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jeudi 4 juillet 2019

Dissidence. Le petit truc qui pourrait tout changer. (25 janv. 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/WZ-JkbU_Des



Bonjour, Il est difficile de ne pas se tromper de combat quand tout le cirque médiatique n’est là que pour nous exciter sur des sujets qu’on pourrait penser secondaires dans le but de nous diviser. Ceci étant dit, ce n’est pas parce qu’un sujet semble secondaire, ou est la conséquence d’un autre dont on ne parle pas, ou encore est plébiscité par lesdits médias, qu’il faut le négliger. Dire comme l’ont fait valoir certains dans les commentaires, que ces sujets sont des pertes de temps qui divisent et qu’il faut se concentrer sur ce qu’ils pensent être la cause première du marasme, revient, à mon sens, à traiter la problématique comme une inondation qu’on pourrait arrêter en fermant le robinet alors que c’est en fait un incendie et qu’une fois que le feu a été mis quelque part, il devient plus urgent d’éteindre ledit incendie que d’attraper l’incendiaire. S’il est bien sûr évident qu’il nous faut hiérarchiser les responsabilités et les causes, on ne peut se servir de cette hiérarchie pour définir les priorités. Il faut garder à l’esprit que c’est la maison France qui brûle et qu’on habite dedans. Je veux bien qu’on désigne le ou les incendiaires du haut de sa science infuse, mais si l’on ne fait que ça, cela n’arrêtera pas l’incendie, et on sera probablement consumés avant d’être arrivés au bout de la démarche. Que faire par exemple pour l’incendie de l’immigration, lequel, même si on fermait complètement les frontières aujourd’hui continuerait à brûler et à détruire notre identité par le seul biais de la natalité ? Que faire de l’incendie du féminisme qui est une des raisons de la baisse de ladite natalité qui fait que l’immigration est un problème et de la dévirilisation des hommes, lesquels, il faut être honnête, ont quand même laissé s’installer ledit féminisme et n’ont plus, dans leur version 2.0, le courage ou l’envie de défendre leur culture ? Que faire de tous ces comburants que sont l’antiracisme, le droits-de-l’hommisme et la fausse gauche sociétale libertaire et suicidaire, héritière d’un catholicisme dévoyé, conditionnée à se haïr elle-même à travers ses semblables qu’elle traite de fachos pour vouloir s’inscrire dans la continuité ? Je n’en fais même pas une question de principe et après-tout, le remplacement de population et surtout de culture, objectivement, si c’est pour un avenir meilleur pourquoi pas ? Mais il est où l’avenir meilleur ? L’opulence des 30 glorieuses a pu nous donner l’illusion que tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil, mais quand il commence à manquer de miettes à distribuer à la populace, la réalité de la nature humaine, ses atavismes et les divisions qui vont avec refont surface quand se dissout la couche de billets de banque qui tentait de les masquer. En fait les deux seules choses dont on ne peut pas se relever sont une catastrophe nucléaire et un remplacement de population, le second pouvant entrainer le premier comme je l’ai déjà expliqué dans une autre vidéo que je vous mets en lien. Le seul moyen de lutter contre la logique marchande, et c’est pour ça qu’elle s’associe à d’autres pour nous diluer, c’est de lui opposer un corps social et culturel cohérent, un bloc d’entraide et de solidarité, chose qui, par définition, n’est pas possible, en cas de crise, dans le multiculturalisme. Et je peux dire ça tranquillement parce que je pense sincèrement que ça devrait être fait partout où c’est possible sur toute la planète et qu’il est temps d’arrêter avec les systèmes maffieux comme la France-Afrique et la soi-disant aide au développement. En outre, c’est la seule façon de sauver la diversité, que le métissage de masse qu’on nous vend, dans l’inversion des valeurs habituelles, ne vise en fait qu’à détruire considérant que la seule façon pour nous de vivre en intelligence est que nous soyons tous café au lait aux yeux légèrement bridés, parlant le même globish avec une gastronomie réduite au hamburger frite et dotés d’un implant grâce auquel on pourra écouter tout ce qu’on dit, savoir tout ce qu’on regarde et suivre le moindre de nos mouvements. Quoique, ça, ça existe déjà ça s’appelle un smartphone et en plus on paye pour en avoir un. Ce n’est donc pas parce que les médias du système nous baladent que les sujets qu’ils nous jettent en pâture ne sont pas importants. En