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vendredi 5 juillet 2019

- Chéri, ya un attentat! - Ah bon? Hum, ça sent bon, t'as fait des frites? (28 mars 2018)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/iDwGE-s-MRo



Bonjour,
comme vient encore de le démontrer le dernier attentat en date, dont encore une fois aucune leçon ne sera tirée et qui ne donnera lieu à aucune réaction significative, radicale et efficace, nos valeurs républicaines à sens unique font que nous n’avons plus d’anticorps pour nous protéger, le terrorisme, quel qu’en soient les ressorts, pas toujours clairs et les commanditaires apparents et réels, n’étant qu’une des nombreuses conséquences de cette absence de système immunitaire. Déjà, à la base, il faut que l’État, dont la justification première est quand-même avant tout la protection de ses ressortissants, applique des principes de précautions élémentaires vis-à-vis de tout groupe allogène qu’il soit ethnique, religieux ou autre qui cherche à pénétrer ou à se maintenir sur le territoire et revendique une culture propre. Certains y verront une forme de xénophobie, voire de racisme et par un certain côté, c’en est. Et alors ? La ségrégation à ses vertus si elle est appliquée à ce à quoi elle est applicable, à savoir les groupes qui ont des caractéristiques statistiques moyennes qui permettent d’apprécier collectivement tant leur capacités positives que de nuisance. Gouverner, c’est prévoir et si l’État fait bien son job, il doit être capable de raisonner en termes de flux et de limiter l’accès au territoire à des populations qui sont collectivement susceptibles de faire baisser le QI moyen, ont des cultures ou religions non compatibles, n’ont pas d’intérêt économique, sont promptes à la violence etc. On connait et on peut mesurer ces caractéristiques quand on se réfère à un groupe, et un gouvernement soucieux des intérêts de son peuple, ce qui soit-dit en passant, devrait être un pléonasme, doit donc parfois décider de fermer les vannes et de refouler voire expulser certains desdits groupes. Ce n’est pas en effet parce qu’un groupe est constitué d’individus parfaitement respectables quand pris séparément qu’il ne représente pas collectivement une menace. Une souris blanche dans sa cage c’est mignon, des centaines de gentilles petites souris en liberté, ça devient une infestation. C’est pareil pour les migrants, lesquels, en outre, ne sont pas, loin s’en faut, tous individuellement gentils. Même s’il faut toujours garder ça en tête, tenir compte des dynamiques de groupe et du taux de natalité en interne pour éviter que soit atteinte une masse critique et incontrôlable, il n’est pas pour autant forcément exclu de mettre en place un goutte-à-goutte et d’accueillir des individus désireux de prouver que les caractéristiques moyennes de leur groupe ne leur sont pas applicables. Dès lors, ces derniers devraient avoir la garantie, indépendamment des aprioris de groupe, qu’une chance leur sera offerte d’être jugés d’abord sur leur valeur propre et leur comportement chaque fois que c’est possible. Possibilité qui diminue hélas pratiquement, proportionnellement à l’augmentation du nombre de personnes concernées et peut même, et c’est relativement nouveau, se voir réduite à néant quand, s’agissant de musulmans, ledit comportement n’est plus une garantie permettant de distinguer un potentiel terroriste dormant d’un citoyen respectueux.  Sous réserve de cette restriction, si le gouvernement fait bien son travail, le citoyen du pays d’accueil, sachant que les filtres naturels en amont fonctionnent, n’est pas, dans son immense majorité, tenté par le racisme et sera enclin, surtout en France qui est culturellement un pays d’assimilation, à juger toute personne sur son comportement, son élocution, ses actes etc. Si, en revanche ledit gouvernement fait mal son travail, il oblige les individus à faire eux-mêmes le tri, alors que ce n’est pas leur rôle, ce qui va les pousser à utiliser les aprioris qui ont un sens quand appliqués à un groupe qui par définition a des caractéristiques moyennes et statistiques connues, mais ne sont pas automatiquement transposables à l’individu lequel dans un système sain ne devrait avoir qu’à se comporter correctement pour être accepté. La conséquence est que l’intégration des populations visées, supposée avoir été vérifiée par l’État, ne coule plus de source et doit s’afficher de manière ostensible pour apaiser les craintes de la population, les immigrés devant alors montrer une réussite sociale ou être plus Français qu’un Français dans leur comportement. Cela ne pose aucun problème à ceux qui sont déjà intégrés pour qui c’est souvent déjà le cas et qui ont la gestuelle et les réflexes sociaux inconscients qui plus que la couleur de la peau les fait identifier de façon tout aussi inconsciente et instinctive par leurs compatriotes en tant que Français. Certains acquièrent même beaucoup desdits réflexes à leur corps défendant ce qui fait qu’ils sont perçus comme étrangers quand ils retournent dans les pays qu’ils placent avant la France dans leur échelle de valeur. Tant qu’ils n’ont pas réalisé qu’ils sont devenus ce qu’ils exècrent, ils n’ont cure de rassurer le sous-chien de base et de donner des gages d’intégration, idem pour tous ceux qui ne sont pas intégrés du tout, et