Bonjour,
suite à mes dernières vidéos, mes tympans ont beaucoup sifflé et certains petits noms d’oiseaux gazouillent encore à mes oreilles. Il semblerait qu’un certain nombre de personnes tombent dans le piège dialectique du système et adoptent son raisonnement binaire et sans nuances obligeant chacun à choisir son camp entre le mal absolu officiellement décrété et tout le reste qui, par opposition, est forcément le bien, peu importe le nombre de morts et de dommages collatéraux, ne laissant d’autre cases aux gens pour se définir que celle méchant nazi ou celle de gentil immigrationiste. Il devient courant de confondre, en ces temps ubuesques où les mots sont plus sévèrement condamnés que les actes, la critique, voire le simple constat, avec la haine. Il y a une quinzaine d’années, j’ai eu l’occasion, en Australie, près de la grande barrière de corail de voir un crocodile de beaucoup plus près que je n’aurais voulu. Est-ce que le fait de le percevoir comme dangereux signifie pour autant que je n’aime pas les reptiles. Certainement pas, car j’aime beaucoup les reptiles. De la même manière, ce n’est pas parce que je perçois, au-delà d’une masse critique, les musulmans comme socialement dangereux pour la France, que je n’aime pas les musulmans ou que je suis islamophobe, le « phobe » évoquant une peur irraisonnée alors que tout comme devant mon crocodile, ladite crainte est au contraire tout à fait fondée et je l’ai déjà expliqué plusieurs fois. Un musulman, à l’instar de n’importe qui, ayant tendance à se comporter différemment selon qu’il est tout seul ou que ses coreligionnaires sont des milliers, des millions ou majoritaires. Et quand dans les années 70, le musulman de base qui était plutôt sympa ne se sentait pas espionné par ses congénères et ne subissait pas la pression sociale du groupe, ceux que je connaissais buvaient de la bière, étaient plus que laxistes sur le ramadan et ne se préoccupaient pas du halal et autres subtilités.
Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, l’Islam, qui ne représente qu’une partie de l’immigration, est un bouc émissaire pratique, ce qui ne veut pas dire pour autant que son évolution tant quantitative que qualitative n’en fait pas un problème sérieux. On a fait sans lui pendant plus de 1500 ans, les musulmans n’apportent rien au pays en tant que musulmans, et si tous les musulmans loin s’en faut ne sont pas des terroristes, tous les terroristes récents sont des musulmans, donc statistiquement, moins on aura de musulmans, moins on aura de terroristes comme en témoigne l’absence d’Allahou Akbar enthousiastes en Pologne. Pour autant, à trop focaliser dessus sans avoir ni les moyens ni le droit de régler le problème, on joue le jeu du système qui fait monter la pression dans la cocotte-minute tout en nous interdisant de la relâcher avant qu’il ne donne le signal de la guerre civile contre l’ennemi qu’il nous a choisi, et on perd de vue les autres éléments du puzzle.
D’où vient donc cette propension de la France, laquelle a toujours été une terre d’accueil sous réserve d’assimilation, à accepter des français +, c’est-à-dire des gens qui ne sont pas que français et donc inassimilables, tout en leur donnant les mêmes droits et avantages que les français – que nous sommes par comparaison, les laissant profiter de toutes les largesses qui sont la résultante d’un mode de vie et d’une culture, tout en s’en affranchissant et donc en mettant, par le deux poids deux mesures qui en résulte, lesdits cultures et mode de vie ainsi que les avantages qui en découlent d’autant plus en péril que leur mode de vie à eux est différent, voire antinomique. Avant la révolution ça n’existait pas et derrière la révolution, il y a, c’est un fait historique, la Franc-maçonnerie, elle-même résultante d’influences de pays hostiles à la France (tels la perfide Albion), de doctrines libérales poussées par le capital, et d’influences mystiques et religieuses, (dont une partie hébraïque notamment au travers de la kabbale), hostile au catholicisme. Je laisse à chacun le soin d’élaborer sa propre théorie complotiste sur qui tire réellement les ficelles et comment cet imbroglio s’articule sachant que la destruction des nations européennes arrange tant ceux qui la souhaitent pour des raisons eschatologiques que ceux qui en ont eu besoin, certains faisant partie des deux équipes, pour imposer l’économie spéculative qui repose en partie sur le hold-up réalisé en 1913 de par la création de la réserve fédérale américaine, la fameuse FED qui n’est ni fédérale ni américaine. IL est incontestable en tout cas que ladite révolution est le bébé des francs-maçons lesquels ne s’en sont jamais cachés et même s’en enorgueillissent. C’est par ailleurs facile à confirmer : tous les révolutionnaires de l’Assemblée Constituante étaient francs-maçons : que ce soit le Duc d’Orléans, Montesquieu, Fouchet, Condorcet, Lafayette, Mirabeau, La Rochefoucauld, et même Marat, Robespierre, Danton ou encore l’inventif docteur Guillotin.
Ces universalistes forcenés abhorraient par définition l’idée de nation, aussi après avoir décapité le roi qui était le premier facteur d’unité du pays, ils ont mené une guerre sans merci à la religion qui en était un autre, une religion qui avait déjà passablement renié ses fondamentaux, se découvrant peu à peu un penchant suicidaire pour l’œcuménisme qui trouvera sa conclusion logique avec Vatican II quelques siècles plus tard. C’est en effet un prêtre, l’abbé Grégoire, qui servit de caution morale aux révolutionnaires qu’il est supposé avoir « convaincus », pour ouvrir une première brèche dans la braderie de la nationalité en prenant ce qu’ils avaient sous la main, à savoir les juifs, autre bouc émissaire d’excellence, et en en faisant dès le 27 Septembre 1791 les premiers Français +, chose sanctuarisée par napoléon qui même s’il est impossible de confirmer qu’il était Franc-maçon comme au moins 3 de ses frères, portait quand même officiellement le titre de protecteur de la franc-maçonnerie. Il est à noter qu’une des conséquences de l’accession des juifs à la politique, résultante de leur accession à la nationalité, a été le décret du très breton Crémieux, ami dudit abbé Grégoire, donnant aux juifs et à eux seuls la nationalité Française en Algérie, faisant des arabes des citoyens de seconde classe et semant, du coup, les graines d’une grande partie de nos emmerdes actuelles. Notons au passage que Napoléon III, lui, voulait donner ladite nationalité à tout le monde et que c’est une des raisons de sa chute, l’idéal ayant été de mon point de vue de ne la donner à aucun.
Chaque groupe a un pouvoir de nuisance collectif quand il prolifère dans un autre pays. C’est aussi le cas des Français, pas plus aimés que ça à l’étranger car condescendants, radins et rouspéteurs et qui voient leurs défauts synthétisés par ces cars de touristes du 3ème âge , pour beaucoup issus de ces générations d’égoïstes auxquels on doit mai 68, tristement célèbres pour se jeter sur les buffets gratuits comme si on venait de les libérer d’un camp de la mort, se resservant jusqu’à se faire péter l’estomac, laissant ensuite leurs assiettes à moitié pleines pour avoir eu les yeux plus gros que le ventre. Et il est clair que quand, comme c’est prévisible, des groupes de Français pour fuir un vivre ensemble invivable auront tendance à s’expatrier en Europe de l’est, il ne faudra pas longtemps pour que les autochtones commencent à y trouver à redire.