fait, ce serait même le contraire, car le système sait bien que la population perçoit encore confusément les problèmes qui lui pourrissent la vie, en dépit d’un abrutissement médiatique, chimique, ondulatoire et culturel constant qui se traduit par une baisse continue de son QI, et il ne peut pas ne pas les traiter sauf à montrer son vrai visage. Simplement, il le fait en nous distrayant par des petites phrases clivantes dont le seul but est de nous faire regarder lesdits problèmes par le petit bout de la lorgnette de façon à les complexifier et à créer des lignes de divisions entre ceux qui auraient un intérêt commun à lutter contre, tout en masquant, par une fausse opposition, l’alliance objective de ceux qui ont tout intérêt à ce qu’ils perdurent. On se retrouve comme des poules qui prennent parti et se donnent des coups de bec suite à une discussion entre un loup et un renard sur le nombre d’œufs à pondre l’un disant qu’un par jour ça suffit, l’autre en réclamant deux, mais aucun ne demandant l’arrêt de la pratique car sans œufs plus de poules à plumer. Face à un véritable problème, on propose aux poules uniquement des choix qui arrangent les prédateurs lesquels font semblant de se disputer, donnant auxdites gallinacées l’illusion de décider de quelque chose et leur laissant croire que ledit problème est pris en considération. Il est donc important d’adapter notre stratégie et d’arrêter avec cette maladie consistant à toiser ceux (c’est-à-dire, en gros, tous les autres) dans son propre camp, qui faute d’avoir notre fulgurance intellectuelle gaspilleraient leur énergie dans des combats secondaires. Ce n’est pas ça l’enjeu. Si nos adversaires semblent plus forts c’est justement parce qu’ils n’ont pas peur de l’alliance apparente de la carpe et du lapin, leur point commun, qui ne saute pas toujours aux yeux, restant la validation, sous une forme ou une autre, du mondialisme et de la société de consommation, validation qui ne peut se faire qu’en niant la réalité puisque dans la vraie vie, les arbres, tout comme la croissance, ne montent pas jusqu’au ciel. Ainsi, une féministe peut défendre la burqa sans que son cerveau ne se court-circuite sous la contradiction. Un gauchiste peut dénoncer droit dans ses bottes le capital tout en défendant l’immigration qui est un de ses principaux levier. Le CRIF peut défendre un communautarisme forcené tout en traitant de racistes et d’antisémites ceux qui seraient tentés de faire exactement la même chose. Aucune étincelle qui s’échappe par les oreilles. Les antifa tabassent ceux qui ne pensent pas comme eux, au nom de la liberté. Même chez des adolescents boutonneux ça devrait tilter quelque part, mais non, aucune odeur de cramé, ou de caramel pour les diabétiques. Cet assemblage hétéroclite, de groupuscules pas forcément si nombreux que ça, mais qui bossent ensemble à tuer la civilisation et semblent être partout dès qu’on tourne la tête, finit par créer une illusion de volume suffisante à convaincre les mougeons, conditionnés par l’école et les médias à se conformer à la normalité. C’est ça le véritable enjeu. La seule contrattaque possible est de faire pareil, ce qui passe par reconnaître ses alliés potentiels, parfois conjoncturels ou provisoires, et ne pas les blâmer pour ce qu’ils ne font pas tant qu’ils ne critiquent pas les autres pour ce qu’ils font. Par exemple il n’y aurait aucune raison de blâmer l’UPR pour ne pas s’occuper des sujets sociétaux, s’il ne dénigrait pas ceux qui s’en occupent et inversement. Il ne faut pas non plus caricaturer dans son camp. Si par exemple, un Conversano se dit suprémaciste blanc, on n’a pas à approuver le concept mais on n’est pas obligé de faire semblant de croire qu’il est absolutiste et qu’il contesterait la légitimité par exemple d’un Majid Oukacha, d’un TEPA ou de toute autre personne parfaitement intégrée et de valeur, de même si un Soral tend une main aux musulmans patriotes, on peut éventuellement y voir un oxymore partant du principe que soit on suit le coran à la lettre et de fait on n’est pas patriote soit on ne suit pas le coran à la lettre et de fait on est peut-être de culture musulmane mais certainement pas musulman, mais on n’est pas obligé d’en conclure, alors même que certaines de ses vidéos prouvent le contraire, qu’il serait islamophile. On peut hélas multiplier les exemples. Si on estime que quelqu’un trahit je ne sais qu’elle cause, en s’alliant avec je ne sais qui, ou pousse au conflit civilisation en ne faisant