pour lesquels également être Français relève souvent de l’insulte, l’échec social étant alors perçu comme une marque de virilité ou une sorte de vertu. C’est un problème en revanche pour ceux qui voudraient s’extraire de l’influence délétère et toxique de ces usines à racailles pour essayer de s’intégrer. Ceux-là, contrairement aux apparences, sauf à être des militants acharnés de l’anti-France, ne sont ni aidés ni reconnus, tandis que l’on exige de la population tolérance, patience et compréhension pour ceux qui ne font aucun effort et n’ont pas la volonté d’en faire générant un ras-le-bol qui ne fait plus la distinction, quand elle est possible, entre les bons et les mauvais. L’ascenseur social est en panne, et faute de pouvoir, et surtout de vouloir séparer le bon grain de l’ivraie, les personnes sincères et bien intentionnées sont donc confrontées à la foi à la méfiance de la population qui applique un légitime principe de précaution devant le laxisme de l’état et à la violence de ceux dont trop d’exemples de réussite sociale mettraient à mal le discours de victimisation qui est leur fonds de commerce. En outre, comme si cela ne suffisait pas, les rares qui parviennent à surmonter ces écueils voient tous leurs efforts réduits à néant de par la discrimination positive qui jette un voile de suspicion et de doute quant à la légitimité de ce qu’ils ont pu accomplir, perçu non plus par défaut comme le fruit de leur travail et de leur capacité mais comme la conséquence probable d’une forme de favoritisme. Il y a de toute évidence une volonté du système que le fossé se creuse afin d’antagoniser toujours davantage des populations qui n’ont déjà plus en commun que le fait d’habiter sur un même territoire et de plus en plus souvent côte à côte plutôt qu’ensemble. Il n’y a plus dès lors qu’à touiller pour produire du terroriste à la chaîne. Un des gros pièges de communication dans lequel on nous fait tomber, c’est, tout en le glorifiant dans les discours, de nier dans les faits l’individu quand il s’oppose au nihilisme ambiant et devient constructif, en le ramenant systématiquement alors à son appartenance ethnique ou communautaire supposée, jouant sur la situation impossible dans laquelle est mise le citoyen Français lequel doit effectuer, au niveau de l’individu, sans que le droit lui en soit reconnu, le filtrage supposé relever de l’État au niveau du groupe. Ainsi, au lieu de demander à quelqu’un ce qu’il pense de tel sujet, par exemple en tant qu’artiste, on lui demandera ce qu’il en pense en tant qu’artiste noir, n’acceptant de reconnaître son œuvre que s’il se positionne sur un des points de fracture voulus par le système et devient non plus un artiste, mais un artiste engagé. Les projecteurs des médias se braquant ainsi non plus sur ceux qui font bien ce qu’ils sont supposés faire, mais sur ceux qui, souvent faute de toucher à l’excellence dans leur domaine, donnent un avis que personne ne leur demande sur des sujets dont ils ne connaissent rien, exhibant par la même occasion leurs limites souvent édifiantes en termes de capacités de recul et d’analyse.
Généralement, tout problème a une cause collective et la résolution normale plutôt qu’un suicide général, consiste à trouver un bouc émissaire à qui faire porter le chapeau. Cela ne veut pas dire pour autant que ledit bouc émissaire ne représente pas une menace et que la solution n’est pas efficace, le petit point blanc qu’on crève pouvant libérer d’un coup le contenu d’un abcès tout entier et soulager considérablement le malade. L’islam est le bouc émissaire idéal et aussi injuste que cela puisse paraître à certains, son éradication de France permettrait de crever un sacré abcès et je dis ça conscient du fait que son importation massive en France n’est que la conséquence d’une volonté d’un système siono-maçonnique et pas que, et qu’il existe, j’en connais, beaucoup de musulmans parfaitement respectables, souvent venus ici pour fuir ce que l’islamisme radical a fait à leur pays. Pour autant, ces braves gens, qui savaient de première main, pour l’avoir vécu, comment l’histoire allait se terminer, ne se sont pas beaucoup manifestés quand il était temps et que leur ancienne vie a commencé à venir s’installer ici et ont laissé traiter sans rien dire le Français de raciste au lieu de le soutenir, perdant une occasion de mettre fin à la propagande de SOS racisme, dont il faut le rappeler par soucis d’objectivité, chose qu’oublient facilement les islamophobes primaires, les commanditaires ne sont ni musulmans ni bretons. Plus grave, aujourd’hui, beaucoup de ces musulmans qui ne font pas de vagues, conservent une attitude prudente qui n’est rien moins qu’une forme de collaboration, vis-à-vis notamment de l’Islamisme et autres joyeusetés, cadeaux de l’immigration et de l’utopie multiculturaliste. Ça freine quand même un peu la tentation que l’on pourrait avoir, afin de les épargner, de chercher des compromis foireux, alors qu’un grand ménage sans états d’âme serait plus rapide et plus efficace, l’alternative étant, il ne faut pas l’oublier, une forme de guerre civile avec une probabilité de défaite et d’annihilation qui s’accroit, chaque jour qui passe, suivant les équilibres démographiques et le vieillissement de notre population.
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