De même que les musulmans, les juifs sont souvent eux-aussi tout à fait charmants individuellement et ne demandent qu’à vivre leur vie sans emmerder personne et je n’ai absolument rien contre mon dentiste ou mon avocat, mais, si le comportement des musulmans change en fonction du nombre qui est leur force, selon leur modèle évolutif r/K, à l’opposé, celui d’une partie des israélites, change selon son influence laquelle découle de l’obtention ou non par la minorité la plus fanatique et sioniste d’entre eux, qui rappelons-le croit qu’en provoquant la fin des temps elle fera venir le messie qui la fera maître du monde, d’un vernis suffisant de légitimité pour s’introduire dans les sphères du pouvoir en se demandant tous les matins comme l’a déclaré Strauss-Kahn « qu’est-ce que je peux faire pour Israël » tout en profitant au passage pour nous donner moultes leçons et consignes délétères qu’elle se garde bien de s’appliquer à elle-même. Quand un Sarkozy dit qu’il faut relever le défi du métissage personne ne bronche, mais qu’en serait-il si on disait qu’Israël doit relever le défi du métissage ? On ne le saura jamais, et pour cause. Dans tous les cas en laissant aux uns la possibilité de s’installer en nombre et aux autres celle de nous influencer par les médias et la politique on est pris en tenaille comme à chaque fois que ces deux forces collectives, encore une fois je fais bien la différence avec les individus, tout en se haïssant cordialement, peuvent travailler de concert pour s’en prendre à une culture d’essence catholique, comme dans les débuts de l’empire ottoman ou encore en Espagne avant qu’Isabelle de Castille ne siffle la fin de la récréation.
Même si la révolution maçonnique a mis le vers dans le fruit, une nation millénaire ça ne crève pas comme ça. Alors, après avoir génocidé les plus chouans d’entre eux, on a transformé les paysans attachés à leur terre et par essence conservateurs qu’étaient les français en esclaves salariés déracinés par la révolution industrielle avant d’en massacrer une génération entière avec la boucherie de 14-18. Pour autant l’étranger qui ne VOULAIT PAS s’assimiler était encore instantanément perçu et les réflexes séculaires ont abouti aux années trente et à un de mes collègues végétarien, un certain Adolphe, plutôt conciliant avec l’Islam mais pas vraiment fanatique des juifs, des francs-maçons et autres. Grace à sa contribution aussi mémorable que lamentable, s’est installée la religion de la SHOAH et nos dernières défenses immunitaires ont été explosées puisqu’il n’est plus possible de critiquer un juif serait-il pervers sexuel ou pédophile sans vouloir de facto en tuer 6 millions. Il n’est plus possible non plus de défendre la nation sans être un nazi et encore moins de préférer sa propre race et même de simplement vouloir sa survie, voire de juste prononcer le mot. Ce n’était pas encore suffisant pour tuer le sentiment national, alors le « libérateur » américain, qui avait largement financé ledit Hitler et dont les usines implantées en Allemagne n’ont jamais été bombardées, entré au dernier moment dans la course après que les russes aient fait le gros du boulot et que la guerre était déjà gagnée, pour nous refiler ses jeans et ses chewing-gums, nous a transformés en consommateurs acculturés. Histoire de parachever le grand-œuvre, Vatican II pour redorer le blason d’une église à l’attitude pour le moins ambigüe vis à vis du susnommé Adolphe, a offert ses bijoux de famille sur un plateau et le ciment des valeur morales avec elle, préparant le terrain pour mai 68, histoire de mettre fin, le littéralement pas catholique Cohn-Bendit en tête, au sursaut gaullien de ce pays qui décidément ne voulait pas crever. On va donc en profiter, par le biais du féminisme, pour décourager les femmes de se reproduire tout en leur vendant l’avortement de masse comme une libération, faisant entrer dans le pays tous les ans un nombre d’immigrés légaux