peut-être, mais quand il s’agit de milliards et quand on sait que l’argent à tendance à toujours être aspiré par le haut de la pyramide pour aller au même endroit, ça me fait un peu comme quand on me dit d’un côté que j’ai exploité l’Afrique et que donc je dois accueillir des migrants, alors que c’est le seul continent sur lequel je n’ai jamais mis les pieds, et de l’autre que la dette officielle de mon pays qui va être léguée à nos enfants s’élève à 2600 milliards, faisant quand même de moi un sale exploiteur particulièrement pauvre. Que quelqu’un ait bien profité de l’exploitation de l’Afrique, aucun doute, mais cela devient apparemment éminemment complotiste de penser que ce n’est ni moi, ni mon pays…
Encore une fois, je ne vends rien et je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, je soumets juste à votre appréciation, tant qu’on me laisse faire, une réflexion qui vaut ce qu’elle vaut et dont la seule prétention est d’être logique, honnête et argumentée. Merci à tous les infâmes complotistes qui vont liker et partager cette vidéo assurant la croissance régulière d’une chaîne qui n’a pas, je le rappelle, vocation à être accessible à tout le monde. Comme d’habitude je vous mets les liens de mes chaînes secondaires PewTube et BitChute car, un jour ou l’autre toutes les bonnes choses ont une fin et la patience Youtubesque n’est pas infinie. Merci pour votre fidélité et votre soutien et à très bientôt… j’espère.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire