Bonjour,
on sait à présent que notre super président est capable de tenir 7 heures devant des maires et 14 heures devant des vaches, la réciproque n’étant pas évidente, surtout pour les vaches. Peut-être aussi a-t-il un pénis fluorescent qui brille dans le noir, mais toutes ces qualités extraordinaires n’en font pas pour autant un bon président. Même si c’est objectivement mieux que « en marche ! », la mention « tient 14 heures devant des vaches » sur une affiche électorale c’est un peu comme « nouveau : Pampers Giga. Jusqu’à un mois de caca dans une seule couche » : certains admireront la performance mais ça ne donne pas envie d’acheter, en tout cas je l’espère au nom de la protection de l’enfance, sachant, en outre, que dans les deux cas on est dans la merde. Pour rester dans les considérations scatologiques, pour que tous ces records que nous martèlent des médias en pâmoison et au bord de l’orgasme soient validés par le Guinness encore faut-il qu’un arrêt pipi impromptu ne vienne pas interrompre la performance. Nul n’ayant abordé cet aspect crucial on peut se demander si lesdits médias n’auraient pas camouflé la chose quitte à perdre l’occasion de nous dire à quel point notre leader suprême pisse plus haut, plus fort et plus loin que les autres ; à moins que Macron, que la chose soit imputable ou non à des massages indirects et répétés de la prostate, ne dispose, en plus de tout le reste, de la vessie la plus résistante au Monde. Dans ce cas, s’il maintient la même progression algorithmique linéaire en augmentant la durée de façon inversement proportionnelle au QI de son auditoire, après 7 heures devant des maires et 14 heures devant des vaches, on peut extrapoler 28 heures face à une bourriche d’huîtres, encore le double au milieu d’un champ de courges ou à l’assemblée nationale, sachant qu’au-delà, même pour lui, tenter Schiappa ou Castaner serait vivement déconseillé par tout urologue doté d’un semblant de conscience professionnelle.
on sait à présent que notre super président est capable de tenir 7 heures devant des maires et 14 heures devant des vaches, la réciproque n’étant pas évidente, surtout pour les vaches. Peut-être aussi a-t-il un pénis fluorescent qui brille dans le noir, mais toutes ces qualités extraordinaires n’en font pas pour autant un bon président. Même si c’est objectivement mieux que « en marche ! », la mention « tient 14 heures devant des vaches » sur une affiche électorale c’est un peu comme « nouveau : Pampers Giga. Jusqu’à un mois de caca dans une seule couche » : certains admireront la performance mais ça ne donne pas envie d’acheter, en tout cas je l’espère au nom de la protection de l’enfance, sachant, en outre, que dans les deux cas on est dans la merde. Pour rester dans les considérations scatologiques, pour que tous ces records que nous martèlent des médias en pâmoison et au bord de l’orgasme soient validés par le Guinness encore faut-il qu’un arrêt pipi impromptu ne vienne pas interrompre la performance. Nul n’ayant abordé cet aspect crucial on peut se demander si lesdits médias n’auraient pas camouflé la chose quitte à perdre l’occasion de nous dire à quel point notre leader suprême pisse plus haut, plus fort et plus loin que les autres ; à moins que Macron, que la chose soit imputable ou non à des massages indirects et répétés de la prostate, ne dispose, en plus de tout le reste, de la vessie la plus résistante au Monde. Dans ce cas, s’il maintient la même progression algorithmique linéaire en augmentant la durée de façon inversement proportionnelle au QI de son auditoire, après 7 heures devant des maires et 14 heures devant des vaches, on peut extrapoler 28 heures face à une bourriche d’huîtres, encore le double au milieu d’un champ de courges ou à l’assemblée nationale, sachant qu’au-delà, même pour lui, tenter Schiappa ou Castaner serait vivement déconseillé par tout urologue doté d’un semblant de conscience professionnelle.
Je suis désolé pour le staff de la cellule communication de l’Élysée laquelle, tous les rats ayant déjà quitté le navire, doit se résumer à la femme de ménage qui a commis l’erreur de répondre au téléphone avant d’éteindre la lumière, mais la seule façon crédible de faire passer Macron pour superman serait qu’il mette Brigitte enceinte sans avoir recours au CNRS et au département d’égyptologie du musée d’histoire naturelle. Une fois le miracle validé par le Vatican, impossible que quoi que ce soit d’autre parvienne à se glisser à la une des journaux pendant au moins 9 mois, y compris les gilets Jaunes. Comme l’ont réalisé tous ceux qui, entre autres, ont sauté le pas, on ne devient pleinement adultes que lorsque l’égoïsme individuel indispensable, quoi qu’on en dise, à notre survie, a été sublimé par l’abnégation qu’insuffle une naissance, abnégation créatrice d’un lien social incompatible avec le libéralisme sauvage ce qui explique, en partie, l’accroissement du nombre d’homosexuels dans les partis politiques et le fait que des gens comme Macron, Merkel, Theresa May, Juncker et bien d’autres n’ont pas de descendance même si, aux cas particuliers, l’humanité se remettra sans trop de peine de la perte de leur matériel génétique. Confier notre avenir à des gens qui n’ont pas d’enfant, c’est un peu comme confier sa collection de pièces anciennes qu’on tient de son père et de son grand-père à un drogué toxicomane dont la seule préoccupation est son prochain fix et comment il va le payer. Les enfants ça paye encore électoralement au sein de la France profonde et, le désespoir poussant à tout, on pourrait même imaginer que le couple élyséen, faute de miracle, tente une variante plus réaliste en adoptant un bébé gilet Jaune mystérieusement abandonné sur un rond-point au milieu de tags antisémites par une nuit de pleine lune.