cyniquement équivalent au nombre desdits avortements. Puis, après avoir, par les loi Fabius-Gayssot et suivantes, officialisé l’intouchabilité du peuple auto-élu, certains de ses membres ont étendu le même privilège à tout ce qui n’est pas Français par l’entremise de SOS racisme ouvrant plus grande encore la porte à l’invasion, chez nous principalement musulmane, comme ils le font partout, sauf chez eux, avec l’appui du grand patronat qui voyait-là une occasion inespérée de peser à la baisse sur les salaires, sans réaliser que par l’augmentation sensible du chômage qui allait en résulter, les privant d’une partie de leur clientèle , le capitalisme de production qu’ils représentaient allait tomber sous la coupe du capitalisme spéculatif. Un grand patronat, donc, soutenu dans sa démarche au nom de l’antiracisme par les organisations et syndicats de gauche qui ont bonne mine à présent quand ils défilent dans la rue avec leur mine renfrognée, gauche influencée, sûrement une coïncidence, par les très auvergnats Marx et Trotsky. Il ne restait plus alors qu’à priver ce qui restait de la France de ses frontières en la dissolvant dans la gangue de l’union européenne, voulue par les américains comme l’a brillamment démontré Asselineau, sans aller jusqu’à expliquer que lesdits « américains » dont il est question n’était pas vraiment des cowboys du Texas. Toutes les banderilles étant plantées, avec en prime une pincée de théorie du genre afin d’éviter qu’un accident de l’évolution ne produise un homme viril qui pourrait se lever en renversant la table, il ne reste plus alors qu’à porter l’estocade en ouvrant toutes grandes les vannes et en accueillant en masse ces pauvres migrants, encensés par la chanson qui représente, même pas ironiquement, la France à l’Eurovision.
Ce qu’il faudrait faire, pour retrouver la maîtrise du pays me semble couler de source : opter pour la démocratie directe et déconnecter la politique de la finance en sortant de ce système représentatif et électif qui lui est, par nature, assujetti, décréter un moratoire immédiat sur l’immigration, interdire comme en Islande la circoncision rituelle sur mineurs, tout faire pour ramener le nombre de musulmans et autres cultures allogènes à une proportion raisonnable, interdire l’accès aux francs-maçons, aux membres de réseaux de même nature ainsi qu’à tous les binationaux, à la politique, la fonction publique et à toute entreprise qui dépend de l’État, ou sous peine de les perdre, touche des subventions de sa part, ce qui inclus les médias, la presse et le cinéma. Certains, de mauvaise foi ou trop conditionnés par le lavage de cerveau de l’éducation nationale, verront-là un retour au port de l’étoile jaune, qui pour la petite histoire a été inaugurée en 1222 par les Anglais qui obligeaient les juifs d’oxford à la porter, mais c’est à des années lumières de ce que je propose, surtout que les francs-Maçons mis à part, lesquels, quand ils ne sont pas coincés par des renvois d’ascenseur divers plus ou moins compromettants en retour des menus services qu’on leur a rendus, peuvent parfaitement comme je l’ai fait il y a très longtemps, cesser de l’être, tous les autres ont la possibilité, sans être inquiétés s’ils ne souhaitent pas se faire une place dans la société civile, de retourner dans leur pays d’origine ou de faire leur Aliyah. Mon souhait étant juste que les Français cessent d’être des Français moins dans leur propre pays, reconnaissant à tous les pays du monde le droit d’en faire autant.
Dans tous les cas, que ceux dont les réflexes conditionnés se sont déclenchés et qui n’écoutent déjà plus ce que je dis trop occupés à crier à l’abomination se rassurent, sauf à faire une nouvelle et improbable révolution, compte tenu du verrouillage complet du système et du lavage de cerveau des masses tout cela restera à l’état de spéculation divagatrice et les crocodiles accueillis à bras ouverts, ne sont pas près de mourir de faim.
