Bonjour,
d’immondes grossophobes donc machistes, donc misogynes, donc pas gauchistes, donc nazis, donc antisémites, se sont permis de mesquinement faire remarquer qu’on aimerait beaucoup que notre pays ait le même taux de croissance annuel que le postérieur de Marlène Schiappa. A leur décharge, les cris d’agonie du tailleur beige qu’elle portait le 28 février pendant qu’elle expliquait le concept foireux de « name and shame » qui visiblement ne marche pas pour elle, avaient de quoi retourner les âmes sensibles et l’absence d’objectif grand angle sur le smartphone ayant filmé la scène se faisait cruellement sentir. Les spéculations vont bon arrière-train entre ceux qui pensent que Meyer Habib lui a refilé la recette de falafels de sa grand-mère, quelques complotistes qui croient savoir qu’elle vise, en connivence avec Hanouna, la place de Rachel Garrido sur C8 et ceux, plus pragmatiques qui considèrent que 24 heures par jour étant largement insuffisantes pour exprimer le nombre hallucinant de conneries qui lui passent par la tête, c’est le moyen que la nature a trouvé pour stoker le surplus. C’est quand même quelqu’un qui, quand elle ne voit pas des liens entre la manif pour tous et les terroristes islamistes, en pleine crise des Gilets Jaunes, anticipant probablement les conclusions du grand débat, travaille à organiser une Gay-Pride à Ajaccio ce qui revient à envoyer un proctologue armé d’un gant hypoallergénique examiner un lion dans la brousse Africaine. C’est vrai qu’entre les manifs et les incendies à Grenoble à peine éteints, il reste encore un petit créneau dans l’agenda des CRS alors pourquoi pas foutre le feu en corse du moment que ça distrait les foules ?
Ces attaques sur le physique, consistant à dire que la masse du conglomérat fessier de notre secrétaire d’état la destine davantage à graviter autour de la terre qu’autour de l’égo surdimensionné d’Emanuel Macron peuvent certes choquer certains, surtout à une époque ou pour bouffer une banane il faut s’assurer que Christiane Taubira ne se trouve pas dans un rayon de 50 kilomètres et faire gaffe à ce qu’un CRS, attiré par la couleur, ne nous coffre pas pour détention d’arme de catégorie D, mais est-ce vraiment de la grossophobie ou est-ce simplement le miroir de ses faiblesses humaines tendu, à quelqu’un qui l’a bien cherché, pour se croire suffisamment supérieur aux autres au point de leur expliquer ce qu’ils doivent penser, qui plus est en leur parlant, comme s’ils avaient 6 ans, avec une voix qui n’est pas sans évoquer un chat dont elle aurait accidentellement piétiné la queue, chat qui l’aurait légitimement préférée un poil plus mince. Nul doute que, d’ici peu, l’histoire ayant démontré que la meilleure façon de rendre les gens sociables est de les empêcher de s’exprimer, la grossophobie viendra allonger la longue liste des phobies déjà pénalement sanctionnées sans que personne ne relève l’escroquerie consistant à dissocier les moqueries de la personnalité, des actes et des prises de position de la personne visée et à faire croire que c’est la caractéristique physique ou la préférence sexuelle ou religieuse qui est moquée. Cela peut certes arriver mais passé la petite section de maternelle la méchanceté gratuite fait rarement recette, surtout quand, cherchant un exutoire à l’absurdité de leur bienpensance idéologique qui quelque part les étouffe, les ligues de vertu gauchistes se muent en ligue du LOL. Quand on se moque des talonnettes de Sarkozy, on ne se moque pas de sa taille, quand on se moque d’une obèse en bikini avec une pancarte « fat acceptance », on ne se moque pas de son poids, quand on se moque d’une femme en hijab en pleine canicule ou d’un juif qui estime utile de porter sa kippa à la piscine, on ne se moque pas de leur religion, quand on se moque de bonshommes maquillés par un Picasso sous psychotropes qui tortillent du cul en string sur des chars on ne se moque pas de leur préférence sexuelle. Dans tous les cas, il s’agit de donneurs de leçons parfaitement illégitimes et les moqueries ne sont que le rappel de leur illégitimité. Et ce d’autant plus, qu’incapables de se contenter d’une simple tolérance ou d’une totale indifférence, non seulement ils promeuvent, mais tentent d’imposer, violemment, à la majorité, des idéologies qui, souvent, vont à l’encontre, non seulement des fondements de notre civilisation, mais de la nature, voire de la réalité.