qu’une partie du boulot, ce n’est pas grave car au bout du compte ce n’est pas sa vision qui l’emportera, ni la nôtre mais forcément une synthèse de l’ensemble. L’important reste qu’il fait une partie du boulot, c’est autant qu’on n’aura pas à faire et, au lieu de lui taper dessus, on peut consacrer son énergie à faire ce qu’il ne fait pas, touchant un autre public qui finira par se conglomérer au sien. Quand on fait la chaîne pour éteindre un incendie, l’incendiaire lui-même peut s’y camoufler, et passer des seaux, et alors ? Pour l’instant, on a un incendie à éteindre. On règlera ses comptes après, surtout que, pour donner le change, ledit incendiaire aura tendance à faire de l’excès de zèle et on aurait tort de ne pas l’utiliser. Ce n’est pas par hasard si les médias passent leur temps à demander aux uns et aux autres de condamner tout et n’importe quoi. Ils ont bien compris le danger d’une alliance tacite intelligente et veulent qu’on reste divisés. Pourquoi devrions-nous condamner des Soral, de Lesquen, Zemmour, Conversano, Camus, Kemi Seba et tous ceux que j’oublie ou encore les identitaires, Véritas, le cercle des patriotes, la moindre phrase antiféministe, les dérapages lepéniens ou la moindre remarque qui écraserait un des innombrables œufs sur lesquels on nous oblige à marcher ? Laissons aux juges la prérogative de la condamnation et envoyons paître les journalistes. L’idéal serait certes de se promouvoir les uns les autres en dépit des différences, comprenant enfin qu’on n’est pas en concurrence pour des parts de marché mais qu’au contraire, comme l’a prouvé l’Alt-Right américaine, la croissance des uns stimulera celle des autres, mais à défaut, on n’a même pas à être d’accord, ou à soutenir qui que ce soit ou quoi que ce soit. A minima, il faudrait simplement s’astreindre à se limiter, quand vraiment ça démange, à la critique constructive et au dialogue positif et ne pas dénigrer. Pour gagner, on a besoin d’une armée et, il faut être lucide, tout ce que l’on peut avoir c’est une armée de Spartacus ou pas d’armée du tout. Il faut donc que les puristes et autres esthètes ravalent leur égo et leur fierté, se contentent de faire ce qu’ils peuvent et aient l’humilité de laisser les autres faire de même, de façon à ce que, au final, quelle que soit la direction dans laquelle les mougeons tournent la tête, ils voient des gens qui, au bout du compte, luttent et s’expriment pour la défense de la civilisation à travers notre culture, notre identité et notre solidarité et qui n’ont pas peur, face à la réalité virtuelle du camps d’en face, d’appeler un chat un chat et de vivre dans la vraie vie. Jusqu’à ce que lesdits mougeons commencent à se dire que c’est ça la nouvelle normalité et que le système bascule. C’est la seule façon de gagner. Il faut, dans cette optique se préparer à un durcissement de la répression, certains n’ayant pas du tout envie du retour de bâton qui les attend car ils ont bien conscience qu’il n’y a rien de plus dangereux qu’un mougeon qui réalise soudain devant un tube de vaseline que s’il avait mal au cul durant toutes ces années, contrairement à ce que lui disaient les médias, ce n’étaient pas les hémorroïdes. Merci de liker et de partager. Cette chaîne a, et je vous en remercie, une croissance rapide la contrepartie étant malheureusement qu’ayant aussi une vie je ne peux plus répondre aux messages, ni les suivre comme je le voudrais. Heureusement, je vois avec plaisir que, de plus en plus, certains d’entre vous s’en chargent de façon souvent plus pertinente que je n’aurais pu le faire contribuant à faire de cette chaîne l’espace de discussion ouvert que j’appelle de mes vœux, car comme je le répète je donne juste un avis que j’estime logique et argumenté mais n’ai aucune prétention de détenir la vérité et il arrive en outre, vu mon débit, que ma langue fourche. Grace à votre vigilance je me suis aperçu, par exemple, que j’avais dit fusion froide au lieu de fusion chaude dans une vidéo et spécisme au lieu d’antispécisme dans une autre faisant sans le vouloir des contresens majeurs. Donc gardez votre esprit critique. Compte-tenu du combat actuel féroce contre la liberté d’expression, si vous trouvez un intérêt à ce que je raconte je vous mets aussi en lien ma chaîne PewTube alternative à YouTube, la censure en moins. Abonnez-vous-y ou conservez le lien quelque part au cas où cette chaîne viendrait à disparaître. Merci et à bientôt…. J’espère.

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