Merci de liker et de partager à vos risques et périls. Je ne prétends pas détenir la vérité, juste donner un avis honnête, logique et argumenté basé sur mes connaissances qui sont loin d’être universelles, donc que vous soyez d’accord ou non, n’hésitez pas, les commentaires sont là pour ça. Comme d’habitude vous avez le lien dans la description de ma chaine Pewtube plus résistante à la censure. Je vous dirais bien à bientôt, mais là, ...
suite à mes dernières vidéos, mes tympans ont beaucoup sifflé et certains petits noms d’oiseaux gazouillent encore à mes oreilles. Il semblerait qu’un certain nombre de personnes tombent dans le piège dialectique du système et adoptent son raisonnement binaire et sans nuances obligeant chacun à choisir son camp entre le mal absolu officiellement décrété et tout le reste qui, par opposition, est forcément le bien, peu importe le nombre de morts et de dommages collatéraux, ne laissant d’autre cases aux gens pour se définir que celle méchant nazi ou celle de gentil immigrationiste. Il devient courant de confondre, en ces temps ubuesques où les mots sont plus sévèrement condamnés que les actes, la critique, voire le simple constat, avec la haine. Il y a une quinzaine d’années, j’ai eu l’occasion, en Australie, près de la grande barrière de corail de voir un crocodile de beaucoup plus près que je n’aurais voulu. Est-ce que le fait de le percevoir comme dangereux signifie pour autant que je n’aime pas les reptiles. Certainement pas, car j’aime beaucoup les reptiles. De la même manière, ce n’est pas parce que je perçois, au-delà d’une masse critique, les musulmans comme socialement dangereux pour la France, que je n’aime pas les musulmans ou que je suis islamophobe, le « phobe » évoquant une peur irraisonnée alors que tout comme devant mon crocodile, ladite crainte est au contraire tout à fait fondée et je l’ai déjà expliqué plusieurs fois. Un musulman, à l’instar de n’importe qui, ayant tendance à se comporter différemment selon qu’il est tout seul ou que ses coreligionnaires sont des milliers, des millions ou majoritaires. Et quand dans les années 70, le musulman de base qui était plutôt sympa ne se sentait pas espionné par ses congénères et ne subissait pas la pression sociale du groupe, ceux que je connaissais buvaient de la bière, étaient plus que laxistes sur le ramadan et ne se préoccupaient pas du halal et autres subtilités.
Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, l’Islam, qui ne représente qu’une partie de l’immigration, est un bouc émissaire pratique, ce qui ne veut pas dire pour autant que son évolution tant quantitative que qualitative n’en fait pas un problème sérieux. On a fait sans lui pendant plus de 1500 ans, les musulmans n’apportent rien au pays en tant que musulmans, et si tous les musulmans loin s’en faut ne sont pas des terroristes, tous les terroristes récents sont des musulmans, donc statistiquement, moins on aura de musulmans, moins on aura de terroristes comme en témoigne l’absence d’Allahou Akbar enthousiastes en Pologne. Pour autant, à trop focaliser dessus sans avoir ni les moyens ni le droit de régler le problème, on joue le jeu du système qui fait monter la pression dans la cocotte-minute tout en nous interdisant de la relâcher avant qu’il ne donne le signal de la guerre civile contre l’ennemi qu’il nous a choisi, et on perd de vue les autres éléments du puzzle.