Ils font tout cela au nom de l’égalité, escroquerie conceptuelle et à géométrie variable au nom de laquelle une personne handicapée peut être gazée en pleine face par un déchet humain en uniforme de CRS, ou un couple de personnes âgées qui ne manifestait même pas, être tranquillement passé à tabac par les émules de Dark-Vador des milices macroniennes. C’est ça l’égalité, pas de favoritisme, comme l’ont expérimenté jadis les enfants en poussette de la manif pour tous tandis qu’aujourd’hui, on bastonne même des députés, certes France Insoumise, mais quand même ! D’un autre côté quand Grenoble est à feu et à sang et que pleuvent les boules de pétanque, bizarrement pas d’yeux crevés, ni de mains arrachées, peut-être un poil pubien de-ci de-là, mais on attend le résultat des analyses. Et Castaner qui n’a pas eu un mot de compassion pour les éborgnés en jaune ni tenu compte de la demande d’enquête de l’ONU sur la violence de la répression alors que même en Algérie des milliers de manifestants sont dans la rue sans voir l’ombre d’un LBD40, Castaner donc, probablement atteint d’une crise soudaine d’hémorroïdes se fend pour le coup d’un message pour exprimer à quel point il comprend la douleur des manifestants. Dans un cas les méchants se battent pour sauver la France, dans l’autre les gentils s’énervent pour montrer à la police qu’on ne met pas impunément les pieds sur leur territoire, sachant que lesdits territoires étant en concurrence les uns avec les autres pour le trafic de drogue le risque d’un 2005 bis était plus que limité et que si les quartiers ne sont même pas solidaires entre eux, on peut toujours rêver mais ceux qui s’imaginent encore qu’ils pourraient être solidaires des gilets jaunes n’ont rien compris au film même si, objectivement, entre un Adama Traoré, à distinguer de 2 types sans casque sur un scooter volé qui se prennent un bus à contre sens sur l’autoroute, et un gilet jaune tabassé c’est la même violence et la même inadmissible mauvaise foi policière.
Autre exemple d’égalité, cinq cimetières catholiques dévastés dans la même journée n’émeuvent personne, mais une dalle renversée dans un cimetière juif devient une affaire d’État tandis que les médias agitent le retour des heures sombres à l’attention des lapins crétins encore tétanisés par les phares de la bienpensance, le tout avant même qu’on prenne la peine de se renseigner et de réaliser qu’il s’agissait juste des conséquences d’un accident de la circulation. Deux choses différentes, par définition, ne pouvant être égales, l’égalité est à peu près aussi naturelle que les cheveux de Besancenot, la nature étant basée, au contraire sur la diversité. Même des vrais jumeaux ne sauraient être identiques car, ne partageant pas le même corps et donc pas le même espace, leur perception du monde est décalée de quelques décimètres ce qui suffit à les rendre différents et fera qu’un se prendra une fiente de pigeon ou un tir de lbd40 sur la tête et l’autre non. Donc même si l’on arrive à normaliser l’humain selon des critères industriels et économiques en croisant Barak Obama et Nadine Morano, deux individus distincts ne seront jamais égaux. Comme toute chose non naturelle, l’illusion de cette escroquerie conceptuelle ne peut être maintenue que par la contrainte faisant que, pas à une contradiction près, celui qui est dépositaire de la force nécessaire à imposer ladite égalité par nature liberticide, devient alors plus égal que les autres. En France c’est toute une caste qui est plus égale que nous comme la chef du service politique de France 24 qui, après avoir copieusement insulté les gilets jaunes dans son émission, bénéficie de 10 cars des CRS pour assurer la protection de sa seule personne, ce qui, même si lesdits CRS sont jetables par définition et capables d’adsorber beaucoup, est un peu exagéré en matière de protection féminine, comparé même à des nana maxi super.