La panique qui règne à l’Élysée doit probablement équivaloir à celle d’une chèvre prépubère en string égarée dans un camp de jihadistes excités à la perspective de leur rapatriement sur le territoire national. On ne peut avoir que de la compassion pour un énarque qui réalise soudain que la courbe de l’efficacité du foutage de gueule s’inverse proportionnellement à la vacuité du frigidaire et que bizarrement ça n’a pas l’air de les satisfaire quand on explique aux gens qui se plaignent qu’ils sont juste trop cons pour comprendre les subtilités du Monde moderne et réaliser que leur situation, liée uniquement à leur inadaptabilité sociale et leur refus incompréhensible de traverser la rue, n’a rien à voir avec le gouvernement, lequel ne vit que pour servir l’intérêt général. Comme, sauf à trahir l’ennemi sans visage de François Hollande, précédent détenteur de la palme intersidérale dudit foutage de gueule, on n’a plus rien à leur donner et qu’en plus on a bien l’intention de leur piquer le moindre centime qui pourrait encore traîner dans un fond de tiroir en taxant allègrement, par exemple, les cabanes de jardin, la seule option qui reste est de les passer en profits et pertes et de cibler la com en direction de ceux qui ont encore suffisamment les pieds au sec pour jouer les autruches et qui, imbus de ce qu’ils croient être une supériorité intellectuelle, savent bien, sans que cela soit étayé par la moindre réflexion sérieuse, qu’écouter les gilets jaunes conduirait au chaos et que sans Macron point de salut. D’ailleurs, pour je ne sais quelle raison, au bout de trois mois de manifestations on est supposé ne plus avoir faim et rentrer tranquillement chez soi avec les yeux et les mains qui nous restent parce que maintenant, apparemment, ça suffit et qu’on voit bien à la télé que partout des gens applaudissent et soutiennent notre courageux président si proche du peuple dans cette tournée des gymnases, des noces et des banquets qui n’a rien de désespéré. En tout cas, il faut bien reconnaître que la femme de ménage qui a pris en charge la cellule com de l’Élysée et que par nostalgie je vais appeler Conchita, n’y va pas avec le dos de la cuillère pour convaincre ce mix de pigeon et de mouton produit de décennies de lavage de cerveau scolaire et médiatique qu’on appelle le mougeon lequel, en dépit de la massive prise de conscience qui a donné lieu au mouvement des gilets jaunes, faute d’avoir de l’eau jusqu’au aisselles, n’a visiblement pas encore été totalement éradiqué. Elle y va franco la Conchita, au diable l’avarice, surtout avec les sous des autres, et force est de constater qu’il n’y avait pas que des vaches au salon de l’agriculture, il y avait aussi des veaux, quelques centaines de militants LREM ayant été réquisitionnés pour confirmer l’affirmation macronienne selon laquelle le peuple peut être « complice du pire » donnant effectivement ces images diffusées par la machine à propagande sur lesquelles des gens, à vous faire reconsidérer avec bienveillance l’idée du « grand remplacement », susurrent amoureusement à sa prostateté élyséenne « Tenez-bon, Monsieur le président, on est avec vous, ne lâchez-rien… ». Comme si un morpion, fût-il hydrocéphale, avait besoin d’encouragements pour rester agrippé à un testicule, même réduit à l’état de pruneau d’Agen lyophilisé par la soumission aux diktats européens et au racket bancaire.