D’où vient donc cette propension de la France, laquelle a toujours été une terre d’accueil sous réserve d’assimilation, à accepter des français +, c’est-à-dire des gens qui ne sont pas que français et donc inassimilables, tout en leur donnant les mêmes droits et avantages que les français – que nous sommes par comparaison, les laissant profiter de toutes les largesses qui sont la résultante d’un mode de vie et d’une culture, tout en s’en affranchissant et donc en mettant, par le deux poids deux mesures qui en résulte, lesdits cultures et mode de vie ainsi que les avantages qui en découlent d’autant plus en péril que leur mode de vie à eux est différent, voire antinomique. Avant la révolution ça n’existait pas et derrière la révolution, il y a, c’est un fait historique, la Franc-maçonnerie, elle-même résultante d’influences de pays hostiles à la France (tels la perfide Albion), de doctrines libérales poussées par le capital, et d’influences mystiques et religieuses, (dont une partie hébraïque notamment au travers de la kabbale), hostile au catholicisme. Je laisse à chacun le soin d’élaborer sa propre théorie complotiste sur qui tire réellement les ficelles et comment cet imbroglio s’articule sachant que la destruction des nations européennes arrange tant ceux qui la souhaitent pour des raisons eschatologiques que ceux qui en ont eu besoin, certains faisant partie des deux équipes, pour imposer l’économie spéculative qui repose en partie sur le hold-up réalisé en 1913 de par la création de la réserve fédérale américaine, la fameuse FED qui n’est ni fédérale ni américaine. IL est incontestable en tout cas que ladite révolution est le bébé des francs-maçons lesquels ne s’en sont jamais cachés et même s’en enorgueillissent. C’est par ailleurs facile à confirmer : tous les révolutionnaires de l’Assemblée Constituante étaient francs-maçons : que ce soit le Duc d’Orléans, Montesquieu, Fouchet, Condorcet, Lafayette, Mirabeau, La Rochefoucauld, et même Marat, Robespierre, Danton ou encore l’inventif docteur Guillotin.
Ces universalistes forcenés abhorraient par définition l’idée de nation, aussi après avoir décapité le roi qui était le premier facteur d’unité du pays, ils ont mené une guerre sans merci à la religion qui en était un autre, une religion qui avait déjà passablement renié ses fondamentaux, se découvrant peu à peu un penchant suicidaire pour l’œcuménisme qui trouvera sa conclusion logique avec Vatican II quelques siècles plus tard. C’est en effet un prêtre, l’abbé Grégoire, qui servit de caution morale aux révolutionnaires qu’il est supposé avoir « convaincus », pour ouvrir une première brèche dans la braderie de la nationalité en prenant ce qu’ils avaient sous la main, à savoir les juifs, autre bouc émissaire d’excellence, et en en faisant dès le 27 Septembre 1791 les premiers Français +, chose sanctuarisée par napoléon qui même s’il est impossible de confirmer qu’il était Franc-maçon comme au moins 3 de ses frères, portait quand même officiellement le titre de protecteur de la franc-maçonnerie. Il est à noter qu’une des conséquences de l’accession des juifs à la politique, résultante de leur accession à la nationalité, a été le décret du très breton Crémieux, ami dudit abbé Grégoire, donnant aux juifs et à eux seuls la nationalité Française en Algérie, faisant des arabes des citoyens de seconde classe et semant, du coup, les graines d’une grande partie de nos emmerdes actuelles. Notons au passage que Napoléon III, lui, voulait donner ladite nationalité à tout le monde et que c’est une des raisons de sa chute, l’idéal ayant été de mon point de vue de ne la donner à aucun.
Chaque groupe a un pouvoir de nuisance collectif quand il prolifère dans un autre pays. C’est aussi le cas des Français, pas plus aimés que ça à l’étranger car condescendants, radins et rouspéteurs et qui voient leurs défauts synthétisés par ces cars de touristes du 3ème âge , pour beaucoup issus de ces générations d’égoïstes auxquels on doit mai 68, tristement célèbres pour se jeter sur les buffets gratuits comme si on venait de les libérer d’un camp de la mort, se resservant jusqu’à se faire péter l’estomac, laissant ensuite leurs assiettes à moitié pleines pour avoir eu les yeux plus gros que le ventre. Et il est clair que quand, comme c’est prévisible, des groupes de Français pour fuir un vivre ensemble invivable auront tendance à s’expatrier en Europe de l’est, il ne faudra pas longtemps pour que les autochtones commencent à y trouver à redire.