Les médias qui sont au pouvoir profond ce que les métastases sont au cancer du foie ont par ailleurs, dans la même semaine, indiqué la porte à un invité gilet jaune qui avait l’outrecuidance de vouloir terminer une phrase oubliant qu’il était sur BFM, tandis que Dupont-Aignan certes moins virulents sur d’autres thèmes plus dangereux mais osant leur dire tout haut ce que beaucoup pensent d’eux tout bas, en les traitant de lèches-bottes du système, même si à mon avis les parties léchées se situent sensiblement plus haut, se voyait signifier la fin de son interview par des journalistes payés par nos impôts et se comportant comme si cette émission du service public, mensongèrement appelée « C à vous » leur appartenait en propre.
En fait, contrairement à l’équité qui prend en compte le mérite de chacun, l’égalité consiste le plus souvent à déposséder collectivement le fort, l’intelligent, l’entreprenant, le persévérant, le vaillant ou l’économe au profit, non des plus démunis mais de ceux qui, dépourvus de toute qualité positive naturelle mais doués en haut pour le mensonge et la manipulation et en bas pour la servilité la plus crasse, utilisent par la ruse, la force du collectif pour obtenir le pouvoir et n’ont de cesse, pour s’y maintenir en dépit de leur médiocrité dans tous les autres domaines, que de diviser le peuple en creusant ses fractures au nom de l’égalité, voire en en important de nouvelles par l’immigration, pour qu’il ne se retourne pas contre eux. Or être gouverné par des gens médiocres et surtout mal intentionnés est la meilleure façon de mener une société à sa perte. Paradoxalement, l’eau monte aussi vite que le prix du diesel qui est déjà plus haut qu’au début de la crise des Gilets jaunes et quand on sera tous dans la même mouise on pourra goûter avec délice à l’égalité telle que la conçoit notre bienveillante république. Le désir profond de l’individu est d’être utile et surtout d’être reconnu comme tel, pas en tant que pièce interchangeable d’une grosse machine, mais parce quel que soit son niveau, il est capable d’excellence en fonction de ses talents et qualités spécifiques.
Une fois, au Japon, j’ai vu un balayeur de rue qui avait atteint une telle précision dans ses gestes qu’on avait l’impression d’assister à une cérémonie du thé. Les gens s’arrêtaient pour l’observer avec déférence et admiration. Le mensonge de l’égalité, par sa normalisation intrinsèque, non seulement limite le nombre de professions, mais crée une hiérarchie de valeur entre-elles, comme si celui qui fait pousser une patate était moins important pour la société qu’un prix Nobel de mathématiques ou pire qu’un politicien parasite. Cette hiérarchisation arbitraire et les contreparties financières afférentes lesquelles décident du statut de l’individu dans la société, privent un grand nombre de gens de la possibilité de découvrir leur talent propre, leur vocation et de se réaliser. Le concept foireux et hors sol d’égalité a, en fait, pour but insidieux, en niant toute spécificité qui compte tout en exaltant, dans son deux-poids deux-mesures permanent, les différences ethniques et sexuelles, de créer du mal-être et du désœuvrement que beaucoup confondent à tort avec l’ennui produisant une sensation de manque et de vide que chacun tente de combler par l’achat compulsif, en remplissant son estomac, en se droguant, en surfant sur le net, en jouant… bref en devenant un bon consommateur.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