Dans la guerre médiatique qui se déroule pour capter l’attention d’un reliquat de mougeons à la hauteur de vue d’un gastéropode apathique et à la mémoire d’un poisson rouge trépané, toujours prêt à écouter le dernier qui parle et à pencher du côté du plus fort, le simple fait que Macron, même si c’est dû en partie au filtrage extrême effectué à l’entrée, puisse donner l’impression de pouvoir tranquillement se balader dans les allées du salon de l’agriculture palpant le cul de vaches dont le cuir est certes moins tanné que ce qu’il a à la maison mais vraisemblablement plus poilu, est en soi un succès indéniable qui rend nostalgique du passé : Éric Drouet, dont le mérite n’est pas en cause mais mal inspiré sur ce coup-là, ayant donné l’instruction de se tenir éloigné pensant naïvement que la chose faciliterait l’acceptation par Macron de discuter avec lui. Bien sûr, il n’a pas été reçu mais a été magnanimement autorisé à acheter un saucisson, façon subtile du système de lui dire : « tiens, carre-toi ça où je pense ! ». Du coup, non seulement Macron n’a pas été conspué, mais, cerise sur le clafoutis, un vieillard handicapé qui s’était dit : « Tiens, et si j’allais risquer ma vie dans la cohue du salon de l’agriculture ? » après une simple apposition des mains du squatter élyséen non seulement a probablement été guéri mais a obtenu 170€ de plus sur son minimum vieillesse, miracle qu’à ma connaissance Jésus n’a jamais été capable d’accomplir, ce dernier se limitant, comme les troupes de Castaner, à multiplier les pains. « Il est gentil finalement ce Macron », est supposée se dire madame Michu. « Il va même la nuit incognito, mais en faisant beaucoup de photos, faire le tour des SDF qui, lassés de traverser la rue plusieurs fois par jour pour trouver du boulot, ont finalement trouvé plus pratique de carrément y habiter. » Il est partout, il résout tout. Mais une personne après l’autre, et vu qu’on est 65 millions ça risque quand même de prendre un peu de temps. Si vos toilettes sont bouchées, avant d’appeler le plombier attendez un peu, on ne sait jamais et s’il ne vient pas, faute de caméras pour immortaliser sa gloire, certains ont semble-t-il trouvé la solution en jetant ce qui obstruait lesdites toilettes sur les CRS histoire de varier un peu les matières organiques en complément des doigts, des yeux et des dents habituels, prouvant une fois de plus, comme l’aurait dit feu Karl Lagerfeld que le noir ça va avec tout et validant l’adage : « qui se ressemble s’assemble ». Sur des CRS au bout du rouleau, le cacatov peut s’avérer psychologiquement une arme redoutable sachant en outre qu’on peut varier les fragrances avec le vomitov, le jus-de-poisson-tov… parce qu’après tout, comme dirait l’Oréal, ils le valent bien.
Toujours est-il que le Macron 2019 est un gentil Macron qui voit ses bonnes actions récompensées par un récent sondage anal donnant, soyons fous, la REM à 25% d’intentions de vote aux européennes contre 19% au second, à savoir le RN lequel pourtant, laissant ses gonades au vestiaire, a pleurniché comme une madeleine gazée aux lacrymogènes dans un champ d’oignons dépressifs parce qu’il n’a pas eu le droit de manifester contre l’antisémitisme des méchants gilets jaunes et a bien condamné solennellement tout ce que les commissaires politiques médiatiques lui intimaient de condamner. Certes le sondage est à peu près aussi fiable qu’un serment droit dans les yeux d’un Cahuzac, mais avec le recul, pas sûr, en ces temps de contestation extrême que d’être passé de parti contestataire avec des cojones à parti « comme les autres » ait été un choix particulièrement intelligent de la part de la trémousseuse de fesses post-électorale, le créneau de la pusillanimité étant déjà largement saturé. Bref, Macron a le cul bordé de nouilles, le vide sidéral d’un paysage politique à l’agonie étant incapable de produire un adversaire potable et les grosses ficelles tirées par Conchita entre deux coups de serpillière arrivant encore à faire vaciller le mougeon face à la difficulté des gilets jaunes à obliger des médias qui les honnissent à les montrer sous un jour favorable. La seule façon serait de susciter un buzz suffisamment gros pour être irrésistible, les médias restant des médias. Il suffirait de faire des choses visuellement impressionnantes où auxquelles on ne s’attend pas : se rassembler en masse au milieu de nulle part et former les lettres d’un « RIC » géant, ou d’un « macron démission », le tout filmé par un drone, faire un lâcher géant de ballons jaunes au pied de la tour Eiffel, émettre à un instant T, un stream avec un message repris de façon synchronisée par tous les portables des manifestants avec le volume à fond, aller en masse brûler un cierge à Lourdes des fois que Dieu serait d’accord pour démissionner Macron, ou bien, simplement, au lieu de marcher, que tout le monde s’asseye au milieu de la chaussée et commence à lire un bouquin, je pourrais continuer jusqu’à demain… Bien sûr qu’il y a de l’inventivité chez les gilets jaunes, que ce soit quand ils vont manifester devant le dîner du siècle ou quand ils aident les SDF, sans compter le boulot énorme abattu sur les ronds-points que je vous invite à visualiser sur la chaîne de sanglier Jaune que je vous remets en lien tellement il fait du bon boulot, pour ceux qui, de temps en temps, tout comme moi, ont besoin d’un peu de baume au cœur, mais tous ces aspects positifs sont passés volontairement sous silence par les médias. C’est pour cela qu’il est toujours dommage de louper une occasion quand elle se présente, comme ce salon de l’agriculture ou de permettre, dans cette guerre de l’image, que Macron, dont la chute est le premier barreau de la malheureusement très longue échelle qui conduit à notre émancipation, que Macron donc, puisse poser un pied quelque part sans être immédiatement conspué par des foules en colère.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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