De même que les musulmans, les juifs sont souvent eux-aussi tout à fait charmants individuellement et ne demandent qu’à vivre leur vie sans emmerder personne et je n’ai absolument rien contre mon dentiste ou mon avocat, mais, si le comportement des musulmans change en fonction du nombre qui est leur force, selon leur modèle évolutif r/K, à l’opposé, celui d’une partie des israélites, change selon son influence laquelle découle de l’obtention ou non par la minorité la plus fanatique et sioniste d’entre eux, qui rappelons-le croit qu’en provoquant la fin des temps elle fera venir le messie qui la fera maître du monde, d’un vernis suffisant de légitimité pour s’introduire dans les sphères du pouvoir en se demandant tous les matins comme l’a déclaré Strauss-Kahn « qu’est-ce que je peux faire pour Israël » tout en profitant au passage pour nous donner moultes leçons et consignes délétères qu’elle se garde bien de s’appliquer à elle-même. Quand un Sarkozy dit qu’il faut relever le défi du métissage personne ne bronche, mais qu’en serait-il si on disait qu’Israël doit relever le défi du métissage ? On ne le saura jamais, et pour cause. Dans tous les cas en laissant aux uns la possibilité de s’installer en nombre et aux autres celle de nous influencer par les médias et la politique on est pris en tenaille comme à chaque fois que ces deux forces collectives, encore une fois je fais bien la différence avec les individus, tout en se haïssant cordialement, peuvent travailler de concert pour s’en prendre à une culture d’essence catholique, comme dans les débuts de l’empire ottoman ou encore en Espagne avant qu’Isabelle de Castille ne siffle la fin de la récréation.
Même si la révolution maçonnique a mis le vers dans le fruit, une nation millénaire ça ne crève pas comme ça. Alors, après avoir génocidé les plus chouans d’entre eux, on a transformé les paysans attachés à leur terre et par essence conservateurs qu’étaient les français en esclaves salariés déracinés par la révolution industrielle avant d’en massacrer une génération entière avec la boucherie de 14-18. Pour autant l’étranger qui ne VOULAIT PAS s’assimiler était encore instantanément perçu et les réflexes séculaires ont abouti aux années trente et à un de mes collègues végétarien, un certain Adolphe, plutôt conciliant avec l’Islam mais pas vraiment fanatique des juifs, des francs-maçons et autres. Grace à sa contribution aussi mémorable que lamentable, s’est installée la religion de la SHOAH et nos dernières défenses immunitaires ont été explosées puisqu’il n’est plus possible de critiquer un juif serait-il pervers sexuel ou pédophile sans vouloir de facto en tuer 6 millions. Il n’est plus possible non plus de défendre la nation sans être un nazi et encore moins de préférer sa propre race et même de simplement vouloir sa survie, voire de juste prononcer le mot. Ce n’était pas encore suffisant pour tuer le sentiment national, alors le « libérateur » américain, qui avait largement financé ledit Hitler et dont les usines implantées en Allemagne n’ont jamais été bombardées, entré au dernier moment dans la course après que les russes aient fait le gros du boulot et que la guerre était déjà gagnée, pour nous refiler ses jeans et ses chewing-gums, nous a transformés en consommateurs acculturés. Histoire de parachever le grand-œuvre, Vatican II pour redorer le blason d’une église à l’attitude pour le moins ambigüe vis à vis du susnommé Adolphe, a offert ses bijoux de famille sur un plateau et le ciment des valeur morales avec elle, préparant le terrain pour mai 68, histoire de mettre fin, le littéralement pas catholique Cohn-Bendit en tête, au sursaut gaullien de ce pays qui décidément ne voulait pas crever. On va donc en profiter, par le biais du féminisme, pour décourager les femmes de se reproduire tout en leur vendant l’avortement de masse comme une libération, faisant entrer dans le pays tous les ans un nombre d’immigrés légaux cyniquement équivalent au nombre desdits avortements. Puis, après avoir, par les loi Fabius-Gayssot et suivantes, officialisé l’intouchabilité du peuple auto-élu, certains de ses membres ont étendu le même privilège à tout ce qui n’est pas Français