d’immondes grossophobes donc machistes, donc misogynes, donc pas gauchistes, donc nazis, donc antisémites, se sont permis de mesquinement faire remarquer qu’on aimerait beaucoup que notre pays ait le même taux de croissance annuel que le postérieur de Marlène Schiappa. A leur décharge, les cris d’agonie du tailleur beige qu’elle portait le 28 février pendant qu’elle expliquait le concept foireux de « name and shame » qui visiblement ne marche pas pour elle, avaient de quoi retourner les âmes sensibles et l’absence d’objectif grand angle sur le smartphone ayant filmé la scène se faisait cruellement sentir. Les spéculations vont bon arrière-train entre ceux qui pensent que Meyer Habib lui a refilé la recette de falafels de sa grand-mère, quelques complotistes qui croient savoir qu’elle vise, en connivence avec Hanouna, la place de Rachel Garrido sur C8 et ceux, plus pragmatiques qui considèrent que 24 heures par jour étant largement insuffisantes pour exprimer le nombre hallucinant de conneries qui lui passent par la tête, c’est le moyen que la nature a trouvé pour stoker le surplus. C’est quand même quelqu’un qui, quand elle ne voit pas des liens entre la manif pour tous et les terroristes islamistes, en pleine crise des Gilets Jaunes, anticipant probablement les conclusions du grand débat, travaille à organiser une Gay-Pride à Ajaccio ce qui revient à envoyer un proctologue armé d’un gant hypoallergénique examiner un lion dans la brousse Africaine. C’est vrai qu’entre les manifs et les incendies à Grenoble à peine éteints, il reste encore un petit créneau dans l’agenda des CRS alors pourquoi pas foutre le feu en corse du moment que ça distrait les foules ?
Ces attaques sur le physique, consistant à dire que la masse du conglomérat fessier de notre secrétaire d’état la destine davantage à graviter autour de la terre qu’autour de l’égo surdimensionné d’Emanuel Macron peuvent certes choquer certains, surtout à une époque ou pour bouffer une banane il faut s’assurer que Christiane Taubira ne se trouve pas dans un rayon de 50 kilomètres et faire gaffe à ce qu’un CRS, attiré par la couleur, ne nous coffre pas pour détention d’arme de catégorie D, mais est-ce vraiment de la grossophobie ou est-ce simplement le miroir de ses faiblesses humaines tendu, à quelqu’un qui l’a bien cherché, pour se croire suffisamment supérieur aux autres au point de leur expliquer ce qu’ils doivent penser, qui plus est en leur parlant, comme s’ils avaient 6 ans, avec une voix qui n’est pas sans évoquer un chat dont elle aurait accidentellement piétiné la queue, chat qui l’aurait légitimement préférée un poil plus mince. Nul doute que, d’ici peu, l’histoire ayant démontré que la meilleure façon de rendre les gens sociables est de les empêcher de s’exprimer, la grossophobie viendra allonger la longue liste des phobies déjà pénalement sanctionnées sans que personne ne relève l’escroquerie consistant à dissocier les moqueries de la personnalité, des actes et des prises de position de la personne visée et à faire croire que c’est la caractéristique physique ou la préférence sexuelle ou religieuse qui est moquée. Cela peut certes arriver mais passé la petite section de maternelle la méchanceté gratuite fait rarement recette, surtout quand, cherchant un exutoire à l’absurdité de leur bienpensance idéologique qui quelque part les étouffe, les ligues de vertu gauchistes se muent en ligue du LOL. Quand on se moque des talonnettes de Sarkozy, on ne se moque pas de sa taille, quand on se moque d’une obèse en bikini avec une pancarte « fat acceptance », on ne se moque pas de son poids, quand on se moque d’une femme en hijab en pleine canicule ou d’un juif qui estime utile de porter sa kippa à la piscine, on ne se moque pas de leur religion, quand on se moque de bonshommes maquillés par un Picasso sous psychotropes qui tortillent du cul en string sur des chars on ne se moque pas de leur préférence sexuelle. Dans tous les cas, il s’agit de donneurs de leçons parfaitement illégitimes et les moqueries ne sont que le rappel de leur illégitimité. Et ce d’autant plus, qu’incapables de se contenter d’une simple tolérance ou d’une totale indifférence, non seulement ils promeuvent, mais tentent d’imposer, violemment, à la majorité, des idéologies qui, souvent, vont à l’encontre, non seulement des fondements de notre civilisation, mais de la nature, voire de la réalité.
Ils font tout cela au nom de l’égalité, escroquerie conceptuelle et à géométrie variable au nom de laquelle une personne handicapée peut être gazée en pleine face par un déchet humain en uniforme de CRS, ou un couple de personnes âgées qui ne manifestait même pas, être tranquillement passé à tabac par les émules de Dark-Vador des milices macroniennes. C’est ça l’égalité, pas de favoritisme, comme l’ont expérimenté jadis les enfants en poussette de la manif pour tous tandis qu’aujourd’hui, on bastonne même des députés, certes France Insoumise, mais quand même ! D’un autre côté quand Grenoble est à feu et à sang et que pleuvent les boules de pétanque, bizarrement pas d’yeux crevés, ni de mains arrachées, peut-être un poil pubien de-ci de-là, mais on attend le résultat des analyses. Et Castaner qui n’a pas eu un mot de compassion pour les éborgnés en jaune ni tenu compte de la demande d’enquête de l’ONU sur la violence de la répression alors que même en Algérie des milliers de manifestants sont dans la rue sans voir l’ombre d’un LBD40, Castaner donc, probablement atteint d’une crise soudaine d’hémorroïdes se fend pour le coup d’un message pour exprimer à quel point il comprend la douleur des manifestants. Dans un cas les méchants se battent pour sauver la France, dans l’autre les gentils s’énervent pour montrer à la police qu’on ne met pas impunément les pieds sur leur territoire, sachant que lesdits territoires étant en concurrence les uns avec les autres pour le trafic de drogue le risque d’un 2005 bis était plus que limité et que si les quartiers ne sont même pas solidaires entre eux, on peut toujours rêver mais ceux qui s’imaginent encore qu’ils pourraient être solidaires des gilets jaunes n’ont rien compris au film même si, objectivement, entre un Adama Traoré, à distinguer de 2 types sans casque sur un scooter volé qui se prennent un bus à contre sens sur l’autoroute, et un gilet jaune tabassé c’est la même violence et la même inadmissible mauvaise foi policière.
Autre exemple d’égalité, cinq cimetières catholiques dévastés dans la même journée n’émeuvent personne, mais une dalle renversée dans un cimetière juif devient une affaire d’État tandis que les médias agitent le retour des heures sombres à l’attention des lapins crétins encore tétanisés par les phares de la bienpensance, le tout avant même qu’on prenne la peine de se renseigner et de réaliser qu’il s’agissait juste des conséquences d’un accident de la circulation. Deux choses différentes, par définition, ne pouvant être égales, l’égalité est à peu près aussi naturelle que les cheveux de Besancenot, la nature étant basée, au contraire sur la diversité. Même des vrais jumeaux ne sauraient être identiques car, ne partageant pas le même corps et donc pas le même espace, leur perception du monde est décalée de quelques décimètres ce qui suffit à les rendre différents et fera qu’un se prendra une fiente de pigeon ou un tir de lbd40 sur la tête et l’autre non. Donc même si l’on arrive à normaliser l’humain selon des critères industriels et économiques en croisant Barak Obama et Nadine Morano, deux individus distincts ne seront jamais égaux. Comme toute chose non naturelle, l’illusion de cette escroquerie conceptuelle ne peut être maintenue que par la contrainte faisant que, pas à une contradiction près, celui qui est dépositaire de la force nécessaire à imposer ladite égalité par nature liberticide, devient alors plus égal que les autres. En France c’est toute une caste qui est plus égale que nous comme la chef du service politique de France 24 qui, après avoir copieusement insulté les gilets jaunes dans son émission, bénéficie de 10 cars des CRS pour assurer la protection de sa seule personne, ce qui, même si lesdits CRS sont jetables par définition et capables d’adsorber beaucoup, est un peu exagéré en matière de protection féminine, comparé même à des nana maxi super.