par l’entremise de SOS racisme ouvrant plus grande encore la porte à l’invasion, chez nous principalement musulmane, comme ils le font partout, sauf chez eux, avec l’appui du grand patronat qui voyait-là une occasion inespérée de peser à la baisse sur les salaires, sans réaliser que par l’augmentation sensible du chômage qui allait en résulter, les privant d’une partie de leur clientèle , le capitalisme de production qu’ils représentaient allait tomber sous la coupe du capitalisme spéculatif. Un grand patronat, donc, soutenu dans sa démarche au nom de l’antiracisme par les organisations et syndicats de gauche qui ont bonne mine à présent quand ils défilent dans la rue avec leur mine renfrognée, gauche influencée, sûrement une coïncidence, par les très auvergnats Marx et Trotsky. Il ne restait plus alors qu’à priver ce qui restait de la France de ses frontières en la dissolvant dans la gangue de l’union européenne, voulue par les américains comme l’a brillamment démontré Asselineau, sans aller jusqu’à expliquer que lesdits « américains » dont il est question n’était pas vraiment des cowboys du Texas. Toutes les banderilles étant plantées, avec en prime une pincée de théorie du genre afin d’éviter qu’un accident de l’évolution ne produise un homme viril qui pourrait se lever en renversant la table, il ne reste plus alors qu’à porter l’estocade en ouvrant toutes grandes les vannes et en accueillant en masse ces pauvres migrants, encensés par la chanson qui représente, même pas ironiquement, la France à l’Eurovision.
Ce qu’il faudrait faire, pour retrouver la maîtrise du pays me semble couler de source : opter pour la démocratie directe et déconnecter la politique de la finance en sortant de ce système représentatif et électif qui lui est, par nature, assujetti, décréter un moratoire immédiat sur l’immigration, interdire comme en Islande la circoncision rituelle sur mineurs, tout faire pour ramener le nombre de musulmans et autres cultures allogènes à une proportion raisonnable, interdire l’accès aux francs-maçons, aux membres de réseaux de même nature ainsi qu’à tous les binationaux, à la politique, la fonction publique et à toute entreprise qui dépend de l’État, ou sous peine de les perdre, touche des subventions de sa part, ce qui inclus les médias, la presse et le cinéma. Certains, de mauvaise foi ou trop conditionnés par le lavage de cerveau de l’éducation nationale, verront-là un retour au port de l’étoile jaune, qui pour la petite histoire a été inaugurée en 1222 par les Anglais qui obligeaient les juifs d’oxford à la porter, mais c’est à des années lumières de ce que je propose, surtout que les francs-Maçons mis à part, lesquels, quand ils ne sont pas coincés par des renvois d’ascenseur divers plus ou moins compromettants en retour des menus services qu’on leur a rendus, peuvent parfaitement comme je l’ai fait il y a très longtemps, cesser de l’être, tous les autres ont la possibilité, sans être inquiétés s’ils ne souhaitent pas se faire une place dans la société civile, de retourner dans leur pays d’origine ou de faire leur Aliyah. Mon souhait étant juste que les Français cessent d’être des Français moins dans leur propre pays, reconnaissant à tous les pays du monde le droit d’en faire autant.
Dans tous les cas, que ceux dont les réflexes conditionnés se sont déclenchés et qui n’écoutent déjà plus ce que je dis trop occupés à crier à l’abomination se rassurent, sauf à faire une nouvelle et improbable révolution, compte tenu du verrouillage complet du système et du lavage de cerveau des masses tout cela restera à l’état de spéculation divagatrice et les crocodiles accueillis à bras ouverts, ne sont pas près de mourir de faim.
Merci de liker et de partager à vos risques et périls. Je ne prétends pas détenir la vérité, juste donner un avis honnête, logique et argumenté basé sur mes connaissances qui sont loin d’être universelles, donc que vous soyez d’accord ou non, n’hésitez pas, les commentaires sont là pour ça. Comme d’habitude vous avez le lien dans la description de ma chaine Pewtube plus résistante à la censure. Je vous dirais bien à bientôt, mais là, ...
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