Les médias qui sont au pouvoir profond ce que les métastases sont au cancer du foie ont par ailleurs, dans la même semaine, indiqué la porte à un invité gilet jaune qui avait l’outrecuidance de vouloir terminer une phrase oubliant qu’il était sur BFM, tandis que Dupont-Aignan certes moins virulents sur d’autres thèmes plus dangereux mais osant leur dire tout haut ce que beaucoup pensent d’eux tout bas, en les traitant de lèches-bottes du système, même si à mon avis les parties léchées se situent sensiblement plus haut, se voyait signifier la fin de son interview par des journalistes payés par nos impôts et se comportant comme si cette émission du service public, mensongèrement appelée « C à vous » leur appartenait en propre.
En fait, contrairement à l’équité qui prend en compte le mérite de chacun, l’égalité consiste le plus souvent à déposséder collectivement le fort, l’intelligent, l’entreprenant, le persévérant, le vaillant ou l’économe au profit, non des plus démunis mais de ceux qui, dépourvus de toute qualité positive naturelle mais doués en haut pour le mensonge et la manipulation et en bas pour la servilité la plus crasse, utilisent par la ruse, la force du collectif pour obtenir le pouvoir et n’ont de cesse, pour s’y maintenir en dépit de leur médiocrité dans tous les autres domaines, que de diviser le peuple en creusant ses fractures au nom de l’égalité, voire en en important de nouvelles par l’immigration, pour qu’il ne se retourne pas contre eux. Or être gouverné par des gens médiocres et surtout mal intentionnés est la meilleure façon de mener une société à sa perte. Paradoxalement, l’eau monte aussi vite que le prix du diesel qui est déjà plus haut qu’au début de la crise des Gilets jaunes et quand on sera tous dans la même mouise on pourra goûter avec délice à l’égalité telle que la conçoit notre bienveillante république. Le désir profond de l’individu est d’être utile et surtout d’être reconnu comme tel, pas en tant que pièce interchangeable d’une grosse machine, mais parce quel que soit son niveau, il est capable d’excellence en fonction de ses talents et qualités spécifiques.
Une fois, au Japon, j’ai vu un balayeur de rue qui avait atteint une telle précision dans ses gestes qu’on avait l’impression d’assister à une cérémonie du thé. Les gens s’arrêtaient pour l’observer avec déférence et admiration. Le mensonge de l’égalité, par sa normalisation intrinsèque, non seulement limite le nombre de professions, mais crée une hiérarchie de valeur entre-elles, comme si celui qui fait pousser une patate était moins important pour la société qu’un prix Nobel de mathématiques ou pire qu’un politicien parasite. Cette hiérarchisation arbitraire et les contreparties financières afférentes lesquelles décident du statut de l’individu dans la société, privent un grand nombre de gens de la possibilité de découvrir leur talent propre, leur vocation et de se réaliser. Le concept foireux et hors sol d’égalité a, en fait, pour but insidieux, en niant toute spécificité qui compte tout en exaltant, dans son deux-poids deux-mesures permanent, les différences ethniques et sexuelles, de créer du mal-être et du désœuvrement que beaucoup confondent à tort avec l’ennui produisant une sensation de manque et de vide que chacun tente de combler par l’achat compulsif, en remplissant son estomac, en se droguant, en surfant sur le net, en jouant… bref en devenant un bon consommateur.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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